Suite à un accident, deux scientifiques sont propulsés à travers le temps. Incapables de revenir à leur époque, ils se retrouvent impliqués dans l’Histoire avec un grand H.
Série ultra kitsch de 1966/1967, ancêtre de Code Quantum, Au Cœur du Temps permet de revenir sur de grands évènements historiques (vu depuis les 60’s) et part aussi, avec ce second et dernier volume en particulier, dans la SF pure et délirante.
La série fût créée par Irwin Allen (L’Aventure du Poséidon et La Tour Infernale au ciné, Perdu dans l’Espace et Voyage au Fond des Mers pour la TV). Son générique a été composé par le jeune John Williams (Star Wars, Indiana Jones, Harry Potter…)
1492, Rome. Le pape Innocent VIII se meurt. Au Vatican, un cardinal catalan, assoiffé de pouvoir, est prêt à tout pour lui succéder. Un homme d’une cruauté sans égale, dont le nom restera dans les mémoires comme l’un des plus tristement célèbres de l’histoire de l’Église catholique : Rodrigo Borgia. Elu au Saint-Siège grâce à la corruption, il doit faire face, dès sa prise de pouvoir, aux complots des grandes maisons romaines qui veulent la perte de cet « étranger » aux mœurs scandaleuses.
Dépenses fastueuses, maîtresses, enfants illégitimes qu’il marie au gré de ses alliances, assassinats en cas de difficulté : Rodrigo joue selon ses propres règles. Mais quand les armées du roi de France arrivent aux portes de la ville, il sait qu’il lui faudra l’appui de ses fils. Auquel pourra-t-il faire confiance ? A Juan, l’arrogant enfant gâté, ou à Cesare, tourmenté par la noirceur de ses pulsions ? De ses choix dépendront non seulement l’avenir des Borgia, mais aussi celui de Rome et de l’Italie tout entière.
Ancrée dans le foisonnement intellectuel et créatif de la Renaissance, cette saga dramatique retrace la grandeur et la décadence d’une illustre famille ; de Cesare, le modèle du Prince de Machiavel, à Lucrèce, tiraillée entre mysticisme et sensualité, en passant par la sulfureuse Giulia Farnese et l’insaisissable Rodrigo.
Que vous connaissiez ou non la série, je vous conseille ce livre ! Vous ne serez pas déçu : dès les premières lignes, nous sommes plongés dans cet univers religieux du XVème siècle. Complot, corruption, trahison, mariage de connivence,… le récit est direct et ne s’attarde pas avec des descriptions à n’en plus finir. Très vite, nous voilà plongés dans les méandres de l’histoire des Borgia et au fil des pages, nous découvrons une multitude de personnages complexes et tourmentés…
Pour les fainéants de la lecture, il vous reste toujours la série sur Canal +. Comme toutes les productions made in HBO, la série est surprenante, subtile et remarquable…
Borgia
de Tom Fontana
Aux éditions Michel Lafon
414 pages
18,95 €
Voici la nouvelle affiche officielle de Twilight 4 : révélation. En salle le 16 novembre, le quatrième volet est très attendu par les fans.
L’affiche regroupe une nouvelle fois les trois principaux protagonistes : Edward Cullen (Robert Pattinson), Bella Swan (Kristen Stewart) et Jacob Black (Taylor Lautner). Mais, à la différence des deux précédentes affiches, Edward Cullen et Bella Swan sont enlacés tandis que Jacob Black est de côté. Edward entoure Belle de ses bras, celle ci montre son alliance, et Jacob affiche de la colère par ses poings fermés…
Dans ce nouvel épisode, Bella et Edward se marient (enfin), et profitent de leur lune de miel au large des côtes brésiliennes, sur l’île d’Esmée. Petit hic à leur bonheur, Bella tombe enceinte… Et sa grossesse ne va pas plaire à tout le monde ! Car l’arrivée d’un bébé hybride mi-humain mi vampire n’enchantent ni les loups garous, ni les vampires. En effet, le nouveau né pourrait devenir une menace pour les deux clans…
Un film rock’n’roll en mode grosse cylindrée, sur fond d’histoire d’amour impossible et de règlements de comptes mafieux, ça vous tente? Du réalisateur danois Nicolas Winding Refn, Drive a reçu le Prix de la mise en scène à Cannes cette année. Et ce n’est pas un hasard si la croisette a été séduite. Malgré quelques lenteurs, la mise en scène, stylisée et percutante, est servie par des acteurs brillants et une bande-son années 80 impeccable.
Dans ce polar à la fois noir et sexy, Ryan Gosling, le nouveau phénomène d’Hollywood, est juste excellent dans son rôle. Attention, chaleur sombre en perspective. Il incarne un héros muet et solitaire à la beauté glaciale. Le jour il est cascadeur, la nuit il est chauffeur pour des truands. Cet as du volant bouillonne d’une force mystérieuse.La scène d’ouverture, efficace, met directement dans l’ambiance.
Ray-Ban sur le nez, jean ajusté et blouson « Scorpions » années 90, il tombe amoureux de sa voisine, dont le mari est en prison. Déjà, ça semble compliqué. Mais, lorsqu’il aide ce dernier dans un braquage (oui, ce mec est si parfait qu’il veut sauver le mari de la femme qu’il aime), évidemment ça dérape. Pour la protéger, elle et son fils, il se transforme alors en machine à tuer, comme s’il se réincarnait.
La course poursuite est alors lancée, le sang coule et pas pour de faux ! La musique électro-rock vient cristalliser les scènes clés qui se déroulent au ralenti, apportant un rythme bizarre au film, entêtant et fatal. La tension, au début balbutiante, finit par hypnotiser. Enfin un film d’action pas ringard, à la fois poétique et esthétique.
Film américain de Nicolas Winding Refn avec Ryan Gosling, Carey Mulligan,Albert Brooks. (1 h 40.)
Sortie le 5 octobre
Double surprise pour les fans de Twilight : Robert Pattinson sera à Paris le 23 octobre en compagnie d’Ashley Greene pour promouvoir Twilight 4 : Révélation, et la nouvelle bande annonce du films est enfin sortie en français.
Robert Pattinson (Edward Cullen) et Ashley Greene (Alice Cullen) feront le promotion du quatrième volet de Twilight au Gaumont Capucines (2, bd des Capucines – 75009 Paris). 500 fans pourront ainsi venir à la rencontre de leurs acteurs et leur poser directement des questions dans le cadre du cinéma.
Dans ce nouvel épisode, Bella et Edward se marient (enfin), et profitent de leur lune de miel au large des côtes brésiliennes, sur l’île d’Esmée. Petit hic à leur bonheur, Bella tombe enceinte et le fœtus aspire toute son énergie… Et sa grossesse ne va pas plaire à tout le monde ! Car l’arrivée d’un bébé hybride mi-humain mi vampire n’enchantent ni les loups garous, ni les vampires. En effet, le nouveau né pourrait devenir une menace pour les deux clans…
Alors tous à vos agendas : Robert Pattinson sera à Paris le 23 octobre et le nouveau volet de Twilight sortira le 16 novembre prochain.
En cette rentrée littéraire 2011, l’offre est comme d’habitude foisonnante. Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson, cet éternel baroudeur absorbe par la fraîcheur du regard qu’il porte sur le monde. Reculé de toute civilisation, il a passé six mois seul dans une cabane en Sibérie au bord d’un lac.
Grand voyageur, Sylvain Tesson, écrivain de 39 ans, décide de partir faire un voyage immobile. Son dernier ouvrage est né de cette aventure sédentaire. Un paradoxe? Non, un break de six mois où ses activités se résument à marcher, lire, pêcher, observer et…méditer, se confronter au vide de soi-même. Dans une cabane de 9m² au bord de l’immense lac Baïkal (dans le sud de la Sibérie, en Russie orientale), l’écrivain s’est simplement confronté au rythme de la nature : « Le froid, le silence et la solitude sont des états qui se négocieront demain plus cher que l’or » écrit-il, « Sur une Terre surpeuplée, surchauffée, bruyante, une cabane forestière est l’eldorado » .
Sylvain Tesson organise ses journées entre des activités intellectuelles et manuelles, sirotant de la vodka et fumant des cigares. De février à septembre 2010, entre des températures avoisinant les -30°, des sorties en kayak et quelques ascensions, il a tenu un journal intime racontant son exil sibérien. Son « journal de cabane » a ainsi donné naissance à Dans les forêts de Sibérie publié chez Gallimard. Et contrairement au film Into the Wild, l’histoire se termine bien. Des moments de bonheur jaillissent de cette vie rudimentaire.
L’homme, plongé dans l’isolement, à cinq heures de marche du premier voisin, porte une plume fine sur la condition humaine et la civilisation : « Rien ne me manque de ma vie d’avant. Rien. Ni mes biens, ni les miens. » Ces moments de vie, vécus avec la littérature pour seule compagne se sont révélés fructueux : « C’était une expérience de vie fondée sur le bonheur de la répétition. Quelle jouissance de vie ! Cela corrige l’autocritique et le sentiment d’être inutile à mes semblables ou au monde, mais j’avais la certitude de me nuire, non plus, à personne, si ce n’est à quelques moucherons ». Un roman vibrant d’émotion et de fantaisie, où ses états d’âme nous touchent et nous transportent.
« Dans les forêts de Sibérie » , Éditions Gallimard
Collection Blanche, 288 pages, 17,90 €
En librairie depuis le 1er septembre 2011
A tout juste quarante ans, Cal Weaver mène une vie de rêve – bonne situation, belle maison, enfants formidables et mariage parfait avec sa petite amie du lycée. Mais lorsqu’il apprend que sa femme, Emily, le trompe et demande le divorce, sa vie « parfaite » s’écroule. Pire, dans le monde des célibataires d’aujourd’hui, Cal, qui n’a plus dragué depuis des lustres, se révèle un modèle d’anti séduction. Passant désormais ses soirées à bouder tout seul au bar du coin, l’infortuné Cal est pris en main comme complice et protégé d’un séduisant trentenaire, Jacob Palmer. Pour l’aider à oublier sa femme et à commencer une nouvelle vie, Jacob tente de faire découvrir à Cal les nombreuses perspectives qui s’offrent à lui : femmes en quête d’aventures, soirées arrosées entre copains et un chic supérieur à la moyenne.
Cal et Emily ne sont pas les seuls en quête d’amour: le fils de Cal, Robbie, 13 ans, est fou de sa babysitter de 17 ans, Jessica, laquelle a jeté son dévolu… sur Cal ! Et en dépit de la transformation de Cal et de ses nombreuses nouvelles conquêtes, la seule chose qu’il ne peut changer reste son coeur, qui semble toujours le ramener à son point de départ
Entre copines ou avec son chéri, cette comédie est à voir ! De l’humour, de l’amour et du contenu… sans tomber dans les clichés des films d’amour à l’américaine un peu niais.
Date de sortie cinéma : 14 septembre 2011
Réalisé par John Requa, Glenn Ficarra
Avec Steve Carell, Ryan Gosling, Julianne Moore, plus
Long-métrage américain . Genre : Comédie , Romance
Durée : 01h58min Année de production : 2011
Distributeur : Warner Bros. France
C’est le d’information spécialisé dans le cinéma, Deadline, qu’une nouvelle version de Scarface de Brian de Palma serait en préparation, à l’iniation du studio de production Universal Pictures.
L’objectif, c’est de garder le même scénario que les deux versions précédentes du film (celle d’Howard Hughes de 1932 et la version de Brian de Palma de 1983) et de faire une version actualisée.
Mais qui interprêtera le très connu Tony Montana ? Mystère et boule de gomme…
Dans la version de 1932, Tony Camonte jouait un immigrant italien devenant l’un des plus hauts placés dans la mafia de Chicago. Dans cette de 1983, Al Pacino interprétait un immigrant cubain, qui devient un homme de plus en plus influent dans la mafia de cocaïne de Miami, et qui devient à la fin le boss.
La nouvelle version devrait donc garder la trame : un immigrant pauvre qui se fait sa place dans le monde du crime et du trafic de drogue, version rêve américain arrangé.
Même si l’on se questionne sur l’intérêt d’une nouvelle version, le film attirera probablement des fans de Tony Montana, si le casting est bon. A Hollywood, la tendance est au remake de films dans années 1980…
Affaire à suivre !
Producteur inspiré par le hip-hop et l’électro, Sayem ravit la critique en 2007 avec Phonogénique son premier album. remixé par Krazy Baldhead et les Naive New Beaters, il officie aussi à la tâche pour Cassius ou Miss Kittin.
Ses bandes sons pour les publicités de la coupe du monde de rugby et Nokia propulsent son univers sur tous les petits écrans du monde.
Sayem revient en 2011 avec son deuxième album : un B.O. d’un film imaginaire où s’entremêlent série B et super héros loosers. Il construit à coups de beats, à grand renfort de drum machines et de vieux synthétiseurs criards, une citée viciée où gravitent des protagonistes du quotidien : A City Gone Mad w/ Fever.
Dans cette entreprise aussi ambitieuse qu’absurde, Sayem est entouré : Flairs co-réalise l’album, Artus de Lavilléon reprend ses crayons et signe l’artwork et la bande dessinée originale du l’album, alors que DSL, F.L.A. et le Prince Miiaou se succèdent derrière le micro.
Pour votre son nouveau clip A City Gone Mad w/ Fever, c’est par ici.
Le nouvel album de Sayem « A city gone mad w/fever » sortira le 10 octobre.
Sayem sera en concert :
le 15 octobre au Panic Room / Paris (Sayem + Friends)
le 21 octobre à la Galerie W / MaMa Festival / Paris (avec une performance d’ Artus)
le 28 octobre à la La Cave au Poètes /Festival Ground Zero / Roubaix
Crédits photo : Emma Ledoyen et Julie Allard/Artus De Lavilléon
Après 4 albums et 200 000 exemplaires vendus dont l’album « Salt Rain », récompensé par le prix de la Révélation de l’année aux BBC Music Awards voilà quasiment une décennie, la chanteuse anglo-indienne Susheela Raman revient en France avec « VEL », un nouvel album folk teinté de soul, et délicatement relevé de musique traditionnelle indienne. Susheela Raman a simplement créé une musique du monde, une musique de son monde…
La musique de Susheela Raman ne ressemble à aucune autre, sans doute parce que son parcours musical est unique en son genre.
Ses parents, originaires du Sud de l’Inde, lui transmettent par la musique traditionnelle « carnatique » ses racines et sa culture orientale. Mais à l’adolescence, c’est vers l’Occident que se tourne la chanteuse en herbe qui monte un groupe de funk et écume bars et boîtes de Sydney où a immigré sa famille.
Quelques années plus tard, assagie et forte de l’enseignement musical d’une grande chanteuse hindoustani, la belle Indienne s’installe à Londres et contacte le label Real World. Elle intègre alors Joi, combo anglo-indien qui brasse allègrement musique indienne, deep house, jungle et new-age, ouvrant la voie à un mouvement asian vibe en pleine effervescence. Une expérience enrichissante pour la chanteuse, mais pas à la mesure de ses aspirations.
C’est sa rencontre avec le guitariste et producteur Sam Mills qui va lui permettre de se réaliser pleinement. Avec lui, elle finit par trouver son propre style, qu’elle définit comme la musique de la réconciliation.
Son album, « Salt Rain » (2001), est en effet le point de convergence entre ses différentes influences culturelles et musicales. Elle y reprend entre autres des chants « carnatiques » qu’elle interprète tout à fait librement. Merveilleusement mise en avant par d’excellents musiciens venus de tous les horizons, sa voix de sirène s’envole et vibre sur fond de cordes, de percus et de sons étranges.
En anglais, en sanskrit, en telugu ou en hindi, la chanteuse de 27 ans prouve qu’elle est la hauteur de son double héritage. Sonorités urbaines occidentales et mélodies indiennes fusionnent sans s’étouffer pour donner un style tout à fait nouveau. Un métissage réussi pour cette artiste engagée qui nous livre avec force et émotion son message d’amour et de liberté.
25/11/2011 Le Carre les Colonnes – Bordeaux-St Menard en Jalles
30/03/2012 Le Point d’Eau – Ostwald
31/03/2012 Espace Prévert – Savigny-le-Temple
07/04/2012 Le Silo – Saint Pierre du Perray
12/05/2012 Le Carreau- Forbach
Il n’y a pas d’âge pour écouter Brassens ! Et pour les jeunes qui ne connaissent pas toute sa discographie, il va falloir se mettre à la page…
Dictionnaire Brassens sort le 29 septembre en librairie. Cet ouvrage est un guide permettant de comprendre et d’apprécier au mieux les chansons du célèbre chanteur. Car les textes de Brassens recèlent d’allusions culturelles et littéraires, de formes linguistiques classiques, des expressions, des noms propres, des tours soignés qui viennent côtoyer le discours populaire, de l’argot, etc.
Brassens était amoureux des mots, et c’est un hommage que l’auteur, Jean-Louis Garitte, lui a fait en écrivant ce dictionnaire.
Ce qu’on trouve dans l’ouvrage ? Un dictionnaire alphabétique expliquant le signification des mots et expressions utilisés par Brassens, une liste phrases défigées (des phrases connues au départ qui ont subi une légère transformation), et… les 51 chansons essentielles sur 2 CD.
Le Dictionnaire Brassens, de Jean-Louis Garitte, aux édition de l’Opportum. Préface de Philippe Delerm. 160 pages. 19,90 €
Inclus 51 chansons sur 2 CD, dont La mauvaise réputation, La parapluie, Le gorille, Bancs publics, La cane de Jeanne, Les sabots d’Hélène, Chanson pour l’auvergnat, Je me suis fait tout petit, Les croquants, Oncle Archibald, Les lilas, Le pornographe, Le vieux Léon, La ronde des jurons, Le mécréant, Pénélope,…
En librairie le 29 septembre.
Occupation retrace les vies de trois soldats anglais pendant et après l’invasion de Bassorah, en avril 2003. Mus par l’amour, l’intérêt ou l’idéalisme, aucun d’eux ne sortira indemne de l’épreuve.
Emportés par la tourmente irakienne en 2003, trois soldats britanniques tentent de se réadapter à la vie civile à Manchester. Chacun a une bonne raison de repartir dans le chaos de Bassorah. Danny envisage de faire de gros profits dans la sécurité. Mike est tombé amoureux d’une femme médecin irakienne. Hibbs veut participer à la reconstruction du pays. En cinq ans, l’amitié entre ces trois hommes va être soumise à rude épreuve dans un nouvel Irak où montent le fondamentalisme, la corruption et la violence.
Multi-récompensé dans les festivals du monde entier, Occupation est le film choc sur la guerre d’Irak. James Nesbitt (Jekyll), Stephen Graham (Public enemies) et Warren Brown (Luther) forment un trio d’acteurs exceptionnels.
Un film de guerre absolument époustouflant ! Et une bande son magnifique !
A voir impérativement !
Occupation
Ecrit par Peter Bowker
Réalisé par Nick Murphy
Avec James Nesbitt, Stephen Graham, Warren Brown, Nonso Anozie
Production : Kudos Film, BBC
2009 – 2 x 90 minutes
En DVD le 28 septembre
Le premier épisode de la série sera diffusé sur ARTE le 30 septembre à 20 h 40.
Vous aimez la musique marocaine ET la musique sénégalaise ? Vous allez adorer Aziz Sahmaoui & University of Gnawa !
Dans le Maghreb, Aziz Sahmaoui est une véritable source d’inspiration pour beaucoup de musiciens de la nouvelle génération. Au coeur de l’Orchestre National de Barbès ou aux côtés de Joe Zawinul, il n’a cessé de valoriser la musique traditionnelle maghrébine tout en étant à l’écoute des courants les plus modernes. Aziz a grandi à Marrakech où se tient le festival Ksar El Badii qui représente depuis plusieurs décennies le creuset culturel et sonore des différentes tribus du Maroc.
Pour son album au nom éponyme, «University of Gnawa », Aziz Sahmaoui a écrit un répertoire personnel, en arabe, empreint de maturité : les textes des chansons évoquent la vie, les choix, les promesses ; les compositions sont faites de tradition gnaoua, de chaabi, d’Afrique et de jazz.
Les Gnaoua ou Gnawa sont des musiciens thérapeutes, des guérisseurs issus d’un mélange arabo-berbère et surtout africain. Leurs rituels d’extase ont été comparés à ceux du vaudou haïtien, au Stambali tunisien, à la Macumba brésilienne, au Zar soudanais… Ils se déroulent pendant la « Lila » (« nuit sacrée » en arabe). Beaucoup des textes gnaouas évoquent les esprits. Dans chaque titre, Aziz joue du n’goni (la petite guitare malienne) là où les gnaouas traditionnels ne joueraient que du Guimbri (basse traditionnelle recouverte d’une peau de chèvre).
Aziz n’hésite pas à mélanger d’autres traditions comme le « Hit » du sud marocain, qui est une friction vocale entre les chanteurs pour mieux arriver à la transe. Le single « Maktoube » (le destin) sonne comme une chanson gaie que ne renierait pas un Manu Chao, mais Aziz raconte les malheurs de Fatima dont la maison a été détruite par des soldats.
Sa reprise du « Black Market » de Joe Zawinul, re-enregistré sous le nom de « Gnawa Market » surprendra plus d’un fan de Weather Report. Les mélodies entraînantes, les rythmes solides et le groove puissant, les arrangements soignés en font une musique festive et généreuse servie par des musiciens de talent. Les instruments acoustiques et amplifiés s’y côtoient avec bonheur et harmonie, et dans les morceaux traditionnels en solo, la voix chaleureuse et pacifique d’Aziz touchera les publics les plus larges.
Le premier album d’Aziz Sahmaoui & University of Gnawa est sorti en mai 2011.
Concert : le 6 octobre au Cabaret Sauvage
20 € en préventes (frais de location compris)
20 € sur place
15 € en préventes (frais de location compris) : chômeurs, étudiants et senior
Avis aux fans de vampires charmeurs et loups-garous romantiques : la bande annonce longue du nouveau Twilight : Révélation (partie 1) est enfin sortie ! Au sommaire de ce nouvel épisode, un mariage et… une grossesse !
Pour les fanatiques de la saga Twilight, il faudra attendre le 16 novembre pour découvrir le nouvel épisode au cinéma. En attendant, la production du film publie régulièrement de nouvelles photos.Mais tout cela nous met l’eau à la bouche, surtout la bande annonce longue, franchement sortie le 14 septembre ! Et attention aux lecteurs de Stephanie Meyer, interdiction de dévoiler les rebondissements !
Dans ce nouvel épisode, Bella et Edward se marient (enfin), et profitent de leur lune de miel au large des côtes brésiliennes, sur l’île d’Esmée. Petit hic à leur bonheur, Bella tombe enceinte… Et sa grossesse ne va pas plaire à tout le monde ! Car l’arrivée d’un bébé hybride mi-humain mi vampire n’enchantent ni les loups garous, ni les vampires. En effet, le nouveau né pourrait devenir une menace pour les deux clans…
Tous à vos agendas : le 16 novembre, Twilight : Révélation(partie 1) sort au cinéma
(un film de Bill Condon avec Robert Pattinson et Kristen Stewart)
Film d’animation français réalisé par Zep, avec les voix de Donald Reignoux, Maria Pacôme, Jean Rochefort…
Lorsque ses parents décident de se séparer pour ‘faire le point’, notre petit héros se sent seul et ne sait pas comment réagir… Avec ses copains hyper-calés sur les conflits parentaux, Titeuf mettra en place plusieurs stratégies pour que le soleil brille à nouveau dans sa vie. Mais un défi hautement plus important l’attend : conquérir le cœur de la belle Nadia.
Accompagné d’une BO haut-de gamme (Hallyday, Cabrel, Goldman, Souchon et même James Blunt), bourré d’humour et instructif aussi bien pour les enfants que pour les parents, Titeuf, le film nous fait suivre les premières réflexions d’un gamin terrible. Touchant et décapant, même si parfois un peu triste… A découvrir.
Disponible en blu-ray 3D, blu-ray et dvd chez Pathé
Aux Etats-Unis, pendant la Grande Dépression des années ’30, un jeune étudiant vétérinaire est contraint de prendre la route. Recueilli par un cirque itinérant, il devra préparer un numéro spécial avec la femme du directeur du cirque et une éléphante…
RENCONTRE A PARIS AVEC ROBERT PATTINSON
Quelle expérience as-tu vécu sur ce film ?
Mes choix sur ce film ont été très instinctifs, depuis le choix du projet. J’ai aimé le scénario dès ma lecture et je me suis laissé embarquer dans l’aventure… Le monde qu’a recréé Francis (Lawrence, le réalisateur) a rendu les choses tellement simples que cela a été le film le plus facile que j’ai pu tourner. J’ai vécu le même parcours, la même évolution que mon personnage : projeté dans un univers inconnu, j’ai du m’adapter en apprenant plein de choses !
Le milieu du cirque est-il, selon toi, similaire au milieu du cinéma ?
Oui, nous sommes une grande équipe avec des talents différents, vivant tous ensemble.
J’ai beaucoup de respect pour les gens du cirque, qui doivent toujours voyager et avoir tous les soirs une représentation dans laquelle ils doivent être parfaits… Si cela paraît idéal, ce n’est vraiment pas facile : vivre séparé de ses proches pendant aussi longtemps est assez difficile. Pour ce film nous avons passé 8 mois ensemble et je n’en pouvais plus (rires…), alors vous imaginez toute une vie !
Comment s’est déroulée ta rencontre avec l’éléphante du film ?
Le premier jour, avant même que l’on soit réellement intégré au projet, j’ai eu droit à un « test » avec l’éléphante : d’être soulevé par sa trompe ! J’en ai eu très peur au départ, mais il fallait le faire pour savoir si nous pouvions être complices… Cela s’est bien passé et nous avons finalement été très complices : un jour, entre deux prises, j’étais allongé à ses côtés, je me reposais et nous nous sommes assoupis tous les deux. A mon réveil je me suis demandé : combien de fois dans la vie cela peut-il arriver ? J’ai aussi d’autres souvenirs un peu plus angoissants, notamment avec les cascades, mais je préfère me souvenir des bons moments (rires) !
Etre aussi proche d’animaux féroces pour plusieurs scènes ne t’as pas fait peur ? Il y a une séquence, avec tous les animaux libérés et 300 personnes qui courent dans tous les sens, où je me retrouve à terre… J’ai vraiment eu peur, c’était horrible, surtout que tous les figurants voulaient apparaître devant la caméra donc ils couraient vers moi, même si on ne voit à l’image que leurs pieds (rires) !
Tu représentes aujourd’hui une icône romantique à travers tes films, ne souhaites-tu pas casser cette image, changer de registre ?
Tout d’abord, le plus difficile lorsque l’on est acteur est de trouver du travail, je prends donc les rôles qu’on me donne (rires). Mais j’aime bien cette facette, je pense que toute histoire a besoin de romantisme et qu’un film sans une petite histoire d’amour est assez rare… C’est donc ce qu’on me propose et cela ne me dérange pas pour le moment, je n’ai pas vraiment envie de casser cette image.
Drame américain de Francis Lawrence,
avec Robert Pattinson, Reese Witherspoon, Christoph Waltz….
Disponible en dvd et blu-ray chez Fox Bonus : Le spectacle itinérant – de la page à l’écran ; La star du cirque ; Monter la tente ; Reese Witherspoon ; Les effets spéciaux ; La Ménagerie ; Les secrets du grand chapiteau ; Robert Pattinson.
Quatre gangsters amateurs, suite à un braquage qui a mal tourné, sont en fuite dans Paris.
Avec leur magot sous le bras (dans des sacs Vuitton), ils ne trouvent pas mieux que de se planquer… dans un commissariat !
Evidemment l’idée de génie va vite se transformer en course effrénée…
Adapté d’un court-métrage multi-récompensé, La planque est une comédie délirante aux dialogues soignés.
Ce réel bol d’air est mené par une équipe ultra complice, que l’on prend plaisir à voir s’enfoncer -à chaque scène- un peu plus dans la m…
Une très bonne surprise histoire de redonner le sourire à la rentrée !
Trois questions à Akim Isker, réalisateur du film
Pourquoi avoir choisi d’adapter le court métrage La Planque pour ton premier long ?
J’ai rencontré Jalil Naciri sur les plateaux de P.J .(série télévisée diffusée sur France 2). Nous avions en commun une culture, un désir de cinema populaire , mais aussi très rapidement une volonté de créer et de travailler ensemble. « La Planque court-métrage » en est en quelques sorte la concrétisation et le point de départ d’une étroite collaboration. Cette histoire de « braqueurs bras-cassés » méritait d’être adaptée dans un format plus long. D’abord pour travailler plus en profondeur la personnalité de ces personnages que l’on dessine depuis le début de l’aventure Alakis’. Ensuite, pour répondre à la question posée par leurs nombreuses mésaventures : « Comment vont-ils se sortir de ce merdier? » Mais surtout, parce que je m’étais énormément attaché à cet univers et à ces personnages. Luc Besson, qui avait déjà vu Le Shtar (une production Alakis’) s’intérressait à notre travail. Il a souhaité nous aider dans la production d’un f ilm. Nous avons donc tout naturellement choisi de developer La planque.
Comment maintenir un juste équilibre entre une intrigue cohérente et des situations décalées ?
C’est à mes yeux , tout l’enjeu du film. Il était important que l’histoire soit crédible au départ pour ensuite mieux décaler les situations de plus en plus insolites dans lesquelles se débattent nos protagonistes. Il en est de même pour le jeu des acteurs à qui j’ai demandé d’être sincères, justes et impliqués. La comédie naît du contraste entre vraissemblance et situations décalées.
Justement… La planque : film d’action ou comédie?
Je ne suis pas sûr que le film puisse être enfermé dans une case. « Action » peut-être du fait de cette image saturée et contrastée et de ce perpétuel mouvement, avec une caméra portée à l’épaule. J’ai choisi de toujours privilégier le point de vue des braqueurs et voulais y faire surgir un principe d’urgence et de mouvement continu. Emmené par le caractère et l’énergie de Kiko, ils ne peuvent en fait jamais s’arrêter et cherchent constament la sortie de l’impasse dans laquelle ils sont entraînés. Et « comédie » bien sûr, à travers cette avalanche de péripéties burlesques.
La planque
Comédie d’action française de Akim Isker avec Jalil Naciri, Gilles Bellomi, Ahcen Titi…
Déjà en salles.
Ce film raconte l’affaire Outreau du point de vue de l’un des accusés. Alain Marécaux, joué par Philippe Torrenton, huissier, est arrêté en 2001 ainsi que sa femme et douze autres personnes pour actes de pédophilie sur mineurs de moins de 15 ans.
Une caméra, proche de son personnage principal, relate le calvaire d’un homme innocent face à un système judiciaire aveugle. Cette descente aux enfers, tirée d’une histoire vraie, montre comment un homme peut voir sa vie, ainsi que celle de ses proches, broyée.
Tout au long du film c’est la question du point qui se joue. Vincent Garenq a choisi de montrer le calvaire de Alain Marécaux et après 1h42 de film on a l’impression de s’être fait greffer des larmes. Le réalisateur veut montrer pour qu’on n’oublie pas que la justice peut vraiment être aveugle.
Présumé coupable de Vincent Garenq avec Philippe Torreton, Wladimir Yordanoff, Noémie Lvovsky, Raphaël Ferrer. 1 h 42.
Vous ne connaissez pas les éditions Dunod ? Eh bien ça ne saurait que tarder ! Du 5 septembre au 31 octobre, Dunod organise un jeu concours de la meilleure vidéo pour vous faire démarrer l’année avec le sourire et plein de cadeaux. A vos films !
Du 8 au 21 septembre, Géraud Soulhiol présente à la galerie Projective City une collection de petits dessins sur d’anciennes sous-tasses, utilisant du café soluble comme medium.
Ce travail s’est progressivement agrandi depuis son commencement en 2009, et propose une gamme extrêmement variée de sujets et d’images qui défie certainement les tentatives de taxonomie.
L’utilisation du café soluble et de sous-tasses, medium inattendus mais somme toute ordinaires, reflète parfaitement la nature du contenu et établit humblement la noblesse de l’imagination. Dans ce travail, l’imagination n’est pas l’apanage exclusif de l’artiste capricieux, ni même celui de l’enfant inarticulé, au contraire, c’est un pouvoir revendiqué par un acte de volonté mature, à la disposition de chacun d’entre nous, tel un droit fondamental faisant partie de notre humanité.
Par ailleurs, Géraud Soulhiol s’amuse avec l’histoire de l’art. Traditionnellement, les Vanités étaient censées rappeler la nature éphémère de l’existence terrestre, avec le mélange d’objets assemblés en “nature morte”, symboles de la foi extravagante portée aux affaires de ce monde. Mais bien sur, ceci servait également de parfaite justification pour dépeindre toutes sortes de beaux et pulpeux produits et offrait ainsi aux artistes une excellente opportunité pour démontrer leur virtuosité au monde. La nature délicate et fugitive des œuvres de Géraud Soulhiol suggère, de la même façon, la fluidité transitoire du monde des choses, mais témoigne aussi bien du plaisir de la créativité spontanée.
Horaires : du mercredi au samedi et sur rendez-vous.
Du 9 septembre au 22 octobre 2001, Philippe Bazin présente deux séries de son travail photographique, Antichambres et Les Présidents, à la galerie Marion Meyer Contemporain.
La série des Antichambres, saisie en Pologne, dans les lieux d’asile ou de rétention des migrants tchétchènes présente la part philosophique. La forme parfaitement ciblée de l’esthétique documentaire y prend à contre pied les standards visuels de la photo reportage, chaque image s’affirmant à la fois dans son autonomie et dans sa relation à la série, pour créer un système de mise à distance de ces espaces inappropriables où toute figure est absente.
En contre point de ces espaces précarisés, Les Présidents fait apparaitre ces figures tutélaires de la sédentarité nationale. Photographies officielles des Présidents de la République française recadrées sur les visages, elles sont ici confrontées à ces lieux de nulle part que construisent les politiques migratoires.
Aux États-Unis autour des lieux de l’abolitionnisme, en Finlande autour de l’architecture d’Alvar Aalto, au Portugal autour des chantiers du port, sur le territoire français comme ailleurs, l’œuvre de Philippe Bazin ne cesse de susciter la question du commun, dans la direction des regards comme dans l’ordre des espaces. Mais jamais l’austère beauté des images n’y masque la violence du réel : elle ne fait au contraire que s’en saisir avec une redoutable subtilité.
Horaires : du mardi au samedi de 11h à 19h et sur rendez-vous.
Du 8 septembre au 8 octobre 2011, la Galerie Lelong expose les œuvres de l’artiste d’origine cubaine Ana Mendieta.
Lorsqu’elle meurt à New York en 1985, cette jeune femme n’est connue que d’un cercle restreint. Son œuvre radicale n’a été exposée que de façon relativement confidentielle depuis 1976, et c’est l’exposition du New Museum of Contemporany Art, en 1987 à New York, qui commence à mettre en lumière la force de ce travail.
Multipliant les techniques d’expression (dessins, sculptures, vidéos, photographies, installations), l’œuvre de Mendieta explore sans concession les relations du corps et de la nature, les légendes américaines ancestrales et les éléments (eau, air, terre, feu), croisant ce qu’on a pu appeler body-art et land-art.
Depuis 1991, la Galerie Lelong de New York, représente en exclusivité la succession de l’artiste, a mené un important travail de recherche et d’expositions qui a conduit à des publications rétrospectives muséales faisant qu’aujourd’hui Ana Mendieta est universellement reconnue comme une créatrice majeure dont l’œuvre ne cesse de féconder l’imaginaire de nouvelles générations d’artistes.
Horaires : du mardi au vendredi de 10h30 à 18h. Le samedi de 14h à 18h30.
Le talk-show de France 2 On n’est pas couché a fait sa rentrée samedi soir avec, comme principal changement, de nouveaux chroniqueurs, ou plutôt, chroniqueuses.
Exit Naulleau et Zemmour. Place à Audrey Pulvar et Nathacha Polony ! Le fameux duo a été remplacé par ces 2 journalistes s’étant déjà illustrées auparavant dans l’exercice de l’argumentation lors de différents débats. Malgré l’excellent taux d’audience enregistré samedi soir, les téléspectateurs ont manifesté leur mécontentement quant à l’absence des deux Eric, dont le ton incisif et la véhémence de leurs critiques leur assuraient un public fidèle au rendez-vous du samedi soir. Les 2 remplaçantes ont été jugées plus « fades » et moins populistes, bien qu’elles aient fait preuve d’efficacité lors de la confrontation avec Martine Aubry. D’autre part, le fait qu’Audrey Pulvar soit la compagne d’Arnaud Montebourg, candidat à la primaire du Parti Socialiste, ne joue pas en sa faveur pour ce qui est des débats à tendance politique. Elle assure néanmoins exercer son métier de journaliste indépendamment de toute considération politique venant de son compagnon.
C’est donc une formule beaucoup plus féminine que nous propose Laurent Ruquier, qui, selon les rumeurs, auraient subi des pressions concernant l’éviction des 2 anciens chroniqueurs, mais que lui-même réfute. Ce remaniement ne change pas le fond de l’émission qui reste un talk-show où célébrités, et anonymes, viennent faire la promo de leur dernier disque, livre, film… Espérons maintenant que le nouveau tandem saura prendre rapidement ses marques pour ne pas nous faire regretter Naulleau et Zemmour !
Du 8 septembre au 29 octobre, Gérard Garouste présente à la galerie Templon un nouvel ensemble d’œuvres inspirées par le célèbre Faust de Goethe.
Depuis longtemps concerné par l’empreinte du christianisme sur notre culture, Gérard Garouste a choisi d’explorer le mythe de Faust tel que Goethe le présente en 1808, celui d’un homme qui dispute son destin au Diable et à Dieu.
Huiles sur toile, gouaches et bronzes interrogent les grands thèmes de la tragédie : la quête de la connaissance, le désir de jouissance, la nature du Mal, la question du « pari » et du « pacte » avec les puissances maléfiques et alchimiques, l’accomplissement individuel.
La peinture baroque de Gérard Garouste, tour à tour inquiétante et joyeuse, se peuple de variations sur les différents protagonistes — Faust, Méphistophélès, Marguerite, les sorcières — et d’un bestiaire fantastique — singes et guenon, bouc émissaire, cochon destrier. Comme dans ses expositions précédentes, le peintre emprunte le visage de proches pour incarner les différents personnages. L’exposition offre également une place de choix à la pratique sculpturale de Gérard Garouste, qui a repris le chemin des ateliers de fonderie délaissés depuis les années 1990.
Du 8 septembre au 23 octobre l’Institut Néerlandais présente une grande monographie consacrée à l’artiste néerlandais Luuk Wilmering.
L’exposition intitulée Une Histoire Naturelle — titre inspiré par les fréquentes visites de Wilmering au Museum national d’Histoire naturelle durant son séjour à Paris — propose un panorama des œuvres que Luuk Wilmering a réalisées ces douze dernières années.
Installations, collages, photographies, dessins, peintures, mais aussi livres d’artistes. Luuk Wilmering étudie sans répit, et non sans humour, son identité personnelle et sa propre position en tant qu’homme et artiste. L’effet miroir entre l’artiste et son public constitue un élément important dans l’œuvre de Wilmering.
Vernissage Mercredi 7 septembre, 18h / 20h30
Institut Néerlandais
Centre culturel des Pays-Bas
121, rue de Lille, 75007 Paris
téléphone: + 33 1 53 59 12 40
télécopie: + 33 1 45 56 00 77
e-mail: info@institutneerlandais.com
Le nouvel épisode de Destination Finale, produit par Steven Quale, est en salle depuis hier.
Dans ce cinquième épisode, la Mort est toujours aussi omniprésente et se déchaîne après qu’un homme soit victime d’une terrible prémonition, laquelle permet de sauver ses collègues de l’effondrement d’un pont suspendu. Ce groupe d’âmes innocentes n’était pas supposé survivre, et, dans une course terrifiante contre le temps, ces malheureux tentent frénétiquement de trouver le moyen d’échapper au sinistre agenda de la Mort.
Comment vous l’aurez compris, Destination Finale 5 ressemble aux épisodes précédents : un groupe de personnes échappent à la mort grâce à la prémonition de l’un d’entre eux, et cette dernière va s’acharner à rectifier la situation. Seule nouveauté, les survivants peuvent prendre la vie de quelqu’un d’autre pour échapper une deuxième fois à la mort. Autrement dit, l’intrigue du film, tout aussi sadique que les autres, est assez simple : comment les survivants vont-ils mourir ?
Cette accumulation de blagues macabres émet l’hypothèse que la mort est une forme d’entité qui choisit de frapper qui, quand et où elle veut, et que personne ne peut y échapper. La mort serait alors l’ennemi de la vie, au lieu de faire partie de la vie. C’est une manière bien sceptique et cruel de voir l’existence…
La 3D et les effets spéciaux sont malgré tout de bonne qualité; les meurtres surprenants et gores. Catharsis garantie !
Ce que cache le « made in China »
Film courageusement réalisé par Macha X.Peled
Film clandestin il nous montre en 77 minutes l’envers du décor de la fabrication de nos chers Jean’s.
C’est à travers le portrait de Jasmine, jeune ouvrière Chinoise qui a quitté sa campagne dans l’espoir d’une vie meilleure , que nous découvrons , stupéfaits sa vie quotidienne : .
Ses conditions d e travail : entre 10 et 15 heures de travail journalier dans de mauvaises conditions , certain jours en milieu de journée sur s’affiche sur le tableau central face à toutes les ouvrières le nom de celles qui devront continuer à travailler toute le nuit pour un salaire de misère. Pas de syndicat , pas d’heures supplémentaires.
Il lui faut être reconnaissante d’avoir cet emploi car des milliers de filles comme elles , attendent au portillon.
Ses conditions de logement : une pièce minuscule pour 6 à 8 filles moyenne d ‘âge 14 ans , sans salle de bains juste des toilettes où elles se retrouvent fatiguées , toujours plus fatiguées et où elle tentent de vivre comme des filles de leur âge en parlant maquillage , coquetterie
Pas de loisirs ou de contacts permettant de comparer les différents statuts, et patrons ;interdiction d’aller en ville sous peine d’amendes -montant prélevé sur le maigre salaire, punition affichée publiquement sur un tableau pour dissuader de recommencer .
Mêmes si coté patron nous comprenons qua c’est la pression économique des grandes entreprises qui amène à cela ;
Comment accepter cet esclavage moderne pour de plus grands profits ?
Clou de ce documentaire exceptionnel , c’est lorsque le patron lui explique qu’elle na sera pas payée de son premier mois de salaire (quelle attends avec ferveur) de crainte qu’elle ne parte ; elle le récupérera à la fin lui promets t il ; jamais lui confirme ses sœurs de malheur.
Et puis Jasmine , seule, toujours fatiguée et si triste trouve encore en elle la force de faire croire à ses parents que tout va bien et qu’elle est heureuse de sa nouvelle vie .
En raccrochant elle fond en larmes … c’est juste une enfant
Le but on l’aura compris est de faire fabriquer de plus en plus bon marché par une main d’oeuvre heureuse, malgré tout d’accéder – croit elle – à une vie meilleure .
Ces méthodes inhumaines sont cautionnées par les commanditaires , fiers de voir exploser leurs bénéfices et de plus en plus exigeants
L’essor fulgurant de la Chine est indéniable mais à quel prix ?
Après voir vu de documentaire, menacé à plusieurs reprises (vidéos confisquées de ne jamais voir le jour , vous n’achèterez plus jamais vos jeans de la même manière.
Made in China, pour savoir comment sont réellement fabriqués les produits marqués de ce sigle .
Ce film a fait partie de la « Sélection officielle du festival du film de Toronto »
Et a reçu le « Prix des droits de l’homme au festival international du documentaire d’Amsterdam »
Aux Editions du Montparnasse
Fabienne Prevot
L’Aghanistan en son coeur
C’est ainsi que Christophe de Ponfilly, grand reporter, auteur, réalisateur, qui recevra le prix Albert Londres en 1985 pour « Les combattants de l’insolence » sur La lutte des « Moujahidin » nomme son histoire. Fabuleux destin qui durant plus de 16 ans le verras suivre un autre fabuleux destin celui du commandant Massoud, depuis sa lutte contre le règime soviétique, puis contre les talibans jusqu’à son assassinat par EL QAEDA le 9 septembre 2001.
Ce jour là , c’est le symbole de la résistance Afghanne qua l’on tue donnât ainsi le feu vert aux attentats qui allaient 2 jours plus tard frapper les Etats Unis .
Christophe de Ponfilly, s’est efforçé, avec une obstination têtue, à travers ses livres et ses films, de sensibiliser l’opinion occidentale au drame afghan. Il avait noué des liens d’amitié avec Ahmed Chah Massoud, chef de la résistance afghane au régime des talibans, qu’il a suivi tout au long de son combat.
Cette collection est scindée en 2 DVD
Le premier « naissance d’une mythe « nous fait découvrir Massoud alors jeune chef de lutte contre les soviétique venus envahir pour soumettre son pays.
Puis Massoud l’Afghan » où commandant en lutte contre des talibans nombreux ,structurés , professionnels il tente de former et d’organiser son armée .
On a d’abord l’impression d’une lutte du pot de terre contre le pot de fer ,mais c’est la détermination et l’intelligence stratège de Massoud qui au final fait de ses soldats de vrais combattants, rééquilibrant un peu plus le combat.
D’abord simple on sent cet homme fatigué, mais aussi inspiré , prompt au combat et dont la lutte sera arrêtée en plein élan par une mort horrible
Ces colonels se souviendront , avec fierté et respect, d’avoir participés à un moment d’Histoire au service d’un homme qui incarnait la liberté, la foi et son pays : abrupt , magnifique , courageux .
Massoud concentré avant le combat , à l’écoute des ses colonels (pour la plupart tués au combat) Massoud accroché à son téléphone satellite même au plus profond des gorges de ce magnifique mais ardu pays .
Nous découvrons combien la communication s’avère difficile dans un pays aussi escarpé, au climat ardu , entre des hommes plus ruraux que soldats, pourtant prêts à tout pour leur pays et leur chef. .
« le dessous des cartes » nous explique ce que fut l’Afghanistan, ce qui aujourd’hui le mine et où risque de le mener de tels conflits toujours en cours.
Le deuxième DVD « l’homme que l’occident n’a pas voulu écouter » présent en deux sujets l’engagement de milliers de Français qui ont traversé , à pied ou à cheval, les frontières pour soutenir des populations oubliées.
« Massoud ou la délégation du désespoir » montre le voyage de parlementaires européens en juin 2000.
Ce qui ressort de cette collection c’est la rencontre , improbable entre deux hommes que rien ne prédestinait à se rencontrer :
Massoud , un homme déterminé , qui à donné sa vie pour la liberté de son pays ;rarement chez lui sa femme et ses fils sont fiers de cet homme exceptionnel et accepte avec une crainte permanente son engagement.
Christophe de Ponfilly, ne ressortiras pas indemne de cette aventure car elle lui aura fait perdre beaucoup d’illusions sur les politiques qui mènent le monde, trop souvent prêts sacrifier des vies humaines, si facilement et si injustement.
L’un des rares à avoir su concilier journalisme et humanisme, il disait qu’une « caméra est une meilleure arme que le kalachnikov ».
Il choisira de mettre fin à ses jours en 2006. Christophe dit que sa vie a été bouleversée depuis l’assassinat de Massoud et qu’il ne peut supporter un monde sans lui.
Ces films témoigneront à jamais de son amour pour la liberté et l’authenticité .Lui aussi aura été jusqu’au bout de son engagement. Comme Massoud l’Afghan.
DVD disponible aux éditions du Montparnasse
Prix de vente indicatif :18 €
Sortie le 6 septembre 2011
Fabienne Prevot
10 films qui nous prouvent que l’on peut changer le monde si l’on réfléchit autrement et que la solution n’est jamais très loin.
Où l’on découvre que :
– « imiter c’est innover » sur le bio mimétisme, les progrès scientifiques et technologiques ont aussi générés des conséquences environnementales et sociales sans précédent .et si l’on s’inspirait des écosystèmes et du fonctionnement des êtres vivants ?
– « capitalisme et philanthropie ,impossible mariage ? », ou comment une entreprise peut être socialement responsable, rentable et respecter l’environnement. N’est il pas temps de replacer l’homme au centre de l’économie ?
– « l’économie du goût » ou la révolution agricole qui, avec l’intensification des cultures nous améne aujourd’hui l’ épuisement des sols, la pollution des nappes phréatiques et l’uniformisation des produits alimentaires. N’est il pas temps aujourd’hui de revenir à des processus plus respectueux car plu naturels ?
– « Rien ne se perd, tout se transforme »le flot d’image du gigantisme mondial ne nous permet pas d’être optimistes.Il y existe plus de produits de consommation que d’espèces vivantes dans la nature Cela génère beaucoup de gaspillage et de déchet .Le recyclage est devenu une nécessité sociale et économique peut on encore changer les choses ? ici la preuve par trois au Chili , au Japon et au Bangladesh
Coffret de 3 DVD c’est une série de 10 films présentés par l’Unesco et diffusé sur Ushuaia TV et TV5 monde
Collection de documentaires engagés » Doc citoyens »
Sortie aux éditions du Montparnasse le 6 septembre 2011
Fabienne Prevot
A Bogota, une jeune fille assiste impuissante au meurtre de ses parents. Quelques années et centimètres plus tard, elle revient avec une petite idée : faire tomber des têtes, au sens propre.
Film d’action cliché entre Léon et Nikita avec une fin sans surprise, ce long-métrage réalisé et produit par des frenchies a au moins le mérite de nous confirmer le talent de l’actrice Zoé Saldana, découverte dans Avatar.
Rencontre à Cannes avec la belle tête d’affiche.
Tu passes quelques jours à Cannes pour la promotion du film… Comment te sens-tu ?
C’est particulier ! (Rires) Là je suis très bien habillé mais habituellement je suis plutôt en jean et tee-shirt, c’est de cette façon que je me sens à l’aise… C’est amusant.
Comment es-tu arrivé sur le projet « Colombiana » ?
L’année dernière on m’a annoncé que Luc Besson était dans ma ville (Los Angeles) et qu’il souhaitait y rencontrer quelques personnes. J’y suis allé… Pour moi c’était extraordinaire, j’avais tellement de respect pour son travail et pour les rôles qu’il a créé ! Il m’a donné le scénario de Colombiana et je l’ai trouvé vraiment différent de ce que j’avais pu lire jusqu’alors. Le personnage principal a continuellement cette idée de vengeance en tête, elle vit avec cela… Ca se rapprochait également du type de personnage que je souhaitais interpréter après Avatar.
Justement, après Avatar, avais-tu peur de ne pas être pleinement reconnue ou appréciée ?
Je pense que c’était le rôle parfait pour moi. J’ai pu faire la preuve de mon vrai travail car les caméras de James Cameron étaient constamment axées sur mon visage afin de retraduire exactement mes expression faciales sur ordinateur. Je ne suis pas devenu actrice pour que les gens reconnaissent mon visage mais pour que les gens reconnaissent mon travail. Le résultat d’Avatar fut époustouflant !
Que s’est-il passé ensuite ?
Les réalisateurs ont vu que je pouvais être capable de jouer différents types de rôles. J’ai ainsi fais une comédie, puis un thriller, cet été je tourne deux films indépendants… J’essaie d’être le plus éclectique possible dans mes choix de films pour ne pas être enfermée dans une catégorie de rôle. Si le scénario est formidable et si mon rôle est enrichissant, je vais tout faire pour l’avoir, même si c’est un petit film.
Peut importe le salaire ?
Il ne faut pas que le salaire soit considéré comme une priorité. L’argent est important uniquement pour les besoins primordiaux… Une fois que ceux-ci sont assouvis, nous devons faire en sorte de faire ce qui nous plait. J’essaye de ne pas vraiment tenir compte de l’argent dans mes choix de scénario.
Et concernant la morale ? Celle de ton personnage dans Colombiana (tueuse en série) diffère énormément de celle d’Avatar (qui sauve des vies et la nature). En quoi la morale d’un film t’influence-t-il dans ton choix? Je pense que cela dépend du sujet, de l’histoire… Il est vrai que de temps en temps je reçois des scénarios avec des sujets assez sensibles avec lesquels je n’ai pas forcément envie de m’associer. Mais globalement, je ne réfléchis pas trop à la morale… En tant qu’artiste, j’essaie plutôt de suivre mon cœur (rires).
Film d’action franco-américain d’Olivier Megaton,
avec Zoe Saldana, Michael Vartan, Max Martini
Déjà en salles
La presse anglaise semble trés amusée par une nouvelle amitié entre notre première dame et le chanteur destroy Pete Doherty . Ils se seraient trouvés … enfin sur le point poétique et musicale, il semblerait qu’ils soient en total alchimie sur ce point là. Ils envisageraient même d’enregistrer un disque ensemble, «Ils parlent de travailler ensemble sur des projets musicaux», indique le Sunday Miror. Carla Bruni aurait contacté le chanteur à sa sortie de prison … La communication Sarkozy ne voit pas cette nouvelle relation d’un trés bon oeil … Que donnerait un diner entre Pete doherty, Carla Bruni et Nico ?
Cette année a lieu la 10ième édition des « Nuits Secrètes » : trois nuits de moments forts, surprenants, captivants, inattendus, singuliers, étranges, émouvants, et où le public vit une aventure singulière en partageant des moments unique grâce à une programmation exigeante et variée.
Trois nuits où le public, accueilli dans les meilleures conditions, prend le temps de savourer une affiche exceptionnelle pour un prix réduit. 57000 passionnés ont déjà partagé ces aventures artistiques, cette atmosphère si particulière, secrète en 2010… Rendez vous avec 70 artistes et de nouveaux secrets 2011 !
Que ce soit face à la Grande scène (entrée libre) ou à travers des aventures originales et surprenantes comme les parcours secrets (6 euros) ou la stéréo car-parade (gratuit), venez applaudir de grands artistes tels que Katherine, Bernard Lavilliers, Dave Clarke, Neneh Chery…
LES PARCOURS SECRETS, MODE D’EMPLOI Les 5, 6 et 7 août prochain, rendez vous devant l’entrée du JARDIN et sautez dans un bus ! Pour aller voir quoi ? Et où ?… ça personne ne le sait jamais avant d’arriver à destination : Les Parcours Secrets sont une invitation au voyage et à la curiosité. Le déplacement n’est pas que physique, vous serez aussi transportés vers des univers artistiques étonnants et inédits.
LES NUITS SECRETES Aulnoye-Aymeries / Nord 5, 6 & 7 août
Avec Anna Paquin, Stephen Moyer, Sam Trammell, Ryan Kwanten…
A la fin de la saison 2, Bill se faisait enlever après avoir demandé la main de Sookie… La recherche commence.
L’anti-Twilight (une humaine amoureuse d’un vampire, mais ici, le sang gicle, les vampires ne brillent pas au soleil et le sexe n’est pas réservé à après le mariage) revient pour une saison 3 encore meilleure qui introduit enfin les loups-garous. Indispensable !
Box 5DVD/5BR Warner. VOST/VF 5.1 (DTS pour BR), 16/9. Bonus : docs., webisodes, c. audios, clip (+ docs., entretiens… pour BR).
Le + Campus : Tombés amoureux à l’écran comme dans la vie, Anna Paquin et Stephen Moyer sont désormais mariés.
Série Horreur
USA
De Franck Darabont
Avec Andrew Lincoln, Sara Wayne Callis, Jon Bern Thal…
Lorsque l’officier de police Rick Grimes se réveille d’un coma, c’est pour trouver un monde apocalyptique submergé par les zombies. Avec un groupe de survivants ils tentent de survivre dans un monde qui ne leur appartient plus.
Adaptation très réussie du comics culte, TWD est un véritable récit horrifique et gore, aux personnages complexes et attachants, le tout créé sous la houlette de Franck Darabont, réalisateur de trois des meilleurs adaptations de Stephen King (Les Evadés, The Mist, La ligne verte). Vivement la suite.
Avec Hugh Laurie, Lisa Edelstein, Robert Sean Leonard, Omar Epps…
La saison de tous les changements pour le médecin misanthrope et arrogant.
Il la débute interné en hôpital psychiatrique et ayant perdu sa licence d’exercer, et il la termine par un cliffhanger qui fera frémir tous les fans de la série. Entre les deux, des cas toujours plus étranges et complexes, pour notre plus grand plaisir. Enfin, cette saison officialise, le départ du Dr. Cameron (Jennifer Morrison), même si son nom ne disparaît pas du générique avant la saison suivante.
Box 6DVD & 6BR, Universal. VOST/VF 5.1, 16/9. Bonus : c. audios, nombreux docs., 2 pilotes de séries Universal (Parenthood et Royale Pains).
Comédie / SF
USA / GB
De Greg Mottola
Avec Simon Pegg, Nick Frost, Jason Bateman, Kristen Wiig, Sigourney Weaver…
Deux geek Anglais, parcourant les endroits « ufologiques » des USA se retrouvent avec un Alien fêtard, gouailleur et obsédé comme compagnon de route, « invité » de l’armée US depuis 60 ans.
L’équipe de Shaun of the Dead et Hot Fuzz, et le réal. de Supergrave nous livrent une comédie fantastique hilarante et spectaculaire, remplie de réferences pour les fans de SF, aux effets spéciaux très réussis (on ne doute pas un instant de l’existence de Paul) avec la voix de Philippe Maneuvre en VF , seul réel point noire du film (il n’est définitivement pas un bon doubleur, mais ce n’est pas son métier non-plus), en lieu et place de Seth Rogen (héros de Green Hornet) en VO.
On regrettera seulement que cette édition ne nous offre pas la version longue (+ 10’) disponible sur l’édition US.
Le plus Campus : c’est réellement Steven Spielberg qui fait une apparition vocale dans le film.
Drame fantastique américain de Darren Aronofsky, avec Natalie Portman, Mila Knis, Vincent Cassel…
L’univers de la danse est impitoyable. Aussi, lorsque Nina devient la prétendante du rôle principal du Lac des cygnes, les jalousies et les passions se déchaînent autour d’elle. Mais peut être bien en elle-même, aussi.
Film troublant où le spectateur est plongé dans les délires psychotiques d’une danseuse étoile. Malgré sa beauté, le film n’atteint malheureusement pas les sommets espérés.
Oscar de la Meilleure actrice pour Natalie Portman.
Bonus : Les coulisses ; Natalie Portman et Darren Aronofsky ; Préparation au rôle ; Danser face à la caméra ; Les costumes ; Ballet. [dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xewf9d_black-swan-official-trailer-vost-hd_shortfilms[/dailymotion]
Rarement la critique est aussi unanime. Tout le monde salue la qualité de la distribution et la mise en scène d’Alain Françon.
Fin de partie de Samuel Beckett est l’histoire inintéressante de quatre personnages qui s’ennuient à mourir dans une maison perdue Dieu sait où. Hamm est une espèce de poète-tyran, aveugle et paraplégique. Il exploite son valet Clov, qui hésite à fuir mais ne part jamais. Les parents de Hamm quant à eux habitent les poubelles de la maison et apparaissent de temps à autre avant de mourir mystérieusement.
Beckett, avec d’autres, a participé au chamboulement des conventions du théâtre (au sens de drame). Ici il n’y a pas de progression dans l’intrigue, tout est joué d’avance. Il n’y a pas vraiment de surprises et les rares accidents sont anecdotiques. « Il y a un tas de mots mais il n’y a pas de drame » écrivait Beckett à propos de sa pièce. Si vous ne connaissez pas Beckett c’est l’occasion de découvrir sa façon si singulière de concevoir le théâtre.
Les amateurs de Beckett ont tout autant intérêt à aller voir la pièce qui est un petit bijou. Françon extrait du texte une farce terrible, noire et drôle. Comme chez Ionesco, avec le personnage final de sa pièce Leschaises qui est incapable de s’exprimer ; chez Beckett il y a cette joute verbale inutile et sans conséquences. Et pourtant si Fin de partie n’est pas une histoire au sens courant du terme, cette petite comédie humaine ne laisse pas indifférent.
Quoiqu’il en soit je ne peux que vous recommander de courir au théâtre de la Madeleine. Vous avez jusqu’au 17 juillet 2011.
FIN DE PARTIE
de Samuel Beckett
avec Jean-Quentin Châtelain, Serge Merlin
Michel Robin, Isabelle Sadoyan
Mise en scène Alain Françon
Décor et Costumes Jacques Gabel, Lumières Joël Hourbeigt
Représentations : 21h du mardi au samedi, 16h le dimanche
Prix des places : de 15 € à 36 €, et 10 € (- de 26 ans sur toutes les représentations)
Venir au Théâtre : Métro Madeleine (L 8/12/14), Bus 32-42-45-94-24, Parking Madeleine.
Du Samedi 25 juin au Vendredi 01 juillet.
Comme chaque années, à la même époque, La Fête du Cinéma revient pour le plaisir des yeux… Et du portefeuille !
Le concept a évolué au fil des ans, mais le principe reste le même.
Cette fois-ci, c’est du samedi 25 juin au vendredi 01 juillet que cela se passe. Pour une première place achetée au tarif normal, un passeport vous sera remis vous permettant d’accéder aux places suivantes pour seulement 3 € durant toute la durée de l’opération, dans toutes les salles participantes, dans toute la France.
Inspiré des « Minstrel shows » nés au 19e siècle et qui exposait sur scène, l’archétype du Noir tel que le voyaient les Blancs, ce cabaret déboulonne les préjugés racistes. BLACK’N’BLUES s’amuse à parodier des shows très populaires, issus de la culture afro-américaine : du blues jusqu’au hip-hop !
Entre parades, sketchs, chants et danses, les quatre chanteuses, danseuses et actrices n’épargnent personne.
Une pièce résolument actuelle !
LE PHÉNOMÈNE INTERCELTIQUE, 40 ANS DE MILITANTISME FESTIF
Le Festival Interceltique de Lorient est né de la volonté de contribuer au développement de la musique et de la culture bretonne et aussi de s’ouvrir vers les nations d’implantation celte dans les îles britanniques (Écosse, Pays de Galles, Cornouailles, Île de Man, Irlande) et du nord de l’Espagne (Galice et Asturies). Au fil des années, le Festival a noué de solides échanges culturels avec toutes ces délégations de traditions celtiques et c’est ainsi qu’est né le concept de « l’interceltisme ».
Un phénomène unique qui rassemble plus de 800 000 festivaliers et 4500 artistes venus des quatre coins du monde ; le Festival est aujourd’hui au centre de la planète celtique. A la fois vitrine, moteur et créateur, l’Interceltique transcende les continents avec une culture qui a basculé dans la modernité sans perdre son âme. Une aventure militante, festive et réfléchie portée par des centaines de bénévoles et de passionnés.
En 40 ans, le Festival n’a eu de cesse de s’ouvrir et de franchir toujours plus de frontières. Ainsi à côté des grandes nations celtes, 2011 célèbre les diasporas et tous les accents de la celtitude.
La grande nouveauté de l’édition 2011 représentée par le Dôme des Diasporas, sera située sur la place de l’Hôtel de Ville. Un pavillon en forme d’hémisphère qui évoque la planète celtique et les migrations depuis le promontoire atlantique européen vers tous les continents et la diversité des reformulations de leur culture d’origine.
Cette imposante structure amovible est dessinée, adaptée et conçue spécialement pour le Festival Interceltique de Lorient. Elle accueillera des expositions, matérielles et virtuelles, des diaporamas, des projections de films et documentaires, une scène pour les animations musicales, des connexions télévisuelles et radio internationales et un espace restauration.
Ouvert pendant la journée, de 14h30 à 21h30, ce dôme est destiné à être l’un des points de rencontres incontournables pour ceux qui souhaitent découvrir la palette des couleurs celtes du monde, se laisser emporter et séduire par tous les Accents de la Celtitude.
Le Festival International des Cinémas Numériques revient dans divers lieux de la capital et d’Île-de-France, avec une programmation de courts et longs métrages du monde entier.
Ouvert au public, le festival est, de surcroît, gratuit.
Enfin, les projections sont ponctuées de rencontres-débats, avec les équipes des films et diverses personnalités du cinéma, ainsi que de soirées (dont certaines avec concert).
On attendait une annonce officielle sur le pourquoi du comment des nouvelles sessions d’enregistrement de Metallica, c’est fait : le groupe de metal américain a confirmé sur son site avoir bouclé un projet qui ne sera pas à 100% du Metallica, puisqu’il a été fait en collaboration avec Lou Reed. Aucune date de sortie n’est pour l’instant fixée.
« Un projet pas vraiment à 100% Metallica », c’était la petite indiscrétion livrée par le guitariste Kirk Hammett en début d’année. « Kirk avait alors parlé un peu trop vite et a été puni à faire une série de pompes », ironise le groupe dans un message publié sur son site internet – accompagné de quelques photos des sessions. Avant de dévoiler LA grosse info : « Nous sommes plus que fiers d’annoncer que nous venons de compléter l’enregistrement d’un album complet en collaboration avec le légendaire Lou Reed. » Lou Reed n’est autre que le chanteur, guitariste et principal compositeur du groupe mythique The Velvet Underground entre 1965 et 1970, qui mène depuis une carrière solo.
Une collaboration inédite ? Pas vraiment, puisque les deux parties ont déjà eu l’occasion de collaborer à l’occasion des 25 ans du Panthéon du Rock en 2009 (voir vidéo la fin de cet article). Les membres de Metallica, James Hetfield, Lars Ulrich, Kirk Hammett et Robert Trujillo, avouent que « depuis que nous avons eu le plaisir de nous produire avec Lou au 25e anniversaire du Rock and Roll Hall of Fame au Madison Square Garden en octobre 2009, nous réfléchissons à l’idée de faire un album ensemble. »
C’est donc désormais chose faite pour l’un des quatre membres du « Big Four of Thrash », les quatre plus importants groupes de thrash metal, qui a « enregistré 10 morceaux » avec Lou Reed. « Même si nous ne savons pas encore quand vous pourrez les entendre, poursuit Metallica, nous sommes plus qu’excités de vous dire que les sessions d’enregistrement se sont terminées la semaine dernière. » Interviewés par Rolling Stone, les membres de Metallica estiment que l’album est complété à « 90%.» Aucun titre, aucune date de sortie, dommage, on attendra.
Pour avoir une idée de ce que pourrait donner cet album, regardez la vidéo du 25e anniversaire du Panthéon du Rock :
« Le chat du rabbin » sort aujourd’hui dans les salles. Ce dessin animé tiré des bandes dessinées de Joan Sfar traite d’un sujet bien sensible : la religion.
Quelle est l’histoire ? Celle d’un chat vivant avec un rabbin, Sfar, à Alger au début du siècle dernier. Un jour l’animal avale le perroquet de la famille et se met à parler. Lorsqu’il remet les convictions religieuses de son maitre en doute, ce dernier veut s’en débarrasser. Cependant le chat aime trop Zlabya, sa maitresse, pour la quitter. Le rabbin se met alors en tête de lui apprendre les préceptes de la religion juive, cela les amène à de grands débats. « C’est ridicule ! Avec du carbone 14, on peut prouver scientifiquement que le monde existe depuis des milliards d’années », s’exclame le félin lorsque son maitre lui dit que la terre existe depuis « 5700 ans et des poussières ». Les deux héros rencontrent un peintre russe qui cherche une Jérusalem où vivraient des juifs noirs. Ils décident alors de partir à la recherche de la ville et traversent l’Afrique avec des compagnons inattendus.
Ce film est destiné aux familles. Même si certaines discussions semblent difficiles à comprendre, Joan Sfar veut également toucher les enfants car ils « parlent de religion tout le temps, à partir du moment où ils découvrent qu’on va mourir ils s’intérrogent sur Dieu » affirmait le réalisateur ce matin sur France Info. Au-delà du rire qu’il déclenche, le dessin animé donne un véritable message de tolérance.
Nana, dès qu’on y a touché, on ne peut plus s’en passer. Par chance, les publications sont déjà nombreuses : pas moins de 21 volumes sont déjà parus, et le prochain est en cours de publication. On a hâte !
L’histoire est simple : la vie quotidienne d’une héroïne des plus banales qui croise le chemin d’une personnalité fascinante, qui l’attire dans son univers d’artiste en pleine gloire.
Une série de qualité à conseiller à tous les lectrices amatrices de japonades !
Devinez qui a remporté le prix d’interprétation masculine du Festival de Cannes 2011. Non, ce n’est pas Brad Pitt, ni Sean Penn. Si je vous dit Un gars, une fille, Brice de Nice ou OSS 117, vous voyez de qui je parle ? Il s’agit évidemment de Jean Dujardin. Mais le film qui lui a permis de décrocher le prix est audacieux : un film en noir et blanc, et surtout, muet.
Que de chemin parcouru pour Jean Dujardin depuis la série comique Un gars, une fille ! L’un des acteurs français les mieux payés a décroché hier soir le précieux prix du meilleur acteur, durant la dernière journée du Festival de Cannes 2011. C’est d’autant plus remarquable que le film qu’il présentait, The Artist, est un film en noir et blanc et muet. Un pari gagnant qui a conquit les membres du jury, et un beau pied-de-nez à l’industrie cinématographique à l’heure où les longs-métrages deviennent des superproductions 3D.
Dans The Artist, Jean Dujardin incarne George Valentin, un acteur célèbre de films muets. Mais avec l’arrivée du cinéma parlant en 1927, l’acteur d’Hollywood va tomber dans l’oubli. Il va alors rencontrer Peppy Miller (interprétée par Bérénice Béjo, qui partageait l’affiche d’OSS 117 : Le Caire, nid d’espions), une jeune figurante qui va peu à peu devenir une star de ce nouveau cinéma parlant. Les deux comédiens vont vivre une histoire d’amour tumultueuse.
Blagueur, Jean Dujardin a glissé à la fin de son discours de remerciement : « Maintenant, je ne vais plus rien dire, puisque ça a l’air de me réussir. » Pourtant, ça n’était pas gagné d’avance pour « Loulou ». Dans une interview accordé à Premiere.fr, l’acteur concède avoir « quand même eu peur à un moment. J’ai appelé Michel [Michel Hazanavicius, réalisateur de The Artist] un matin en lui avouant que j’avais des doutes. […]On s’est vraiment demandé jusqu’au bout si on allait pouvoir faire le film qui, en plus, n’est pas une comédie mais une pure histoire d’amour. »
Toujours au cours de l’entrevue, l’interprète de Brice de Nice regrette qu’on lui « demande souvent « mais c’est muet-muet ? Il n’y a vraiment pas un mot ? » Comme si les gens avaient peur de voir un film sans parole. En gros, ce que la question sous entend, c’est « mais on va se faire chier, non ? ». On oublie que le cinéma est d’abord un métier d’image. » Bien dit, Jean.
Grand prix du jury: Il était une fois en Anatolie de Nuri Bilge Ceylan et Le Gamin au vélo des frères Dardenne
Prix du meilleur acteur : Jean Dujardin pour The Artist
Prix de la meilleure actrice : Kirsten Dunst pour Melancholia
Prix de la meilleure mise en scène : Nicolas Winding Refn pour Drive
Prix du scénario : Joseph Cedar pour Footnote
Prix du jury : Polisse de Maïwenn Le Besco
Palme d’Or du court métrage : Cross Country de Maryna Vroda
Prix du jury du court métrage : Maillot de Bain 46 de Wannes Destoop
Caméra d’or : Las Acacias de Pablio Giorgelli
Palme d’honneur : Bernardo Bertolucci et Jean-Paul Belmondo
Les Roues de l’infortune« de la chute à la lutte » d’Yves Veuillet, un homme sensible et décidé qui nous parle de son parcours unique avec un ton inhabituel pour un sujet grave : sincère et plein d’humour.
Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre tant d’années après votre accident?
Yves Veuillet : en mars 2009 j’intervenais lors d’un meeting sur la diversité intergénérationnelle en expliquant ma stratégie sur le sujet chez IBM [Yves Veuillet est directeur diversité Europe chez IBM, ndlr]. Lors du cocktail qui a suivi ce colloque, j’ai discuté avec la directrice d’un cabinet de bien-être en entreprise, et nous avons parlé de nos parcours respectifs. Elle m’a dit que le mien était très atypique, un exemple, et mériterait d‘avoir plus de visibilité. Je n’y avais jamais pensé en ces termes, mais de retour chez moi je me suis mis devant mon clavier et l’inspiration est venue. J’ai fait des études littéraires, je n’ai donc aucune difficulté avec l’écriture.
Quelles ont été les réactions de vos proches, de vos collègues, de vos amis à sa lecture?
YV : D’abord il y a deux sortes de personnes : celles qui m’ont connu valide et celles qui m’ont toujours connu en fauteuil roulant. Le livre a mis à l’aise les premiers et a répondu à certaines questions qu’ils n’osaient pas me poser. Il existe un modèle de communication entre valides qui là, a changé, mais pas la parole, toujours un bon médium. Pour les seconds, il été moins surpris et m’ont dit que me lire avait été comme de m’entendre parler chaque jour. Certains ont découvert des détails de l’accident ou de mon parcours professionnel, mais pas plus. Grâce à ce livre, ma maman a compris mon point de vue et pourquoi, parfois, j’étais agressif avec elle. Elle a rempli son rôle de mère, qui comprend instinctivement les choses, présente et discrète à la fois et qui cache ses angoisses. Mais je sais que par moment c’était très dur.
Quel impact a eu l’écriture puis la lecture du livre sur vous ?
YV : En fait j’étais assez détaché, c’était comme si je racontais l’histoire de quelqu’un d’autre. Le but ultime c’était d’expliquer que malgré les accidents de la vie il y a toujours un moyen de rebondir. Je suis resté pudique, je n’ai pas du tout écrit avec pathos et je n’ai pas parlé des choses très dures. Cela devait être un récit pour tous et avoir une grille de lecture simple. J’ai juste mis des mots sur des sentiments.
Aujourd’hui, avec le recul, diriez-vous que la vie n’a pas été juste avec vous ?
YV : Au début j’étais révolté, je me disais « Pourquoi moi ? » Mais, le temps passant, j’ai compris que la notion de justice n’avait aucune résonance avec la nature. Le destin c’est le destin et on n’a pas le contrôle de tout. Je n’ai pas eu de colère destructrice, j’ai plutôt choisi d’évoluer. L’un des facteurs primordiaux c’est que j’étais célibataire lors de mon accident. La réaction face à ce type de situation dépend de la personnalité de chacun mais aussi du statut antérieur. En effet, si j’avais été manuel, cela aurait été plus difficile de réévaluer ma propre vie ; mais comme j’étais plutôt intellectuel cela a facilité ma réinsertion. Bien sur, j’ai eu un blocage avec la réalité [Yves croira pendant quelques temps que, malgré un problème à la moelle épinière, il pourra remarcher, ndlr]. La recherche sur la moelle épinière n’est pas prioritaire par rapport au cancer ou au sida, et je le comprends, mais je pense qu’il y a aussi une mauvaise concurrence entre laboratoires qui n’échangent pas leurs informations et découvertes, et ralentissent ainsi les avancées.
On dit que le rire est la politesse du désespoir. Est-ce vrai pour vous, et notamment dans votre livre ?
YV : Pas du tout. L’humour ça n’est pas une bouée, c’est une arme pour se protéger du regard des autres, une façon de mettre de la distance, de prendre du recul vis à vis de soi même. Chacun a un truc pour mieux vivre, pour certains c’est l’alcool, la drogue ou le déni, moi c’est l’humour.
Aujourd’hui bien installé dans votre vie professionnelle comme privée, quel message voulez-vous faire passer ?
YV : Ne vous endormez jamais sur vous même. La vie est un flux constant, on ne trouvera jamais le bonheur éternel, il faut tout le temps se remettre en question. Il faut avancer, ne pas être obsédé par le passé, savoir que le futur n’est pas miraculeux mais regarder où l’on croit pouvoir aller. Rester réaliste, également, parce que la vie nous apprend qu’il faut en profiter au maximum. Les bons moments ne durent jamais, les mauvais non plus, alors la vie est supportable… il faut juste savoir faire le gros dos en attendant que ça passe.
Nous somme en période de festival de Cannes. Si votre histoire était portée à l’écran, quel acteur verriez-vous bien pour tenir votre rôle ?
YV : A part Brad Pitt, euh… François Cluzet ou Vincent Lindon.
On ose rêver à Brad Pitt, et quittons Yves Veuillet dans un sourire. Le sien, si beau, est une preuve de son amour de la vie. J’ai testé, c’est contagieux.
Yves Veuillet – Les Roues de l’infortune, « de la chute à la lutte » chez L’Harmattan.
Du 19 au 21 mai 2011 au Parc de la Villette
Un week-end ultra-urbain aux accents slam, rap et hip hop, qui réserve de nombreuses surprises !
Beat Assailant + Black Milk Live Jeudi 19 mai à 20h Grande Halle de la Villette PT : 26€ / – de 26 ans : 20€ infos / résas : 01.40.03.75.75 ou www.villette.com
Beat Assailant Originaire d’Atlanta et installé à Paris depuis les années 2000, Beat Assailant propose un hip hop au-delà des clivages musicaux, mêlant habilement rap, jazz, électro et soul.
Black Milk live Mélange subtil de soul, de hip hop et de musique électronique, Black Milk mixe avec allégresse inspirations passées et présentes.
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Rakim + Welcome to Detroit, a Tribute to J Dilla
Vendredi 20 mai à 20h
Grande Halle de la Villette
PT 32€ / – de 26 ans : 22€ infos / résas : 01.40.03.75.75 ou www.villette.com
Rakim Après des années d’absence, le grand retour de Rakim sur une scène parisienne.
Rappeur et producteur originaire de New York, William Michaël Griffin, dit Rakim, est considéré comme l’un des meilleurs MCs que le monde du hip hop et du rap ait connu.
Welcome to Detroit, a Tribute to J Dilla La scène hip hop de Detroit sera à l’honneur avec la présence exceptionnelle de Illa J, Karriem Riggins, Frank’n’dank, Elzhi (Slum Village), Phat Kat, Big Tone, Dez, tous proches & amis du regretté J Dilla.
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Abd Al Malik & guests Samedi 21 mai à 20h Grande Halle de la Villette PT 26€ / – de 26 ans : 20€ infos / résas : 01.40.03.75.75 ou www.villette.com
Après trois victoires de la musique et de nombreux autres prix, le révolutionnaire du hip hop français ose la langue anglaise, le rappeur se met à chanter… Pour son concert à la Villette, il sera accompagné par quelques prestigieux invités de son dernier album : Oxmo Puccino, Gonzales, Wallen, Mattéo Falkone et Papa Wemba …..
INFOS PRATIQUES > Info – résa : 01 40 03 75 75 ou www.villette.com > Achetez vos billets en ligne>>> > Restauration sur le parc avant et après les spectacles
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Romance française de Claude Lelouch,
avec Audrey Dana, Laurent Couson, Raphaël…
Une femme passe en jugement. Elle est accusée de meurtre.
Le procès d’Ilva lui permet peu à peu de se remémorer ses histoires d’amour, qui ont fait d’elle ce qu’elle est aujourd’hui. Temps de guerre et de paix, autant de contextes qui mêlent le bien avec le mal, l’amour avec la haine… Tout ce complique lorsque la guerre se termine et les valeurs s’inversent.
Nous suivons ainsi de (trop ?) nombreux destins, dont l’un ressemble étrangement à celui du réalisateur (caché dans un cinéma pendant la guerre). Peut-être un peu longuet mais finalement émouvant, ce film marque le retour gagnant pour Lelouch qui, en délaissant enfin la production, a pu se plonger totalement dans la réalisation en s’inspirant du génie de ses œuvres passées, au rythme d’un orchestre symphonique.
Bonus : Parfum de tournage ; A la rencontre du public, Audio-description ; Galerie photos ; Bande annonce.
Disponible en dvd & blu-ray.
Berlin, années 30. Un couple homo, Max et Rudy, adeptes de soirées bien arrosées dans les cabarets branchés. Leur histoire prend un tournant tragique quand un SA qui fréquente le couple est assassiné par les SS durant la nuit des longs couteaux. Envoyés à Dachau, Rudy est froidement exécuté dans le train alors que Max parvient à se faire passer pour un juif et fait la rencontre de Horst, triangle rose. Ils se lient d’amitié, s’aiment et tentent de survivre au milieu de l’horreur.
La pièce que je connaissais déjà à travers le très beau film de Sean Mathias m’a particulièrement intéressé pour l’analyse qu’elle fait de la mécanique nazie.
Au delà de l’élimination pure et simple du sous-homme, l’idéologie nazie a cherché jusqu’où est possible la déshumanisation de l’être. La plus belle illustration (si j’ose dire) de cette idée est la scène dans Bent où Max et Horst sont contraints de déplacer un tas de pierre pour le re-déplacer à l’endroit initial et ainsi de suite : une expérience du non-sens comme moyen d’abrutissement.
Cette scène, importante dans la pièce, est peut être la plus marquante. Elle a été très bien retranscrite par Anne Barthel qui signe la mise en scène. Voir ces deux bonshommes qui transportent des cailloux pour rien et qui perdent peu à peu la raison, est dramatique dans les deux sens du terme. Que reste t-il ? Le suicide ou la lutte, même minime, pour vivre. Des poètes ont écrit dans les camps, d’autres se sont évadés ou se sont sacrifiés. Dans un univers organisé de manière à vaincre toute pensée, toute émotion, toute croyance, survivent encore des actes de résistances. Leur résistance à eux c’est ce moment inimaginable où sans se toucher, sans se voir, sous les miradors, ils parviennent à faire l’amour. Deux hommes qui surpassent un instant les milliers de kilomètres de barbelés, la boue, la gerbe, les coups et les chambres à gaz.
Michel Mora (Max) et Jean-Matthieu Erny (Horst) ont exprimé de manière très incarnée ce moment, avec beaucoup de sincérité et de pudeur. Le jeune Jean-Matthieu Erny est vraiment un comédien surprenant, en retenue, mais tout à fait investi. Il faut saluer aussi les prestations de Michel Mora et Valentin Terrer (Rudy), très justes. Avec peu ou pas de décors, des costumes simples ; la pièce émeut et malgré une distribution inégale et un début un peu long, on ne ressort pas indemne de la salle. S’ajoute à la tension entretenue tout le long de l’intrigue, un sentiment de dégout et de tristesse profonde contre lequel on ne peut rien et qui témoigne de l’efficacité de la mise en scène.
Reste à resserrer par endroit pour maintenir le rythme qui s’épuise parfois et la pièce, on le lui souhaite, aura le succès qu’elle mérite à Avignon cet été.
Bent de Martin SHERMAN, adaptation de Thierry LAVAT et Lena GRINDA. Mise en scène Anne BARTHEL, assistée de Franck DELAGE
Au THEATRE DU NORD OUEST jusqu’au 26 juin.
13 rue du Faubourg Montmartre Paris IX
Avec
Michel MORA
Jean Matthieu ERNY
Georges MATHIEU
Gérard CHEYLUS
Frédéric MOREL
Albert PILTZER
Philippe RENON
Franck DELAGE
Valentin TERRER
Réservations sur BilletReduc, Fnac et au Théâtre du Nord Ouest
Film de guerre américain de Francis Ford Coppola
avec Martin Sheen, Marlon Brando, Frederic Forrest…
L’un des plus grands films de guerre édité en version remastérisée, dans un coffret 4 dvds. L’histoire d’un jeune capitaine engagé pour une mission horrible au Vietnam : abattre un colonel américain devenu fou. La plongée vers les ténèbres humaines commence…
Très beau coffret, cette édition soignée comblera les fans et ravira ceux qui veulent découvrir le film en haute définition. Pour la première fois la version originale du film est présentée avec sa version redux (même si cette dernière est peu longuette), et le nombre de bonus est ahurissant. Bel objet !
Le coffret contient : Le cut original ; la version Redux ; Documentaire de Mme Coppola sur les conditions inhumaines du tournage ; un livre de 100 pages sur Coppola ; Conférence de presse à Cannes… Bref plus de 9H de bonus dont 8H totalement inédits en zone 2 !
La scène se déroule à l’aube de la Seconde Guerre mondiale : Patricia, du haut de ses dix-huit ans, fille d’un puisatier, fait la connaissance de Jacques, de huit ans son aîné et fils d’un commerçant bourgeois de la région.
Le film revisité par Daniel Auteuil (l’original ayant été réalisé par Marcel Pagnol en 1940) porte les marques indélébiles de la simplicité et de la pureté. Kad Merad joue le rôle initialement tenu par Fernandel avec brio, Daniel Auteuil est un Pascal Amoretti plus vrai que nature tandis que Sabine Azéma et Jean-Pierre Darroussin, deux grandes figures du septième art, livrent ici une de leurs plus belles performances.
Astrid Berges-Frisbey nous offre une prestation un peu plus mitigée dans le rôle de Patricia, peut-être dûe à sa manière de réciter son texte plutôt que de le vivre. Nicolas Duvauchelle en Jacques Mazel apporte une touche moderne dans sa manière de jouer qui insuffle un vent de fraîcheur à ce remake très académique. Une belle réussite !
Fantastique
USA
De Kenneth Branagh.
Avec Chris Hemsworth, Natalie Portman, Tom Hiddleston, Anthony Hopkins…
Sorti le 27 avril 2011.
Pour le punir de son arrogance et de son irresponsabilité, Odin, roi des Dieux nordiques, bannit Thor, l’un de ses deux fils, d’Asgard sur Terre. Il lui retire également ses pouvoirs, afin de lui apprendre l’humilité. Là, il rencontre un jeune scientifique qui va l’aider, alors que sur Asgard se fomentent un complot et une guerre.
Thor est le nouveau film des Studios Marvel (Incroyable Hulk, Iron Man, Captain America en août…), à ne pas confondre avec les adaptations de comics Marvel (comme X-Men, Daredevil, Quatre Fantastiques, Spider-Man…). Avec Captain America, il est le nouveau pas vers le MEGA crossover que sera Les Vengeurs (qui réunira tous les héros des Studios Marvel) en 2012.
Le film est une véritable réussite, tant sur le plan esthétique qu’artistique, grâce à des effets spéciaux et des scènes d’action spectaculaires, un casting qui mélange habilement acteurs confirmés et (presque) nouveaux venus parfaits dans leur rôle, et une histoire qui tient la route et exploite son potentiel Shakespearien (surtout avec Branagh à la réalisation).
Pour ceux qui ne connaissent pas le comics, le film permet de se « mettre à niveau » sans être trop didactique, et pour les fans, il y a suffisamment de clins d’oeils pour les satisfaire : apparitions de Stan Lee et J. M. Straczynski, un premier aperçu de Jeremy Renner dans le rôle de Clint Barton, futur Hawkeye dans Les Vengeurs (scène tournée au dernier moment pour introduire ce personnage, aux non-initiés), références à Donald Blake, Bruce Banner et Tony Stark… Et une scène de fin post-générique introduisant un artéfact qui aura son importance dans Captain America…
Bien sur, le film n’est pas parfait : le combat final aurait pu être plus épique, le film diffère peut-être parfois beaucoup du comics au goût de certains fans et la musique de Patrick Doyle aurait gagné à être plus grandiose, surtout avec un tel sujet. Enfin, comme c’est souvent le cas avec les films convertis en 3D après le tournage, celle-ci ne sert quasiment à rien. En dehors de ces rares (et très mineures) critiques, le film est tout ce que l’on pouvait espérer.
Le puissant Thor fait une entrée réussie dans les salles obscures de Midgard (c’est la Terre pour les Asgardiens, bande d’incultes !)…
Avec Jack Gyllenhaal, Michelle Monaghan, Vera Farmiga…
Sorti le 20 avril.
Un soldat se réveille dans un train, dans le corps d’un autre, ignorant comment il est arrivé là. Quelques minute plus tard, le train explose et il se retrouve dans son corps dans un lieu inconnu où on lui explique qu’il doit revivre les dernières minutes d’un autre afin de savoir qui a mis la bombe dans le train et, ainsi, empêcher un nouvel attentat.
Le réalisateur de Moon passe au gros budget avec un film qui, s’il rappelle Déjà vu (en beaucoup mieux) et comporte certaines incohérences et moments prévisibles, oscille avec intelligence entre action, tension et émotion.
Solidarité Enfants Sida organise un concert de soutien le mercredi 18 mai 2011 à la Bellevilloise dès 20h.
Quatre artistes (Guem, Izé Teixeira, Boubacar Kafando et Nadriddim) se mobilisent généreusement pour donner un concert de soutien aux actions de Solidarité Enfants Sida au Togo et vous propose une soirée inédite, à ne manquer sous aucun prétexte !
Percussions, musique traditionnelle et rythmes africains seront au rendez-vous de cette soirée festive placée sous le signe de la solidarité. L’intégralité des bénéfices sera reversée à l’association.
Sol en Si, créée en 1990, est une association reconnue d’utilité publique qui soutient et accompagne les enfants et leur famille concernés par le VIH-sida dans leur parcours face à la maladie en France et en Afrique.
Au Togo, « la Maison des enfants » est un centre de soins en santé mentale pour les enfants et leur famille. Trois jeunes psychomotriciennes partent en mission de formation auprès de l’équipe de professionnels togolais de « la Maison des enfants » cet été. La psychomotricité permet d’aider les enfants et leur famille à surmonter les conséquences de la maladie tant sur le plan psychique que sur le plan corporel.
Il s’agit d’un projet novateur qui nécessite un investissement important de Sol en Si et nous avons besoin de vous pour contribuer au financement de cette mission.
Nous comptons sur votre générosité et vous attendons nombreux !
Nous remercions les artistes qui ont accepté de s’engager gracieusement avec enthousiasme :
Guem : percussionniste africain de grande renommée
Izé Teixeira : chanteur Cap-Verdien de world music et également membre du groupe La Mc Malcriado
Boubakar Kafando : chanteur de musique traditionnelle africaine
Nadriddim : il réalise ses propres compositions de style Latindiafrofunk muni de sa guitare et de son Didgeridoo
Infos pratiques :
La Bellevilloise – 19/21 rue Boyer – 75020 Paris
Accès : Métro Gambetta (Ligne 3) et Ménilmontant (Ligne 2)
Tarifs : 13€ en prévente / 15€ sur place
Solidarité Enfants Sida – 10 rue Duvergier – 75019 Paris
On connait désormais les membres du jury de la 64e édition du Festival de Cannes, qui entoureront Robert De Niro, le président du Festival du 11 au 22 mai 2011.
Que de beaux noms pour cette nouvelle édition du prestigieux festival de cinéma ! Le jury sera composé de :
– Martina Gusman : actrice et productrice d’origine argentine, à la tête de la société de production Matanza Cine.
– Nansun Shi : productrice chinoise (Hong-Kong), fondatrice de la société Film Workshop Co. Ltd avec son mari.
– Uma Thurman : faut-il présenter cette actrice américaine que l’on a pu voir dans Kill Bill ou Pulp Fiction ? Des films pour lesquels elle a obtenu une Palme d’Or, d’ailleurs. Elle est aussi productrice et scénariste.
– Linn Ullmann : écrivaine, critique littéraire et scénariste norvégienne.
– Olivier Assayas : cocorico ! Ce réalisateur d’une quinzaine de films est le seul français du jury.
– Jude Law : comme pour Uma Thurman, faut-il le présenter ? Bon allez : acteur britannique qui a joué dans de nombreux films connus (Le Talentueux Mr Ripley, Stalingrad, Aviator, A.I. Intelligence artificielle). Il est aussi producteur et réalisateur.
– Mahamat Saleh Haroun : premier réalisateur tchadien de l’histoire, il a obtenu un prix au Festival de Venise pour Bye Bye Africa, et le Prix du Jury à Cannes l’année dernière pour Un homme qui crie.
– Johnnie To : réalisateur et producteur chinois (Hong Kong, encore), à la tête de films d’arts martiaux, de comédies ou de films historiques.
Ca, c’était pour le jury des longs métrages, qui devra départager les 19 films en compétition. Mais il ne faut pas oublier le jury de la Cinéfondation et des courts métrages, présidé par le réalisateur et scénariste Michel Gondry. Il sera entouré de Julie Gayet (actrice française), Jessica Hausner (réalisatrice et scénariste autrichienne), Corneliu Porumboiu (réalisateur, scénariste et producteur roumain) et João Pedro Rodrigues (réalisateur et scénariste portugais).
Ils auront la lourde tâche de choisir parmi les trois meilleurs films parmi les seize films de fins d’études sélectionnés par la Cinéfondation, et de décerner la Palme d’Or du court métrage le 22 mai lors de la cérémonie de clôture.
Quelle sont les différences entre la saga Twilight et LeChaperon Rouge, sorti ce mercredi au cinéma ? Difficile à dire, comme on retrouve quasiment les mêmes éléments dans les deux films.
Le Chaperon Rouge, qui a troqué le mot « petit » contre une superbe créature nommée Amanda Seyfried, est sorti au cinéma ce mercredi. Produit par Léonardo Di Caprio, cette énième adaptation du conte de Perrault est fortement remaniée, si bien que l’on retrouve à peine l’histoire originale. Par contre, on trouve de nombreuses similitudes avec Twilight.
La réalisatrice. Catherine Hardwicke, ce nom vous dit peut-être quelque chose, puisque c’était la réalisatrice du premier chapitre Twilight Fascination. Mais elle avait décidé de se retirer du projet dès le second volet des aventures de vampires. On la retrouve aujourd’hui à la tête du Chaperon Rouge, et elle y a apporté la même griffe (ou la dent) que pour Twilight.
L’histoire. Les deux films content l’histoire d’une jeune femme – fort bien jolie -, qui s’éprend d’amour pour un beau gosse qui se révèlera être… différent. De couleur pâle et avec des crocs pour l’un, agressif et tout plein de poils pour l’autre. Mais le loup n’est pas forcément celui que l’on croyait. A noter que dans la version du Chaperon rouge de Catherine Hardwicke, le loup est remplacé par un loup garou. Oh ! Bah ça alors, c’est comme dans Twilight.
L’héroïne. A ma gauche, Kristen Stewart (Bella Swan), belle brune de 21 ans – et toutes ses dents, logique, pour un film de vampire. A ma droite, Amanda Seyfried (Valérie), magnifique blonde de 25 ans qui porte sa capuche rouge telle une caillera du Moyen Age. Toutes les deux chercheront l’amour avec un grand A, en la personne de monstres plus qu’attirants. Dans les deux cas, le dilemme amoureux est au cœur de « l’intrigue », puisque deux hommes se battront pour obtenir les faveurs de leur bien-aimée. C’est miiignoon.
L’histoire à l’eau de rose de l’adolescente qui découvre la sensualité et l’amour a l’air d’être le nouveau filon des studios américains. Entre attraction et répulsion (ou Tentation et Hésitation, si vous préférez), ce film montre la naissance du désir chez un chaperon plus que sexy. Exactement la même chose pour sa consœur au pays des vampires et des loups. En gros, si vous n’en pouvez plus d’attendre la sortie du prochain épisode de Twilight, et que vous connaissez déjà les trois premiers films par cœur, allez voir Le Chaperon Rouge.
Un « divertissement oubliable » pour Le Point, « curieux » pour Le Parisien et « décalé, bien enlevé, pas inquiétant pour un croc » selon Les Echos. Le Nouvel Observateur vous conseille de « profiter (tant que le loup n’y est pas) du suspense de ce film aux effets faciles mais habilement tourné », alors que Le Monde l’a trouvé « un peu confus. »
L’été approche, et avec lui, les traditionnels festivals estivaux ! S’il faut d’abord passer le bac pour certains d’entre vous (ou des partiels), rien ne vous empêche de jeter un œil sur les programmes des principaux festivals 2011 : les Eurockéennes, les Vieilles Charrues, le Rock dans tous ses états, Rock en Seine…
Commençons avec le Rock dans tous ses états, festival qui se déroule à Evreux (Normandie) du vendredi 24 au samedi 25 juin 2011. Favorisant, comme à son habitude, la découverte d’artistes moins connus, il y a peu de « grands » noms : Razorlight, Tiken Jah Fakoly, C. W. Stoneking, Gaëtan Roussel… Le reste de la programmation du « Rock » 2011 ici: www.lerock.org
Passons à la 23e édition des Eurockéennes qui se déroulent à Belfort du 1er au 3 juillet 2011. Cette année, les quatre scènes accueilleront entre autre : Tiken Jah Fakoly, Tryo, Keziah Jones et Stromae (1er juillet) ; Motörhead, Queens of the Stone Age, Gaëtan Roussel, Raphael Saadiq, House of Pain (2 juillet) ; et Arcade Fire, Arctic Monkeys, Beady Eye, The Do, Moriarty, AaRon (3 juillet). Pour le programme complet, c’est par là: www.eurockeennes.fr
La 20e édition du festival des Vieilles Charrues, du 14 au 17 juillet 2011 à Carhaix(Bretagne), a également dévoilé son programme. Vous aurez ainsi le plaisir de voir Snoop Dogg, Olivia Ruiz, David Guetta, Yelle, Cypress Hill, Soprano, Jean-Louis Aubert, Yannick Noah, Stromae, les Chemical Brothers, Supertramp, Lou Reed, Scorpions, Ben l’Oncle Soul… Pfiouu, on ne va pas tous les citer, alors rendez-vous sur leur site pour le reste ! www.vieillescharrues.asso.fr
Pour Rock en Seine c’est un peu plus délicat puisque le programme définitif n’a pas encore été dévoilé. Pour cette 8e édition du 26 au 28 août 2011 au Domaine national Saint-Cloud en Ile-de-France, on citera quand même comme premières confirmations : Foo Fighters, Arctic Monkeys, My Chemical Romance, The Kills, BB Brunes… Et bien d’autres, à suivre sur le site du festival : www.rockenseine.com
Il n’en fallait pas moins pour émouvoir les fans du célèbre agent secret, le film «24 heures chrono» sera bien porté à l’écran en 2012.
Des rumeurs sur le projet il y en a eu. Un an après la diffusion de la huitième et dernière saison des aventures de l’agent Jack Bauer, Brian Gaze co-détenteur de la société Imagine production, qui a produit les huit saisons de la série pour le petit écran a annoncé sur twitter son intention de produire le film.
«J’ai parlé à Kiefer au téléphone, et nous sommes très excités de produire le film 24 heures chrono pour l’an prochain.
En décembre dernier, la Fox avait rejeté un scénario écrit par Billy Ray («Jeux de pouvoir»). Howard Gordon, autre producteur de «24 heures chrono», estimait alors que la situation était bloquée.
Pourtant Kiefer Sutherland l’interprète de Jack Bauer dans la série culte s’ était plusieurs fois déclaré favorable à l’adaptation de la série en film. Celle-ci serait plutôt une suite de la série télé.
Dans la série, nous avons eu à gérer le fait que les événements doivent toujours venir à nous parce que nous n’avons pas le temps de nous déplacer dans un univers en temps réel. Dans un film de deux heures, […] vous n’êtes plus obligé de passer de scène en scène en temps réel», indiquait en mai dernier Kiefer Sutherland.
2012 nous réserve bien des surprises…l’attente sera longue.
Astucieuse est la technique employée par la Warner Bros pour susciter l’intérêt autour de la sortie DVD de la première partie d’Harry Potter et les reliques de la mort. La société a ajouté en bonus du DVD les 3 premières minutes de la deuxième partie dont la sortie au cinéma est prévue pour le 13 juillet prochain.
L’édition spéciale 2 DVD et Ultimate collection était dans les kiosques le 8 avril passé le DVD simple est attendu pour le 20 avril.
Dans la première partie de ce dernier épisode, Harry, Ron et Hermione doivent détruire le secret de l’immortalité et du pouvoir destructeur de Voldemort. Seuls, sans les conseils et la protection de leurs professeurs, ils vont tenter de rester unis face aux forces obscures qui voudrons les diviser.
La guerre a commencé dans le monde des sorciers et les Mangemorts de Voldemort prennent le contrôle du ministère de la Magie et de Poudlard. Ils pourchassent sans relâche, l’Elu, Harry Potter qu’ils doivent ramener vivant à leur maître. Le seul espoir d’Harry est de retrouver les Horcruxes avant que Voldemort ne les trouve, car si la légende des Reliques de la Morts se révélait juste, Voldemort aurait enfin le pouvoir absolu qu’il recherche.
Les séquences de la deuxième partie circulent déjà sur le net, et nombreuses ont été les vidéos interdites sur les sites par Warner Bros. Mais avec de bons mots clés on peut encore en trouver. Bien évidemment la qualité de ces images laisse à désirer.
Dans cette petite séquence, on peut voir Harry Potter (Daniel Radcliffe) et Ollivander (John Hurt) discuter de leur avenir tout en sachant que Voldemort (Ralph Fiennes) pourrait retrouver tous ses pouvoirs. Et c’est certain que la mort les attend au bout de leur aventure. « Moi seul peux vivre toujours » c’est avec ces mots prononcés par Voldemort, que se termine ces 3 minutes.
Coffret Grindhouse Réalisés par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez, avec Kurt Russel, Rosario Dawson, Kurt Rose McGowan, Josh Brolin…
Le terme Grindhouse était utilisé pour désigner les long-métrages projetés dans les cinémas d’exploitation où deux films de séries B étaient présentés à la suite. Réalisés dans cet esprit, les désormais célèbres « Boulevard de la mort » et « Planète terreur » sont réunis ici comme ils auraient du être projetés à l’origine : à la suite, séparés par des bandes-annonces succulentes.
Un véritable hommage à une grande époque, où le culte frôlait le ridicule.
Frissons et humour ne se sont jamais autant bien entendus !
Seul bémol : Certaines séquences (comme le fameux lapdance ou la bobine « noir & blanc » de Boulevard de la mort) ont été supprimées ! Explication : les films sont présentés ici en version « grindhouse », donc coupés par Rodriguez et Tarantino… Dommage !
Contenu dvd 1 / Les 2 films + bandes annonces ; Dvd 2 / Plus de 6H de bonus issus des éditions collector ; Dvd 3 / 3H40 de suppléments inédits.
« L’asile est le lieu où se concentrent le plus grand nombre de saints… Mais le saint des saints c’est le docteur, il est Jésus Christ. » Un film d’Ascanio Celestini.
Nicolas, né dans « les fabuleuses années 60 », nous raconte son monde à travers le prisme d’un asile psychiatrique qu’il fréquente depuis toujours. Il accompagne d’abord sa grand-mère pour rendre visite à sa mère, qui y décèdera. Ensuite, Nicolas y travaillera… Jusqu’au jour où il en deviendra un patient.
Hyper réaliste, poétique et magnétique, ce film nous fait comprendre avec humour qu’on n’échappe pas à son destin. Et que, parfois, c’est notre environnement qui nous amène inéluctablement à la folie. Nicolas, qui se réfugie dans son imaginaire pour supporter l’horreur de sa famille et la dureté du monde, va finir par confondre rêve et réalité jusqu’au bout !
C’est la vision d’un monde extérieur pas très différent de celui de l’asile. « Un monde toujours plus vorace, où la seule chose qui semble ne pas pouvoir se consommer, c’est la peur. »
En salle le 20 avril.
De la bande du Jamel Comedy Club, c’est le seul « Hardos » (comprendre « qui aime le hard rock »), reconnaissable par son look noir et ses cheveux longs. En interview il se livre et nous fait découvrir sa face cachée.
Fabienne Prevot : Comment avez-vous débuté ?
Dedo : J’ai découvert à l’adolescence une vidéo de Richard Pryor (humoriste très connu aux Etats-Unis) et à 19 ans j’ai su que c’était ce que je voulais faire. J’ai suivi une formation de théâtre classique, puis j’ai participé à des courts-métrages. Après un premier spectacle joué à Paris en 2005, Kader a vu mon spectacle, il l’a aimé, et 6 mois plus tard il me proposait de faire partie du Jamel Comedy Club. Ca s’est fait vite et cela dure depuis 5 ans
FP : Aviez-vous déjà ce look ?
D : Oui, les cheveux longs et noirs, les vêtements noirs… Oui, à peu près.
FP : Et ensuite ?
D : J’ai travaillé mon spectacle et au fur et à mesure j’ai trouvé un fil d’entrée, une ouverture intéressante pour le commencer. Je me suis ouvert à des thématiques très larges même si la banlieue est restée un axe d’entrée.
FP : vous étiez nombreux au Jamel Comedy Club, est-ce difficile de se faire remarquer, de se démarquer dans une telle troupe ?
D : Là j’avoue que j’ai joué de mon look et de mes particularités… Comme chacun d’ailleurs. J’ai rapidement eu un bon retour sur mon humour.
FP : Un humour particulier, puisque vous riez des vieux, de la mort, du sida…
D : J’ai envie d’en parler alors j’y vais. Il faut toujours garder une certaine ouverture d’esprit, mon spectacle est pour tous les publics. Pas de tabous, mais pas une envie de choquer non plus, c’est juste qu’on est dans une société assez « coincée ».
FP :Etes-vous plus à l’aise dans le stand-up que le one man show ?
D : Oui, c’est plus fusionnel car tout dans le spectacle est vrai : j’ai bien été élevé par mes grands parents, je vis en banlieue…
FP : Quelles ont été vos rencontres importantes ?
D : Yacine, mon metteur en scène. C’est aussi une rencontre humaine : on a le même humour, on adore les Monty Python. On a d’ailleurs fait une série sur YouTube : l’Histoire racontée par des chaussettes…
FP : Qu’aimeriez-vous faire que vous n’avez pas encore fait ?
D : Je suis dingue de cinéma, j’aimerais écrire un long métrage et jouer au cinéma.
FP : Qu’est-ce qui vous fait rire ?
D : Les Monty Pythons, les stars anglaises de la scène. J’aime cet humour, toujours dans l’absurde lié à des propos intelligents.
FP : Y’a-t-il des artistes qui vous inspirent ou que vous admirez ?
D : Bill Murray dans Un jour sans fin et Marina Foïs, car elle est toujours décalée.
FP : Et quels sont vos projets ?
D : Je reste au Théâtre Le Temple à Paris jusqu’à fin mai, et à la rentrée je poursuivrais dans une salle plus grande.
Carré Viiip, nouveau rebondissement. Alors que l’émission n’aura duré que deux semaines, les candidats remuent toujours ciel et terre pour tirer leurs épingles du jeu. Pendant qu’Afida Turner joue les dégénérées sur les plateaux de télévisions, que Candice n’hésite plus à cracher son venin sur ses ex-colocataires, et que Xenia, riche héritière inconnue et pédante, se dénude à la Une de magazines coquins, Cindy et Giuseppe filent quant à eux le parfait amour. Et garde à celui qui mettra en doute la véracité des sentiments qui lient la féministe enragée et le quadra macho !
Jean-Marc Morandini aurait peut-être dû écouter ce précieux conseil. Alors qu’il reçoit sur son plateau Giuseppe et Cindy, l’animateur met en doute la véracité de ce couple qui buzz. Et ne voilà pas que la demoiselle montre les crocs. « Je fais ce que je veux avec mon cul », hurle la plantureuse blonde à l’animateur. Ça a le mérite d’être clair.
Pour ce qui est des sentiments, on repassera. Dans son sermon tapageur, Cindy se cantonne à dire que « son mec » est un bon coup. « C’est un sex toy qui fonctionne sans pile ». C’est tellement classe. Et que dit le sex toy ? Pas grand-chose. Il s’amuse comme un enfant au côté de sa belle qui s’excite à se défendre de ne pas être victime de son girl power parce qu’elle a flanché pour l’archétype du macho, héros de « Qui veut épouser mon fils ? ».
Et à Cindy le mot de la fin : « Je suis avec Giuseppe, qu’on le veuille ou non ».
Mais qui t’as dit [?] que le rap était mort ? Pas Sexion d’Assaut en tout cas.
Le wati-groupe est de retour dans les bacs. Un an quasi jour pour jour après la sortie de leur désormais célèbre opus « l’Ecole des points vitaux », Sexion d’Assaut sort un nouvel album : « En attendant l’apogée – Chroniques du 75 ».
L’été dernier, les parisiens inondaient les ondes avec leurs casquettes à l’envers et leurs wati-beats. Consacré triple disque de platine, « l’Ecole des points vitaux » a propulsé le groupe dans les hautes sphères du rap français. Pour preuve, en juin 2010, ils étaient invités en première partie, par le suprême NTM au Parc des Princes.
En 2011 : changement d’ambiance. Après quelques démêlés avec la justice et les médias (Sexion d’Assaut avait publié une vidéo où ils tenaient des propos homophobes, ndlr), le groupe revient avec des Ra-fall de rimes sur des beats toujours plus funky. Interviewés début janvier par Booska-P, les membres du groupe ont annonçé la sortie de leurs chroniques du 75, projet street de vingt titres tournés en clip. Par « street », comprendre « à l’arrache ». « Par exemple le clip de cramponnez-vous a été fait en trois heures […] on se laisse plus aller, c’est au feeling », explique Maska.
Le côté « street » n’a pourtant rien gâché à ce nouvel album qui réserve aux fans beaucoup de surprises. Images d’archives, interview inédite et morceaux solos de chaque membre du groupe. Du real hip hop à écouter sans modération.
Hautes Tensions rassemble deux semaines durant, en intérieur et en plein air, une quinzaine de spectacles mêlant cirque contemporain, danses urbaines mais aussi théâtre, arts de la rue, marionnette…Dans la veine des festivals précédents – Les Rencontres, Des Auteurs-Des Cirques, Les Pop’S – coup de projecteur sur une quinzaine de compagnies et de nouvelles créations à découvrir : Jeanne Mordoj, le GdRA, Clotilde Ramondou, Race Horse Company / Circo Aereo (Finlande), Renegade Theatre(Allemagne), Jean-Baptiste André, Anomalie & les Witotos, Cie Chute Libre, Anthony Egea et le Ballet national de l’Opéra de Bordeaux, Kazya Dance (République démocratique du Congo), Roger Bernat/FFF (Catalogne), Jordi Gali (Catalogne), Cie Là Hors De.
> Du mercredi au samedi : spectacles à 19h et 21h
(sauf Compagnie Là Hors De à 18h et « 2 compagnies sur 1 plateau » à 20h30)
Le dimanche : spectacles à partir de 15h30
> Tarifs par spectacle
Plein Tarif : 16 € – Tarif Réduit : 12 € Tarif jeunes (- 26 ans) : 10 €
Spectacles en plein air gratuits
La téléréalité a ceci de magique que toutes les idées sont déclinables à l’infini ou presque. Alors que Carré Viiip tentait de remettre sur le devant de la scène des has-been aux égos surdimensionnés révélés dans des anciens programmes, TF1 a lancé en parallèle un nouveau concept, un Koh-Lanta en famille : Familles d’Explorateurs.
Pendant vingt jours, cinq familles d’explorateurs devront s’affronter dans des épreuves physiques tout en tentant de vivre dans la nature. Près de 4.25 millions de téléspectateurs ont suivi le départ vendredi dernier pour l’Australie, des familles Bouzid, Ferrone, Zorra, Fiasson et L’Appartien. A la clé pour le gagnant : 140 000 euros.
Le premier épisode diffusé le 1er avril a eu son lot de rebondissements. Les cinq familles ont été « lâchées » à proximité de leurs campements. Premières épreuves, premières frayeurs, premiers exils pour les perdants et premiers départs pour deux candidats. L’aventure a donc démarré sur les chapeaux de roues bien que les 18,7% de part d’audience restent un score faible pour ce type d’émissions, bien loin des scores record de Koh-Lanta.
Reste à savoir si la téléréalité est toujours aussi viable qu’avant. L’arrêt précipité de Carré Viiip et les scores plus que moyen des derniers programmes sont-ils annonciateurs d’un désintérêt du public pour ce type d’émission ? A voir donc, avec la diffusion du second épisode de Familles d’explorateurs le 8 avril prochain.
La seconde édition de l’émission Top Chef s’est clôturée hier soir en direct sur M6. Et quelle finale ! Plus de quatre millions de téléspectateurs ont suivi la grande bataille gastronomique qui opposait Pierre-Sang, Fanny et Stéphanie.
Les hostilités culinaires ont débuté par une épreuve opposant les trois candidats. Chacun à sa façon a du réinventer la recette des tomates-mozzarella. Pari réussi pour Stéphanie qui a pu accéder directement à la phase finale grâce au vote unanime du jury, pendant que Pierre-Sang et Fanny revisitaient les célébrissimes petit-pois/carottes.
La jeune femme est sortie vainqueur de cette épreuve de repêchage mais a échoué face à Stéphanie dans l’ultime épreuve de la finale de Top Chef. Cette dernière, grande favorite de l’édition, a donc vu hier soir ses rêves s’exaucer. Avec ses 100 000 euros en poche, elle peut désormais ouvrir son restaurant.
Mais Stéphanie n’est pourtant pas la seule grande gagnante d’hier soir. « La petite chaine qui monte » qui a obtenu plus de 20% de part d’audience grâce à ce prime-time culinaire, compte bien surfer sur cette vague de réussite. La semaine prochaine, le choc des Champions opposera en direct Stéphanie donc, au gagnant de l’année dernière : Romain Tischenko. Un affrontement de haut niveau qui déterminera qui est le Top Chef toutes catégories. Un programme alléchant.
Avec Un tramway nommé Désir, Tennessee Williams devient le premier auteur non européen à entrer au répertoire de la Comédie-Française. C’est dire si l’on s’attendait à quelque chose de grandiose ! Et bien personnellement je n’ai pas été déçu même si j’aurais (très modestement !) quelques critiques à émettre.
Je confesse que je n’avais jamais lu la pièce de Tennessee Williams, j’avais vu le superbe film qu’en a fait Elia Kazan avec Brando. Petite piqure de rappel :
Stella, née dans une famille bourgeoise, aime Stanley Kowalski, ouvrier un peu rustre d’origine polonaise. Ils vivent heureux sans enfants dans un appartement minable de la Nouvelle-Orléans. Arrive la sœur de Stella, Blanche, qui contrairement à sa sœur, n’ignore pas d’où elle vient et le fait savoir. Ce qui agace Stanley au plus haut point. Seulement les hommes (et les femmes) étant ce qu’ils sont, une relation ambiguë s’installe entre Blanche et son beau-frère bien que tout les séparent. La pièce raconte sur fond de règlement de compte familial (Blanche a vendu la maison de famille) les aventures de ce trio plutôt baroque et la folie de Blanche qui est internée à la fin de la pièce.
Lee Breuer signe une mise en scène vraiment originale en faisant cohabité décors japonisants et jazzmans locaux. C’est curieux, on ne s’y fait pas tout de suite, mais ça marche ! Le procédé crée une sorte de distanciation pas inintéressante vis à vis du propos de Tennessee Williams. Faut-il y voir une volonté « d’universaliser » la pièce ? Oui ou non, le choix (ambitieux) de Breuer sonne juste.
La distribution, sans surprises, sonne juste elle aussi. Mais je ne peux m’empêcher de reprocher à Eric Ruff de composer un Kowalski assez inégal. Ce qui agace le plus c’est peut être son faux coté Brice de Nice ( ??!) qui l’amène à faire des trucs bizarres sans intérêt ! Cela n’apporte rien et réduit l’épaisseur dramaturgique du personnage. Toute mon admiration va à Grégory Gadebois, gros motard sentimental de son état. Il est tout à fait juste, touchant, sobre. Christian Gonon est parfaitement crédible en latino, la clope au bec, très amusant. Blanche (Anne Kessler) et Stella (Françoise Gillard) sont biens toutes les deux, particulièrement Françoise Gillard qui s’adapte très bien au personnage de la jeune Stella et lui donne du relief.
Au masque et la plume (émission culturelle hebdomadaire sur France Inter) les avis sont assez partagés. Armelle Héliot du Figaro adore : il (Lee Breuer) extrait de la pièce tout ce qui est tragique. Mais pour Jacques Nerson (Figaro), Anne Kessler n’a aucune sensualité. Tous saluent la prestation de Grégory Gadebois.
Un dernier détail, faut-il s’indigner du port de micros hf à la Comédie-Française ? Même si c’est presque invisible et qu’ils ne sont qu’un soutien aux acteurs ; dans une maison aussi à cheval sur la tradition (et avec raison je crois), c’est un peu surprenant.
Un tramway nommé Désir
Jusqu’au 02 juin 2011 salle Richelieu.
Durée du spectacle : 3h10 avec entracte.
Réservations sur le site de la Comédie Française.
Crédit photo: Cosimo Mirco MAgliocca
Qu’il vous laisse indifférent ou qu’il vous intrigue, ce film vous aurez très certainement envie de le voir.
C’est un étonnant pari que celui de Mandarin Cinémas et du réalisateur Xavier Durringer. « La Conquête « un film politique quiraconte l’ascension de Nicolas Sarkozy vers le pouvoir, du 27 avril 2002 au 6 mai 2007.
En France on n’a pas l’habitude de ces films qui mettent en scène des hommes politiques de leurs vivants. Et pourtant dans l’histoire du cinéma ce risque a toujours été payant. On se rappel du «W» d’Oliver Stone film sur George W. Bush ou «The Queen» pour Tony Blair
Denis Podalydès («Liberté Oléron) en Nicolas Sarkozy, Florence Pernel («L’Autre Dumas») en Cécilia Sarkozy, Hippolyte Girardot («Un Conte de noël») en Claude Guéant ou encore Samuel Labarthe («Sagan») en Dominique de Villepin… Le casting de «La Conquête» promet des acteurs à la hauteur des personnages réels. La « Conquête » sort en mai 2011, la date officielle n’a pas encore été fixée en raison du Festival de Cannes ou il sera présenté.
Je vous laisse découvrir la bande –annonce de ce film, qui ne manquera pas de faire parler de lui.
47ème album studio et pas une ride ? Oups pas sûr ! Les fans risquent d’être surpris par cet album. Le chanteur qui soufflera ses 68 bougies en juin, y rend hommage à Jimi Hendrix, à sa femme laeticia et à ses deux dernières filles Jades et Joy .
Pour L’Express, le disque « patine à plusieurs moments et souffre, en outre, de textes sommaires ou plan-plan »Métro en rajoute une couche, désignant l’opus comme « un disque où il y a à boire, à manger… et à trier » « Au lieu du sur-mesure, on oscille en calembours poussifs et platitudes » « le premier titre donne le ton d’un ratage qui s’achèvera sur « Jade dort » berceuse à fuir même par le fan hardcore ».Idem pour, Le Figaro qui évoque « des chansons gâtées par des textes plus qu’embarrassants ». « L’album a un côté grotesque, offrant un carnaval de mauvais jeux de mots et un festival de rimes pauvres, cingle Olivier Nuc. Les tentatives d’humour tombent à plat, et les velléités de tendresse évoquent la poésie d’un enfant de 11 ans ».
Ajouté à cela le raté (en terme d’audience) de samedi soir « le Show de Johnny » qui a fait 18% de part d’audiences avec 3,8 millions de téléspectateurs. Le téléspectateur ayant eu une préférence pour les « Années Bonheur » de Patrick Sébastien sur France 2 avec 4,7 millions de téléspectateurs et 21,8% de part d’audiences
La pilule a été difficile à avaler pour TF1 selon Le Parisien, il se murmurait ce week-end dans les locaux que «TF1 et Johnny (c’était) fini».
Au fil des ans, les soirées spéciales Johnny ont été de moins en moins fédératrices sur la chaîne: 7,7 millions en 2003, 5,6 millions en 2006, 5,4 millions en 2009, et 3,8 millions cette année. Serait il temps d’arrêter ? Notre Johnny national ne semble pas de cet avis. Il sera ce soir en promotion pour son album dans le grand journal de Canal +.
Hugh Laurie est un homme aux multiples talents – ou du moins un sacré touche-à-tout. Connu principalement pour son incarnation du Dr House dans la série du même nom, Laurie s’était également illustré en tant qu’écrivain avec son roman Tout est sous contrôle. Le public aura bientôt l’occasion de le découvrir sous un troisième angle, puisque le 18 avril prochain, le britannique sortira son premier album, intitulé Let Them Talk.
Si vous souhaitez écouter un Hugh Laurie qui tente de chanter comme un vieux bluesman de la Nouvelle-Orléans, sachez que les titres de l’album sont d’ores et déjà prévisualisable sur Amazon.co.uk. Notez que ce n’est pas la première fois que l’acteur-auteur-compositeur s’illustre dans la chanson, puisqu’en 2010 Meat Loaf l’avait invité à jouer du piano sur le titre « If I Can’t Have You » de son album Hang Cool Teddy Bear. Il avait également été convié par Greg Grunberg à venir jouer du clavier pour le groupe Band From TV, mais s’était abstenu.
En ce qui concerne sa production musicale, Hugh Laurie est assez clair : « Je ne suis pas né en Alabama dans les années 1890. Vous avez dû vous en rendre compte. Je n’ai pas été nourri à base de grain, récolté pour un patron ou chargé dans un wagon de train. Aucune gitane n’a prédit quelque chose à ma mère quand je suis né, et il n’y a aucun chien démoniaque sur mon chemin… à ma connaissance. Ce disque montre clairement ce que je suis : un Anglais de classe moyenne, transgressant ouvertement les mélodies et la musique du mythique Sud américain ».
Avec cet album, Hugh Laurie doit savoir qu’il ne court pas le moindre risque de rentrer dans le TOP40 – ce qui le rend d’autant plus sympathique. Ses fans français pourront en outre venir l’applaudir le 11 mai sur la scène du Trianon à Paris.
Trailer du premier album de Hugh Laurie
A trois ans et demi, il l’a vu. Et aujourd’hui son livre « Le paradis est pour de vrai », s’arrache à plus d’un million d’exemplaires sans aucune campagne de communication. Un vrai petit miracle quand on sait le nombre d’illuminés qui écrivent des bouquins sur leur petit tour chez « monsieur notre créateur ».
Ce jeune homme bien précoce du nom de Colton Burpo est fils de pasteur . En 2003, Colton, alors âgé de trois ans et demi, manque de mourir d’une appendicite.
C’est à ce moment là, pendant son opération, qu’il s’en est allé au paradis et a rencontré des anges, Jésus, Jean-Baptiste, et même son arrière-grand-père décédé bien avant sa naissance. Sa visite du lieu saint ne saurait être écrite par n’importe qui, cet infime honneur est revenu au nègre de Sarah Palin.
Tout commence le jour où, quatre mois après son hospitalisation, Colton apprend à ses parents que les anges ont chanté pour lui pendant qu’on l’opérait. Surpris ses parents l’interrogent. Il raconte alors qu’il est « sorti de son corps », assis sur les genoux de Jésus, il regardait d’en haut le chirurgien. Qu’à t il fait avec Jésus ? « Ses devoirs ». Combien de temps est-il resté au paradis ? « Trois minutes ». A-t-il vu le trône de Dieu ? « Oui, et il est vraiment gros ».La scène s’est passée en 2003 au fil du temps, il donne d’autres détails. Jésus est barbu et a des yeux « tellement beaux », il est habillé de blanc et de violet avec une sorte de « couronne » autour de la tête et possède « un cheval arc-en-ciel ». Le paradis est plein de couleurs, il n’y fait jamais sombre, ses portes sont d’or et de perles. Tout le monde porte des ailes de tailles différentes, sauf Jésus qui monte et descend « comme un ascenseur ». Mais si tout le monde est « jeune » et « sans lunettes », les résidents ne sont pas pour autant non violent. À en croire Colton, « les anges portent des épées pour empêcher Satan d’entrer» parce qu’ « il n’est pas encore en Enfer ». Et le gamin a même eu un aperçu de la bataille de l’Apocalypse où les hommes (mais pas les femmes) doivent se battre contre « des dragons ».
Après avoir lu ce paragraphe vous vous demandez sûrement « mais qui a bien pu le croire ? »
Même son père pasteur était sceptique mais, c’était avant qu’il ne raconte à sa mère qu’il a rencontré sa petite soeur « tu avais un bébé qui est mort dans ton ventre, n’est-ce pas ? », et qu’elle est venue l’embrasser. Sonja Burpo avait en effet été victime d’une fausse couche avant la naissance de Colton, mais affirme ne lui en avoir jamais parlé.
Passage obligé le jeune Colton décrit aussi des choses, comme les stigmates du Christ dont, assure son père, personne ne lui a pas parlé ni à la maison ni au catéchisme. Convaincu son père prêchait en mentionnant de temps à autre les révélations de son fils jusqu’à ce qu’il entre en contact avec un agent littéraire qu’il avait prié Dieu de lui envoyer.
Excès de morphine ou vision réelle on en sait rien.
Toujours est il que, le mystère reste entier. Colton ne dit rien sur cette question que je me pose tous les jours au petit déjeuner il y a t-il du chocolat au paradis ?
De très nombreuses pages ont été consacrées à ce monstre sacré du cinéma, mais la Cléopâtre du 20ème siècle n’est pas connu de tous.
En effet citez au plus jeune ou même à d’autres « reflets dans un œil en or » ou « qui a peur de virginia Woolf » ils vous diront : « connaît pas » ! Son immense talent, ses amants , et ses joyaux de conte de fée «non, non, ça ne me dis rien»
Ce soir France 3 leur offre la possibilité de juger par eux-mêmes « la chatte sur un toit brûlant» . Un drame d’une grande puissance sous des airs de musique jazz .
L’histoire : Dansune immense villa du Sud des Etats Unis, une famille se réunit pour fêter l’anniversaire du patriarche malade, ‘Big Daddy’ (Burl Ives). Maggie (Elisabeth Taylor) et Brick (Paul Newman), sont un couple en pleine crise : Brick est déprimé par le suicide de son meilleur ami Skipper (avec qui il avait probablement une relation sexuelle) et se réfugie dans l’alcool. Maggie, quant à elle, est frustrée car son époux ne veut plus accomplir son devoir conjugal soit disant parce qu’il la considère comme responsable de la mort de son ami. Lorsqu’elle se compare à « une chatte sur un toit brûlant », Brick lui conseil de sauter et de prendre un amant. Alors que la famille s’entredéchire pour une question d’héritage, Brick va partir à la recherche de son être, se remettre en question et annoncer à son père ce qu’il ne sait pas encore, sa mort prochaine. Une catharsis collective a lieu avant le retour au calme et, pour sauver les apparences, à la « normalité ».
La pièce de Tennesse Williams adaptée à l’écran avait permis à la sublime Elizabeth Taylor d’exprimer avec justesse le déchirement qu’elle éprouvait d’avoir perdu son epoux, Mike Todd. En effet le tournage a failli être annulé, lorsque son mari, le producteur Mike Todd décède dans le crash d’un avion. Maggie la Chatte est le résultat d’un concentré de frustration de colère mais aussi de désir à l’état brut. Liz Taylor donne ainsi le meilleur d’elle-même, en hommage à celui qu’elle aimait.
Les amoureux du cinéma redécouvriront avec un plaisir certain cette magnifique réalisation de Richard Books
Journée de deuil dans le petit monde du hip-hop : Nathaniel D. Hale, plus connu sous le pseudonyme Nate Dogg est décédé ce mardi 15 à l’âge de 41 ans. Ce rappeur issu de Los Angeles était un des grands représentants de la West Coast, ainsi qu’un vieil ami de Snoop Dog, avec qui il avait fondé un groupe au début des années 90. Si l’on ignore encore les circonstances précises de sa mort, on sait qu’il avait récemment eu des problèmes cardiaques et cérébraux.
Ce décès a bien entendu ému le monde de la musique, et plus particulièrement ses acolytes du hip-hop. Sur Twitter par exemple, des millions de tweets déplorent la disparition du chanteur. Snoop Dogg, très affecté, a par exemple écrit « On a perdu une vraie légende du hip hop et r&b. Un de mes meilleurs amis, un frère depuis 1986. (…) Tu vas me manquer, je suis vraiment triste mais heureux en même temps d’avoir grandi avec toi car tu connais le slogan : tous les chiens vont au paradis». Un peu plus tard, le rappeur s’est de nouveau exprimé : « « Je t’aime mec. Tu seras toujours à mes côtés chaque jour ».
De son côté, 50 Cent a retweeté de nombreux messages postés par des fans, tout en prenant personnellement la parole : « Je viens d’apprendre que Nate Dogg était mort. Putain… Que Dieu le protège et le fasse reposer en paix. Il a fait beaucoup pour le hip hop de la West Coast. J’ai toujours été un fan ».
Enfin, le rappeur Ludacris, qui avait collaboré pour la première fois avec Nate Dogg en 2001 sur la chanson Area Codes, a posté ces mots : « Il y a désormais un vide dans le hip-hop qui ne peut pas être comblé. Ravi que nous ayons fait partie d’une histoire ensemble ».
Warren G – Regulate ft. Nate Dogg
Après avoir mis sa carrière politique de côté, Arnold Schwarzenegger veut revenir à ses premiers amours. Au même moment le remake du film Conan le Barbare vient d’être réalisé (en 3D).
Arnold Schwarzenegger a récemment déclaré examiner « une quinzaine de films. Mais les plus évidents sont Terminator, et les remakes de Predator et Running Man». Ajoutant qu’il endosserait le rôle d’un personnage de comics prochainement. L’identité de ce personnage sera dévoilée à la fin du mois.
En attendant, 29 ans après Arnold Schwarzenegger, c’est Jason Momoa qui jouera de la grande épée dans la nouvelle version de « Conan the Barbarian » Conan le barbare signée Marcus Nispel, et dont les premières images sont en ligne.
Ce film aujourd’hui culte avait ouvert les portes de la gloire à Arnold Schwarzenegger.
Le scénario en est simple mais efficace. Conan le Barbare, réduit en esclavage après le massacre de sa famille, ne rêve que d’une seule chose : se venger. Racheté par un entraîneur de gladiateurs, Conan va gagner sa liberté au fil de l’épée. Il se met alors en quête de l’homme qui a assassiné sa famille et volé la fabuleuse épée forgée par feu son père…
Dans la version Schwarzie de « Conan » il prononce une quarantaine de répliques, la plupart monosyllabiques. Schwarzie y joue de ses biceps et découpe ses ennemis à grands coups d’épée. L’immense arme qu’il manie était si lourde que l’acteur devait se reposer entre chaque scène. Mais en restant debout, puisque son armure l’empêchait de s’asseoir… Impressionné, le réalisateur James Cameron lui confiera deux ans plus tard le rôle-titre de Terminator, qui le propulsera au rang de star mondiale.
Sur la toile le teaser du remake du film a déçu, mais il faudra quand même attendre le 24 août prochain, pour juger de la performance de Jason Momoa, puisque nous n’avons ici droit qu’à de brèves images insérées dans des volutes de fumée et de courts extraits de dialogues.
Jugez donc par vous-même en regardant la vidéo ci-dessous.
A l’occasion de l’exposition « Brassens ou la liberté » à la cité de la musique, la Ratp et ses musiciens du métro joueront des morceaux du répertoire du Sétois le 15 mars.
Drôle de mélodies en sous sol. Ce mardi entre 12 heures et 14 heures, « les musiciens du métro jouent Brassens ».Dans un style souvent décalé, ils interpréteront des chansons tirées du répertoire de Georges Brassens.
Ainsi on verra un groupe russe à la station Châtelet, une formation classique à la Gare de Lyon, un groupe latino à Montparnasse mais également des solistes dans les stations Bastille, République, Nation, Place d’Italie, Franklin D. Roosevelt, Madeleine, St-Lazare, Concorde, Auber, Etoile etc.
Dans le cadre de ce même partenariat, des extraits de chansons de Brassens seront également affichés en juin prochain dans les espaces du métro.
La cité de la musique a demandé au dessinateur et auteur Joann Sfar, et à la journaliste Clémentine Deroudille d’être commissaires de l’expo. Le public y découvrira des documents inédits, manuscrits et carnets confiés par la famille et les proches du chanteur, ainsi que des archives audiovisuelles et radiophoniques, des photographie et des guitares
En 2011 Georges Brassens, mort il y a tout juste trente ans aurait eu 90 ans.
« Les musiciens du métro jouent Brassens », le15 mars de 12h à 14h (lieux sur ratp.fr)
« Brassens ou la liberté », du 15 mars au 21 août à la Cité de la musique. www.citedelamusique.fr
« Hollywood Tonight » c’est le titre du nouveau clip issu du deuxième album posthume de Michael Jackson.
La vidéo est réalisée par Wayne Isham qui avait déjà piloté le clip de You Are Not Alone en 1995.
Le scénario rappel celui du film Flashdance de 1983. Sofia Boutella la jeune danseuse de talent, est serveuse la nuit, et danseuse le jour.
Elle arrive à Hollywood pour percer dans le milieu et suivre les pas de son idole défunte. Pour y arriver, elle enchaîne les petits boulots, les auditions, les hauts, les bas…
Pour la danseuse d’origine algérienne, qui avait déjà tourné dans une publicité pour Nike, c’est un excellent tremplin pour booster sa carrière d’actrice.
Avec la mise en ligne du deuxième clip de la légende de la pop décédé le 25 juin 2009, le business Michael Jackson n’est décidément pas prêt de se tarir.
La deuxième partie des 26e Victoires de la musique, c’est ce soir ! L’émission diffusée à partir de 20h35 sur France 2 récompensera le meilleur chanteur, la meilleure chanteuse, l’album et la chanson de l’année, notamment. Qui seront les grands gagnants de cette édition 2011 ?
C’est une grande première pour cette cérémonie des Victoires de la musique nouvelle version : deux parties de deux heures (la première a eu lieu le 9 février) au lieu d’une seule émission de cinq heures. L’évènement consacré aux « stars » (contrairement à la première partie qui récompensait les « révélations ») aura lieu ce soir au Palais des Congrès de Paris, présenté par Marie Drucker et Aline Afanoukoé.
Autre nouveauté : les artistes viendront chanter, comme Benjamin Biolay, Jean-Louis Aubert, Cœur de Pirate ou Stromae qui proposera une nouvelle version d’Alors on danse. Tout pour un superbe spectacle.
Il y aura aussi un hommage à Jean Ferrat, décédé en 2010. Pour cela, Nolwenn Leroy (ex Star Academy) et Maurane reprendront en duo le morceau Aimer à perdre la raison. Serge Gainsbourg aura également le droit à un hommage, sa chanson Comment te dire adieusera reprise par Jenifer (également ex Star Academy). A noter que la Chanson de l’année sera dédiéeaux journalistes de France Télévisions et leurs guides, toujours retenus en Afghanistan.
C’est Anais Delva interprète de Lucie Wenstraga qui nous parle de cette nouvelle et innovante comédie musicale.
Anais est une habituée des comédies musicales puisqu’elle a déjà , malgré son jeune âge (24 ans) participé à Cendrillon et Roméo et Juliette
Fabienne Prevot : a propos du premier single 123 écrit et composé par Jennifer Ayache du group superbus pouvez vous nous dire ce qu’inspire cette chanson ?
Anais : Elle peut paraître étonnante car le ton en est léger mais en fait cela tient à deux faits précis . Le premier c’est que Lucie , mon personnage, est quelqu’un de volage, séducteur , joueur : le plus vivant du spectacle (sans mauvais jeu de mot ) Cette chanson intervient au moment où elle va choisir parmi ses 3 prétendants celui qu’elle va aimer
Cette chanson représente bien à la fois son caractère très gai et le moment lui aussi positif.
FP : durant le spectacle nous allons assister à la dégradation de votre personnage vous pouvez nous expliquer pourquoi ?
A : oui, en fait Lucie est la première victime de Dracula . il la vampirise c’est à dire qu’en la mordant il la rend elle même vampire elle n’aura alors plus de cesse que de trouver le sang qui la vivifie .
Il fait cela car Lucie est la meilleure amie de Nina dont il veut se venger.
Oui Lucie va se dégrader et même mourir ..
FP c’est un femme libre et en avance sur son époque, c’est plutôt agréable de jouer cela ?
A : oh oui d’autant plus que dans les précédente comédies musicale (Roméo et Julie et Cendrillon )s j’avais des rôles très lisses . Là ça change radicalement je suis une femme fatale, un peu Lolita. Ca me plait aussi car c’est plus près de ma vraie nature.
FP : est ce que jouer dans des comédies musicales est un choix , c’est votre troisième ?
A ; oui ça été un vrai choix à chaque fois . C’est ma passion depuis l’enfance durant laquelle j’admirais starmania ; ensuite est arrivée la vague des comédies musicales Notre Dame, et là j’ai continué à rêver.
C’est ma passion au point que théâtre seul ou chant seul oui pourquoi pas, mais pour moi qui aime autant l’un que l’autre je vis aujourd’hui mon rêve : marier les deux
FP : votre rêve aujourd’hui ?
A : je suis très axée sur ma vie professionnelle ; la aussi bien sur j’ia envie de goûter au cinéma , à la télévision ..
AH oui je rêve aussi d ‘aller au Maldives , pour la plage , les cocotiers et le repos ..
FP : comment est Kamel Ouali dans un quotidien de travail ?
A : très perfectionniste mais qui sait créer une bonne ambiance et nous mettre dans les conditions qui nous donnent envie de donner le meilleur de nous mêmes
FP : un mot pour dire en quoi ce spectacle sera déroutant ?
A/ Kamel Oauli a choisi d’intégrer du jamais vu dans des comédies musicales dans Dracula . Par exemple les deux personnages principaux ne parleront pas ils danseront seulement. La troupe c’est donc 7 chanteurs/comédiens et deux danseurs .
Ensuite il y aura de la 3D en relief, de l’illusion créer avec Danny Larry et visuellement beaucoup d’autres choses mais il faut venir…
Le 11 avril sortie du second clip et single
Cet été répétitions
La première le 30 septembre au palais des sports
Pour en savoir plus :
www.draculaspectacle.com
Réserver vite : ça va saigner !!!
Fabienne Prevot
Voir Niels Arestrup sur un plateau et mourir !
Acteur formidable (souvenez vous – pour les plus jeunes – Un prophète, De battre mon cœur s’est arrêté, etc.), ce roc, masse froide séduisante, éternel amoureux du théâtre et des textes ; est là !
Face à lui, le non moins célèbre André Dussollier, acteur populaire, ancien pensionnaire au Français et premier prix du Conservatoire de Paris.
Avec une telle distribution, on s’attend bien sûr à décoller, traverser des sphères et j’en passe ! C’était un peu surestimer la pièce de Cyril Gely finalement.
L’intrigue a le mérite d’être simple. Hitler veut faire sauter Paris avant la débâcle, il l’ordonne au gouverneur de la capitale occupée Dietrich von Choltitz (Niels Arestrup) qui, en nazi fanatique, est prêt à sacrifier des milliers d’innocents sur ordre. Mais voilà qu’un diplomate s’en mêle, Raoul Nordling (André Dussollier), consul général de Suède à Paris. Stratège, il énumère quantité d’arguments et fini par amadouer Choltitz et sauver Paris.
Le pitch part d’un récit véritable même si on ne connait pas vraiment l’importance du diplomate sur le revirement de Choltitz, ni même le contenu de leur rencontre.
En tout cas Cyril Gely a eu la bonne idée d’imaginer cette rencontre et de soulever un véritable problème : jusqu’à quel point peut-on obéir ? Existe-il une limite à l’obéissance ? Si la réponse peut sembler évidente elle l’est beaucoup moins pour le gouverneur. D’abord par ce que l’obéissance absolue au Führer était de rigueur, mais aussi parce que si Choltitz désobéit il perd femme et enfants.
Brûler Paris et sauver sa famille ? Peu à peu le diplomate impose au général le choix de sauver Paris. Mais sa famille ? Vous saurez comment la famille de Choltitz est sauvée ou non en allant au théâtre…
Ne vous attendez pas à un « beau texte », ce n’est pas l’enjeu. Le texte est simple et efficace. Si vous voulez voir Arestrup et Dussollier au sommet de leur art, je crois que ce n’est pas non plus la pièce qu’il vous faut. Les deux acteurs sont certes parfaitement justes, mais somme toute assez propres ; il manque cette fragilité des monstres sacrés (qu’ils sont) quand ils s’emparent d’un théâtre plus sérieux disons.
Néanmoins l’intrigue se tient, le rythme est bon et il faut souligner les qualités d’écriture de Cyril Gely dans ce sens.
On apprécie également une scénographie là encore simple et efficace, sans ajouts superflus. Arestrup campe un magnifique soldat en marbre, expéditif et a priori sans sensibilité.
Enfin la pièce – contrairement à tant de téléfilms idiots – ne fait pas de manichéisme de bas étage. Hé oui, c’est à peine croyable, mais comme tout le monde les nazis pouvaient aussi être doués de raison et de sentiments !
DIPLOMATIE, une pièce de Cyril Gely
Avec Niels Arestrup, André Dussollier, Roman Kané, Olivier Sabin, Marc Voisin
Mise en scène de Stephan Meldegg
Assisté de Véronique Viel
Décor Stéphanie Jarre, costumes Véronique Périer, lumière Roberto Venturi, son Michel Winogradoff, accessoires Nils Zachariasen
21h du mardi au samedi, 18h le samedi, 15h le dimanche
15 € à 42 €, et 10 € (- de 26 ans du mardi au jeudi)
Fabienne Prevot: quelles-sont vos origines culturelles et familiales ?
Jehro : plutôt bassin méditerranéen: ma mère est d’origine corse et mon père Italien
FP : Artistes ?
J : oui j’ai toujours baigné dans un climat artistique, mon père est auteur -compositeur et ma mère modèle de peintres et de photographes. Mais je pense que c’est le destin qui nous choisit et non l’inverse. La musique c’est comme entrer dans un bateau , une fois embarqué c’est difficile d‘en descendre
FP: quelles sont vos influences ?
J : je suis sensible aux voix et à toutes les musiques des Caraïbes, d’Afrique, d’Amérique du sud, la soul aussi
J’ai grandi avec la chanson Française rive gauche comme Léo Ferré qui véhiculait une forme de pensée qui collait bien à la chanson . Ca n’était pas de la chronique sociale mais c’était poétique, théologique. Chansons à textes car la France est un pays de littérature, cartésien. Les textes sont réfléchis, il est rare qu’on décolle rapidement à travers la poésie.
FP : Quels-sont les poètes que vous aimez?
J : la plupart sont morts : Beaudelaire, Neruda, Gauthier, Pessoa. Il y a une vraie saveur à leur rythme, c’est très coloré. Pourtant je ne comprends pas le Portugais mais je ressens déjà cela dans leur traduction en Français. Pablo Neruda est pour moi l’un des poètes qui a le mieux exprimé l’aspect charnel et la féminité. Il avait une façon de mettre en mots sa passion de façon délicate et profonde. Et puis le personnage qui a toujours eu le courage de ses opinions mais jamais dans la violence, pas de haine au premier degré. Il a toujours gardé une forme de grâce et de noblesse.
FP : Qu’est ce que représente pour vous votre passage à Londres ?
J : ça a été une période très importante car c’était la première fois que je me retrouvais seul… ça a été un franchissement, je me suis débrouillé, j’ai découvert le système D. Ca fait partie d’un chemin de construction, c’était riche, dense et j’ai beaucoup appris.
FP : votre premier album paru en 1999 révèle dans quel état d’esprit vous étiez à ce moment-là ?
J : J’étais plus inexpérimenté dans la production qu’aujourd’hui et je n’ai pas tout géré en terme de production musicale. Je sortais de 5 ans de groupe et j’étais ravi de chanter seul. Mais j’ai eu du mal à assumer cet album car tout ne me plaisait pas. Malgré tout, je n’ai pas de regret .
FP : par qui avez-vous été le plus impressionné ? Edwin Star ou Toots Hibbert ?
J : celui qui me touche le plus est Toots. C’est le James Brown du reggae. Il vient d’un milieu populaire et il dégage une noblesse dans ses yeux, ses expressions, malgré ses vêtements sales.
FP : lorsque vous chantez en Français c’est un vrai choix ?
J : en fait, au départ, je n’étais très à l’aise avec le Français bien que ce soit ma langue maternelle. Il y a plus de voyelles en Anglais, c’est moins rigide, plus malléable. On dit que c’est plus facile pour des textes, mais non. Le son, par contre, est plus émotionnel.
Ce n’est pas la langue qui compte mais je tente une interprétation à travers telle ou telle langue. On dit parfois que si les Beatles étaient traduits en Français, ce serait bof ! Mais il faut se replacer dans le contexte c’était le geyser de la jeunesse, vrai et spontané. Et puis il y a plein de façons de faire passer un message. L’époque était à la légèreté.
L’art passe avant tout dans les chansons et touche les gens. La chronique sociale dans le rap je trouve ça inefficace. Il faut un réel travail d‘écoute et du talent ou de l’empathie pour toucher les gens. Bob Marley et Léonard Cohen y parviennent très bien.
FP : Quels genres de musiques ou d’ artistes aimez-vous ?
J: La bossa nova car c’est mélancolique mais pas triste, le jazz et la musique classique, ça chaloupe. J’aime beaucoup Cesaria Evoria, mélancolique et souriante. On traverse tous des moments difficiles mais on ne sait pas tous ne pas en être attristé. La rumba Congolais que j’aime aussi beaucoup .
Le Buena Vista social Club, qui eux aussi sourient alors qu’ils vivent des situations difficiles. C’est porteur d ‘espoir car ils préconisent de garder confiance en la vie.
FP: Vos chansons sont tendres…
J : oui, et j’espère qu’elles ne sont pas gnan gnan
FP : … et sensuelles.
J : c’est ce que je cultive dans ma nature
FP : Que pensez-vous de la place de plus en plus importante de la violence dans les chansons et les clips ?
J : La culture est un miroir réfléchissant, elle donne le pouls et la santé du message politique. Moi j’ai pris le contrepied. Pour moi, l’art donne de la douceur, c’est créer de la beauté. Je me sens pacifiste. J’exprime dans mes chansons mon amour de la vie, mes chanson se veulent positives.
FP : Vous sentez-vous citoyen du monde ?
J : je dirai plutôt Humain, au sens où je me sens de façon symbolique relié à tout ce qui vit. D’emblée on se mélange et seulement après viennent les frontières culturelles. On bénéficie des codes existant depuis 12 000 ans mais dépassés, on ne peut pas s’y identifier. Plus on approfondit les textes comme la Bible, plus on s’aperçoit que ces textes sont liés à une subjectivité qui est très datée. La culture , pour moi c’est se libérer de codes et créer de nouveaux codes .
FP : une définition rapide de l’amour ?
J : c’est ésotérique, et au sens large c’est tout ce qu’il y a autour de nous .
FP : la vie, la mort ?
J : la mort c’est juste le passage, le mouvement. La vie est pleine de petites morts et réciproquement. Si on accepte la mort on la vivra d’autant mieux. Je dis cela mais je suis un bon vivant. Je pense que l’amour de la vie nous rend dépendant. Il faut savoir partir, lâcher.
FP : on dit que vos chanson font danser, rêver et tomber amoureux. Qu’en pensez-vous ?
J : Rêver, j’espère. Danser, oui car le tempo tend à cela. Danser c’est lâcher prise, partager, c’est beau. Tomber amoureux: si c’était vrai je serais très très riche!
FP : quel moment préférez-vous: lorsque vous composez; écrivez; la scène; les tournées ?
J : je suis timide donc la scène n’est pas facile pour moi, mais en même temps c’est fort, physique et formidable. Je suis plutôt contemplatif. Etre dans mon atelier avec ma guitare et en sortir quelque chose ça m‘émerveille. Ce sont des moments de paix, des moments suspendus…
FP : quel rapport avez-vous avec votre public ?
J : le travail d’un artiste c’est de créer un lien bienveillant, si je parviens à cela alors je suis le plus heureux des hommes
FP : qu’est-ce que vous aimeriez faire et que vous n’avez jamais fait ?
J : un tour du monde durant trois ans avec ma compagne et mes enfants.
FP : votre album sortira le 31 mars. Et ensuite ?
J : une date au Café de la Danse à Paris, puis une tournée en 2011 en France et en 2012 à l’étranger.
Alors rendez vous au café de la Danse pour ce Cantina Paradise si poétique, sensuel et doux.
Et bien plus sur : www.jehro.net
Exotique, psychotique, énergique
Trois ans après un hors piste épique au ski les 6 amis se retrouvent pour fête les 40 ans de Thomas Klein , brillant homme d’affaires
Comme dans la version ski ce qui doit être un weekend cool tourne au vite au cauchemar : des blessés , des perdus, des délires, des surprises
Le moment privilégié pour se retrouver dans ce cadre idyllique va permettre à chacun de se montrer tel qu’il est .
Entre les 6 amis du début et le vrai visage à la fin pas de point commun .
Toutes les catastrophes auront finalement permis à ces six-là de se retrouver et de s ‘apprécier quand ils se montrent à visage découvert
« L’aventure continue … mais en tongs »
Au théâtre Fontaine
10, rue Fontaine , 75009 Paris
Pour en savoir plus
www.theatrefontaine.com
En quelques mots
Il aime
Les jeux vidéos et les parcs d’attractions
Il n’aime pas
Grandir et la tristesse
Il adore
Jouer de la batterie… même s’il n’en fait pas très bien
Il déteste
Marcher avec des chaussettes mouillées, et la sorcière de Blanche Neige
Anthony Joubert ,timide maladif trouve sur scène une bien agréable manière de la surmonter.
Il est du Sud la Camargue et termine d’ailleurs son spectacle par la danse de l’arlésienne, à tort méconnue.
Grand enfant découvrant Paris il joue de ses origines et de nos petits travers.
Plein de répartie il joue de l’improvisation à merveille s’adaptant à son public, un mot , un geste
Et va jusqu’à nous faire croire qu’il teste sur nous ses vannes les raturant sur un cahier si elles tombent à plat.
De la provoc’ juste ce qu’il faut, beaucoup d’énergie, on comprend qu’il ait participé à de nombreux festivals et fait la 1ère partie de Titoff, Eric Collado, Gad Elmaleh. Et oui, pas mal non ?
Si vous devez voir une seule pièce c’est celle ci !!!
Vite, vite aller voir cette pièce hypertonique où éclate le talent d’Amelle Chahbi explose
Arthur ne s’y est pas trompé en la prenant comme complice sur la chaine Comédie.
La trame : l’histoire d’un couple de jeunes d’aujourd’hui, de leur rencontre jusqu’à leur séparation .
Mais rien de triste au contraire !!
Différence de culture, de point de vue, différence d’éducation, de désirs
Et pourtant ces deux là s’aiment ça sautent aux yeux mais surtout les caricatures ne forcent qu’à peine le trait : tout sonne si juste
Noom est radin , banlieusard et noir
Amelle est d’origine maghrébine, parisienne t indépendante
Noom face à Amelle volcan en éruption perpétuelle incarne parfaitement le mec cool et faussement détaché .
Il est faible, lâche , menteur mais si drôle de maladresse et au final si attachant.`
Amelle elle est dure, intransigeante , intolérante, mais si drôle et vivante
Facebook, Mac do, conduire, rire, draguer tout y passe
Tout les oppose et pourtant …
Pour en savoir plus :
Théâtre du temple
18 RUE DU FAUBOURG
DU TEMPLE
75011 PARIS / M° REPUBLIQUE
Petite brune au look marqué Jena Lee du haut de ses 20 ans est un véritable phénomène dont le succès s’est imposé en flèche .
Une voix vivante et chaude, des textes travaillés, une sensibilité affirmée , du travail sous une apparence si rose et noire : autant de raison qu’on ne peut l’oublier
Jena c’est d’abord une compositrice de talents , féconde t bien dans son temps , après un premier album plutôt sombre elle nous livre avec Ma référence plus de douceur , d’amour et de sa vision du monde
Son sourire que dévoile une belle frange brune en dit long
Fabienne : Comment expliquer vous votre succès assez fulgurant ? vous êtes en cela un vrai phénomène ?
Jena : je suis heureuse et j’espère que cela ne sera pas éphémère mais c’est ce qui m’a aidé à gérer ça c’est que j’ai d’abord été reconnue comme auteur/ compositeur pour d’autres et pour moi.
Je continue mon petit bonhomme de chemin en désirant que mon public voit au delà de l’exposition médiatique une artiste . C’est d’ailleurs grâce à cela que j’ai signé avec le label
Fabienne : Comment a réagi à cela votre famille ?
Jena : plus que bien : ils toujours été là et bien que n’étant pas artistes eux mêmes ils m’ont toujours soutenue et m’ont donner dès l’âge de 7 ans les moyens de composer
Fabienne : d’après vous de qui est constitué votre public ?
Jena : au départ des jeunes de7 à 16 ans des adolescents les textes de mon premier album parlait du mal être adolescent. Maintenant plutôt de 25- 35 ans
Fabienne : en quoi leur ressemblez vous ?
Jena : je suis sincère et le public le sent quand j’écris je dis ce que je ressens sans penser à autre chose et nos pensées, amours, priorités sont communes . Ils ont mon âge c’est normal.
Fabienne : et votre look si particulier ?
Jena : il varie tous les jours car je suis une vraie fille, c’est mon style mais il n’est pas figé , il change tout le temps . Il renforce les clips j’en ai conscience mais c’est bien le mien.
Fabienne : qu’aimeriez vous faire que vous n’avez pas encore fait ?
J : écrire le scénario d’une série . Je suis accro au x séries comme els Tudors , L world..
Fabienne : Vos projets ?
J : avant tout un 2e clip en préparation puis la tournée . Je cherche aussi à m’occuper d’un artiste , pour le guider , le faire grandir. Il ya quelqu’un que j’aime bien autour de moi . à suivre
J’aimerai continuer à composer comme pour Gossip girl
J’aimerai surtout que l’on voit en moi l’artiste et la compositrice .
Stop à l’image de produit mais qu’on parle plus du travail qui est fait
Nouvel album « Ma référence »
Pour en savoir plus :
http://www.jena-lee.fr
Fabienne Prevot
My major company, plate forme collaborative de musique nous révèle au fil du temps de très beaux artistes ,tous assez différents et parfois improbables, qui sans l’investissement financier possible en ligne d’internautes , ne seraient peut être jamais révélés.
Ici je vais vous parler de LA PERLE :Irma.
Elle a réuni en 48 h cette somme et depuis 2 ans travaille à affiner ses chansons.
Cette Belle Camerounaise, de 20 ans continue en parallèle ses études : c’était la condition pour que ses parents la laisse venir à Paris. ici elle n’est pas seule puisque qu’elle cohabite avec frère et sœur, cocon protecteur qui lui gardent, les pieds sur terre.
A l’écoute elle est déjà stupéfiante mais sur scène c’est encore plus fort : accompagnée de deux musiciens elle déploie sous son bonnet mignon un charisme tout en douceur inversement proportionnel.
Sur scène on ne voit qu’elle alors qu’elle est toute humilité.
J’ai voulu savoir qui se cachait réellement derrière cette modestie au talent d’auteur compositeur impressionnant.
Fabienne : Très douée pour votre âge pouvez vous nous dire comment s ‘est déclenché votre amour de la musique ?
Irma : en fait ça s’est déclenché très très tôt. D’abord j’ai commencé par prendre des cours de piano à 7 ans , là c ‘était plutôt la rigueur ; j’avais une prof très sévère ce qui arrangeait ma mère.
C’est vers 12 ans que l’envie de composer est arrivée quand j’ai trouvé la guitare de mon père qui voulait s’y remettre ce qu’il na jamais fait
Au départ j’écrivais en français des chansons avec des paroles très drôles
Je ne sais pas ce qui a été le déclic. C’est vrai que j’ai toujours été admirative des grands chanteurs à guitare et des grands show man comme Michael Jackson mais sans me dire que je le ferai plus tard
F/ vous avez vécu jusqu’à quel âge au Cameroun ?
I : 15 ans
F : Vous avez des frères et sœurs ?
I : oui j’ai une soeur jumelle ,une fausse on ne se ressemble pas du tout , une petite sœur et une grand frère qui sont à Paris, heureusement car ça aurait été plus dur, et mes parents travaillent encore au Cameroun
F :que préférez vous écrire, composer, être su r scène ?
I : beaucoup la composition , j’ai un petit penchant pour la musique plus que pour les notes . Je suis une fan pour les textes bien écrits. Tout ce qui est harmonie, je peux m’amuser avec d’autres notes pendant des heures, en rajoutant des voix . ca c’est vraiment mon truc
La scène aussi c’est fantastique
F : sur scène on a l’impression que vous n’avez pas conscience de votre talent et que vous êtes très humble ?Vous êtes timide ?
I : oui, sur la scène il y a un peu quelqu’un d’autre ; j’ai appris à gérer ma timidité ,au début je venais sur scène je chantais et je repartais . Là j’ai évolué mais j’ai encore à travaillé ma relation avec le public.Je ne me projette pas dans la vision des autres . J’ai envie que les gens passent un bon moment c’est juste ce qui m’intéresse
F : et vous pensez que cela arrive car vous leur envoyez quoi ?
I : parce que je fais ce que j’aime faire , et ça se voit
F : en plus ce qua vous nous envoyez, c’est très très gai, c’est léger
Est ce que vous avez des gens dont vous aimez les mots qui tombent juste ?
I : pour moi il y a un artiste français qui a ça c’est Brel
F : et en plus il est belge mais peu importe
I : ses chansons, les mots sont …là
J’aime beaucoup Matthieu Chédid parce que en plus de jouer avec le sens des mots, il joue beaucoup avec les sonorités.
F : la guitare est votre instrument de prédilection ?
I : oui, c’est là que je compose 95% de mes chansons
F : venez vous d‘une famille d’artiste ?
I : mon père était guitariste dans un groupe avec une histoire terrible autour de ça puisque sa mère a cassé sa guitare car elle trouvait que les études c’était plus important. Ma mère est choriste ma famille assez dans la musique
F : comment êtes vous arrivée à my major company
I : A 15 je viens faire mes études à Paris . je fais la prépa HEC et actuellement je suis à l’ESCP depuis 3 ans . Je viens d’une famille de bossuer, de scientifique .. Je me dis ouf , vais prendre une voie plus facile .
juste à la fin de mes concours , je mets quelques vidéo s sur you tube et j’ai des gens qui m’en demandent plus. On m’en demandait de plus en plus et une communauté se créait .
F : comment êtes vous venue à poster des vidéos il ya déjà une démarche semi pro, non ?
I : c’est marrant car au début j’ai postait la toute première vidéo , réalisé face à ma webcam, pour une de mes amies qui était loin et à l ‘époque je ne les montrait qu’à elle . Je me rendais pas du compte de l’impact je me disais je mets la vidéo elle la voit et 3 mn après je la retire ..
Comme j’étais encore pudique je mettais des lunettes un bonnet c’est marrant de me revoir maintenant.
En 2008 je tombe sur un message de Michael Goldman – fondateur de my major company- qui me dis on aime ton travail, j’aimerai qu’on se rencontre et si ça te dis qu’on travaille ensemble
Il y avait des messages d’autres producteurs mais lui je connaissais son nom ça m’a rassurée d’autant plus que je ne pensais pas à ce moment là m’engager professionnellement dans la musique
F : my major company vous intégre ? et ?
I : j’ai 416 producteurs (70000 €) en 48h ce qui finançait a réalisation de l’album
F : et là ?
I ouh lala je me dis ; il va falloir bosser là . je ne me rendais pas vraiment compte.Je ne me suis pas posée de questions, sur le coup j’ai rien compris et j’y suis allée.
F : Votre famille réagit comment ?
I mes parents sont très présents et rassurés par le fait que je continue mes études. Ils me soutiennent très fort ma mère est venue pour mon passage à taratata
F : Comment ressemblez vous aux jeunes de votre public ?
I : je ne sais pas si au fond ils sont comme moi , mais on a l’insouciance en commun . my major a préservé ça durant nos 2ans de travail
F : petite fille vous étiez comment ?
I : très stressée pour rien, hyper anxieuse
F :on vous sent sur scéen méga cool
I : petite non et il fallait toujours qua je fasse le justicier, ça ça m’est resté ;
F ; vous sentez vous Africaine ?
I je me sens Africaine occidentalisée. L’Afrique c’est un continent que j‘aimerai voir aller bien. Il y a tant de ressources c’est injuste et tant d’injustice
F : est ce que vous vous projetez maintenant ?
I : je me préserve encore beaucoup et non car naturellement je ne me projette pas.
F : ce qui vous a le plus impressionnée
I c’est me dire qu’il ya deux ans ces gens là (comme taratata) je les voyais à la TV et je els croyais inaccessibles et deux avant encore j’étais au Cameroun bien loin de tout cela
F : avec qui aimeriez vous chanter ou jouer ?
I : M
F : votre single sort le 28 février. Est ce qua après cela my major company, vous suivent encore ?
I : ils sont très protecteur notamment avec les artiste là dès le départ (dont je fais partie) j’étais chez avant Grégoire. Au début ont étaient 12 artistes avec qui ils sont restés très protecteurs
F : le plus difficile à exprimer pour vous ? l’amour ? la tristesse
I : Rien, tout est venu naturellement et puis en chantant en anglais on met un écran c’est plus facile
F : et le bonnet ?
I : Ah ç a c’est resté de l’époque you tube je me cachais et puis j’i enlevé des trucs au fur et à mesure pour ne garder qua le bonnet
F : pensez vous que vous aurez la grosse tête ?
I : je ne pense pas grâce à mon entourage
F quelle amoureuse êtes vous ?
I : trop romantique , si , si j’idéalise l’amour . J’ai besoin qu’il se passe des trucs , que ce soit un peu conflictuel
F : qu’avez vous envie de dire aux jeunes 18- 25 ans parfois pessimistes ?
I : malgré tout à cet âge là il ne faut pas se mettre de barrières ou de bâton dans les roues
Avec un peu de travail et de la passion on peut arriver à tout. Y a pas de secret il faut travailler !
F : et la guitare vous aller reprendre des cour s ?
I : en fait je n’ai jamais pris de cours je vais m’y mettre par exemple à la guitare jazz
F : on dit que la guitare est l’un des instruments les plus difficile à apprendre vous êtes d’accord ?
I : non, je pense que le piano est plus difficile , car une fois qu’on connait à la guitare 3, 4 accords on se débrouille Alors qu’au piano chaque accord a sa position
F : avoir appris seule est ce un handicap ?
I : en fait il ya plusieurs phases. au début c’est l ‘euphorie on apprends beaucoup, après on stagne Par exemple les musiciens de solo y pas plus libres mais avant ils ont appris les bases Ils connaissent toutes les gammes par coeur et donc être libres en solo. A un moment quand on a appris seul on stagne un peu et il faut apprendre la technique et cette base qui fait qu’on peut tout faire .
F : Quel sont vos rapports avec vos musiciens plus âgés que vous ?
I : ça fait pas très longtemps qu’ils m’accompagnent seulement depuis 2 mois . J’ai été amenée très vite à cotoyer des gens beaucoup plus âgés que moi donc, ça n’est pas du tout un problème . C’est pas du tout un barrière on s’entend mais c’est moi la chef (sourire)
C’est drôle d’être la patronne de trois grands gaillards qui ont joué avec Kéziah Jones et de leur dire « là ç a va pas «
En plus ce sont des musiciens qui te portent en 3 semaines de répétitions ils m’ont appris énormément de choses
C’est dur de passer de jouer seule à avec des musiciens
F : Votre meilleur souvenir ?
I : mon enregistrement à NY parce que c’était la première fois que j’allai s au 1ère fois aux état unis et dans quelles conditions
F : le pire ?
I : pareil à NY pourquoi ? parce que parfois le mec me poussait à tout donner .Je me disais mais qu’est ce que je fais là , j’ai pas le niveau , c’est pas possible . Comment ils ont pu croire que je sois au niveau ?et je déprimais , bon 24 H. Après faut y aller
F : quel rapport avez vous avec les autres artiste de my major ?
I : je suis très copine avec Jonathan Joyce on sort ensemble en soirée , on est arrivée ensemble dans my major , ç a crée un lien. Grégoire il m’a donné la chance de faire sa 1ère partie
Les artistes qui étaient là au début sont restés soudés avec les nouveaux, qui sont plus nombreux c’est différents.
F : et la tournée ? ç a vous fait peur de partir comme ça sur les routes ?
I : elle va commencer mi mars , ça me fait un peu peur , mais c’est très excitant aussi
F :de quoi avez vous peur aujourd’hui ?
I J’ai peur de ne plus arriver à créer, du manque d’inspiration
F : vous sentez vous artiste ?
I : oui un peu
Trop modeste Irma, au talent si grand
Pour en savoir plus :
http://www.mymajorcompany.com/Artistes/irma
Fabienne Prevot
Britney Spears revient en dévoilant ce vendredi le clip de sa nouvelle chanson baptisée « Hold It Against Me ». 14 teasers avaient fait patienter les fans, pour au final… un clip sans grande originalité.
Après visionnage du clip de Hold It Against Me, on a une forte impression de vu et déjà vu. Un décor futuriste, des danseurs peu habillés, une Britney peu habillée aussi, et, oh ! Une scène de kung-fu en talons aiguilles. Sans oublier quelques pubs pour des marques de cosmétiques ou de télévisions.
Ce clip récemment dévoilé montre que la chanteuse est larguée comparé à des Lady Gaga ou Rihanna (analyse que l’on peut trouver sur 20 Minutes.fr). Pourtant c’est Jonas Åkerlund, le réalisateur des clips Telephone et Paparazzi de Lady Gaga, qui a réalisé celui de Britney.
Trois ans après son dernier album Circus, les fans attendent beaucoup du retour de la chanteuse Pop. Surtout que, pendant ce temps d’absence, seules des rumeurs peu avantageuses ont fait parler de Britney (elle serait une détraquée sexuelle, ferait du play-back en concert ou aurait été doublée pour le clip de Hold It Against Me).
Espérons que son prochain album intitulé Femme Fatale, prévu pour le 29 mars 2011, rencontre autant de succès que Circus. Surtout pour rassurer les admirateurs de la chanteuse de Baby One More Time. Et vous, que pensez-vous du clip ?
Jewish Connection, du réalisateur Kevin Asch sort aujourd’hui dans les salles françaises. S’inspirant d’une histoire vraie, ce film raconte comment des juifs hassidiques ont intégré un réseau de dealers pour transporter de la drogue d’Amsterdam à New-York.
Sam Gold, le héro, est interprété par Jesse Eisenberg, découvert récemment dans « The Social Network » dans la peau de Marc Zuckerberg, le créateur de Facebook.
Sam Gold, juif pratiquant est destiné, comme tous les hommes de sa famille, à devenir rabbin. Influencé par son voisin Yossef, Sam devient sous son chapeau et son long manteau noir, un trafiquant de Manhattan à part entière.
Au fur et à mesure, le héro finit par découvrir un monde qui lui est totalement inconnu : la fête, les filles, la drogue. Sam Gold doit alors affronter un dilemme : La religion ou l’argent facile ; Ce jeune homme de 20 ans souhaite pouvoir acheter à sa mère une gazinière décente…Rien de plus!
Tout au long du film, il est confronté à des choix. Sans surprises, sa famille le rejette violemment lorsqu’elle apprend ce dont il s’agit, tout comme son meilleur ami, Léon. Sam Gold se retrouve alors seul envers et contre tous.
Dans les années 90, ce réseau a fait passer plus d’un million de pilules d’ecstasy des Etats-Unis vers l’Europe. Ces innocents pensaient en réalité transporter des « médicaments pour riches » , non prohibés, leur attitude n’était donc pas suspecte. « Ce film n’a pas pour objectif de coller à la réalité mais de s’inspirer des faits pour en tirer une fable » explique le réalisateur.
Jewish Connection a remporté en 2010 le prix de la révélation Cartier lors du festival américain, Sundance, de Deauville.
Décidemment, le groupe de rock Radiohead ne fait rien comme tout le monde. Ils ont annoncé ce lundi que leur huitième album (The King Of Limbs) sortira le samedi 19 février… mais seulement en téléchargement sur internet. La sortie physique de l’album n’est prévue que pour le 9 mai, dans un coffret inédit.
« Thank you for waiting » (Merci d’avoir attendu), peut-on lire sur le site de Radiohead. Car depuis In Rainbows sorti en 2007, les fans du groupe anglais n’avait rien eu à se mettre sous la dent, à part un Best of. Mais les fans auront raison d’attendre, Radiohead revient avec The King Of Limbs disponible samedi 19 février en téléchargement légal sur leur site (www.thekingoflimbs.com ou www.radiohead.com)
Deux versions de l’album seront téléchargeables : une version MP3 et une version WAV (qualité supérieure au MP3). Elles ne couteront respectivement que 7€ et 11€ ! Pour ce qui est de l’énigmatique formule baptisée « Newspaper album », elle comprendra un coffret* et l’album en MP3 pour 36€ ; et un coffret* et l’album en WAV pour 3€ de plus. Si vous pouvez la pré-commander dès aujourd’hui, vous ne pourrez pas l’avoir avant le 9 mai.
* le coffret comprendra deux vinyls, un CD, un fichier audio et plusieurs illustrations de différentes tailles.
C’est la deuxième fois que le groupe britannique sort des sentiers battus au niveau du lancement d’un CD. En 2007, pour In Rainbows, ils avaient publié leur album en téléchargement sur internet… sans prix fixe. Ainsi, chaque internaute payait le prix qu’il voulait, la gratuité étant également comprise. Cette fois-ci, elle a été abandonnée.
Après trois ans d’absence, on imagine que les fans se jetteront sur cet album à prix réduit.
Il ne se passe rien sur Paris…?
Vous ne devez pas être au courant alors !
Les soirées « Chérie Chéri » reviennent, et cette fois, vous pourrez même rencontrer de jolis(e)s et sympathiques célibataires pendant le dîner.
Marie Garreau, l’organisatrice, se chargera du plan de table…
Et qui sait, peut être que parfois faut-il forcer le destin ?
Philosophie : Restez curieux, ouvrez vous et OSEZ et faites votre choix !
La « Chérie Chéri » c’est la Bonne Humeur qui réapparaît, les complexes qui disparaissent et les rires qui éclatent et résonnent aux sons du concert live qui s’avère être une surprise avec la sublime et talentueuse « Cocovan » suivit du set pointu et convivial de Joachim Labrande qui vous retiendra toute la nuit.
RDV JEUDI 17 FEVRIER pour faire la fête tout simplement !
Dîner à partir de 20h (réservation dès aujourd’hui)
Concert surprise d’une étoile montante à 23h30 http://www.myspace.com/cocovan
Et à partir de minuit, la soirée promet une ambiance très sympathique .
L’entrée est gratuite comme à ses habitudes.
Du 1er au 12 mars 2011 au Parc de la Villette En savoir plus
6 décembre 2008. Alexis, 15 ans, est tué d’une balle en pleine poitrine par un policier
à Exarcheia, quartier central et anarchiste d’Athènes. Dans une situation sociale
et politique dégradée, cette mort met le feu aux poudres et déclenche
une vague d’insurrection sans précédent.
La scène devient le lieu d’une présence émouvante et collective fait de dialogues,
interviews,fragments audio et vidéo de la toile…
En mêlant les mots des témoins d’Athènes à l’Antigone de Brecht, en recréant
l’embrasement de la rue sur un plateau de théâtre, en proposant une mise en scène
débordante
de hargne et d’énergie.
Motus bâtit une partition hybride, fulgurante et poétique.
Et la compagnie d’inviter les spectateurs à répondre avec elle :
qui sont les Antigone d’aujourd’hui ?
INFOS PRATIQUES
Du 1er au 12 mars 2011
Mardi, mercredi, vendredi, samedi à 20h30 / jeudi à 19h30
(Relâche le samedi 5 mars)
Tarifs : plein tarif 16€ – tarif réduit 12€ – Villette Jeunes (-26 ans)
et Carte Villette 10€
Information et réservations : 01 40 03 75 75
Achetez vos billets en ligne
Lieu : Grande halle
Accès : métro Porte de Pantin (ligne 5)
Parking : Parking Nord « Cité des Sciences »
ouvert tous les jours 24h/24h.
Restez connectés avec MySpace et Facebook
Série policière américaine créée par Hart Hanson
avec Emily Deschanel, David Boreanaz, TJ Thyne…
Les agents Brennan & Booth sont de retour pour une grande saison !
Experts en anthropologie criminelle, nos deux sympathiques compères s’attaquent à des meurtres de plus en plus difficiles (la majorté des cas étudiés sont inspirés de faits réels), dans une ambiance hautement rafraîchissante.
Présent dans ce coffret : le 100ièm épisode de la série, pour lequel David Boreanaz est passé derrière la caméra et qui retrace la toute première enquête des deux agents. Apparaissent également de nombreux clins-d’oeils comme lorsqu’une enquête les emmène au Nouveau-Mexique afin d’enquêter sur un corps ressemblant à celui d’un extra-terrestre… Cet épisode se nomme tout simplement X-Files !
On y apprécie également la présence de quelques ‘guests’ comme Cindy Lauper, Zooey Deschanel ou même Robert Englund (Freddy !) qui interprète un personnage autrefois soupçonné d’être un tueur en série…
Relations inter-collègues, ambiguité entre les 2 enquêteurs, humour, originalité des cas :
jamais série policière n’aura été aussi divertissante.
Bonus : Making of du 100ème; épisode Bêtisier; Documentaire : La fabrique des cadavres de Bones.
Pour sa 9° édition, le concours Clip’n’remix revient, avec 3 800 euros de prime et une bonne façon de se faire repérer par des professionnels de la filière musicale !
Depuis 8 ans, le Tilt Festival vous propose de participer à un concours unique de création musicale et audiovisuelle.
Cette nouvelle édition est abordée avec un concours de reprise de chansons engagées, contestataires, révoltées…
Un jury composé par des représentants d’éditeurs, de labels discographiques, de journalistes et sous le parrainage de Cali, élira les meilleurs productions.
Deux façons de participer:
1/ Sur Internet : Envoyer leur la meilleure reprise d’une chanson engagée (une liste non exhaustive est disponible sur la page du concours) > du 04 février au 10 mars 2011
2/ Sur place pendant le festival le 19 mars 2011 : Les participants découvrent le matin plusieurs titres au choix et doivent réalisent en 10h un remix de 90 secondes ou un clip de 60 secondes. Une journée conviviale avec repas, boissons, places de spectacles…autour de la création numérique > places limitées, inscriptions jusqu’au 10 mars 2011
Pour rappel, le TILT FESTIVAL
se fêtera à Perpignan du 17 au 19 mars.
Festival multimédia, musical, d’arts numériques, de spectacles, de créations inclassables, incarné par sa volonté novatrice, le Tilt Festival c’est trois journées et trois nuits de célébration numérique sont programmées pour cette 9ème édition, où se croiseront images, musiques, danses et nouvelles technologies.
Réalisé par Gary Winck,
avec Amanda Sayfried, Marcia Debonis, Gael Garcia Bernal…
Une jeune journaliste en manque d’inspiration se voit proposé par son fiancé un « pré-voyage de noces » en Italie.
Mais ce qui s’annonçait comme un séjour idyllique est quelque peu gâché par les rendez-vous professionnels incessants du jeune homme.
Notre héroïne décide donc d’aller visiter seule la Toscane. Elle apprend l’existence de la cour de Juliette, où des centaines de filles déposent quotidiennement des lettres d’amour sur le mur.
Elle y découvre un appel au secours datant de plusieurs décennies… et décide d’y répondre.
Petit « direct on dvd » sympathique, Lettres à Juliette nous permet de retrouver quelques grands noms de la nouvelle génération d’acteurs, et de passer un moment agréable à l’occasion de la Saint-Valentin. Un peu longuet avec une fin téléphonée, le film est enrichi par ses sublimes paysages.
Disponible en dvd & blu-ray. Bonus : Commentaire audio de Gary Winick et Amanda Seyfried; Scènes coupées avec introduction de Gary Winick; Making of ; La cour de Juliette à Vérone; Une seconde chance; Bande-annonce.
La deuxième vague de la collection « La Mémoire du Collège de France »
rassemble quatre nouveaux DVD alliant histoire et médecine.
Née d’une idée de Pierre-Gilles de Gennes, « La Mémoire du Collège de France » est une série de portraits de grandes figures du Collège de France née en 2001 d’une idée de Pierre-Gilles de Gennes. Ce projet a voulu s’inspirer à la fois de la méthodologie pratiquée par Pierre Bourdieu dans ses enquêtes sociologiques et du célèbre Abécédaire de Gilles Deleuze. Ces entretiens ont pour objectif de cerner l’itinéraire tant professionnel que personnel des ces éminents chercheurs, venus de toutes les disciplines.
Quatre éminents savants sont à l’honneur avec cette seconde vague de la collection :
Jean Dausset (médecine) : prix Nobel de physiologie ou médecine en 1980, il raconte sa contribution à la modernisation des institutions de la médecine française et revient sur ses découvertes les plus fameuses (il découvre en 1958 le complexe majeur d’histocompatibilité, qui permet aujourd’hui de connaître la compatibilité entre donneur et receveur pour une greffe d’organe).
Étienne-Émile Baulieu (médecine) : inventeur de la pilule abortive RU 486 (avortement chimique de début de grossesse), il a fait de la cause de femmes et de la lutte contre le vieillissement ses deux grands combats.
Emmanuel Le Roy-Ladurie (histoire) : grand historien et animateur majeur de la renommée école des Annales, ses travaux précurseurs sur l’histoire du climat lui ont conféré un grand prestige international.
Marc Fumaroli (histoire) : membre de l’Académie française, passionné par la critique littéraire et grand connaisseur de l’Europe des XVIe et XVIIe siècles, il ne vit que par et pour les livres.
Andrée Chédid, femme de Lettres incontestée, a fait de la poésie une arme redoutable qu’elle a toujours su maitriser à merveille. Elle déclinait les mots sous différentes formes, allant avec une aisance déconcertante des romans aux pièces de théâtre, ponctuant avec brio son parcours de nouvelles et de récits. Elle est décédée hier, le 06 février 2010, à l’âge de 90 ans.
C’est le 20 mars 1920 qu’Andrée Saab voit le jour en Egypte, au Caire où elle passera la plus grande partie de sa jeunesse. Alors qu’elle entre en pension à l’âge de dix ans, elle va débuter son long périple d’aimante de la littérature en y apprenant l’anglais et le français. Pour autant, ses premiers écrits feront la part belle à l’arabe grâce auquel elle peut s’exprimer sans arrêts. Quatre ans plus tard, elle se déplacera jusqu’en Europe, plus particulièrement en France, pour commencer ses études mais retournera au Caire pour intégrer l’université américaine qui lui délivrera, en 1942, un BA en journalisme. Elle qui rêvait d’être danseuse..On connait peu les voix du seigneur.
Elle épousera à 22 ans celui qui partage sa vie d’alors, Louis Chédid – père et médecin – avec qui elle aura deux enfants, les anonymes Michèle et Louis. Vaguement peintre et chanteur par la suite.
La déferlante Chédid est en marche. Ça s’entend, ça se voit, ça se lit, ça se consomme sous toutes les formes: Le nouvel Observateur titrait il y a peu « Les Chedid. Une famille en or. »
S’il fallait une huitième famille au jeu, je choisirais celle-ci sans conteste.
Andrée Chedid se consacrera alors pleinement à ce qui avait déjà commencé à rythmer son e existence:
Près d’une vingtaine de recueils de poésies.
Près d’une trentaine de romans et nouvelles.
Huit pièces de théâtre.
Plus de dix autres ouvrages tels que Liban en 1060 ou Petite terre, vaste rêve en 2002.
Ses questionnements perpétuels sur la condition humaine et les liens de cette dernière avec le monde qui l’entoure offrira à Andrée Chedid matière pour une immense carrière récompensée par le Prix Goncourt de la poésie en 2002 et La Légion d’Honneur en 2009.
Ses écrits parlent de tout, pour tous, à travers son monde aux allures d’une fraternité sempiternelle. Précise et délicate, ses mots se grouperont sur des milliers de pages pour donner forme à des œuvres plus criantes de sincérité les unes que les autres.
Dans un paradoxe très maitrisé, elle mettra un point d’honneur à redonner sa sensualité à l’Orient sans perdre de vue la guerre du Liban qu’elle décrira avec justesse.
Ses textes ciselés avec finesse serviront à son entourage autant qu’à la littérature française, en apportant à Matthieu -M- Chédid son hymne d’un temps: Je dis aime (mais aussi Bonoboo ou En Piste); qui lui même partira à la conquête du paysage musical français avec un succès pour le moins irritant s’il n’était pas si mérité.
Madame Andrée Chédid a su s’imposer comme une valeur sûre et a donné un peu plus de superbe à la littérature française qui a perdu le 06 février 2010 une de ses plus belles partisanes.
«Écrire, c’est très dur, avec de grandes fenêtres de joie.»
Andrée Chédid.
Visionné plus de 15 millions de fois sur You tube, le groupe « Vocapeople » se pose
à Paris jusqu’au 20 Mars.
Venus de très loin (de la Planète Voca) nos amis les Vocapeople sont venus nous délivrer un message : La vie c’est la musique et la musique, c’est la vie !
N’utilisant aucun effet sonore, ce groupe de 8 chanteurs hors-pairs nous font re-découvrir les plus grands thèmes musicaux de la chanson et du cinéma dans une ambiance folle et ce entièrement à capella…
Séquences hilarantes avec le public se mélant à des moments de pure grace, les vocapeople nous électrisent pendant toute la durée du show, et quel show : ils ne s’arrêtent jamais, avec un réél talent de la mise en scène, du mime et de l’expression corporelle. Nos amis sont de vrais surdoués, pour notre plus grand plaisir !
A consommer d’urgence et sans modération,
ne ratez pas ces extra-terrestres de la chanson qui vont vous emmener loin, très loin…!
Drame israélien de Leon Prudovsky,
avec Dror Keren, Helena Yaralova, Vladimir Friedman
Un chauffeur de taxi solitaire rencontre la prof de piano de son fils, mariée. D’origines différentes, tous deux rêvant d’un ailleurs, ils s’apprécient. Doit-il aller à Paris ? Doit-elle suivre son mari Canada pour s’y installer ? Autant de questions que nos deux amis devront se poser pour finalement vivre leur vie.
Emouvant.
Après la victoire de Romain Tischenko, lors de la première saison, 14 nouveaux candidats s’affronteront dès ce soir dans différentes épreuves culinaires pour tenter de remporter 100 000 euros.
Cette année, le jury composé notamment de Ghislaine Arabian, Christian Constant, Jean-François Piège et de Thierry Marx a promis un niveau bien supérieur à celui de l’an dernier.
Un casting particulièrement prometteur et très métissé pour cette nouvelle saison de Top chef. Il y a Abraham de la Rosa, 31 ans, né au Mexique et ancien directeur de compte aux particuliers à Montréal, ou encore Pierre Sang Boyer, né quant à lui en Corée du Sud et chef du restaurant de l’Opéra de Lyon.
Selon le magazine l’Express, les candidats s’emploieront ce soir à imaginer un dessert à base de légumes ; ils imagineront ensuite des bouchées de grand chef, confectionnées avec des produits de supermarché ; enfin ils devront tout mettre en œuvre pour réinventer les grands classiques de la cuisine française à l’image du bœuf bourguignon ou de la blanquette de veau.
A l’issue de cette première émission, et comme chaque semaine, un candidat sera éliminé par le jury après l’épreuve de la dernière chance qui opposera les deux moins bons chefs de la semaine.
La première saison de l’émission, diffusée simultanément sur M6 et sur la chaine belge, RTL-TVI avait réuni environ 4 millions de téléspectateurs chaque semaine, soit 12% de part de marché. Un score honorable pour la chaîne.
Juste après le premier épisode de ce programme culinaire, les fans invétérés pourront suivre : « Top chef : que sont-ils devenus » à partir de 23 heures sur M6. L’occasion d’avoir des nouvelles fraiches d’Alexandre Dionisio, demi finaliste malheureux de la saison précédente. Malheureux, pas tant que cela, puisqu’il vient d’ouvrir son restaurant à Bruxelles, et a été déjà récompensé par une étoile au Guide Michelin
Elle est comédienne, chanteuse, humoriste…il était temps que Prisca Demarez nous propose son one-woman show, oui, elle toute seule en scène dans sa robe rouge coquelicot, juste accompagnée de son pianiste, l’excellent Shay Alon, d’une petite table et d’une carafe d’eau, pour qu’on la découvre vraiment, intimement, après l’avoir vue triompher dans les plus belles […]
De Beckett, c’est la pièce préférée du metteur en scène Jacques Osinski qui confie que « c’est celle qu’on n’ose pas aborder sans un certain bagage ». Après Cap au pire ou la dernière bande, Jacques Osinski s’attaque donc à Fin de partie « comme on s’attaque à Hamlet ». Il s’entoure d’une équipe artistique qui elle […]
Jean Anouilh décidément nous surprendra toujours ! Qui s’attendrait à lire ou voir un véritable conte de fées fantaisiste par l’auteur d’Antigone ou de Médée? Car c’est une comédie savoureuse, injustement méconnue, que la troupe des Ballons Rouges a eu la bonne idée de monter, avec l’aide précieuse du metteur en scène David Legras, et de présenter […]
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