Film de science-fiction américain de Josh Trank, avec Dane DeHaan, Alex Russel, Michael B. Jordan…
Trois ados que tout séparent se rapprocheront grâce à un terrible secret : suite à la découverte d’une entité apparemment extra-terrestre, ils sont dotés de super-pouvoirs.
La force de leur esprit va en grandissant et les jeunes découvrent, émerveillés, l’étendue de leurs capacités. Mais qui dit grand potentiel dit grande responsabilité… Et pas sûrs que les trois compères soient hyper responsables.
Tourné en found-footage (mode téléphone portable), Chronicle a su intelligemment varier la forme (utilisant chaque caméra témoin) pour que le fond tienne la route. Les aventures des étudiants est assez entraînante, voire intéressante. La grande scène finale parvient même à pallier l’essoufflement du film. Une agréable surprise qui peut faire réfléchir sur les capacités humaines et ses limites.
Bonus : Pré-visualisation; Test Caméra; Bande-annonce
Actuellement disponible chez FPE
Comédie d’action américaine de Mc G avec Reese Witherspoon, Chris Pine, Tom Hardy…
Lorsque deux agents très spéciaux tombent amoureux de la même femme, toutes les techniques d’espionnages possibles vont être de mise pour remporter le trophée féminin.
Coups bas, micros, caméras… C’est parti pour deux heures de rire et d’actions !
Film idéal pour une soirée entre amis !
Reese Witherspoon nous raconte comment dans la vie, l’amour et ‘Target’, tout est juste et équilibré.
QUESTION: Nous aurions dû nous en douter. Reese Witherspoon, star d’un film d’action! C’est super de vous voir jouer ce genre de film. C’est vraiment vous derrière le volant lors de la dernière course poursuite en voiture ?
REESE WITHERSPOON: [RIRES] Depuis un moment, j’ai tendance à faire pas mal de cascades. J’en ai fait un certain nombre sur De l’eau pour les Eléphants. C’était l’année de la cascade. Maintenant je vais faire une pause parce que je suis un peu sujette aux accidents. [SOURIRES] Mais c’était génial. J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à travailler avec McG (le réalisateur) qui est toujours amusant et drôle. Il était très ouvert aux suggestions des acteurs et à l’improvisation, en ce sens, on s’est vraiment bien amusé. J’étais en plus très intéressée par la relation qui existait dans le scénario entre le personnage de Chelsea Handler et le mien. Nous sommes de très bonnes amies. J’aimais l’idée que nous puissions explorer ensemble les relations amoureuses avec les hommes, et ces deux femmes prennent soin l’une de l’autre, elle se soutiennent et se donnent des conseils. Nous nous sauvons en quelque sorte. C’est un aspect très intéressant du film.
QUESTION: Dans Target, une grande partie de l’amusement vient du fait que vous êtes au centre d’une guerre entre deux hommes qui vous voient tous deux comme l’objet de leur affection.
WITHERSPOON: C’est un grand fantasme pour une femme que d’avoir deux hommes qui se battent pour elle. Il n’y a pas de meilleure façon de le dire. C’est un concept relativement nouveau pour les femmes qu’elles puissent avoir le contrôle et être capables de choisir autant d’aspects différents dans leur vie. Nous sommes les bébés du mouvement de l’égalité des droits, de sorte que nous ressentons les avantages de la liberté de choix dans des domaines très différents. Dans tout ce qu’elles traversent, faire des enfants toutes seules, faire une grande carrière, diriger des entreprises ou des studios, les options des femmes sont différentes à présent et elles peuvent même choisir leurs partenaires.
QUESTION: Pourtant, nous devons encore comprendre les mystères d’une relation réussie. Pourquoi le public continue-t-il d’être attiré par ce genre d’histoire ?
WITHERSPOON: Les gens ont un espoir infini en l’amour et c’est formidable. Cela fait partie de la nature humaine. C’est ce qui vous réveille le matin. C’est ce qui vous fait avancer. Il y a toujours la possibilité qu’il y ait quelque chose de bien qui vous arrive. J’ai toujours pensé que nous n’aimions pas en vain. Toutes les sortes de relations ou d’amitiés que vous avez dans votre vie n’arrivent pas par hasard et contribuent à constituer votre âme. Ca en fait partie. Nous nous sentons plein d’espoir. Il y a cette forme d’espoir réel dans le film.
QUESTION: Le film pose un problème moral difficile en cette période confuse et conservatrice. Est-ce vraiment une bonne idée de choisir entre deux hommes en les départageant sur le plan sexuel ?
WITHERSPOON: [RIRES] La genèse de cette rencontre en ligne c’est qu’elle a le cœur brisé. Elle a été sérieusement trahie par son dernier petit ami et elle se sent complètement détruite et je pense que tout le monde sur cette planète a déjà vécu cela, enfin c’est ce que j’ai fini par comprendre. Elle est méfiante vis-à-vis de n’importe quel type de relations. Elle est terrifiée à l’idée de quitter la maison et d’avoir une nouvelle fois le cœur brisé. Ca lui demande une certaine dose de courage. Quand nous nous sommes posés la question de savoir si elle allait ou non coucher avec ces hommes, ce fut très difficile. Dehors c’est un monde tout à fait différent. La première fois que je me suis mariée j’avais 22 ans et je suis à nouveau mariée. Je n’ai pas une énorme connaissance des relations, donc je me suis renseignée auprès de mes amis célibataires. J’ai parlé avec d’autres personnes qui travaillaient sur le film et je pense que nous sommes arrivés à un bon équilibre de ce qui est parfois excessif dans une nouvelle relation. Vous voyez à quel point elle peut être torturée par cela, aussi, ce qui est chouette. Elle est folle de ces deux mecs, elle ne sait pas si elle doit coucher avec eux, tout ce genre de choses.
QUESTION: Etes-vous comme Lauren, une femme qui peut prendre des décisions impérieuses ?
WITHERSPOON: Une des choses intéressantes que nous avons trouvé en construisant ce personnage, c’est que c’est une femme qui prend toujours la bonne décision. Elle a un métier du style ‘test achat’ et elle doit toujours évaluer les produits et les choses. Je pensais que ça serait vraiment drôle pour le film que cette femme de décision soit totalement paralysée par ce choix, c’était une belle opportunité. Je suis une personne qui prend des décisions quand il faut le faire. Si on me donne l’occasion de ruminer les choses, je vais finir par tourner en rond, mais si quelqu’un me dit de faire un choix, je peux le faire très rapidement.
QUESTION: Nous ne devrions vivre que le genre de rendez-vous que vous avez avec Chris Pine et Tom Hardy à l’écran. Avez-vous le souvenir d’un rendez-vous mémorable ?
WITHERSPOON: J’ai eu des rendez-vous formidables dans ma vie. J’ai eu beaucoup de chance. J’ai vécu notamment un anniversaire incroyable où quelqu’un a organisé une chasse au trésor pour moi. J’ai dû aller dans toute la ville. C’était vraiment original.
QUESTION: Après avoir atteint un tel sommet dans votre carrière en remportant un Oscar pour Walk the Line, êtes-vous davantage préoccupée par la perception qu’on pourrait avoir de vos choix de carrière? Vous verra-t-on dans d’autres genres de film ?
WITHERSPOON: Je ne pense pas qu’il s’agisse de créer une sorte d’héritage dans une carrière. Ce sont juste des choses que je lie entre elles. Je pense plus à ma vie à présent ; je me suis rapprochée de mes racines, de ma culture et de mon héritage. J’en suis presque à vouloir rentrer un peu chez moi et raconter plus d’histoires avec un point de vue du Sud. Il y a tellement de chagrin et de joie à la fois dans cet environnement. J’ai adoré La couleur des sentiments. C’est un film vraiment inspirant et qui m’est allé droit au cœur parce qu’il se passe vraiment dans la région d’où je viens. Je suis impatiente de tourner dans ce genre de films.
QUESTION: La perception fait tout à Hollywood, particulièrement quand une star atteint un certain niveau de succès. N’avez-vous pas peur que certains risques de carrière ne soient pas payants au box-office ?
WITHERSPOON: C’est difficile parce que les médias se focalisent sur le box-office. Ce qui me semble important c’est de savoir si le film est bon ou pas. Si les gens veulent voir des bons films, l’environnement dans lequel ils les voient n’a aucune importance. Qu’ils les voient en DVD ou au cinéma, les films ont de très longues vies. C’est ce que j’ai constaté en passant des années dans cette industrie et en voyageant à travers le monde, les films touchent le cœur des gens. C’est important pour moi d’avoir une forme de dignité dans la manière de raconter les histoires. J’aime mon métier. Je vis une période formidable. J’arrive à créer des personnages, je joue des personnages qui ont existé et j’honore leur mémoire. C’est un honneur et une joie.
QUESTION: Ce qui est beau dans ce genre de rôle à contre emploi c’est qu’il révèle quelque chose de surprenant sur l’acteur. Quel est d’après vous la plus grande méprise à votre propos?
WITHERSPOON: Parfois les gens estiment qu’ils savent qui je suis et de quoi je suis capable. Je suis capable de jouer des comédies. Je suis capable de jouer dans des drames. Je suis dans une bonne position. Chaque opportunité, chaque film que je tourne est à chaque fois une occasion de se faire de nouveaux amis et d’avoir de nouvelles expériences. On ne m’a jamais mis d’étiquettes, ce qui est vraiment agréable.
QUESTION: Maintenant que vous avez un film d’action dans votre répertoire, quel est pour vous le plus grand défi, mener une carrière à succès ou mener une vie de famille?
WITHERSPOON: Mes enfants sont en quelque sorte habitués à ma vie, mais, est-ce que j’aimerais pouvoir me dédoubler? Oui ! Est-ce que j’aimerais pouvoir m’occuper des petites choses du quotidien ? Est-ce que j’ai toujours à l’esprit toutes ces choses qui passent à travers les mailles du filet, tous ces cadeaux que j’aurais pu faire, toutes ces lettres personnelles que j’aurais pu écrire ? Ouais. Mais je suis du bon côté de la barrière, donc je suis heureuse. C’est agréable d’avoir une vie pleine et de regarder mes enfants grandir et se développer. C’est une chose merveilleuse.
Bonus Blu-Ray :Version longue inédite du film; DVD et la copie digitale du film; Fins alternatives; Scènes inédites; Commentaires audio.
Disponible aujourd’hui chez FPE.
La formation dont est issue Gwen Stefani, No Doubt, qui avait laissé de côté l’aventure en groupe, pour la carrière en solo de la chanteuse, réapparait dans l’univers musical, avec un nouvel album prévu pour septembre.
Le groupe formé en 1986, aux succès retentissants comme » Don’t speak » ou bien encore « Just a girl « , s’était temporairement séparé pour que Gwen Stefani assouvisse ses désirs de chanson en solo.
La blonde Stefani avait malgré tout, toujours évoqué, une envie de continuer de travailler avec le groupe dont elle était la leader.
C’est maintenant chose faite, puisque le groupe travaille depuis plusieurs mois à la sortie de leur nouvel album que le public pourra découvrir si tout se passe bien à la rentrée.
En 2009, les membres s’étaient déjà retrouvés le temps d’une tournée, pour se remémorer le plaisir de bons moments passés ensemble.
Après des dizaines d’images diffusées sur le net de leur enregistrement en studio, de bouts de vidéo nous montrant le groupe à nouveau au travail, le premier extrait de cet album come back, nous replonge dans notre passé d’adolescent, avec la même énergie débordante et euphorisante qui caractérisait déjà le groupe à l’époque.
On reprend les mêmes et on recommence.
Découvrez » Settle down » premier morceau de l’album à venir
Comédie dramatique belge de Geoffrey Enthoven
avec Robrecht Vanden Thoren, Johan Heldenbergh, Gilles De Schrijverplus
Trois jeunes amis handicapés décident de partir en road-trip dans un seul but : perdre leur virginité dans une maison close espagnole spécialisée…
L’idée, inspirée d’une histoire vraie, est brillante. Le film est un anti-tabou : de l’adolescence en chaise roulante jusqu’à la sexualité souvent difficile des handicapés. L’heure est donc à la réflexion par l’humour. En passant du rire aux larmes, Hasta la vista nous offre une plongée dans le quotidien de ces jeunes plein de vie et d’espoir, malgré tout. Nous croisons également Claude, une femme forte renfermée sur elle même qui accompagne les trois amis… Au départ assez dure, elle s’ouvrira peu à peu face à l’humain.
Et si le bonheur commençait dans la tête ? Une belle leçon de vie, qui a reçu le Prix du public au Festival International du Film de comédie de l’Alpe d’Huez.
Bonus : Le palmarès de l’Alpe d’Huez ; Interview de Claude Lelouch ; Interview de Geoffrey Enthoven ; Interview de Gilles De Schryver ; Interview d’Isabelle De Hertogh ; Interview de Robrecht Vanden Thoren ; Bande-annonce.
La ville de la Rochelle attaque les festivités, en proposant pour la 28ème fois aux locaux et aux vacanciers, l’un des plus gros festivals référence de cet été.
Le festival Francofolies qui a lieu tous les ans à la Rochelle, débute aujourd’hui.
Avec toujours la même volonté de mettre en avant des talents essentiellement francophones et français, pour ouvrir les festivités cette année, vous pourrez retrouver, Julien Doré, Imany, ou bien encore Benabar et le dj Martin Solveig.
Les amateurs de musiques électroniques, pourront savourer aujourd’hui, les sets de Housse de racket et de Stuck in the sound.
Du 11 au 15 juillet, ce n’est pas moins de 130 concerts qui seront proposés aux festivaliers, avec entre autre au programme, Charlie Winston, Catherine Ringer, Dionysos, ou bien encore Joey Starr, et Shaka Ponk.
Une petite nouveauté pour cette édition, les francos matinales, qui vous permettront de découvrir en toute intimité, des artistes dés 11h, au sein d’un nouveau lieu à part, le muséum d’histoire naturelle de la ville.
L’énigmatique et charismatique Camille y chantera a capella, et Emilie Loizeau y présentera en avant première, son nouvel album.
On en dit pas plus.
Cette année encore, les Francofolies,se veulent pleines de surprises. Il ne tient qu’à vous de réserver vos billets pour les découvrir.
Documentaire britannique de Rupert Murray avec Mélanie Laurent (narration), Charles Clover…
Imaginez-vous la mer sans poissons ? Impossible, elle semble inépuisable…
Pourtant, c’est ce que nous et nos enfants risquons de voir d’ici 35 ans. Ce documentaire puissant aux images choc a pour objectif une prise de conscience collective urgente. En pleine période de sensibilisation sur le réchauffement climatique et les problèmes écologiques, il met en exergue les conséquences dramatiques de la pêche industrielle sur tout l’écosystème.
Le film dénonce la surexploitation des ressources maritimes, la destruction des fonds marins et les gouvernements qui ferment les yeux sur la pêche illégale.
Optant pour un parti pris indéniable sur la défense de la nature, le documentaire (bien rythmé et sans longueurs), appuie ses données chiffrées sur des images désolantes montrant la cruauté de l’homme.
On regrette cependant que la parole ne soit pas donnée aux accusés : politiciens, conglomérats et certains scientifiques. Il aurait été intéressant de savoir comment les entreprises et les gouvernements justifient le non-respect des quotas de pêche ou les mensonges quant aux chiffres déclarés par les pays asiatiques.
On aurait également aimé savoir si ces acteurs néfastes ont réellement conscience des menaces immédiates pesant sur la faune et la flore sous-marine.
« L’océan va mourir. Parce que l’homme est fou. »
Des espèces sont en voie d’extinction car l’industrie flottante vise à satisfaire une demande mondiale croissante de poisson. Il est temps pour chacun de nous de prendre conscience de la gravité des impacts de cette activité industrielle.
« L’information, c’est le pouvoir. »
Les politiques n’y changeront rien… Alors ce documentaire nous montre comment nous pouvons agir individuellement sur le devenir des populations de nos océans et devenir des consommateurs responsables avant d’atteindre le point de non retour. Il nous sensibilise surtout à propose des prochaines répercussions de l’espèce humaine sur notre planète.
A voir en famille et entre amis de toute urgence !
Pour faire changer les choses, il existe des solutions simples et directes pour le consommateur :
– Se renseigner sur le poisson acheté ou le restaurant fréquenté
(notamment grâce à www.fish2fork.com)
– Rejoindre la campagne pour les réserves marines protégées
sur www.bluemarinefoundation.com – Faire pression sur les politiques pour demander une réforme adéquate de la PCP.
Drame américain de Jeff Nichols avec Michael Shannon, Jessica Chastain, Tova Stewart…
Un homme est en proie à des visions apocalyptiques. Rêves prémonitoires ou psychose ?
La fin du film est frustrante, très frustrante.
Je vous préviens tout de suite mais on y reviendra.
Film indépendant qui brilla dans de nombreux festivals internationaux (Sundance, Cannes, Deauville…), Take shelter a effectivement de quoi séduire : une réalisation brillantissime, un jeu d’acteur époustouflant, une image et une intrigue hyper soignées… L’ensemble offre un spectacle hallucinant, à couper le souffle.
Malheureusement, au fur et à mesure que le film avance, on sent le happy end difficile : soit les visions s’avèrent correctes, soit le héros est vraiment fou. Dans l’un ou l’autre des cas, cela ne change pas grand-chose à la donne. Passée la contrariété du générique de fin (parce que le réalisateur arrive quand même à nous surprendre), on réfléchit un peu et on se pose des questions. On se demande si, finalement, le film ne parle pas aussi de l’amour, de la société, des américains, du couple et de la fin du monde. Bref on se dit que Take shelter est peut-être un grand film. Un grand film frustrant.
Bonus : Les coulisses des effets spéciaux racontés par Jeff Nichols; Les entretiens avec Jeff Nichols et Michael Shannon; Les scènes coupées; Commentaires de Jeff Nichols et Michael Shannon; Making Of.
Aujourd’hui mercredi, on retrouve sur les écrans, le nouveau film de Tim Burton, Dark Shadows.
L’histoire débute en 1752, la famille Collins s’exile avec leur fils Barnabas aux Etats-Unis pour commencer une nouvelle vie et pour fuir une malédiction qui ne cesse de frapper le clan. 20 années plus tard, beau, fort, irrésistible, Barnabas est tel un roi dans la ville de Collinsport située dans le Maine. Le sort va cependant continuer à s’acharner. Il va briser le coeur d’une sorcière qui, pour le punir,va le destiner à vivre en vampire enterré vivant. 2 siècles plus tard, Barnabas est libéré de sa tombe et se retrouve parachuté en plein dans les années 70 avec une multitude de changements auxquels il va falloir faire face.
Pour ce nouveau film, Johnny Depp est une fois de plus à l’affiche, incarnant un vampire déjanté, qui essaie tant bien que mal de s’adapter aux moeurs d’une société à la force tranquille,et dans laquelle il est dépassé.Aux côtés de Johnny Depp, on retrouve également l’intrigante Eva Green dans le rôle de la sorcière déçue, et Michelle Pfeiffer, mère du personnage principal.
Adaptée d’une série datant de la fin des années 60,ce film marque la 8ème collaboration entre le réalisateur et Johnny Depp. Toujours égale à lui même, Tim Burton, nous emmène une fois de plus dans un délire aux couleurs électriques, dans un monde imaginaire psychédélique, où le côté sombre d’un vampire en décalage apporte la touche humoristique.
Et pour ceux qui en redemanderait, il est bon de rappeler que l’exposition rétrospective consacrée à Tim Burton à la Cinémathèque française est toujours d’actualité, et cela jusqu’au 5 août. Un autre moyen de découvrir ou de redécouvrir la fantaisie du réalisateur.
Film dramatique français de Mathieu Kassovitz
avec Mathieu Kassovitz, Iabe Lapacas, Malik Zidi…
Kassovitz revisite le « massacre d’Ouvéa ».
Rappel des faits : en avril 1988, en pleine élections présidentielles françaises (ce détail a son importance), une faction d’indépendantistes kanaks tue 4 gendarmes français et en kidnappe 27 autres. Les otages sont divisés en deux groupes. L’un sera libéré trois jours plus tard et l’autre groupe, avec 16 otages, est confiné dans une grotte.
Après une tentative de négociations qui tourne au fiasco, le nombre des otages passe à 24. Deux semaines plus tard l’armée française met fin aux négociations et lance l’assaut. Bilan : 19 morts chez les preneurs d’otages et 2 chez les militaires. Jusqu’ici tout le monde est d’accord. La polémique survient ensuite, certains remettant en cause la version officielle des faits. Selon des rumeurs, certains indépendantistes auraient été tués après l’assaut, de sang froid. Ce qui correspondrait à des exécutions sommaires…
La version de Mathieu Kassovitz reprend cette thèse pour l’ériger en vérité absolue.
Il va sans dire qu’elle est contraire aux déclarations des autorités militaires.
Le film a donc un parti (politique) pris. Soit. Là où le bat blesse c’est que Kassovitz « oublie » certains détails dans son histoire.
Par exemple, le film présente les indépendantistes comme représentatifs de la société de Nouvelle-Calédonie. Ne pouvant être écoutés par le gouvernement, ils durent se résigner à faire une action « coup de poing » qui leur échappa. Mais Kassovitz ne précise pas que 7 mois plus tôt, 98,3 % des autochtones avaient refusé l’indépendance de leur territoire via référendum.
Dans « L’ordre et la morale », lors de l’action contre la gendarmerie, les quatre gendarmes sont tués par balles, alors que Jacques Chirac à l’époque (et d’autres depuis) a déclaré que les victimes ont été assassinées à coups de machette. Tentative supplémentaire de Kassovitz pour faire paraître les assassins moins brutaux ? Est-ce pour cette raison qu’il nous présente les ravisseurs comme des « pères de famille voulant rentrer chez eux », pris dans leur propre piège ? Syndrome de Stockholm, quand tu nous tiens…
Enfin, après la sortie du film, le colonel de gendarmerie chargé des opérations de police judiciaire après l’assaut (Alain Benson) et le magistrat otage (Jean Bianconi) ont déclaré dans un communiqué qu’ils « n’ont eu ni les comportements, ni tenu les propos qui leur sont respectivement prêtés, lesquels relèvent d’une déformation de la réalité, voire de la pure désinformation».
Rendons tout de même à Mathieu ce qu’il lui appartient : le film est magnifiquement tourné, avec des plans-séquences ahurissants et une plongée dans les méandres des intérêts politiques très instructive. Mais alors qu’il aurait pu être fin, intelligent, laissant le doute sur la « vérité » et posant aux spectateurs les bonnes questions, le film s’enfonce dans l’antithèse pure, quitte à en perdre de la crédibilité.
En somme un film intéressant, seulement si on se documente sur le sujet après visionnage, ce que quasiment personne ne prend le temps de faire. La fin (dénoncer les magouilles politiques) ne justifie pas toujours les moyens (mensonges par omission, manipulations sentimentales, etc).
Si la forme est bluffante, le fond est malheureusement bancal. Dommage.
Bonus blu-ray : ‘Le dernier assaut’ : making of (65′); ‘Le temps Kanak’ : documentaire sur 10 années de préparation du film (60′).
Aujourd’hui a eu lieu le lancement officiel de la première édition du « Champs Elysées Film Festival »
qui se déroulera du 6 au 12 Juin 2012 et qui mettra à l’honneur le cinéma américain.
Avec Lambert Wilson comme président, ce nouveau festival de cinéma (enfin accessible à tous) proposera 10 films indépendants en compétition pour le prix du public.
Des avants-premières de films américains et français y seront également proposées, ainsi qu’une rétrospective des films produits par Harvey Weinstein (en sa présence), une sélection de courts-métrages, et une soirée consacrée à l’acteur Donald Sutherland (oui, il sera là aussi).
Le prix du pass n’est que de 35 euros / Cartes illimitées acceptées.
Il va y avoir du beau monde sur les Champs en Juin !
Plus d’infos : www.champselyseesfilmfestival.com
En janvier, Amélie avait annoncé sa participation aux Anges de la téléréalité 4 à condition que son bébé l’accompagne. Alors qu’elle avait promis que son petit garçon ne passerait pas à l’antenne, Amélie s’est affichée avec lui dans la vidéo de présentation.
Quelques semaines après son accouchement, Amélie avait déclaré qu’elle participerait à l’émission des Anges de la téléréalité 4, mais avec quelques conditions. « Je n’irai pas si Hugo n’a pas trois mois et je ne partirai pas sans lui. Ensuite, hors de question qu’il passe à l’antenne. Comme un bébé de star, il sera avec une nounou pendant mes heures de tournage. La télé-réalité est un choix d’adulte et je n’ai pas à lui imposer », expliquait elle à Closer.
Mais Amélie n’a pas vraiment tenu parole, puisqu’un mois seulement après avoir fait ses déclarations, elle s’est envolée avec son bébé… âgé seulement de 2 mois ! Mais le comble, c’est qu’elle affiche son bébé devant les caméras. Dans le premier épisode, on découvre la frimousse du petit Hugo. Sa mère le dépose chez la nounou, non sans peine, avant de partir pour la villa et retrouver tous ses copains !
Deux ans après son album « l’homme moderne », Benjamin Paulin revient au devant de la scène avec un album plus personnel. Maniant avec brio ironie et dérision, le chrooner sait se livrer sans retenue assumant toute sa sensibilité. Entretien avec un artiste qui marquera certainement la chanson Française.
Après suicide commercial, un titre provocateur, votre deuxième opus s’intitule « Deux ». Que cache ce deux, et quelle dualité évoquez-vous?
Le deux évoque la dualité entre l’auteur et l’interprète. C’est une problématique que je voulais explorer, la lutte entre l’auteur et l’interprète m’intéressait et l’envie de raconter la possible cohabitation entre les deux. C’est l’expérience de mon premier disque qui m’en a donné le goût. C’était un album radical, germanique comme on dit, mystérieux contrairement à celui là qui est pensé et où je fais tomber le masque et je prends surtout le risque de me mettre à nu. Pour moi : l’auteur est libre, l’interprète lui, est résumable.
En écoutant votre album, il y’a beaucoup de tristesse, de mélancolie. N’avez-vous pas peur d’être catalogué comme un romantique mélancolique?
Cette année, j’ai vécu une période assez difficile sur le plan personnel (j’ai perdu beaucoup de proches). Du coup, j’avais moins envie de rire, d’ironiser. C’est plutôt une démarche psychanalytique où j’ai essayé d’explorer la tristesse morale, celle que l’on vit au quotidien, que l’on porte en soi et qu’on essaie de camoufler, de maquiller dans une société guidée par le divertissement. Le malheur pour moi est normal.
Tristesse rime généralement avec humilité, mais dans certains de vos titres, on vous sent hautain voire même prétentieux. Qu’en pensez-vous?
Non, je ne crois pas que je sois quelqu’un qui carbure aux certitudes. Bien au contraire, j’ai fait mon album à partir d’un ressenti et je crois qu’il doit pouvoir parler à tout le monde. Ma démarche n’est pas élitiste, elle est plutôt intime donc forcément elle doit comporter assez de générosité pour n’exclure personne et intéresser le grand public. Donc , non , je ne suis pas un artiste prétentieux encore moins un intellectuel méprisant. Mes textes sont simple d’accès, ca me paraît simple et je ne pense pas que les gens soient bêtes.
On vous sent plus apaisé, réconcilié avec vous même. Qu’en est-il de votre expérience dans le milieu du rap, une expérience pour laquelle vous avez essuyé des critiques et où le milieu du rap n’a pas été tendre avec vous après votre reconversion solo?
C’est une expérience que je revendique aujourd’hui. Il est vrai qu’au début, j’étais comme un chat qui cachait son caca, c’est juste que moi je cachais mon passage dans le milieu du rap. Mais pour moi, rentrer dans le monde de la musique par la porte du rap serait comme faire un carrière au cinéma dans le porno. Mais ce qui me choque des fois dans le milieu du rap, c’est une sorte de fanatisme : On aime pas la musique, ni le rap dans sa globalité mais le rap français et c’est l’envie de rompre avec ses stéréotypes qui m’a fait explorer autre chose.
Votre expérience dans le milieu du rap mise à part, quelles sont vos influences musicales et ou vous vous situez aujourd’hui dans la chanson française?
Léo ferré, Brel, Gainsbourg, des figures qui ont osé exister avec autre chose, à leur manière et ils sont respectables pour des raisons différentes. Je me reconnais dans ce je fais pas en ce qui se fait. Le fait de choisir de chanter des textes est une tentative désespérée de parler aux gens. En écrivant mes textes, je peux hurler ma douleur ou autre chose sans être interrompu mais une fois mes textes chantés, ils ne m’appartiennent plus. J’accepte de les soumettre au regard du public et à lui de les accepter ou de les renier.
Pour finir cette entrevue, une question que vous aurez aimé que je vous pose et que je n’ai pas posé?
Ca te ferait quoi de vendre un million de disques? -Franchement, ca ne changerait rien pour moi- (avant d’éclater de rire)
Letter to the Lords est un long album comprenant une vingtaine de morceaux, pourquoi as-tu fait ce choix dans une époque où l’album synthétique (dix ou douze morceaux) semble être plus à la mode ?
Irma : C’est une réédition du premier album qui faisait douze morceaux, et cela me fendait le cœur car on avait dû faire des choix, alors qu’on en avait enregistré au moins vingt au départ. Mais comme ils étaient tous mes petits bébés, j’avais envie de tous les placer !
Les noms des quatre-cent-seize internautes/producteurs sont inscrits sur la pochette de l’album. As-tu déjà rencontré quelques-uns d’entre eux ?
Oui, surtout les deux dernières années, quand je tournais. A chaque fois que je passais dans une ville où il y avait des producteurs, ils venaient me voir à la fin des concerts et on discutait. On se rend vraiment compte que pour eux, ce n’est pas un investissement, ils n’attendent pas forcément un retour ; ils sont juste contents d’avoir participé au projet d’un artiste.
J’allais justement te demander si quatre-cent-seize producteurs, cela ne faisait parfois pas trop de comptes à rendre… Tu n’as pas eu peur de cela au début ?
Non, c’était plutôt rassurant, surtout le fait de se dire que c’est quelque chose qui leur a plu dès le départ. Au contraire : on peut se reposer sur quatre-cent-seize personnes dans mon cas, qui peuvent me dire « on préfère ça, ou ça » à tout moment, ou m’aider à choisir entre deux mix d’une chanson… et ils sont généralement tous d’accord sur la même chose, il n’y a jamais quatre-cent-seize avis.
Tu as une vraie voix, qui nous rappelle parfois Lauryn Hill, à la fois délicate mais aussi dynamisée par des rythmiques soul, reggae ou hip-hop. Dans quel univers musical as-tu grandi ?
Lauryn Hill, on est en plein dedans, c’est pourquoi cela me fait plaisir quand on me compare à elle. Après, c’est un mélange de tout : beaucoup de soul, de new jazz, mais aussi beaucoup de pop, et de pop rock même. J’écoutais souvent des groupes comme Queen, Oasis…
Tu écris seule tes textes. Qu’est-ce qui est venu en premier : l’écriture ou la musique ?
La musique, clairement. J’ai commencé par du piano classique, ce qui n’a absolument rien à voir, et c’est plus tard que j’ai commencé à gratter sur la guitare de mon père, parce que le problème avec le classique, c’est que tu suis la partition que tu ne dépasses pas. J’avais besoin d’un autre instrument pour composer.
Tu racontes ton histoire dans cet album, tu y parles principalement d’amour, et il semble qu’il y a deux approches de l’amour : la manière « End of the story » ou « Every smile », assez nostalgique, et la manière « In love with the devil », plus sombre, plus révoltée.
On peut clairement le voir comme cela. Après, il y a des chansons qui rendent hommage au pays dans lequel j’ai grandi : « Every smile » c’était une manière de dire que tous les sourires, toutes les choses que j’ai vécues là-bas, m’ont permis d’écrire, de composer. Quand j’ai écrit « I know », je me révoltais contre ce que je voyais : un pays riche et des gens pauvres, c’est quelque chose que je n’arrivais pas à comprendre.
Tu as grandi au Cameroun, tu es arrivée en France à quinze ans. Comment s’est passé la transition, à un âge de transition justement ?
Très mal (rires). Non, bizarrement, je pense que j’étais faite pour tourner, parce que je m’adapte très vite à n’importe quel endroit. Je me dis toujours que c’est une étape, je ne me suis pas dit que je ne reverrais jamais mon pays… Quand je suis arrivée ici, bien sûr qu’il y avait un peu de nostalgie par rapport à mes racines, mais je me disais que j’allais découvrir plein de choses, rencontrer plein de nouvelles personnes.
Tu retournes souvent au Cameroun ?
J’y suis retournée pour le dernier Noël, et cela faisait six ans que je n’étais pas rentrée. Retrouver la chambre dans laquelle j’ai composé mes premières chansons… c’est dans ces moments que tu réalises ce qu’il s’est passé.
Tu t’es fait connaître alors que tu étais encore au lycée ; comment cela se passait ? Tu étais un peu la « star » du lycée, les gens te connaissaient ?
Oui, surtout que je jouais dans un groupe de rock à l’époque. En plus, c’était un lycée très catholique, donc on n’avait pas de jean troué mais des chemises bien rentrées dans le pantalon… et on jouait les rebelles en chantant « We dont’ need no education » (cf : Another brick in the Wall de Pink Floyds).
Et aujourd’hui, on peut lire sur le site de MMC (My Major Company), 400 000 écoutes, 96 000 pages vues, mais il y a aussi le disque d’or, le disque de platine… Tu ne te dis pas que cela va trop vite ?
Complètement. Je n’ai pas le temps de réaliser. Tu es dedans et tu fais, tu fais, tu fais… Et puis il y a des moments, comme cet hiver, quand je suis revenue au Cameroun, où tu regardes en arrière et tu te dis qu’il y a eu du chemin.
Tu es actuellement en école de commerce, ce qui semble être un gros sujet… Peux-tu nous en parler ?
Ce qui est drôle, c’est que le jour où j’ai été admise à l’ESCP, je signais chez MMC, quasiment au même moment. Tout s’est toujours déroulé en parallèle, j’ai toujours réussi à jongler pour les cours : j’y allais du lundi au mercredi et j’étais en tournée du jeudi au dimanche. Ce qui est bien, c’est que chez MMC comme à mon école, ils sont assez arrangeants.
Tu comptes aller jusqu’à l’obtention de ton diplôme ?
Oui, car il ne me reste plus que quelques matières à passer, et ce serait vraiment dommage de ne pas aller au bout. Si je rentrais à l’école maintenant, bien sûr que je me poserais des questions, mais je me dis que j’ai déjà fait le plus gros, j’ai commencé et j’ai envie de terminer. Et puis ça me permet aussi d’être en cours, d’avoir le recul nécessaire par rapport à ce que je vis, cela me ramène à la réalité.
Tu pars bientôt aux Etats-Unis. Que vas-tu y faire ?
On va enregistrer la version américaine de l’album, parce que j’ai signé là-bas il y a deux mois, chez Universal Music. Sur cette version, il y aura des chansons qui existent déjà, mais aussi des nouvelles. C’est un gros pari : les États-Unis c’est quelque chose d’énorme, mais cela va également demander beaucoup de travail, parce que des gens qui font de la guitare et qui chantent sur un arbre, il y en a beaucoup là-bas. C’est un beau challenge !
Il n’y a pas des moments où tu te dis « mais pourquoi moi » ?
Oui, tout le temps. Mais je me dis que je ne trouverai pas de réponse à cette question, je préfère donc concentrer mon énergie afin d’être à la hauteur de ce qui m’arrive. En plus je suis assez croyante, et je me dis souvent que ce que tu as aujourd’hui peut disparaître comme cela [elle claque des doigts] le lendemain.
C’est une exposition originale que propose le mémorial de la Shoah. Croiser l’histoire du sport et l’histoire du nazisme est un défi que s’est lancé le mémorial de la Shoah et vu le résultat il a été réussi. Vous allez pouvoir découvrir comment le sport a été un terrain de lutte politique et idéologique en particulier, ses pages les plus sombres écrites entre les Jeux de Berlin organisés par le IIIe Reich et le renouveau de l’olympisme esquissé à Londres en 1948.
Films, photos, documents d’archives, biographies de sportifs juifs aux carrières bouleversées par le nazisme. C’est une exposition émouvante et touchante qui revient sur une partie douloureuse de l’histoire de l’humanité.
Mémorial de la Shoah
17 Rue Geoffroy l’Asnier – 75004 Paris
Du 9 novembre 2011 au 29 avril 2012
Un spectacle musical à partir des chansons de Jaques Brel. Tous les Mercredis soir, au cabaret de l’essaion, un garçon de café attendra patiemment Madelaine. Une attente qui dure et où il retrace son passé, ses souvenirs, ses illusions, ses désirs et ses désillusions. Un homme en mal d’amour en somme.
Un spectacle qui a pour fil conducteur les compositions du grand Jaques Brel. Il est interprété par un pianiste talentueux et une accordéoniste douée pour vous donner la chair de poule. Et voilà, un spectacle qui marie poésie et humour, le mélange est bien réussi et la magie opère une fois les premières notes jouées.
Un hommage tout en photographies au quartier des Halles. Retracer les halles pendant 40 ans, Robet Doisneau l’a fait, son premier cliché du quartier date de 1933. Le résulat de ce travail à la fois sociologique et esthétique ? Pas moins de 150 tirages, pour la plupart vintages qui seront présentés au regard du public. Toute une salle est dédiée aux photographies en couleurs datant des années 1960.
Une exposition qui retrace l’histoire, les mutations et l’évolution des Halles. Menacées en 1960 ; les Halles deviennent l’obsession du photographe, et quelle belle obsession! Plus qu’une exposition, c’est un travail de mémoire, de conservation de patrimoine qu’a tenté Robert Doisneau.
Du mercredi 8 février 2012 au samedi 28 avril 2012 de 10h à 19h.
Place de l’Hôtel de Ville – 75004 Paris
La cité de la musique présente une exposition à ne pas manquer sous aucun prétexte. BoB Dylan est sur tous les murs, sa musique retentit partout et c’est un vrai délice. Des portraits exclusifs et intimes du mythe sont exposés partout, ils donnent un regard nouveau sur l’idole de toutes les générations confondues.
Ecoutez « Like a rolling stone » tout en lisant des extraits d’une conférence de presse de Bob Dylan à Paris où il malmène les journalistes est désormais possible. L’exposition est consacrée à une très courte période 1961-1966, mais c’est également une période qui a tout fait basculer dans le monde de la musique et où la rock star est passée du folk au rock et a fini par inventer le folk rock devenant ainsi l’indétrônable et inoubliable Dylan.
Exposition du 6 mars au 15 juillet 2012 à la Cité de la Musique à Paris
Pas moins de 6000 œuvres exposées, « Exhibition, l’invention du sauvage » est une exposition des humains dits « sauvages ». Une exposition qui étonne, qui dispense la lecture des cours d’histoire et qui permet de comprendre comment le racisme a pu pénétrer les esprits en les divertissant.
Peintures, sculptures, affiches, photographies, livres, films, moulages, automates, coiffes et masques sont au menu de cette exposition hors norme. Le visiteur sort conquis du Musée du quai Branly qui a réussi à tracer avec brio une partie de l’histoire qui a vu accroître le spectacle de l’humain. L’exposition qui est une belle manière de lutter contre le racisme et la ségrégation tombe bien dans un contexte mené par les divergences culturelles et religieuses.
Du 26 janvier au 3 juin. De 11h à 19h (21h du jeudi au samedi)
Musée du Quai Branly – 75 007 Paris
Emma Gattuso est tout simplement surprenante ! Cinglant, dérangeant, incisif et drôle… ce one woman show est teinté d’humour noir ! Dans son spectacle, tous le monde passe un sale quart d’heure : les pauvres, les enfants, les clochards, les femmes, les hommes, la publicité… même Nicole Kidman ! Emma manie le verbe à la perfection et fera rire le plus morne des spectateurs !
Stéphanie d’Humilly de Malanpry, bourgeoise, vient de quitter son berger ardéchois pour changer de vie. Elle s’installe à Paris, et trouve deux colocataires fraichement divorcées : Brigitte, la rurale de Clermont-Ferrand poilue et bien en chair, et Mary Bybowl, une anglaise nympho et quelque peu idiote. Pour traverser cette épreuve, toutes les trois vont se soutenir mutuellement. Mais chacune à leur manière…
Jouée depuis plus de 8 ans, cette pièce est tout simplement hilarante et le public rie à gorge déployée ! Le trait est volontiers caricatural, mais tellement comique.
Avec Alil Vardar ou Dominique-Pierre Devers, Claire Gerard ou Virgine Stevenoot, et Marie-Laetitia Bettencourt ou Anaïs Nyl
Mise en scène de Hazis Vardar
A la Grande Comédie
40, rue de Clichy – 75009 Paris
Représentations du lundi au dimanche
Location : 0 899 564 668
En interprétant « Grand-peur et misère du IIIème Reich », la compagnie Branle-bas d’arts nous fait redécouvrir un texte quelque peu oublié. Ecrite dans les années 30 par Bertold Brecht, la pièce dresse le portrait de la société allemande depuis l’avènement d’Hitler jusqu’aux prémices de la guerre. Sans être pesant dans leur jeu, les comédiens ont réussi à sublimer la pièce et proposent une prestation de très grande qualité ! La troupe nous offre aussi une belle piqûre de rappel quant à la montée des partis extrémistes en France.
Texte de Bertolt Brecht
Mise en scène de Malena Perrot
Adaptation de la pièce par la compagnie Branle-bas d’arts
Théâtre de Nesle
8, rue de Nesle – 75006 Paris
Du jeudi au samedi à 19h
Location : 01 46 34 61 04
La notoriété des textes de Kundera n’est plus à faire, mais il va sans dire que jouer, c’est encore mieux ! D’autant plus quand les acteurs sont excellents et la mise en scène superbe. En hommage à Denis Diderot, Milan Kundera a repris « Jacques le Fataliste » pour en faire une pièce drôle, subtile et originale : trois histoires, dix comédiens, et deux pensées qui dialoguent de la liberté, du plaisir et de la vie…
Avec Yves Pignot, Nicolas Briançon, Nathalie Roussel, François Siener, Patrick Palmero, Philippe Beautier, Alexandra Naoum, Sophie Mercier, Hermine Place, Yves Bouquet.
« Titanic », le film cultissime reconnu par le monde entier, est de retour dans les salles à partir du 4 avril, cette fois en 3D.
Combien d’entre nous ont été surpris d’apprendre que le film « Titanic » sera à nouveau dans les salles. Seulement, cette fois il s’agit d’une version 3D du film de 3h14 avec un budget qui s’élève à 18 millions de dollars. Le travail numérique à nécessité la contribution de 300 spécialistes pendant toute une année.
C’est au Royal Albert Hall que la version 3D du « Titanic » a été diffusée en avant-première mondiale. L’intérêt de la 3D pour le spectateur a été de se projeter dans la peau d’un passager du Titanic pour être comme dans le coeur même de l’action.
Toutefois, on ne peut s’empêcher de se demander si la 3D « améliore » vraiment un film qui même sans ce supplément technologique conserve tout son attrait grâce à son histoire d’amour légendaire.
A l’occasion du 10ème anniversaire de la Semaine du développement durable, le Salon des Déplacements Verts est le rendez-vous à ne pas manquer pour découvrir gratuitement différentes solutions de mobilité écologiques.Il se déroulera le 7 et 8 avril 2012 dans le quartier du Haut Marais, face à la mairie du 3ème arrondissement de Paris.
Proposant des scooters, vélos, voitures électriques, et autres moyens de mobilités actives ainsi que des services d’aide à la mobilité, cet évènement est destiné à apporter de nouvelles solutions de mobilités douces. Aussi, vous pourrez tester sur une piste d’essai des scooters et vélos électriques à la fois pratiques, rapides, confortables et respectueux de l’environnement.
En villes, les petits trajets effectués avec un moteur froid engendrent une forte surconsommation de carburant : plus de 80% au cours du premier kilomètre, plus de 50% au cours du second, ce qui augment d’autant les rejets de polluants. Utiliser la voiture pour les petits trajets contribue à l’accroissement des encombrements, qui eux-même entraînet une multiplication de la consommation de carburant par 3 et les émission de certains polluants presque par 4. Les transports sont responsables de 70% des émissions de particules et de 40% des émissions d’oxyde d’azote, dont la moitié générée par les seules voitures.
Le Salon des Déplacements Verts est également l’occasion de débattre à propos à propos des solutions de mobilité durable. Aussi, se tiendra le samedi 7 avril de 14h30 à 15h30 dans la Mairie de 3ème arrondissement de Paris, une conférence ouverte au public autour du thème « Se déplacer vert facilement est-il facile ? » Les intervenants sont le Groupe Bolloré qui a lancé Autolib, Eric Lemerle, responsable des études et recherches sur la mobilité chez Renault, et Ludovic Bu, co-auteur de l’ouvrage « Les transports, la planète et le citoyen. »
Les samedi 7 et dimanche 8 avril 2012, de 10 h à 19 h
« The Voice », nouvelle émission de TF1, fait des records d’audience ! Présentée par Nikos Aliagas, l’émission musicale fait le buzz sur Internet et sur les réseaux sociaux. Mais à quoi doit-on cette popularité ?
Ce qui différencie The Voice des autres télé-rochets musicaux, c’est que la sélection des candidats s’est faite uniquement sur la voix. A l’aveuglement, Jennifer, Garou, Louis Bertignac et Florent Pagny ont ainsi auditionné de nombreux candidats, et en ont sélectionné au total 51. Chaque candidat sélectionné a eu la possibilité de choisir avec quel coach il voulait progresser.
Le succès de The Voice est fortement lié à la diversité des profils des candidats. Diversité des profils, mais aussi diversité de style. La seconde étape de l’émission, véritable show musical, a été très attendue : « les battles ». Deux talents au sein de la même équipe s’affrontent, et le plus performant continue l’aventure.
Du Dimanche 18 mars au mardi 20 mars 2012, la séance de cinéma est à 3,50 € .
Comme chaque année avec le printemps, reviennent les beaux jours, le soleil, les allergies au pollen, les fleurs, les jours qui rallongent, les fringues qui raccourcissent… Et trois jours durant lesquels le cinéma est à tarif réduit !
Tous les cinémas, toutes les salles, tous les films, toutes les séances…
TROIS jours : dimanche 18 mars, lundi 19 mars et mardi 20 mars.
UN tarif : 3,50€ (hors majoration pour les films en 3D et séances spéciales malheureusement).
A ce prix là, ce serait dommage de se priver de salles obscures, pas vrai ?!
Comédie – USA
De Nima Nourizadeh
Avec Thomas Mann, Oliver Cooper, Jonathan Daniel Brown, Dax Flame, Kirby Bliss Blanton…
Sortie le 14 mars 2012
3 lycéens, un peu loosers mais surtout se fondant dans la masse, décident de profiter de l’anniversaire de l’un d’entre eux (que les parents laissent seul pour l’occasion) pour organiser une soirée. Pour ne pas perdre une miette de l’évènement, ils demandent à un camarade de filmer la dite soirée qu’ils espèrent d’exception. Ils ignorent encore à quel point leur vœu va être exaucé !
Le syndrome « found footage » (l’histoire est filmée par les héros), en général plus associé au film d’horreur (Cannibal Holocauste, Blair Witch, Paranormal Activity…) prend désormais possession des autres genres : le film de super héros avec l’excellent Chronicle, il y a quelques semaines, et maintenant la comédie teenagers avec ce Projet X, véritable version ado (jusque dans la caractérisation des 3 héros) de Very Bad Trip (dont le créateur, Todd Phillips, et le producteur, Joel Silver, produisent d’ailleurs le film).
C’est excessif, c’est crétin, ça transmet un message qui va faire hurler au scandale bon nombre de bien pensants (He, les mecs… C’EST UN FILM et une comédie en plus), mais c’est surtout la plus grosse poilade de ces derniers mois ! Et, étonnement, ce qui risquait de n’être un gimmick dont on aurait vite fait le tour, l’aspect « filmé par les protagonistes » accentue le côté « perte de contrôle de la situation », la folie et le dérapage des évènements de Projet X.
Allez voir Project X ! Soit, il est conseillé de mettre de cerveau sur OFF, mais je vous garantis les zygomatiques sur ON !
L’intégralité des saisons 5 & 6 non censurées est enfin disponible en coffrets 3 dvd !
SAISON 5
A South Park, tout le monde fait son intéressant ! Cartman hérite d’un million de dollars et peut enfin réaliser son rêve : avoir un parc d’attractions pour lui tout seul. Timmy rencontre Jimmy et devient jaloux de ne plus être le seul enfant handicapé. Servietsky, une serviette vivante génétiquement programmée, débarque à South Park et elle n’a qu’une seule envie : se défoncer ! C’est aussi la première fois que Butters a droit à son propre épisode, alors que ses parents pètent un câble…. Saison 5 – coffret 3 DVD – 14 épisodes en VF et VOSTF Mini-commentaires audio des créateurs de la série Prix Public Conseillé : 29,99 €SAISON 6 C’est le chaos qui règne à South Park ! Les parents ont la psychose de l’enlèvement d’enfants et font construire une grande muraille autour de la ville. Les seins de Bébé commencent à pousser, ce qui rend fous les garçons et menace la société toute entière. Stan fait la connaissance d’une loque humaine, qui prétend être le Stan du futur. Monsieur Garrison ne cherche qu’à se refaire virer de l’école, grâce à l’aide malicieuse de Monsieur Esclave et de la gerbille Lemmiwinks…. Saison 6 – coffret 3 DVD – 17 épisodes en VF et VOSTF Mini-commentaires audio des créateurs de la série Prix Public Conseillé : 29,99 €
Série espagnole
avec Marc Clotet, Javier Calvo, Sandra Blaquez…
La série trash et sexy revient en DVD pour une ultime saison !
Plongez pour la dernière fois, dans le quotidien des lycéens et des enseignants de Zurbáran : Sexe, drogue, mensonges et délits !
De nouveaux personnages font leur apparition : Sara le professeur de philosophie, Xavi, le professeur d’art, Susana l’ex de David et Enrique le nouveau directeur…
La saison se concentre sur les nouvelles règles instaurées par l’arrivée d’Enrique et la confrontation permanentes avec les élèves : un nouveau drame plane sur le lycée ! Que va-t-il advenir de Zurbáran ?
A découvrir dans cette 7ème et dernière saison, actuellement disponible !
Edition coffret 3 DVD
11 épisodes de 52 min env.
Bonus :
1 épisode spécial : les meilleurs moments de la série clip vidéo Musical
Format son : VF en 2.0 DD
Image : 16/9 – 1.77
Prix public conseillé : 24,99 € TTC
D’emblée je dois dire que je ne connaissais pas le travail de Rodrigo Garcia mais j’ai été un peu déçu. Je doute de l’intérêt de certaines performances et puis le côté tout le monde à poil et on se caresse… bon c’est pas nouveau nouveau et ça n’apporte pas grand chose je trouve. Pire ça parasite le texte qui est riche à bien des endroits.
Néanmoins on peut reconnaître des qualités à la pièce de Garcia, succession de monologues tantôt comiques tantôt pathétiques avec une critique pas inintéressante de toutes les vertus de la postmodernité. La dernière partie de la pièce est assez extraordinaire, inattendue et réconcilie tout le monde à mon sens.
Mais plus que la pièce ce sont les répercussions qu’elle a suscitées que je voudrais aborder.
Christianophobie !
Affirmer l’héritage (notamment) judéo-chrétien de la France c’est enfoncer une porte ouverte : il suffit d’entrer dans un musée pour s’en convaincre. Les débats passionnés autour de Golgota picnic l’illustrent bien et d’ailleurs, comme chacun sait, le XXIème siècle sera religieux ou ne sera pas comme ne l’a pas écrit André Malraux.
Mais jusqu’à preuve du contraire la France est une République laïque qu’on le veuille ou non et on peut s’y exprimer librement dans les limites prévues par la loi. Libre à vous de penser que la loi est mal faite, n’empêche qu’entre libéraux et conservateurs, mieux vaut prendre le parti des libres-penseurs, quitte à prendre des coups ; plutôt que celui des censeurs avec lesquels vous n’aurez pas de marge de manœuvre et ne pourrez vous défendre.
D’autre part le Christ est aussi une personne publique, au même titre que Mickey ou John Lennon. Dans ce cas ce n’est pas le Dieu des chrétiens qui est bafoué, c’est une image ou une idée de Celui-ci. C’est fondamentalement différent. Le jour où on verra des hosties consacrées sur une scène de théâtre on pourra prendre les armes, en attendant offusquez-vous si vous le voulez mais par pitié ne dites pas c’est Jésus qu’on assassine !
Pour ma part je ne suis pas convaincu que taper à bras raccourcis sur une religion (mais est-ce le cas ici ? Je ne le crois pas) entretienne un climat favorable au vivre ensemble. De là à parler de persécutions… Si les catholiques de France se disent persécutés, que diront les Nigérians ?
C’est pas de l’art !
Difficile de juger des qualités de la pièce sans l’avoir vue (difficile de soutenir que les escargots de Bourgogne c’est dégueulasse tant qu’on n’y a jamais gouté vous en conviendrez). Bizarrement les critiques les plus véhémentes envers la pièce et Garcia, proviennent de personnes que ne connaissent ni l’un ni l’autre.
Ceci étant dit, qui êtes-vous pour décréter que ceci est de l’art et cela n’en est pas ??! Pour rester dans des comparaisons culinaires ce n’est pas parce que vous avez en horreur les endives braisées que votre voisin ne les adore pas, lui. Ce n’est pas facile à admettre mais au même titre que certains de nos semblables aiment les endives braisées, certains aiment le théâtre avant-gardiste ou dit avant-gardiste quand d’autres préfèrent Nolwenn Leroy, Rambo, Schubert ou les masques vaudous du nord Soudan. Encore plus trivial on dira : tous les goûts sont dans la nature. Et cela ne veut pas dire pour autant qu’ils se valent tous.
Dire c’est pas de l’art ne signifie pas grand chose au fond. Tout simplement par ce qu’il n’existe pas encore de recette magique avec laquelle on pourrait dire à grands renforts d’incantations et de pattes de poules : ceci est de l’art, ceci n’en est pas. Bien sûr on peut dire j’aime ceci, ça me touche, ça me parle, ça me bouleverse, ça me fait des guilis guilis dans le bas du ventre, etc. Et inversement, je n’aime pas, ça ne me touche pas, etc.
Chercher à définir l’art c’est un peu comme vouloir définir Dieu ou l’Amour. Comme si on pouvait les faire rentrer dans des petites boîtes en quelques mots. Alors bien sûr on trouvera toujours des formules toutes faites tirées de je ne sais quel prélat du XVIIème siècle, du type L’art élève l’homme (sans blagues ?!) ou plus tard, moins clérical et plus romantique, l’art mes enfants c’est d’être absolument soi-même (Verlaine). Génial et alors ?
Le plus amusant c’est que les tenants du c’est pas de l’art sont en général – vous ferez l’expérience – les moins consommateurs d’art justement. Ou alors ils sont purement exclusifs dans leurs choix et lisent les mêmes choses, fréquentent le(s) même(s) théâtre(s) et les mêmes expos. On les repère très vite : ils rejettent en bloc l’art contemporain – qu’ils confondent avec l’art moderne – et tempêtent contre Picasso, cet escroc, qui peint aussi bien que leur petite cousine handicapée. Ils ne connaissent ni Branly, ni Beaubourg mais très bien Versailles.
Débattre avec eux est vain, ils détiennent la vérité. En cela, ils ont reçu leur récompense !
Civitas au rond-point
Saint Nicolas du Chardonnet (l’Institut Civitas en tête) a compris qu’était venu pour lui le temps de se faire une pub d’enfer si je puis dire et de se payer les bobos du théâtre du Rond-Point (qui n’ont pas lu Monseigneur Lefebvre).
En l’espace de quelques semaines on a eu Piss Christ (Jésus prend un bain de pisse), sur le concept du visage du fils de Dieu (Jésus prend des cailloux et du caca) et Golgota picnic (Jésus prend cher). C’était le moment de sortir les drapeaux et les chapelets : Christ blasphémé, chrétiens indignés / la christianophobie ça suffit et j’en passe. Résultat ils font la une des journaux. Golgota picnic c’est un jeu à somme positive : grosse pub pour la pièce, grosse pub pour Civitas.
Alors que penser de tout ça ?
D’abord pas la peine de se farcir la Somme théologique, Bossuet ou Mgr Lefebvre, il n’y a pas de débats possibles entre les dits bobos (le Rond-Point) et les dits bigots (Civitas). L’abbé Régis de Cacqueray (supérieur du District de France de la Fraternité Saint-Pie-X) n’accepte pas que l’on se moque de Dieu, il me l’a dit mot pour mot lors de la manifestation du 11 décembre 2011 à Paris. On ne peut être plus clair.
Je peux comprendre que l’on puisse être choqué par une pièce, une affiche, une photo, un livre, etc., comme je peux très bien comprendre que l’on fasse une veillée de prière à Notre Dame de Paris ou ailleurs le soir de la première. Mais plastronner devant le théâtre, étendard au poing, un cœur de chouan épinglé à la poitrine, là ça me dépasse. Après les (nombreuses) interpellations lors des rassemblements devant le théâtre de la Ville et le théâtre du Rond-Point, l’abbé Régis de Cacqueray a parlé de rafles catholiques. Jusqu’où irez-vous Monsieur l’abbé ?
Laissez faire laissez passer
Je crois qu’il y aurait beaucoup d’autres arguments en faveur de la défense de Garcia et des autres (c’est un catholique qui parle). Je crois que cette histoire c’est d’abord la manifestation d’un sentiment d’impuissance de certains catholiques, la volonté de se réaffirmer comme tel et la peur d’une interprétation du message divin non conforme ou non conventionnelle.
Je ne me permettrais sûrement pas de juger les personnes blessées par cette pièce. J’ai voulu simplement montrer à quel point, globalement, il s’agit plus selon moi d’une affaire politique et idéologique que d’une affaire de foi.
Et puis, pardon, personne n’est obligé d’aller au théâtre du Rond-Point ou de lire Rodrigo Garcia.
Il y a quelques années je me souviens avoir vu une farce de Dario Fo pour son entrée au répertoire de la Comédie Française pendant laquelle on pouvait voir le Christ tombé ridiculement de sa croix à plusieurs reprises, ainsi qu’un pape et une Vierge grotesques. C’était une pure farce, drôle et rondement menée. Qui s’en est offusqué alors ? Personne.
Les exemples ne manquent pas.
Pourquoi la société au sens large, devrait-elle empêcher la critique des mythes et des dieux dont elle est, à travers sa constitution et son expression, elle même le produit ?
Paul Berthon
Horreur. USA. De Steve Quale. Avec Nicholas D’Agosto, Emma Bell, Miles Fisher, Arlen Escarpeta, Tony Todd…
Vous connaissez le pitch: un groupe de personnes survit à un accident spectaculaire (ici, l’effondrement d’un pont suspendu) grâce à la vision de l’un d’entre eux. Mais, comme ils étaient censés mourir dans l’accident, la Mort vient les chercher un à un de la façon la plus vicieuse et spectaculaire possible.
Premier film de la saga non dirigé par James Wong (1 & 3) ou David R. Ellis (2 & 4), ce 5e film permet de bien relancer la série après des 3 et 4 assez décevants. Les morts sont inventives, vicelardes, gores à souhait et au second degré salvateur et le twist final (bien qu’un peu prévisible si on connaît le premier film et qu’on est observateur) est bienvenue. Fun et gore !
Combo DVD-BR/Combo BR-BR 3D/DVD Warner Home Vidéo. Bonus: doc. (DVD), morts alternative, docs., b. annonce…(BR)
Drame/Action. USA/France. De Nicolas Winding Refn. Avec Ryan Gosling, Carey Mulligan, Christina Handricks, Bryan Cranston…
De jour, il est cascadeur. La nuit il devient chauffeur pour la mafia. Et lui qui faisait tout pour ne créer aucun lien émotionnel, tombe amoureux de sa voisine. Cela va l’amener à briser les règles qu’il s’était fixé et l’entraîner dans une spirale de violence. Le réalisateur de Bronson adapte le roman de James Sallis et livre un film fort et violent, tant dans l’action que dans l’émotion, pour lequel il reçu un très mérité Prix de la Mise en Scène au Festival de Cannes 2011. Une des grandes claques cinématographiques de 2011 ! DVD/BR et Combo Wild Side. Bonus : B. ann., m. of, entretien avec le real. NB : Existe en Coffret Collector contenant le combo DVD/BR, le roman original de James Sallis, l’affiche, la magistrale B.O., les DVD de Valhalla Rising et Bronson ainsi qu’un documentaire de plus d’une heure sur le réalisateur.
Les + Planète Campus : Aux USA, une femme persuadée d’aller voir un clone de Fast & Furious (la bande annonce étant TRES axée action, en plus d’en dévoiler BEAUCOUP trop sur le film), a porté plainte contre le distributeur du film pour publicité mensongère.
Le trailer de l’Age de Glace 4 : la dérive des continents est enfin sorti ! De quoi attiser notre curiosité en attendant la sortie du film…
Many, Sid, Diego et Scrat reviennent bientôt sur les grands écrans. Au programme : la dérive des continents et une multitude d’aventures pour nos compères.Alors que Scrat brise malencontreusement la pangée, Many, Sid et Diego se retrouvent embarqués dans de drôle
Réalisé par Steve Martino et Mike Thurmeier, le film sortira en salle le 27 juin 2012.
Wester américain de Mateo Gil,
avec Sam Hepard, Eduardo Noriega, Stephen Rea
Si tout le monde croit Butch Cassidy mort, ce n’est qu’une illusion : il se cache depuis 20 ans en Bolivie. Il ne souhaite plus qu’une seule chose aujourd’hui, rentrer à la maison voir son fils qu’il ne connaît pas.
Mais la route sera longue…
Très beau film tourné en décors naturels, ce western a les dimensions des grands classiques, quoiqu’un peu longuet.
Réalisation travaillée et San Shepard transcendant : film à voir.
Les Hot Chip vont sortir leur 5ème album « In Our Heads » , qui vient à la suite de « One Life Stand » (2010) sur Domino. L’album verra le jour en juin, et on l’espère, accompagnera notre été avec autant de fougue et de fantaisie qu’ils ont pu le faire avec des « Ready On the Floor » ou des « One Life Stand ». En attendant, voici la tracklist de « In Our Heads »:
1. Motion Sickness
2. How Do You Do
3. Don’t Deny Your Heart
4. Look At Where We Are
5. These Chains
6. Night And Day
7. Flutes
8. Now There Is Nothing
9. Ends Of The Earth
10. Let Me Be Him
11. Always Been Your Love
En attendant la sortie de l’Age de Glace 4, la société de production « 20th Century Fox » s’est inspiré du film « The Artist » pour faire une vidéo de promotion du film.
Les studios ont réalisé un best-of Scrat des trois premiers volets de l' »Age de Glace », version noir et blanc : The Scratist.
“Deux” est un album à la fois lumineux et sombre, simple et complexe, introspectif et divertissant. Comme son auteur. Comme son interprète.
Ceux qui ont écouté d’une oreille distraite son album L’Homme Moderne (2010) ont pu avoir la fausse impression que Benjamin Paulin était juste un sympathique chanteur de plus avec mèche sur le coté et costard en option. Légères comme des bulles de champagne, ses compositions pop agissaient en trompe l’oeil face à des textes volontiers corrosifs, entre dérision et ironie… Benjamin trempait alors sa plume dans le vitriol et “punchlinait” en souvenir de ses années rap au sein du groupe Puzzle.
Aujourd’hui ce second album – Deux – sonne comme un nouveau départ. Benjamin se met à nu ou presque, ne vous affolez pas Mesdemoiselles ! Plus de maturité, moins d’exercice de style, son écriture gagne en profondeur. S’il cite bien plus volontiers en références des Cioran, Albert Cohen, Céline ou encore Bukowski que des auteurs de chansons, on le découvre sur ce disque vraiment chanteur, sans perdre pour autant son timbre de voix particulier, grave mais chaleureux. Le chiffre Deux, titre énigmatique de cet opus, souligne bien sûr le fait qu’il s’agisse d’un deuxième album mais il est surtout là pour appuyer la thématique de celui-ci : « Le dédoublement qui s’opère dans l’esprit d’un personnage porteur d’une dualité complexe, l’auteur et l’interprète. »
Un homme a joué un rôle important dans l’accompagnement de cette métamorphose, c’est Frédéric Lo réalisateur notamment des deux albums de la renaissance de Daniel Darc et plus tard du carton Pony Pony Run Run. C’est lui qui su trouver l’écrin idéal pour les compositions de Paulin. Entre pop new wave des années 80 et electro-pop nerveuse, les dix chansons de Deux forment un ensemble homogène. Normal puisque son auteur les a conçus comme un tout. Les harmonies et les mélodies touchent au but comme sur les irrésistibles « Je vais m’envoler », “Variations de Noir” ou sur le troublant “Attendons les Secours” qui accueille à la guitare le génial touche à tout britannique Fink, arrangeur aussi de cette splendide ballade. Benjamin se fait plaisir en invitant par exemple une légende des studios, l’Anglais Herbie Flowers qui a habillé avec classe de sa basse ronde et bondissante, des disques de légende comme Electric Warriors de T Rex ou Transformer de Lou Reed. On a maintenant hâte de redécouvrir Benjamin Paulin sur scène – après ses première parties de Philippe Katerine, Brigitte Fontaine – où il sera accompagné par les réputés Rococo.
DEUX
Sortie le 23 avril 2012
Enregistré au Studio Ferber /Paris Mixé par Jeff Ginouves au Studio RedRoom / Paris Masterisé par Mike Marsh au Studio TheExchange / Londres Avec la participation de : Eric Legnini, Denis Benarroch, Nicoals Fiszman, Laurent vernery, Eléonore / Rococo, & la présence exceptionnelle de Herbie Flowers (T.Rex, Lou Reed, Gainsbourg) & de Fink.
Pour suivre Benjamin Paulin
Facebook : www.facebook.com/BenjaminPaulinOfficiel
Site : www.benjaminpaulin.com
Twitter : @benjaminpaulin
Il y a quelques années, la BBC s’était lancé un pari fou : adapter en studio les 37 pièces de William Shakespeare !
Filmée par de grands réalisateurs et interprétée par des acteurs phares, cette collection impressionnante en ravira plus d’un…
Ce premier coffret 6 DVD, actuellement en vente, reprend 6 célèbres tragédies : Titus Andronicus, Roméo et Juliette, Jules César, Hamlet, Troïlus et Cressida, Othello.
►Titus Andronicus Interprètes :
Trevor Peacock (Titus Andronicus), Eileen Atkins (Tamora), Edward Hardwicke (Marcus)
« Si jamais il m’arriva dans le cours de ma vie de faire une seule bonne action, je m’en repens de toute mon âme. »
Shakespeare – Extrait de Titus Andronicus
Titus, général romain vaillant et héroïque, a vaincu les Goths et revient en triomphe à Rome avec ses prisonniers, dont la reine des Goths, Tamora. Prétextant qu’il obéit aux lois de sa religion pour protéger ses fils morts au combat, Titus offre le fils aîné de Tamara en sacrifice. Sur le plan politique, Titus aide Saturninus à devenir le nouvel empereur de Rome. Mais quand Saturninus choisit Tamora pour femme, une vague irrépressible de vengeance sanglante se déchaîne …
Première tragédie composée par Shakespeare, en 1592, à l’âge de vingt-huit ans seulement, TitusAndronicus est plus qu’une terrifiante « tragédie de la vengeance », c’est le constat sans précédent d’une perte des valeurs humanistes de la Renaissance : honneur, vertu, justice, culture et miséricorde.
►Roméo et Juliette Interprètes :
Patrick Ryecart (Roméo), Rebecca Saire (Juliette), Michael Hordern (Lord Capulet)
« Mon unique amour émane de mon unique haine ! Je l’ai vu trop tôt sans le connaître et je l’ai connu trop tard. »
Shakespeare – Extrait de Roméo et Juliette
Roméo, héritier de la grande lignée des Montaigu, assiste à un bal masqué donné dans la demeure des Capulet à Vérone. Il y tombe amoureux de Juliette, la fille du seigneur Capulet, ennemi juré des Montaigu. Les amants, unis secrètement par le frère Laurent, n’auront cesse de proclamer leur amour pour faire face à l’escalade de la violence entre les deux familles ennemies.
La légende des amants de Vérone s’écrivait en italien depuis déjà un siècle lorsqu’elle fut reprise en anglais en 1562 dans un poème de trois mille vers, source directe de Shakespeare ; mais son Roméo et Juliette rompt avec l’âge de Pétrarque. Loin du sentimentalisme auquel Roméo et Juliette est parfois associé, cette œuvre du début de la maturité cultive de bout en bout l’ironie.
►Jules César Interprètes :
Richard Pasco (Brutus), Keith Mitchell (Marcus Antonius),
« Je pourrais être ému, si j’étais comme vous. Si j’étais capable de prier pour émouvoir, je serais ému par des prières. » Shakespeare – Extrait de Jules César
Les foules acclament Jules César, grand conquérant de Rome, victorieux de Pompée le Grand. Cependant, certains Romains sont inquiets de la puissance et de l’autorité assumée du dictateur. Parmi eux, citoyen de premier plan, l’honorable et respectable Cassius, ainsi que Brutus, un ami de César. Les conséquences de leurs actes vont bientôt jeter la République dans une tourmente violente et amère…
César. Qui est “César”? Connu de tous et, en même temps, méconnu de la plupart: bon, mauvais, tyrannique ou vengeur suprême? Certains l’acclament, d’autres le haïssent. Faut-il le nommer roi de la République ou l’assassiner? Les avis divergent, Rome se déchire. Finalement tout est affaire de rhétorique. Ici, c’est le théâtre qui se donne en spectacle: avecJules César on voit précisément comment se fabrique un personnage.
►Hamlet Interprètes :
Derek Jacobi (Hamlet), Patrick Stewart (Claudius), Claire Bloom (Gertrude)
« Être, ou ne pas être, telle est la question. Y a-t-il plus de noblesse d’âme à subir la fronde et les flèches de la fortune outrageante, ou bien à s’armer contre une mer de douleurs et à l’arrêter par une révolte ? » Shakespeare – Extrait de Hamlet
De retour au Danemark, le prince Hamlet apprend la mort de son père et trouve le trône usurpé par son oncle Claudius. Le spectre du souverain défunt apparaît à Hamlet pour lui révéler qu’il a été empoisonné. Hamlet promet que ce crime ne restera pas impuni. Mais au bord du gouffre, le voilà qui hésite… « Être ou ne pas être, telle est la question ».
Avant même l’entrée en scène d’Hamlet, nous voilà conviés à une quête de soi, au spectacle de « l’homme intérieur », la réflexion primant sur l’action, même si la pièce reste, comme l’affirmait Lord Byron, « une monumentale énigme », comme en témoignent les vers les plus connus de Shakespeare « Être, ou ne pas être, telle est la question. » Quelque chose est à jamais détérioré au royaume du Danemark mais Hamlet a-t-il envie d’en être le héros vengeur et purificateur ?
►Troïlus et Cressida Interprètes :
Anton Lesser (Troïlus), Suzanne Burden (Cressida), Charles Gray (Pandarus)
« Luxure, luxure ! Toujours guerre et débauche. »
Shakespeare – Extrait de Troïlus et Cressida
Si elle est aussi une lutte à sa manière, l’histoire d’amour de Troïlus et Cressida est comme une trêve en pleine guerre de Troie. Troïlus fait une cour passionnée à Cressida, dont il finit par gagner le cœur rebelle. Mais celle-ci, échangée malgré elle contre un prisonnier troyen, rejoint son père dans le camp grec où elle va trahir ses serments de fidélité éternelle.
Une pièce qui oscille entre la tragédie et la comédie. Unique en son genre, elle a été perçue à l’époque de sa création, comme « moderne », ce, en partie dû à la fracture opérée avec certaines valeurs fondamentales : hiérarchie, honneur et amour. Mais il s’agit ici davantage de l’homme, seul en proie avec lui-même, qui subit les conséquences du mal qu’il génère en lui-même.
►Othello
Interprètes :
Anthony Hopkins (Othello), Bob Hoskins (Iago), Penelope Wilton (Desdemona)
« Oh ! Prenez garde, Monseigneur, à la jalousie ! C’est le monstre aux yeux verts qui produit l’aliment dont il se nourrit ! »
Shakespeare – Extrait de Othello
Général au service de Venise, Othello est un homme heureux, au sommet de sa gloire. Tout juste marié à Desdemona, son bonheur n’en est pas moins fragile : le perfide Iago, jaloux et machiavélique, persuade Othello de la trahison de sa femme. Et le héros superbe et généreux tombe dans un piège fatal…
Cette tragédie captivante, magistralement construite et servie par deux grands comédiens hollywoodiens, ANTHONY HOPKINS et BOB HOSKINS, demeure sans doute la plus belle expression littéraire d’une passion éternelle, celle de la jalousie.
Vendredi, Public a dévoilé les noms des candidats de la nouvelle saison des Anges de la téléréalité.Intitulée Club Hawaï, la 4ème saison sera diffusée courant 2012 sur NRJ 12. Découvrez la liste des candidats…
Le magazine Public a dévoilé cette semaine les noms et photos des 12 candidats de la 4ème saison des Anges de la téléréalité. L’émission sera tournée à Hawaï pendant six semaines. Marie Garet, Geoffrey Croustillat et Aurélie Van Daelen seront de retour sous les projecteurs, et nous découvrirons la suite des chamailleries entre les trois compères de Secret Story 5. Participeront aussi Anthony, le sympathique bodybuildé de Koh Lanta 2011 ; Julia, ravissante brune qui avait fait chavirer le cœur de Florent dans L’ile des vérités en 2011 ; Mohamed, l’ange anonyme ; Nabila de L’amour est aveugle ; Bruno, révélé dans la 4ème saison de Nouvelle Star et actuellement dans l’émission Encore une chance sur NRJ 12. Sofiane, candidat de Star Academy 4, et Myriam Abel, gagnante de Nouvelle Star en 2005, participeront quant à eux une fois à l’émission.Enfin, Amélie, candidate très bruyante de Secret Story 4, a elle aussi déjà participé à l’émission : cette fois-ci elle sera accompagné de son fils, Hugo, à peine âgé de deux mois. Quant à Catherine, l’ex candidate de Koh Lanta, elle devrait être la nounou des candidats.
Les Anges de la téléréalité ont une nouvelle chroniqueuse : Loana ! Malgré sa n-ième tentative de suicide, la jeune femme essaie une nouvelle fois de percer.
Avec « Can Be Late », les cinq lillois sortent le rock de ses gonds pour le tremper dans leur potion magique : un joli cocktail de genres savamment saupoudré de leur brin de folie, et un véritable arsenal de tubes. C’est explosif, ça part dans tous les sens, et si Skip The Use ne chante pas avec l’accent ch’ti, c’est tant mieux ! Car le groupe emmené par Mat Bastard en maître chanteur et Yann Stefani aux guitares, nous livre avec ce second album, une bombe résonnant comme autant de façons d’orienter le rock, de le conjuguer, de l’aimer à nouveau. CampusMag a rencontré pour vous, l’un des groupes les plus prometteurs du moment.
Skip The Use, en quelques mots, qui êtes-vous ?
Mat Bastard: On est cinq gars de Lille, ça fait une quinzaine d’années qu’on fait de la musique, on s’est tous rejoint sur un même projet punk qui s’appelait Carving. On était entrain de composer un album et il y a quelques titres qui sonnaient différemment. Cela nous a interpellé, on s’est demandé si on devait partir là-dedans, ou rester dans le punk. On a eu envie de démarrer une nouvelle aventure, on s’est dit qu’à trente ans, c’était bien de faire ce genre de choses, de faire comme si on avait encore quinze ans, et on l’a fait. On s’est remis en danger, on a fait un premier album en 2009 qui était un peu plus auto-produit, et qui a été vendu à 4 000 exemplaires. C’était le genre de plan où tu le fais toi-même pour pouvoir faire une tournée derrière.
Votre « truc » à vous, c’est la scène ?
M.B : Et bien en fait, on apprécie de plus en plus le boulot de studio. Sur cet album, si on avait pu avoir deux ou trois fois plus de temps en studio, cela ne nous aurait pas déranger. On se rend compte qu’en studio on peut vraiment prendre corps avec notre musique. Après, le live, c’est encore un autre boulot. On n’était moins en studio pendant notre jeunesse, quand on y était, on essayait d’y mettre l’énergie du live.
Qu’est-ce que votre musique a conservé de Carving, votre premier groupe de punk ?
Yann Stefani : De l’énergie, principalement, et puis nous, surtout nous.
M.B : Carving, c’est avant tout une aventure de potes, c’est surtout ça qu’on a conservé. Avec Carving, la musique était presque accessoire, dans le sens ou c’était surtout pour faire quelque chose avec ses potes ; on se disait : « tiens, on va faire de la musique, on va faire du punk », c’est pas compliqué, ça trace, et en plus ça correspond avec ce qu’on a dans la tête.
C’est un album fait pour « danser », pour « bouger », pourtant, à l’ouïe de certains morceaux comme People In The Shadow ou The Face, on ressent un certain engagement, du fond en quelque sorte.
M.B : J’aime bien être compliqué à saisir tout de suite. On essaie de susciter le questionnement des gens qui nous écoutent, de provoquer le débat et une prise de position, sans pour autant s’engager dans une voie particulière. Certains sujets nous interpellent, et on en fait des chansons pour que cela interpelle les gens. C’est peut-être aussi un héritage qu’on a du punk, d’être sensibles à ce genre de choses.
On pense à beaucoup de groupes en écoutant votre album, sans pour autant tomber dans le pastiche, dans la reprise niaise ; on pense notamment à des groupes comme Bloc Party, les Black Keys, Poni Hoax, Panic ! At The Disco… De qui vous êtes vous nourris ?
Y.S : On écoute beaucoup de musique, du punk, de la funk…Nos influences sont diverses et variées. On se rapproche de plus en plus de l’électro, parce qu’on aime bien la nouvelle génération, des groupes comme Justice. Quand on faisait notre album, Justice était quelque chose qui nous avait vraiment frappé, ils ont retourné la musique ; c’est ça qui nous a donné envie de mettre plusieurs styles dans notre album, d’aboutir nos sons. C’est plus des groupes comme ça qui nous ont, disons, « sorti les doigts du cul ».
M.B : Ces groupes là ont tracé des sillons dans lesquels on s’engouffre, on est fier de ça. Ces groupes sont des précurseurs pour des groupes comme nous, ce sont eux qui nous permettent aujourd’hui d’avoir un écho. Mais c’est vrai qu’on n’oublie pas les plus anciens, comme Led Zeppelin, les Stones, Chic… Des choses qui ne seressemblent pas forcément, mais des choses qu’on a digérées, et qui nous permettent après, d’appréhender les sons de manière différente.
Peut-on dire que vous étirez le rock vers tous ces genres, la pop, l’électro, la funk, le hip-hop, ou le disco même?
Y.S: Oui c’est ça, on n’a pas envie d’être dans une case. On ne ferme aucune porte. Des fois on sort des choses qui n’ont vraiment rien avoir avec ce qu’on fait d’habitude, on ne se met pas de limite.
M.B: C’est là où intervient Manu Guiot, l’un des réalisateurs de l’album, qui est un peu le sixième membre du groupe. Il est le « canaliseur », celui qui agite le drapeau quand ça ne va pas. Mais il peut aussi sortir ce même drapeau pour nous dire « vas-y, va plus loin! »
Y.S: C’est un mercenaire de la tablette!
Vous avez fait les premières parties d’un bon nombre de groupes prestigieux, comme Rage Against The Machine, MGMT ou Mark Ronson. Quel est votre meilleur souvenir?
M.B: Rage c’était génial, d’autant plus que, première date à l’extérieur, donc tu prends l’avion, tu te casses hors de France… Et puis Rage ce sont tous tes souvenirs d’enfance. Sinon on a bien aimé Solidays, où on s’est retrouvé à la place de Rage. C’était un samedi soir, minuit, devant 40 000 personnes… Là on s’est demandés si on en était capables, parce qu’on s’est retrouvés à la place de gars qui ont un professionnalisme, qui ont des années derrière eux! On avait un certain nombre d’années de scène, mais pas tant que ça, du coup il y a eu beaucoup de stress avant. Et puis en fait, ça s’est super bien passé!
Votre album est taillé pour la scène, il y a beaucoup de dates en prévision: le Bataclan en mars, le Printemps de Bourges en avril, mais on n’en sait encore peu sur cet été…
M.B: Et bien nous aussi! (rires) Pas mal de festivals nous ont contactés, mais on ne sait pas encore qui va nous garder…On passera, c’est sûr, mais où et dans quel ordre, je n’en sais rien! (rires) On sait qu’il y aura pas mal de festivals français, belges, allemands, espagnols, canadiens, on a aussi une date prévue aux Etats-Unis à la rentrée… Ce sera un été chargé, un grand été qui ira de début Juin à fin Septembre! Il y a de quoi faire!
Dans le but de promouvoir la vente de Twilight Breaking Dawn Part 1 en DVD et Blu-ray, plusieurs magasins Target ont eu l’exclusivité pour diffuser une vidéo avec les premières images deTwilight 4 part 2.
Après les révélations sur une scène, voici les première images de Twilight 4 part 2. Filmées avec une petite caméra, les images ne sont pas nettes mais nous donnent déjà un aperçu du dernier chapitre de la saga. Et il faudra s’en contenter pour le moment, car la vidéo en haute résolution ne devrait pas être distribuée officiellement.
Twilight 4 Part 2 sortira en salle le 16 novembre 2012, signant la fin de l’adaptation cinématographique des livres de Stephanie Meyer. Pour la bande annonce, il faudra attendre la sortie du film The Hunger Games en mars : la vidéo sera diffusée avant la présentation du film.
Dimanche soir, The Artist s’est encore démarqué lors de la cérémonie britannique des Bafta (British Academy Film Awards). Le film muet en noir et blanc a remporté sept récompenses, dont du meilleur acteur pour Jean Dujardin, meilleur réalisateur pour Michel Hazanavicius et meilleur long métrage.
The Artist était nominé dans douze catégories, et a été récompensé par sept prix. Equivalent britannique des Oscars, les Bafta gratifient traditionnellement le cinéma britannique.
Mais le film muet de Michel Hazanavicius a fait exception à la règle, et s’est vu discerné les trois prix les plus prestigieux : Thomas Langmann reçoit le prix du meilleur long métrage, Michel Hazanavicius celui du meilleur réalisateur et Jean Dujardin a été sacré meilleur acteur masculin.
Après le triomphe au Gloden Globes, l’acteur français s’est vu remettre le prix du meilleur acteur masculin des mains de Penélope Cruz, volant la vedette à Brad Pitt et George Clooney.
Rendez-vous le 26 février lors de la cérémonie des Oscars à Los Angeles.
Boulbar, une errance américaine, un concert dessiné. Après un périple d’un mois aux Etats-Unis, Bertrand Boulbar est revenu avec un album composé et enregistré sur place dans la solitude des chambres de motel . Sur scène, il nous raconte et chante son aventure accompagné de Vincent Gravé qui dessinera en direct ce carnet de voyage musical. Une rencontre entre deux artistes, un compositeur/interprète et un auteur de BD. Son album Motor Hotel sort le 27 février 2012 (Roy Music/Universal)
+ 1ère Partie : Dam Barnum
En concert le jeudi 8 mars 2012 à 20h30
Les Trois Baudets
64 bd de Clichy 75018 Paris
Tarif : 16,80 € (frais de loc inclus)
www.lestroisbaudets.com
www.melodyn.fr
Comédie française d’Eric Lavaine avec Franck Dubosc, Valérie lemercier, Gérard Darmon
Pour se venger de son patron (dont elle est également la maîtresse) qui la licencie et rompt avec elle le même jour, la DRH d’une compagnie de croisières décide de choisir le pire candidat possible pour le prochain voyage… Ambiance garantie !
Comédie surprenante, Bienvenue à bord utilise parfaitement ses comédiens. Si Dubosc a quelques répliques un peu lourdingues, il sait, le reste du temps, nous faire rire. Son personnage devient plus « humain » au fur et à mesure du film et son rôle se détache enfin de ses autres comédies.
Surprenant long-métrage, où Lemercier et Darmon excellent évidemment. Un bon rythme, une belle photographie et une écriture hilarante : le tout est vraiment dépaysant.
On en redemande !
Un film écrit et réalisé par Gérard Miller Produit par Leslie Grunberg et Gérard Miller Pénélope et 2 cafés l’addition avec la participation de Frances Télévisions
Avec la participation de : Agnès Aflalo, Joseph Attié, Guy Briole, Antonio Di Ciaccia, Jean-Louis Gault, Yasmine Grasser, Alain Grosrichard, Suzanne Hommel, Benoît Jacquot, Eric Laurent, Catherine Lazarus, Anaëlle Lebovits, Clotilde Leguil, Lilia Mahjoub, Jacques-Alain Miller, Judith Miller, Jean-Claude Milner, Martin Quenehen, François Regnault.
Lacan, un type étonnant, sulfureux, courageux, non conformiste, décidé et direct, travailleur. Lacan qui fait le choix d’héberger des résistants lors de la deuxième guerre mondiale et donne le prénom de Judith à sa fille alors que les nazis occupent Paris et ordonnent le port de l’étoile jaune aux Juifs.
Celui qui sait être d’une gentillesse, d’une attention au delà du commun pour ses analysants, qui les tient avec une main et les secoue fortement de l’autre, « mais la main qui me tenait, je ne pouvais pas la lâcher ! »…
Lacan qui faisait preuve d’une liberté réjouissante, qui n’a pas de grille tarifaire et pratique des séances à durées variables.
Si dérangeant qu’exclu des enseignements de psychiatre il ira enseigner rue d’Ulm à l’ENS où il créé sa propre école de psychiatrie.
Enfin si cela ne vous suffit pas c’est aussi une rencontre avec un homme qui ne parle pas de son passé et pour lequel la postérité est une abstraction,
très dans l’air du temps: Un homme du moment présent.
BONUS
▬ Entretien avec Judith Miller – 17 min
Judith Miller, fille de Jacques Lacan et Sylvia Bataille, est philosophe et psychanalyste.
Dans cet entretien au cœur du bureau de Lacan, Judith Miller, sa fille, raconte, non sans ironie, les rapports, parfois tendus mais privilégiés, entre son père et Gloria, son assistante pendant trente ans. Et puis, elle détaille et nous dévoile photographies, livres, peintures et autres objets cultes de son père, non sans émotion.
▬ Entretien avec Jacques-Alain Miller – 15 min
Jacques-Alain Miller est devenu à vingt ans le plus fidèle des élèves de Lacan, et a épousé un peu plus tard sa fille Judith. Il est considéré comme le légataire intellectuel de Lacan et a publié sous son autorité les textes de ses Séminaires. Aujourd’hui, c’est un philosophe (normalien) et psychanalyste de renom. Dans un entretien poignant, se remémore sa rencontre avec Lacan et les moments passés ensemble. Il revient également sur celui qu’il présente comme « authentique » à différentes périodes de sa vie : avec ses petits enfants, pendant mai 68, à l’université…
Un témoignage personnel et spontané.
▬ Le point de vue du réalisateur – 14 min
Gérard Miller est écrivain, psychanalyste, professeur au département de psychanalyse à l’université de Paris VIII et chroniqueur à la radio (Europe 1) et à la télévision dans On va s’gêner, On a tout essayé puis On n’a pas tout dit. Gérard Miller revient sur son film, pourquoi il l’a réalisé, comment (car il existe très peu de documents sur Lacan) et nous livre son ressentit : le grand public doit savoir que Lacan était un psychanalyste génial et passionné, et il souhaite à travers ce portrait drôle et décalé, donner envie aux spectateurs de le lire.
Plus fort que la peur , Prokofiev nous emporte dans cette histoire intemporelle.
Chaque année 8000 enfants découvrent la musique classique grâce à la folle journée .
Découvrir une nouvelle version de type Wallace et Gromit , de Pierre et le Loup, c’est déjà un évènement mais en plus avec un orchestre qui joue devant nous, à seulement quelques mètres, la partition de Prokofiev est autrement impressionnante.
Et que dire si cela se passe dans une salle remplie d’enfants !
Très vite on comprend à quel point la musique est partie prenante des films , d’autant plus ici, puisque chaque instrument ou groupe d’ instrument symbolise un personnage.
Des rires des Oh ! de peur, ont rempli la salle ponctuellement. On vit le film ..
Un cadeau intelligent, pour des enfants toujours curieux.
En savoir plus : wwwlafollejournee.fr
L’histoire du soldat russe – instruments et récitant
Didier Sandre et l’orchestre de Poitou Charentes
La musique au service du texte ou le texte dans la musique.
Un histoire conçue pour une musique de Stravinsky, pensée pour les soldats russes de la révolution de 1917, mais qui ne leur jamais été présentée.
Sur scène 7 instruments et un récitant, ici Didier Sandre
Tout au long de l’histoire, campent les sept personnages: narrateur, soldats russes, diable ..
La clé de tout cela c’est le mythe de Faust, comment un naïf soldat croit un diable déguisé en vieux monsieur qui le persuade qu’il a mieux que son trésor actuel , son violon : un livre qui le rendra riche.
Malheureusement comme il le dit lui même » j’avais rien et j ’ai tout mais j’ai rien », spirale infernale qui l’emportera du rêve au drame .
Entrainé dans un spirale qui le dépasse, le petit soldat passe par tous les états, avant d’être emporté par le diable aux enfers.
Comme le dit Didier Sandre « on n’en n’a pas fini avec le Bien et le Mal »
Pour en savoir plus : wwwlafollejournée.fr[vimeo]http://vimeo.com/36295435[/vimeo]
[vimeo]http://vimeo.com/36185921[/vimeo]Tchaïkovsy- Concerto pour violon en ré majeur Opus 35 par Renaud Capuçon- violon et l’orchestre philarmonique de Lahti ( Finlande sous la direction de Mr Okko Kamu
Au violon Renaud Capuçon, autant le dire d’emblée : un virtuose qui fait corps avec son violon.
Justement, ce violon un Guarnerius de 1737 , sur lequel a joué, avant lui durant 50 ans, Isaac Stern. Plus rare et plus cher qu’un stradivarius ce violon est pour lui un vrai compagnon de toutes les sensations partagées .
Ainsi il ne sent pas seul, il est même inspiré .
Ici nous découvrons un morceau connu car il a été le thème central du film « Le concert », à travers un dialogue avec l’orchestre philarmonique de Lathi (Finlande)
Le violon soliste répond à l’orchestre puis passant du triste au fougueux, nous livre ici un moment d’éternité.
Ce morceau très physique qui n’est joué que par les plus grands car il est reconnu comme étant complexe, est ici magnifié par une interprétation hors du commun.
Gérard Depardieu pourrait bien interpréter le rôle de l’ancien patron du FMI dans le film adaptant l’affaire du Sofitel. Réalisé par Abel Ferrara, le tournage débuterait dès juin 2012.
Abel Ferrara a l’habitude de traiter des thèmes obsessionnels, et souhaite revenir sur le scandale sexuel qui a touché Dominique Strauss-Kahn en mai 2011. Accusé de viol par une femme de chambre, DSK avait démissionné de ses fonctions à la tête du FMI.
Sexe, pouvoir et politique : l’affaire devrait donner du grain à moudre au réalisateur américain. Il a fait appel à Gérard Depardieu pour jouer le rôle de l’ancien patron du FMI, et Isabelle Adjani pour celui d’Anne Sinclair. Le tournage pourrait commencer dès juin 2012.
Vous savez (à peu près) chanter ?
1000 euros et 500 CD single vous attendent au concours « Mémoire de la Mer » !
Le centre international de la mer « La Corderie Royale », le centre national le Hall de la Chanson et la Radio de la Mer/Oui FM s’associent pour vous proposer un concours de reprise de chansons qui chantent les flots bleus.
1000 euros de prime, 500 CD single édités par les éditions Raoul Breton dont 300 remis au gagnant et 200 destinés à un envoi promotionnel aux médias, tourneurs et labels discographiques, une prestation scénique rémunérée lors de l’une des soirées organisée par le Hall de la chanson sur la saison 2012… et une bonne façon de se faire repérer par des professionnels de la filière musical …
Le jury sous la Présidence de Erik Orsenna, de l’Académie française, écrivain,
Président de la Corderie Royale – Centre International de la Mer
Journalistes : Jean-Daniel Beauvallet (Les Inrockuptibles), Bertand Dicale (France Info), Stéphane Davet (Le Monde), Michael Patin (Magic) Editeurs : Laurent Bodin (éditions Raoul Breton) Diffuseurs : Serge Hureau (Le Hall de la Chanson), Kevin Douillez (Les Francofolies de la Rochelle) Benjamin Ritner (Asterios), David Ferrier Scène de Musiques actuelles La Sirène… Maritime : Benedict Donnelly, Président de l’association Hermione – La Fayette, Jimmy Pahun, navigateur, Emmanuel de Fontainieu, directeur de la Corderie Royale – Centre International de la Mer
Pour participer :Réaliser et nous envoyer la meilleure reprise d’une chanson portant soit sur le thème « Port et Escales »(une liste non exhaustive est disponible sur la page du concours), soit une reprise de la célèbre chanson « La Mer » de Charles Trénet. > du 16 janvier au 26 février 2012.Infos pratiques :
Drame américain de Lynne Ramsay
Avec Tilda Swinton, John C. Reilly, Ezra Miller
Kevin est le dernier né d’une famille heureuse. Très vite, il se distingue des autres enfants en devenant violent et agressif. Ses parents ne savent plus quoi faire.
Présenté en compétition au dernier festival de Cannes, cette claque cinématographique filme principalement la mère de Kevin, après un drame supposé.
Par de nombreux flashbacks, le spectateur s’enfonce de plus en plus dans l’horreur humaine du destin de Kevin… Passionnant et formidable.
Bonus : Making of ; Entretiens avec Lynne Ramsay et les comédiens ; Bandes-annonces.
En février 2012, Lolle sortira son premier single intitulé « De l’eau qui dort ». Foncièrement pop, la jeune chanteuse nous livre un titre à écouter sans modération !
Née au milieu des montagnes, Lolle a grandit loin des mouvements de foule. Et c’est dans sa campagne qu’elle s’initie à l’instrument-voix, le véritable dialogue musical. S’inspirant des textes de Gainsbourg, elle commence à écrire et joue avec la musicalité des mots et les thèmes « à la marge ». Elle s’éprend de sa manière de jongler avec les images et les doubles sens, de son tempérament de génie écorché. Une poignée de compositions abouties et une vingtaine de titres en ébauche en poche, elle signe son premier album sur le label Lily corp / Balagan box.
Mais ce qui fait la particularité de Lolle, c’est qu’elle propose son premier titre De l’eau qui dort avec deux vidéos : l’une « ange », l’autre « démon ». Découvrez sans attendre son single, sur lolle.fr. Pour les fans, De l’eau qui dort est déjà disponible sur iTunes.
Comédie américaine de Douglas McGrath, avec Sarah Jessica Parker, Pierce Brosnan, Greg Kinnear…
Kate ne s’arrête jamais. Entre ses deux enfants et son travail harassant, elle a du mal à s’en sortir. Pire, elle ne peut en parler ni à son patron ni à son mari, qui n’ont pas l’air de vraiment comprendre…
Comment pouvoir tout concilier en gardant le sourire ?
C’est la question que tente de solutionner cette comédie très sympa, dans laquelle Sarah Jessica Parker émeut tout en faisant preuve d’autodérision.
Malgré pas mal de voix off et (évidemment) de situations légèrement improbables, nous parvenons facilement à nous identifier aux personnages.
Adaptation du roman éponyme vendu à plus de 4 millions d’exemplaires, qui fut en 2002 le livre emblématique de la « chick lit » (littérature féminine américaine), Mais comment font les femmes ? parvient finalement à faire la part belle aux deux acteurs -complémentaires- du couple.
Touché !
Bonus : Conversation avec Allison Pearson, auteur du best-seller « I Don’t Know How She Does It »
Twilight 4 partie 2 ne sortira que le 14 novembre 2012, mais il commence déjà à faire parler de lui ! Dans le dernier volet, nous découvrirons une scène très touchante entre Edward et sa fille Renesmée jouant du piano.
Ce ne sera pas la première que nous verrons Edward jouer du piano. Déjà dans dans le premier chapitre, Edaward jouait dans une salle sombre une magnifique berceuse à Bella, sa future épouse.
Cette révélation a été dévoilé par Carter Burnwell, compositeur des musiques des films Twilight. » En général, je n’écris rien tant que le film n’a pas été tourné. Mais il y a des exceptions. Pour le film sur lequel je travaille en ce moment, “Breaking Dawn part 2,” ils avaient besoin que Rob Pattinson et l’actrice qui incarne sa fille jouent du piano à l’écran. J’ai dû écrire ce duo avant qu’ils ne tournent le film afin qu’ils puissent apprendre leur partie. Rob est un musicien, il a été fier de lui quand il a travaillé sur le placement des doigts pour que ce soit correct,” confie t-il.
Film d’aventures émotionnelles réalisé par Jean-Marc Vallée, avec Vanessa Paradis, Kevin Parent, Hélène Florent
Ce merveilleux Café de Flore nous plonge dans l’univers d’une mère et de son enfant, dans le Paris des années ’60. En parallèle, nous suivons le destin d’Antoine, un DJ montréalais d’aujourd’hui, qui parcourt le monde.
Quels liens existe-t-il entre ces deux histoires ? Qu’est ce qu’une âme sœur ? Pourquoi Antoine est-il si attiré par la musique « Café de Flore » ?
Les réponses seront immenses.
Magnifique tant sur la forme (un grand travail de réalisation, une image sublime et une musique parfaite) que sur le fond (intrigue bouleversante et efficace), Café de Flore subjugue. On pense déjà à Vanessa Paradis pour le César de la meilleure actrice.
LE film de Janvier.
Thriller dramatique américain de John Madden,
avec Helen Mirren, Sam Worthington, Tom Wilkinson…
Trente ans après une mission spéciale consistant à capturer un ancien bourreau nazi, les trois agents du mossad ayant participé à l’opération sont appelés par leurs supérieurs pour apporter des précisions sur l’affaire… un lourd secret se cache.
Remake du film israélien La dette, l’affaire rachel singer est un bon thriller, assez efficace dans sa mise en scène.
Même si le principe du scénario relève de la science-fiction, on se laisse porter par l’histoire et le jeu des acteurs. Intéressant.
Bonus : Focus sur le triangle amoureux de l’affaire ; Helen Mirren évoque son personnage ; Discussion de l’équipe de tournage.
Film d’aventure historique d’Otto Preminger,
avec Paul Newman, Eva Marie Saint, Lee J. Cobb
Le film culte d’Otto Preminger (réalisateur de La rivière sans retour) « débarque » enfin en haute définition !
Revivez l’aventure humaine bouleversante de ce navire plein de survivants des camps de concentration qui, en 1947, tenta de gagner les côtes d’Israël.
Paul Newman y est grandiose, évidemment… Une belle leçon d’histoire.
Disponible en blu-ray etcoffret 2 dvd.
Bonus : La véritable histoire de l’Exodus ; Portrait d’Otto Preminger ; Bande-annonce originale.
Documentaire américain en salles de Heidi Ewing, Alex Gibney, Seth Gordon avec Zoe Sloane, Sammuel Soifer, Jade Viggiano
Doc intéressant, Freakonomics tord le cou à plusieurs vérités établies.
Adaptation d’un best-seller écrit par l’économiste Steven Levitt et le journaliste du New York Time Stephen Dubner, le film tente d’analyser plusieurs relations de causalité. Soudoyer ses enfants pour qu’ils aient de meilleurs notes à l’école… Ca marche ?
On ne peut pas prouver la triche dans le sport… Vraiment ?
La chute de la délinquance est la conséquence du renforcement de la police… Ou pas.
Malgré une inégalité dans les thèmes abordés et un ensemble légèrement confus, Freakonomics, en s’intéressant à la face cachée des choses avec humour et originalité, intéresse et innove. C’est déjà pas mal.
Série Fantastique USA De Nick Wauters. Avec Jason Ritter, Sarah Roemer, Blair Inderwood, Laura Innes…
Un jeune homme, enquêtant sur la disparition mystérieuse de sa fiancée, se retrouve impliqué dans la plus grande conspiration de l’Histoire.
Présenté comme un mix entre Lost et 24 Heures Chrono, cette série passionnante n’aura, malheureusement durée qu’une saison (même si la chaîne SyFy pourrait la racheter pour en produire une 2nd ). A découvrir.
Box 6DVD/5BR Universal. Bonus : c. audios, docs., sc. coupées…
Comédie GB De Nigel Cole Avec Sally Hawkins, Bob Hoskins, Miranda Richardson…
En 1968, une ouvrière anglaise découvre que, dans son usine, les hommes sont mieux payés que les femmes. Elle décide d’agir et changera le monde.
Basée sur des faits réels, cette comédie comme seuls les anglais savent en faire, est un bol de fraîcheur qui vous laissera un sourire indélébile.
Fantastique
USA
De Rupert Wyatt
Avec James Franco, Frida Pinto, John Lithgow, Andy Serkis…
En cherchant un remède contre Alzheimer, un jeune savant provoque une augmentation radicale des capacités d’un jeune chimpanzé qu’il élève.
Dire qu’on attendait rien de ce film est un doux euphémisme. Notre surprise n’en est que plus grande en découvrant ce qui est l’une des meilleures surprises de l’année. Intelligent et spectaculaire. Andy Serkis qui joue César, après avoir été Gollum, King Kong ou le Cap. Haddock, est magistrale. Au point qu’on parle de nomination aux Oscars, une première pour un personnage virtuel.
DVD/BR/Combo DVD-BR FPE. Bonus : c. audio, docs., sc. coupées… Existe aussi en éditon collector avec un DVD de bonus en plus.
Le + Campus : le film est rempli de références au film original (ex : la mission Icarus), pourrez-vous les trouver ?
Fantastique USA De Steven Spielberg & Joe Johnston. Avec Sam Neill, Jeff Goldblum, Laura Dern, Julianne Moore…
Un milliardaire excentrique veut ouvrir un parc d’attraction peuplé de dinosaures recréés génétiquement.
Un premier film qui changea l’histoire du cinéma, un second film plus sombre et un troisième qui assume son côté fun de « film de monstres », la fabuleuse trilogie arrive enfin en BR et le résultat est simplement magnifique. Le tout agrémenté de nouveaux suppléments exclusifs en plus de l’ensemble de ceux de l’édition collector DVD précédente.
Box 3 BR Universal. Bonus : b. annonces, m. of, c. audios, docs, sc. coupées… exhaustifs et passionnants.
Film d’action thaïlandais de Tony Jaa & Panna Rittikrai avec Tony Jaa, Primorata Dejudom, Dan Chupong
La légende « Ong-Bak » revient dans un troisième opus survolté ! L’immense Tony Jaa, qui allie la classe de Bruce Lee et l’agilité de Jackie Chan, présente des combats hors-normes dans le sport de combat qu’il affectionne le plus : le Muay Thaï, qui fut d’abord une technique militaire de combat rapproché… Après avoir démontré ses capacités sensationnelles dans différents sports d’arts martiaux, il revient à ses racines sur une musique entraînante et envoutante. Dans un rythme qui tient le public en haleine tout au long du film, « Ong-Bak 3 » allie parfaitement action, drame et émotion.
Cet épisode démarre là où « Ong-Bak 2 » s’arrêta. Considéré comme mort, il est accueilli dans un monastère par des moines bouddhistes qui le soignent et lui réapprennent la confiance en soi, le respect de l’autre et la méditation. Cela permettra à notre héros de reconsidérer sa vie et sa façon de combattre.
Dans ce volet, Tony Jaa renaîtra de ses cendres et apprendra donc à se mouvoir différemment… Ses techniques de combat en seront modifiées et le héros insèrera à ses arts martiaux des pas chorégraphiés. Cela donnera au Muay Thaï un nouvel aspect, telle une danse de scorpion, aussi séduisante que dangereusement efficace.
L’incroyable combat final, ultra-violent, oppose Tony Jaa à la star montante Dan Chupong. Après avoir excellé dans l’apprentissage d’arts martiaux, ce jeune thaïlandais débuta sa carrière comme cascadeur. Il obtint des petits rôles dans « Ong-Bak 1 » et 2 et, entre-temps, décrocha le premier rôle du film d’action « Born to fight ». Face à Tony Jaa dans « Ong-Bak 3 », il est l’adversaire que tout le monde redoute, un tueur sans pitié… Ca va cogner !
Même si ce volet n’a pas la puissance des 2 premiers opus, il nous permet de découvrir malgré tout de nouvelles figures impressionnantes de Tony Jaa, et pourquoi pas, une invitation à s’ouvrir à la méditation pour mieux se retrouver.
Trois ans après l’exquis Sexuality, Sebastien Tellier est en promotion pour la sortie très attendue de son prochain album, en mars prochain, My God Is Blue. Il nous avait déjà mis l’eau à la bouche avec un teaser de trente petites secondes, cette fois le dandy frenchie nous donne un réel avant-goût, avec « Pepito Bleu ».
On y retrouve la « touche Tellier »: un morceau qui s’ouvre comme une symphonie, une « synthé-mélodie » savamment distribuée, profonde et mélancolique, ornementée d’une dimension mystique troublante, quasi religieuse: Sebastien nous entraîne dans ce monde en « bleu » des plus étranges, dans lequel il incarne un Dieu aux yeux azurs…
Adepte de l’album concept, (L’Incroyable Vérité pour la famille, Politics pour la politique, Sexuality pour les plaisirs de la chair…) My God Is Blue apparait comme un ovni, un nouveau trait de folie du barbu aux lunettes noires, qui nous incite à « ne pas écouter son album, mais plutôt son message ». On se frotte déjà les mains.
Avec « L’Enculé », Marc-Edouard Nabe revient sur l’affaire DSK, à partir de l’épisode du Sofitel, et durant tout son procès. Le vingt-neuvième roman de l’auteur, paru en Ocotbre, a été épuisé en quelques semaines seulement, et a été réédité à quatre mille exemplaires, en vente uniquement dans deux cafés parisiens. Conforme à sa politique d’auto-édition, les librairies sont boudées. Pourtant, L’Enculé se vend comme des petits pains.
15 février 1985, sur le plateau d’Apostrophes. Invité pour la parution de son premier roman, Au Régal des vermines, Alain Zanini dit, Marc-Edouard Nabe, fait une entrée fracassante à la télévision, sous les yeux d’une poignée d’écrivains déroutés.
La France découvre alors ce jeune enflammé au teint cireux, orateur talentueux caché derrière de grands verres ronds, et arborant un grossier nœud papillon à poids, comme tout droit sorti d’un cirque « Zanini ». « Je suis complètement envahi par la littérature […] ce que nous vivons là est un brouillon pour moi, une éponge. Il me tarde de rentrer chez moi parce que cette nuit, je vais tous vous assassiner ! Je vais vous clouer sur mon liège, c’est-à-dire mon journal intime, et demain matin vous serez tous immortels pour moi. »
Le fils du musicien Marcel Zanini, provoque, il attaque et choque : ce jeune de vingt-cinq ans, qui manie l’arrogance de façon brillante, semble avoir déjà tout compris aux rouages du système médiatique. Les autres écrivains invités, parmi lesquels, Morgan Sportès, ne tardent pas à le qualifier d’antisémite, suite à ses modèles littéraires, dont il fait l’éloge dans son livre (Céline, Léon Bloy, Rebatet) et George-Marc Benamou lui assène même un coup de poing en fin d’émission. Le petit pet médiatique parfait. Au vingt-et-unième siècle, on appellerait cela, un buzz.
Un buzz, car Marc-Edouard Nabe énerve, il exaspère. Il énerve car il se veut héritier de toute une tradition romanesque d’écrivains incompris et, en bon agitateur du PAF, ses passages à la télévision tournent régulièrement à l’affront. Il énerve, car il se dit marginalisé, alors qu’il semble tout faire pour. Il se plaint d’un système dans lequel il trouve finalement son compte. Mais en fait, le plus énervant chez Nabe, c’est qu’il écrit merveilleusement bien… Si l’on sort son popotin de son si confortable premier degré, on se rend vite compte qu’il n’est en rien antisémite. Comme il l’avait justifié dans Apostrophes, à propos de Au Regal des vermines, Nabe « vomit le monde entier dans [ses] livre[s], sans exception ». Il remue la merde, et sans bâton. Et quant à sa tendance à tergiverser avec les limites de l’antisémitisme, elle répond à deux de ses désirs, de deux ses nécessités même : son désir perpétuel de choquer, provoquer, afin « d’exister » médiatiquement, il fixe un point d’attention en quelque sorte ; et son désir de s’ancrer dans la lignée de ses modèles, une nécessité qui délimite les contours de son idéal littéraire. Comme Céline, il imagine déjà la polémique après sa mort, doit-on ou non, célébrer Marc-Edouard Nabe ? Certain même, qu’il rêverait d’être condamné à l’indignation nationale… En 1995, il dresse le portrait de la dernière relique vivante de l’auteur du Voyage, sa femme Lucette, dans un roman d’une sobriété délectable, qui fait contraste avec son habituel style enflammé, titillant la corde des bonnes mœurs… Avec Lucette, Nabe écrit juste, Nabe est juste. L’humilité a pris le dessus sur ses pulsions, et l’œuvre s’en ressent, au contraire de son Vingt-septième livre, où seule sa plume pamphlétaire est mise en scène, dans le but un peu abscons de descendre un Michel Houellebecq qui, dit en passant, le fait très bien tout seul, et de rappeler au cercle de ses lecteurs, qu’il est un éternel incompris.
L’Enculé n’échappe pas à la règle : œuvre provocante et sulfureuse, le livre commence le matin du 14 mai, dans la suite 2806, et s’étend sur tout le long du procès. A travers une plume acide et dégingandée, Nabe entre dans la peau de DSK pour un livre au titre presque éponyme. Autant prévenir, le « nabot » a définitivement le goût du mauvais goût et, qu’il en déplaise à certains, il est rare d’autant rire dans un roman, et je dis bien « rire » : au programme, quelques scènes déjà cultes, comme l’entretien de l’ex patron du FMI avec ses parties en garde à vue, une cocue magistrale, Anne Sinclair, qui hésite entre trois documentaires sur Buchenwald, et un bouledogue aux airs familiers, prénommé Martine Aubry… Mais attention, l’œuvre n’a pas pour seule vocation d’être un pamphlet comique ; Nabe offre un réel décryptage politique et médiatique de l’événement, et parvient à insuffler à DSK, un sentiment d’empathie profonde… En effet, derrière ce personnage aux passions simiesques et aux besoins disons, primaires, se cache un anti héros aux faux airs naturalistes, grotesque et sous le joug de ses pulsions.
Alors que nous pensions tous que Twilight 4 partie 2 serait le dernier film, il semblerait que John Felheimer, directeur du studio de production Lionsgate-Summit, en décide autrement et produise une suite à Twilight 4 partie 2. Robert Pattinson, Kristen Stewart et Taylor Lautner seront-ils de la partie ?
C’est officiel : le studio de production Lionsgate a acheté le studio qui a produit les films Twiligh, Summit Entertainment, pour 412 millions de dollars.
John Felheimer, le directeur du studio de production Lionsgate-Summit, a déclaré dans une interview donnée au Los Angeles Times : « Je m’attends à ce que Twilight 4, partie 2 rapporte environ 700 millions de dollars dans le monde entier. C’est difficile d’imaginer qu’un film qui rapporte autant et n’aurait pas de durée sur le long terme« . « C’est une franchise géniale et ils ont fait du bon travail dans l’adaptation. J’espère qu’on pourra la faire perdurer« , a-t-il ajouté.
Cette déclaration est plutôt surprenante quand on sait que l’écrivain, Stephenie Meyer, n’a publié que quatre romans tous couverts par un film et deux pour le tout dernier. Des rumeurs courent aussi sur Internet, parlant d’une comédie musicale à Broadway et d’une éventuelle série…
Même si l’aventure Twilight est terminée pour Robert Pattinson et Kristen Stewart, elle ne fait que commencer pour John Felheimer.
Dimanche, « The Artist » a été récompensé de trois récompenses lors de la 69ème cérémonie des Golden Globes, dont celle du meilleur acteur dans une comédie musicale pour Jean Dujardin.
Jean Dujardin est sur nuage ! Le jury de la cérémonie des Golden Globes lui a discerné le prix du meilleur acteur dans une comédie musicale, récompense très rare pour un français. Déjà gratifié par le prix d’interprétation masculine au dernier festival de Cannes, ainsi que différentes distinctions françaises et étrangères grâce au film, Jean Dujardin fait aujourd’hui partie de ceux qui comptent et pourrait même être nominé pour la cérémonie des Oscars.
« The Artist », le film muet en noir et blanc de Michel Hazanavicius, était nominé dans six catégories : meilleure comédie, réalisateur, scénario, acteur de comédie (Jean Dujardin), second rôle féminin (Bérénice Bejo) et musique (Ludovic Bource). Le film a été distingué par le prix du meilleur film dans la catégorie comédie ou comédie musicale et le prix de la meilleur musique de film pour Ludovic Bource.
Sorti en France en 2011, ce film muet et en noir et blanc, tourné aux Etats-Unis, raconte l’histoire de George Valentin (Jean Dujardin), une star du cinéma muet confrontée à l’arrivée des films parlants à la fin des années 1920 et de Peppy Miller (Bérénice Bejo), jeune figurante, propulsée sur le devant de la scène.
Jeudi, le film muet de Michel Hazanavicius « The Artist » a reçu le prix du meilleur film lors de la cérémonie des Critics’Choice Awards à Los Angeles. Cette récompense ne sera probablement pas la seule puisque, avec six nominations, « The Artist » est l’un des favoris de la cérémonie des Golden Globes.
« The Artist« fait sensation aux Etats-Unis, et la 69ème cérémonie des Golden Globes s’annonce de très bon augure pour le réalisateur Michel Hazanavicius et les acteurs Jean Dujardin et Bérénice Bejo. Il concourt dans six catégories les plus prestigieuse : meilleure comédie, réalisateur, scénario, acteur de comédie (Jean Dujardin), second rôle féminin (Bérénice Bejo) et musique (Ludovic Bource).
Même si le film a toutes ses chances, il devra néanmoins affronter des adversaires de taille. Michel Hazanavicius est nominé pour le prix du meilleur scénario et celui du meilleur réalisateur aux côtés de Woody Allen, George Clooney, Martin Scorsese et Alexander Payne.
Déjà récompensé à la cérémonie des Critics’ Choice Awards, « The Artist« est un élégant pastiche en noir et blanc des films muets hollywoodiens des années 1920. L’histoire se passe à Hollywood en 1927. Alors que George Valentin (Jean Dujardin) est une vedette du cinéma muet, l’arrivée des films parlant va bouleverser sa carrière et le faire tomber dans l’oubli. Peppy Miller (Bérénice Bejo), jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Le film raconte l’histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l’orgueil et l’argent peuvent être autant d’obstacles à leur histoire d’amour.
Jean Dujardin est quant à lui nominé pour le prix du meilleur acteur dans une comédie ou une comédie musicale face à Ryan Gosling « Crazy, Stupid, Love »), Brendan Gleeson (« L’Irlandais ») ou encore Owen Wilson (« Midnight In Paris »).
La saga Twilight a permis à Robert Pattinson et Kristen Stewart de trouver l’amour. En formant un couple au cinéma et dans la vraie vie, la compagnie Mattel exploite ce succès médiatique pour en faire des poupées Barbie.
Les jouets Mattel devraient produire des poupées Barbie à l’effigie d’Edward et Bella, dans leur costume de mariage de Twilight 4. Les premières poupées des deux héros de la saga existent déjà sur le marché, mais elles vont être disponibles en version mari et femme. Les deux nouvelles poupées des acteurs principaux seront bientôt disponibles au prix de 29,95 dollars (23 euros), à partir de février 2012 sur le site Barbiecollector.com. Les produits dérivés des films se multiplient, comme le gloss de Bella, témoignant d’un succès grandissant. Une comédie musicale en forme de parodie est en effet programmée pour le 16 janvier à Brodway. Pour ravir les fans, la saga Twilight s’adapte à toutes les envies !
Twilight – Chapitre 4 : Révélation, tiré du best-seller de Stephenie Meyer, est sorti le mercredi 16 novembre dernier et se classe 6e au Box Office français de l’année 2011 . La sortie en DVD de cet opus est prévue pour le 11 février !
Lundi, l’émission télévisée « L’Amour est dans le pré » reprend sur M6. Pour cette 7ème saison, 14 agriculteurs tenteront de trouver l’amour. Voici une petite présentation de ces derniers…
Annie a 56 ans et est éleveuse de cheveux dans l’Eure-et-Loire (centre).
« Annie est une femme à la personnalité exceptionnelle caractérisée par sa joie de vivre, son franc-parler, sa grande vitalité, son authenticité… Depuis des années, elle consacre tout son temps à sa passion pour les chevaux et s’autorise aussi des sorties entre amis. Après quelques déceptions amoureuses, elle ne demande aujourd’hui qu’à croire en l’amour et attend la rencontre déterminante qui bouleversera sa vie. »
Bertrand est éleveur de vaches laitières et maraîcher dans le Rhône (Rhône-Alpes).
« Bertrand, le benjamin de nos agriculteurs de cette nouvelle saison, est un jeune homme très dynamique et travailleur. Installé depuis 2008 sur son exploitation, il est aussi très engagé dans la politique agricole de sa région et auprès des handicapés. Généreux et sachant profiter de la vie malgré les épreuves, il garde confiance en l’avenir et espère rencontrer l’âme soeur pour construire une vie à deux. »
Bruno a 44 ans et est pépiniériste viticole pour la production de vigne mère porte – greffe et céréalier dans le Vaucluse (PACA).
« Bruno, originaire de Madagascar, divorcé et père de 2 enfants, a effectué différents métiers avant de racheter l’exploitation viticole de son ex-beau-père… Passionné par son métier, ouvert sur le monde, joyeux, cet hyperactif suit même deux fois par semaine des cours de salsa. Après une douloureuse séparation il y a 5 ans, il s’est reconstruit pas à pas et se sent prêt, aujourd’hui, à redonner une chance à l’amour… »
Dany a 34 ans et est éleveur de vaches laitières dans le Doubs (Franche-Comté).
« La vie à toute allure de Dany n’a rien d’ordinaire ! Fils et petit-fils d’agriculteur, il est éleveur mais a également monté une ferme auberge qui peut accueillir jusqu’à 100 personnes dans son joli village des montagnes jurassiennes. Pour régaler ses clients, il utilise les produits de sa ferme et s’occupe de l’ambiance musicale en jouant de l’accordéon, sa première passion. Il est aussi l’heureux papa d’une petite fille de 5 ans. Cet homme de défi, battant et fonceur, n’attend plus que celle qui pourra le suivre et lui apporter amour et réconfort… »
Hugo a 28 ans et est éleveur de vaches à viande en Gironde (Aquitaine).
« Agriculteur depuis seulement 2 ans, c’est sa passion pour les animaux qui a poussé Hugo à s’installer à son compte. Très occupé par son métier et ses horaires difficiles, il s’accorde tout de même quelques loisirs et sorties entre amis. Aujourd’hui, il vit chez ses parents mais rêve de choisir, avec la femme de sa vie, la propriété qui les abritera. Déçu par l’amour, ce jeune homme généreux et droit cherche la personne qui lui redonnera confiance et partagera en toute sérénité son quotidien. »
Jeanne a 60 ans et est éleveuse de vaches à viande et de brebis dans les Pyrénées- Atlantiques (Aquitaine).
« Jeanne est la doyenne de cette 7ème saison. Elle a repris l’exploitation familiale il y a seulement 8 ans et y vit seule avec son fils. Débordant d’énergie, elle cumule son activité d’agricultrice avec le métier de kinésithérapeute qu’elle exerce depuis près de 40 ans. Son caractère très affirmé laisse aussi entrevoir une femme tendre et fragile. Elle attend aujourd’hui l’homme qui saura faire preuve de patience pour la conquérir… »
Joseph et Rémi ont 41 ans et sont éleveurs de vaches laitières dans le Morbihan (Bretagne).
« C’est la surprise de la saison : des jumeaux ont décidé de participer à l’émission ! Jo et Rémi ont, au-delà de leur physique, beaucoup en commun : ils exercent le même métier, vivent tous les deux sur leur exploitation (mais chacun dans sa maison), partagent les mêmes passions : musique, sport, sorties, voyages… Et pourtant, ils ont des caractères bien différents. Rémi d’un naturel plutôt réservé, est sincère et sociable. Professionnellement, il gère la partie élevage de l’exploitation. Joseph, pour sa part, est d’une grande franchise, romantique et sensible. Côté ferme, il préfère exercer le travail de la terre et piloter les machines agricoles. Tous deux rêvent de rencontrer l’âme soeur… et pourquoi pas des jumelles ! «
Michel-Edouard a 53 ans et est céréalier et viticulteur en Charente (Poitou-Charentes).
« Michel-Edouard a réalisé son rêve le plus cher : posséder sa propre exploitation. Installé depuis l’âge de 23 ans, il a consacré sa vie au travail, négligeant ses propres loisirs et les rencontres amoureuses. Aujourd’hui, ce parfait homme d’intérieur, timide et volontaire, souffre de solitude et espère rencontrer la femme qui pourra partager son quotidien et lui redonner confiance. »
Patrice a 41 ans et est apiculteur en Gironde (Aquitaine).
« Pour la première fois dans “L’amour est dans le pré”, nous avons un apiculteur ! Patrice partage son quotidien entre ses deux passions : ses ruches en agriculture biologique et sa fille de 8 ans. Fier de son métier et soucieux de l’environnement, il est intarissable sur le sujet des abeilles. Plein d’assurance au premier abord, Patrice semble en fait assez timide et réservé. Il vit seul dans un grand chalet en bois et profite de son temps libre pour jouer de la batterie, faire de la moto, recevoir ses amis ou encore voyager. Il cherche aujourd’hui la femme idéale pour partager son quotidien. »
Philippe a 54 ans et est viticulteur dans le Jura (Franche-Comté).
« Philippe, notre doyen cette saison, est de loin le plus adolescent de nos agriculteurs. Epicu¬rien dans l’âme, il aime passionnément le vin qu’il produit, les bonnes tables et les fêtes entre amis où il n’hésite pas à prendre sa guitare pour animer les soirées. Philippe vit dans une grande et belle maison en plein coeur de son village natal. Fan de footing, il parcourt aussi le monde. Après 30 ans de vie commune avec la mère de ses deux grands enfants et une séparation difficile, il attend aujourd’hui la femme qui saura le suivre dans sa vie très active ! »
Pierre a 35 ans et est céréalier et producteur d’Armagnac dans le Gers (Midi-Pyrénées).
« Véritable épicurien et grand travailleur, Pierre est passionné par son métier et fier de sa région. N’ayant jamais vécu d’histoires sérieuses, cet homme solide et plein d’humour s’investit pleinement dans son travail et ses amis pour oublier sa solitude. Il est passionné d’opéra. Il ne lui manque plus qu’une chose pour faire son bonheur : rencontrer une femme pour enfin envisager des projets de vie à deux. »
Solange a 34 ans et est oléicultrice et productrice de plantes aromatiques en Corse-du-Sud (Corse).
« Solange, native de l’Ile de beauté, s’est installée il y a deux ans sur les terres de son père pour produire de l’huile d’olive et cultiver des plantes aromatiques. Après avoir vécu plusieurs années dans les montagnes alpines, un retour aux sources s’imposait… Même si son métier l’accapare beaucoup, cette jeune femme douce et joyeuse s’accorde quelques moments de détente en pratiquant le vélo et la peinture, sa passion, et aussi des dîners entre amis. Si elle aime profondément sa terre, l’isolement se fait parfois sentir et c’est aussi pour fonder une famille que Solange cherche l’amour… »
Thierry a 43 ans et est éleveur de vaches laitières dans la Manche (Basse-Normandie).
« Thierry, veuf depuis 6 ans, vit seul avec sa fille Charlène, 16 ans. Issu d’une famille de 8 enfants, il a travaillé dur pour monter sa propre exploitation. Mais il a réussi à faire de sa passion pour les animaux, son métier. Ses journées sont aujourd’hui rythmées par son travail, sa fille, ses amis et ses sorties. Incarnant la joie de vivre et la générosité, ce gentleman plein d’humour n’attend plus que l’amour pour être comblé… »
Meltones est une superbe déflagration rock, sublimée par la finesse de ses mélodies. Des guitares ardentes, nerveuses, des refrains entêtants, des sensations qui participent à l’euphorie d’un road trip entre la Californie et l’Angleterre. Quatre garçons d’à peine vingt ans, un quatuor à suivre de près !!!
Lou Lesage signe un premier album teinté seventies où soufflent des effluves de Nashville, une rencontre entre Cat Power pour les inflexions vocales et les Kills pour la rusticité rock.
+ 1ère Partie : Boulbar / Ouverture des Portes à 19h30
En concert le : Mercredi 1er février 2012 à 19h30
La Maroquinerie
23 rue Boyer, 75020 Paris
Tarifs : étudiants : 13€ / adhérents : 13€ / plein : 15€ (frais de loc inclus)
www.lamaroquinerie.fr
Les fans de la saga vont peut-être être déçus. La comédie musicale Twilight The musical, adaptée de l’oeuvre de Stephenie Meyer, sera prochainement jouée à Brodway, mais tournée vers la plaisanterie plutôt qu’en forme de véritable comédie musicale.
« La vie ça craint quand ton petit copain est un vampire » chante l’héroïne du spectacle Twilight: The Musical, qui sera présenté le 16 janvier prochain, à New York. Le phénomène Twilight, après le succès des best-sellers et des films, n’a donc pas échappé à Broadway.
Lors d’une unique représentation, les jeunes comédiens qui joueront les personnages tirés du roman de Stephenie Meyer, participeront à une opération caritative puisque les bénéfices seront reversés à une association. La mise en scène des aventures de Bella Swan et d’Edward Cullen, est basé sur le modèle de « Saturday Night Live » et veut « en parodiant les livres et les films de la saga Twilight », « examiner notre culture de l’obsession ». Après cette parodie, une véritable adaptation en comédie musicale est cependant envisageable à long terme, tant l’histoire d’amour entre une humaine et un vampire, peut-être une réussite sur les planches.
Avec encore près d’1,2 millions de spectateurs à sa neuvième semaine en salles, le long métrage totalise près de 17 millions d’entrées et devient le cinquième plus gros succès de l’histoire au box-office français. Rien que lors du week-end du nouvel an, plus d’un millions de spectateurs sont allés voir le nouveau phénomène du cinéma français.
« Intouchables » est pour la neuvième semaine consécutive en tête du box-office. Les aventures de François Cluzet et Omar Sy ont attiré 1,19 millions de spectateurs pour les fêtes de fin d’année. Sorti le 2 novembre dernier, Intouchables culmine désormais à 16 888 372 entrées. Le film-phénomène devient le cinquième plus gros succès de l’histoire au box-office français. Devant lui ne restent plus que La Grande Vadrouille (17,2 millions), Blanche-Neige et les sept nains (18,3), Bienvenue chez les Ch’tis (20,4) et Titanic (20,6).
Au mois de janvier, on saura si le film se hissera en première position. Il ne lui reste plus qu’à attirer un peu plus de 3,7 millions de spectateurs pour devenir le plus grand succès de tous les temps dans l’hexagone. Phénomène de société, le leader du box office hexagonal attend de savoir s’il sera récompensé aux César, qui se tiendront en février prochain. Ce sera une première dans l’histoire du 7e art qu’une comédie populaire se voit récompensée.
La célèbre saga de Stephenie Meyer, ayant rencontré un succès tel, tant pour les romans que les adaptations cinématographiques, serait en passe de devenir une comédie musicale. En tout cas, certains à New-York se pencheraient déjà sur le projet : The Musicale est prévue pour ce 16 janvier sur la New World Stages de Broadway.
C’est d’abord une lecture publique qui devrait être organisée. On y comptera notamment des stars de Broadway comme Meghann Fahy, Jenna Leigh Green, et Jason Michael Snow qui interpréteront chacun les personnages principaux de la saga. Un communiqué de presse révèle que « La comédie musicale examine notre obsession culturelle à travers l’histoire de l’adolescente Bella Swan qui risquera tout en partant dans une romance avec le vampire Edward Cullen ».
Des vampires sur scène, se battant avec des loups garous, mélangée à une histoire d’amour compliquée, autant d’ingrédients pour que l’adaptation en chansons cartonne aussi sur les planches. Un projet qui devrait ravir tous les fans, en attendant la sortie en DVD du dernier épisode Twilight 4 Breaking Dawn en vente au mois de mars.
Il faudra encore patienter quelques mois avant de voir le volet final de la série Twilght. La rédaction de campus va se mettre en 4 pour dénicher toutes les infos exclusives sur le film tant attendu, la sortie est prévue en Novemble 2012, en attendant voici la première photo officielle de la famille cullen.
A trés bientôt
Les fans de bonne musique vont être ravis !
Pour cette fin d’année, 2 coffrets exclusifs sont disponibles à la Fnac :
THE ROLLING STONES, IT’S ONLY ROCK AND ROLL
Incluant deux documentaires musicaux de haute facture, One + One, Sympathy for the Devil réalisé par Jean-Luc Godard en 1968 et le plus récent Shine A Light, signé Martin Scorsese, cet ouvrage exclusif s’intéresse à la carrière du plus grand groupe de rock toujours en activité, sous l’angle de l’image…
Hervé Deplasse, critique musical chevronné, signe ici un portrait sans concession sur les Stones : les grandes étapes d’un parcours musical contrasté, la construction d’un mythe et ses architectes, le look, l’iconographie, la filmographie… Toutes les clés d’un succès planétaire passées au crible et mises en scène par plus de 100 photos, rares ou inédites.
Préface de Laurent Chalumeau
THE DOORS, WHEN YOU’RE STRANGE
Tout premier long-métrage documentaire sur « les Doors », When You’re Strange retrace le parcours de l’un des groupes de musique le plus “sombre et dangereux” qu’aient connus les Etats-Unis. S’appuyant exclusivement sur des images d’archives tournées entre 1966 et 1971, Tom Dicillo évoque l’histoire du groupe et de l’Amérique des années 60 avec un sens de l’urgence très contemporain. Accompagné par un texte lu par Johnny Depp (lui-même grand fan du groupe), le film nous fait pénétrer dans l’univers des « Doors », où l’expérience de la célébrité côtoie la drogue et l’alcool, mais souligne aussi le rapport viscéral de ces artistes à la musique…
Pour mémoire, la première édition contenait une interview inédite de Jim Morrison, parue dans The Village Voice en novembre 1970 et inédite en français, ainsi que 101 photos, rares ou inédites. Ce superbe ouvrage de référence sur les Doors revient cette fois avec une couverture cartonnée et
un second excellent DVD consacré à la genèse du premier album du groupe, devenu cultissime.
Préface de Philippe Manœuvre
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xdl3cn_bande-annonce-when-you-re-strange_shortfilms[/dailymotion]
Le 16 Décembre, à la fête de cloture du festival des Arcs (où « Portrait au crépuscule » remporta la Flèche de Cristal), le groupe « We have band » a tenu un concert / showcase acoustique de haute tenue.
En présentant quelques extraits de leur prochain album TERNION, à paraître le 30 janvier,
« We have band » a comblé les attentes des auditeurs et a réchauffé l’ambiance !
Avec son premier album, WE HAVE BAND s’est imposé comme l’un des groupes les plus brillants et audacieux de ces dernières années.
Radicalement différent, leur nouvel opus, réalisé par Luke Smith (Foals, Depeche Mode.), redouble de génie.
WE HAVE BAND n’a plus seulement un groupe, le trio anglais a des mélodies précises, un son précieux, et une carrière déjà exemplaire.
We Have Band réunit 3 amis, Darren Bancroft et le duo que forment Thomas et Dede Wegg-Prosser sur la scène comme à la ville. Ils se sont rencontrés dans un label pour lequel ils travaillaient, qu’ils ont ensuite quitté pour former un groupe, jouer à Glastonbury, sortir un album qui a reçu les louanges de la critique du NME à Dazed & Confused, et tourner dans le monde entier.
Ceux qui s’attendent à un WHB tome 2 seront surpris. Si beaucoup des éléments qui ont fait la force du premier opus sont toujours là, surtout l’interaction entre les voix des 3 membres du groupe, ce nouvel opus se démarque du précédent. Souvent taxé de se protéger derrière leurs influences, cette fois on peut dire qu’avec ‘Ternion’, We Have A Band a trouvé un son unique bien à lui.
En tournée européenne durant en Février et Mars, ils seront le :
Mardi 28/02 à Amiens (Lune Des Pirates)
Le Mer 29/02 à Rouen (Le BBC) Le Jeudi 01/03 à Paris (La Maroquinerie) Le Vend 02/03 à Lyon (L’Epicerie Moderne)
Le Sam 03/03 à Mulhouse (Noumatrouff)
Twilight 4 : Révélation n’a fait qu’éveiller notre curiosité ! A quoi Bella ressemblera t-elle en vampire ? Eh bien… Voici la photo !
Cette photo rend le suspens insoutenable ! Twilight 4 partie 2 ne sortira qu’en novembre 2012… A la fin de Twilight 4, Bella accouche d’une petite fille, Renesmée. L’accouchement, macabre, conduit Edward à transformer Bella en vampire, avec une seringue contenant son venin. A la fin du film, on découvre les yeux rouges de Bella…
Dans le dernier film de la série Twilight, on pourra découvrir Bella en vampire, et la petite Renesmée, interprétée par Mackenzie Foy. On attend les prochaines photos avec impatience…
Mardi, NRJ 12 a diffusé le premier prime-time évènement Star Academy : Dix ans d’émotion ! Selon les audiences, plus de 2 millions de téléspectateurs, soit 5,9 de PDA, ont regardé l’émission.
Interrogé par TV Mag, Stéphane Joffre-Roméas, directeur des programmes de NRJ12, a annoncé qu’une 9ème saison de Star Academy allait être diffusé, les droits ayant été racheté à Endemol. « Nous étions déjà entrés en phase de développement d’une nouvelle adaptation de Star Academy, mais grâce à ce résultat, nous pouvons annoncer qu’il y aura bien une neuvième saison qui sera diffusée, soit en juin, soit en septembre prochain, » a-t-il déclaré.
Stéphane Joffre-Roméas a livré quelques informations sur cette nouvelle saison. « Les éliminatoires seront conservés. Les stars internationales, telles que Rihanna, apporteront toujours leur concours, et nous pouvons compter sur NRJ pour nous aider à constituer un beau plateau, » explique t-il. Par contre, l’émission sera tournée dans un nouveau château, situé à une cinquantaine de kilomètre de Paris.
Le jury ? Raphaëlle Ricci, Richard Cros ou Mia Frye… Le directeur des programmes confie qu’il souhaite « une mixité du corps professoral » pour juger les condidats. Cependant, rien n’est encore réellement décidé, le programme étant encore en phase de développement.
Au programme, 13 prime-times avec des candidats motivés. Stéphane Joffre-Roméas insiste sur le faire qu’il veut « redonner le goût de l’effort » aux futurs participants. Il déclare : « On ne devient pas star du jour au lendemain. Il faut assurer les évaluations, le prime et si ça ne va pas on dit au candidat : « Tu sors ». » Ça, c’est dit !
Le deuxième prime-time sera diffusé le mardi 20 décembre sur NJR 12, au cours duquel Grégory Lemarchal et Jenifer seront à l’honneur.
Le blockbuster n’en finit pas d’être l’objet de plaintes de scénaristes, auteurs, réalisateurs… Dernière polémique en date? Le scénariste Eric Ryder, ex-collaborateur de James Cameron, assure que le réalisateur lui aurait volé l’histoire d’Avatar. Il porte plainte auprès de la Cour Supérieure de Los Angeles pour contrefaçon de droits d’auteur.
James Cameron, voleur d’idées. C’est en tout cas ce qu’affirme Eric Ryder, ancien employé de Cameron, qui prétend qu’en 1999, il a écrit un projet de film, « KRZ 2068 », sur « une épopée écologique en 3 dimensions sur la colonisation d’un peuple et le pillage de leur habitat naturel merveilleux sur une planète merveilleux ». Il explique que son projet mettait en scène « des unités autonomes robots contrôlées par des humains », un synopsis qui ressemble étrangement à celui d‘Avatar.
Selon les documents de la procédure, Eric Ryder affirme avoir pitché l’un des plus gros succès planétaires, et généré des recettes de plus de 2, 8 milliards de dollars. Dès 1999, Eric Ryder aurait fait partager son idée à la société de production de James Cameron, Lightstorm Entertainment, qui au début intéressée, a finalement mis fin au projet en 2002, lui expliquant que « personne n’irait voir un film de science-fiction sur l’environnement ». Sauf que si, sept années plus tard, le film est devenu un phénomène planétaire, récompensé s’un Golden Globes 2010 du meilleur film et du meilleur réalisateur.
A la sortie d’Avatar, Ryder avait déjà intenté une action en justice qui est restée sans suite, James Cameron ayant affirmé qu’il était à l’origine de l’histoire d’Avatar, écrite avant 1999. Aujourd’hui, Ryder réclame des dommages et intérêts et veut se voir attribuer une partie des bénéfices du film. S’il obtient gain de cause, ce plagiat pourrait coûter chez à Cameron.
Aux Etats-Unis, le film du cinéaste français Michel Hazanavicius « The Artist » fait un carton ! Suite à la distinction du film par deux prix du New York Film Critics Circle, le prix du meilleur film de l’année et celui du meilleur réalisateur, « The Artist » pourrait bien être l’un des films favoris pour les Oscars dans la satégorie du meilleur film étranger.
Dans le même journée, le film, inspiré du cinéma muet américain des années 1920, a aussi reçu cinq nominations pour les Film Independent Spirit Awards 2012, cérémonie la plus prestigieuse du cinéma indépendant qui se déroulera le 25 février, veille des Oscars. Début novembre, le film avait déjà à Hollywood les honneurs du festival AFI Fest de l’American Film Institute à Los Angeles.
Jean Dujardin avait déjà reçu le prix d’interprétation au Festival de Cannes pour son rôle. Il interprète, dans le film en noir et blanc et muet, George Valentin, une star du muet en 1927 incarnée par Jean Dujardin, qui sombre dans l’oubli peu à peu avec l’avènement du parlant. C’est alors qu’il rencontre Peppy Miller (Bérénice Béjo), une jeune figurante qui l’idôlatre et qui va connaître une destinée inverse et percer à l’écran.
Du 10 au 17 décembre aura lieu la troisième édition du festival qui réunit le meilleur du cinéma européen, au sein de la fameuse station de ski…
Présidé par Michele Placido (réalisateur italien de « Romanzo criminale ») accompagné de célébrités telles que André Manoukian et Olivia Bonamy, le festival sera sous le signe de l’Italie, pays à l’honneur cette année. 12 films italiens, à la fois classiques (La dolce vita) et représentatifs de la nouvelle génération de réalisateurs (Gomorra) seront projetés dans les salles des Arcs…
De nombreuses avant-premières seront diffusées (comme L’amour dure trois ans de Frédéric Beigbeder ou Une vie meilleure avec Leïla Bekhti et Guillaume Canet) et des tarifs spéciaux sont prévus pour permettre à un maximum de personnes de partager ce grand moment.
La semaine tout compris (hébergement, forfait de ski, pass cinéma) est à partir de 240 € par personne.
L’exposition Game Story est organisée par la Rmn – Grand Palais avec la collaboration du musée national des Arts asiatiques Guimet et de l’association > MO5.COM. Cette exposition marque la réouverture de la Galerie sud-est, nouvel espace d’exposition au Grand Palais. 10 novembre 2011 – 9 janvier 2012
Apparu au début des années 1970, le jeu vidéo est un média jeune qui n’a cessé d’évoluer et de se perfectionner jusqu’à devenir de nos jours une industrie culturelle majeure.
Dès son apparition, ce nouveau média a fait l’objet de nombreuses discussions et analyses s’intéressant essentiellement à l’impact social ou personnel de son utilisation. Cette exposition vise donc à l’aborder sous un angle différent, esthétique et culturel.
Une histoire technique et esthétique
L’histoire des jeux vidéo s’est écrite en lien étroit avec l’évolution technique qui a permis aux créateurs de proposer des univers et des expériences de jeu de plus en plus riches et diversifiées. Grâce à des composants informatiques toujours plus puissants, chaque nouvelle génération de matériel de jeu vidéo a vu s’élargir la gamme des possibilités de création aussi bien pour les aspects visuels que pour les musiques, les sons et l’interactivité.
Les premiers jeux vidéo étaient constitués de gros carrés blancs ; les plus récents bénéficient de la haute résolution, voire de la 3D, et présentent une variété infinie de styles graphiques et d’univers visuels. Les premiers sons étaient de simples bips électroniques ; aujourd’hui, des musiques symphoniques, véritables bandes originales, sont composées spécifiquement pour des jeux vidéo. Les manettes des premiers jeux vidéo comportaient un seul bouton permettant de déplacer une raquette de gauche à droite sur un écran ; aujourd’hui, les consoles peuvent détecter les mouvements des joueurs qui deviennent eux-mêmes interface de jeu.
Tout au long de l’histoire du jeu vidéo, image, son et interactivité ont évolué de concert avec la technique. Il existe ainsi des périodes stylistiques marquées par une « ambiance » visuelle et sonore spécifique et par une offre particulière en matière d’interactivité.
Une histoire culturelle
Au-delà de l’esthétique et de la technique, l’histoire du jeu vidéo est aussi une histoire culturelle des nouveaux imaginaires contemporains nés de la rencontre entre des fonds culturels des États-Unis, du Japon et de l’Europe, et plus spécifiquement de la France qui occupe un rang majeur dans ce domaine. A travers des supports de création aussi divers que le cinéma, le dessin animé européen, la bande dessinée franco-belge, les comics américains, les mangas japonais, l’« anime » japonaise, les séries télévisées américaines, de nouveaux univers se sont créés. Ils sont autant de sources pour le jeu vidéo qui en retour les inspire.
L’histoire du jeu vidéo est également l’histoire du design industriel et du graphisme, visibles dans la forme des consoles, la mise en page des magazines spécialisés ou encore les boites des jeux et les publicités. Ce sont de véritables « ambiances visuelles » d’époque que l’exposition évoquera à travers divers objets liés au jeu vidéo et aux autres supports des nouveaux imaginaires.
Des clés de compréhension et des jeux jouables
La progression des études sur l’histoire esthétique et culturelle du jeu vidéo permet de proposer au public, même totalement néophyte, une histoire des styles et des clés de compréhension ou d’identification des jeux. C’est là ce que l’exposition se propose de faire, à travers un parcours organisé par sections chronologiques dans lesquelles le visiteur pourra s’initier, sur des matériels d’époque en parfait état de fonctionnement, aux différents jeux vidéo essentiels de chaque période.
Horaires d’ouverture
Tous les jours (sauf le mardi) de 12h à 22h
Fermé le mardi et le 25 décembre
Fermeture anticipée à 18h le 24 décembre et le 31 décembre
Tarifs
Plein tarif : 8€
Tarif réduit : 6€
Entrée simple famille 4 personnes : 22€
Alors que l’avant première de Twilight Chapitre 4 : Révélation (1ère partie) avait lieu hier soir au Nokia Theatre de Los Angeles, on en apprend tous les jours un peu plus sur le film qui sort demain dans les salles. Notamment à propos de la scène de sexe tant attendue, dont le livre est absolument dépourvu.
Pour éviter son interdiction au moins de 16 ans, la scène torride entre Bella Swan et Edward Cullen a dû être coupée. Mais pourquoi ? Pour ne pas heurter la sensibilité du très jeune public. Dans le Jimmy Kimmel Show, Kristen Stewart est revenue sur cette scène importante pour les fans et que le présentateur a trouvé très explicite. L’actrice de 21 ans, en couple avec Robert Pattinson, a notamment indiqué à quel point la limite de l’interdiction aux moins de 16 ans avait été atteinte. Selon elle, ce ne sont pas les mouvements de l’acteur qui ont compté mais plutôt les sons qu’elle émettait pendant la dite-scène.
En tout cas, Kristen a récemment annoncé que la scène serait composée de beaucoup de gros plans, n’en déplaise à certains. « Ce n’est pas une scène de sexe du début à la fin ; ce sont des souvenirs, ça rend bien. Du coup, je n’ai pas vraiment eu à tourner…on n’a pas tourné de scène de sexe en fait, ce n’était que des gros plans. » Et à propos de la fidélité de l’adaptation : « La scène reflète vraiment ce que j’ai ressenti quand j’ai lu le livre. »
Robert Pattinson aussi a fait preuve de franchise et a révélé qu’il portait un très inconfortable string pendant qu’il tournait la scène, inconfortable car il était beaucoup trop petit ! Ah les joies du tournage…
Verdict : demain !
Le décompte pour la sortie de Twilight 4 se rapproche…J-8 ! Et la tension monte pour les fans aux vus des nouveaux extraits. La naissance de l’enfant d’Edward et Bella s’annonce comme l’une des scènes choc du film.
Après le mariage d’Edward et Bella, elle tombera alors enceinte et son bébé la dévorera de l’intérieur, la privant de toutes ses forces. Son accouchement sera alors très violent car, rappelons que dans le livre, c’est Edward qui extirpe le bébé du corps de sa belle à coup de dent. Cette scène risque d’être très étrange à en croire les premières images.
J-9 avant la sortie du nouvel épisode de Twilight !Très attendu, Twilight 4 : Révélation (partie 1) sort le 16 novembre au cinéma.
Bientôt le mariage entre Bella Swan et Edward Cullen… Les fans de Twilight pourront enfin découvrir la robe de mariée que porte Bella. La production a tout fait pour garder le secret, et rien n’a fuité !
Dans cet épisode, vous découvrirez aussi la scène de sexe très chaste entre Bella et Edward, ainsi que la grossesse de Bella, très mouvementée…
Mais en attendant la sortie du film, voici quelques extraits du film !
Le quatrième épisode de la série Twilight sort dans deux semaines, le 16 novembre. Le dernier opus, divisé en deux partie, est très attendu. La deuxième partie sortira le 14 novembre 2012.
Dans Twilight 4 : Révélation, les fans vont enfin pouvoir découvrir la robe de mariée de Bella Swan, la lune de miel (avec une scène de sexe très allégée) et la grossesse…
A quelques jours de la sortie en salle, la production a dévoilé quelques nouveaux extraits :
Le 16 novembre sort le quatrième épisode de la série Twilight. La production avait vendu au public une scène de mariage émouvante et une scène de sexe torride entre Bella Swan et Edward Cullen. Mais les adeptes de Twilight risque d’être bien déçus… Le scène de sexe a été censuré !
C’est Kristen Stewart (Bella Swan) qui a révélé, lors d’une interview pour le magazine anglais Glamour, que l’une des premières versions était « interdit aux moins de 16 ans. »Censurée, la scène a donc dû être allégée. « C’était surréaliste ! commente l’actrice. On a été censuré et du coup, ils ont été obligé de la remonter. » Tous ceux qui attendaient avec impatience cette scène torride entre Bella et Edward vont donc être déçus. C’est une version épurée et soft de la scène qui nous sera livrée le 16 novembre.
Pourtant, on nous avait bien annoncé une scène de sexe enflammée : Robert Pattinson avait promis, dans une interview pour Premiere, que Twilight 4 allait séduire un nouveau type de public. « Aucun film de cette ampleur n’ose jamais prendre ce genre de risques« , avait confié l’acteur.
A défaut d’avoir une scène torride entre Bella et Edward, il reste toujours à découvrir le robe de mariée de Bella et la fameuse césarienne que Edward fera avec ses dents…
Les morts-vivants ont la cote. Une semaine après le lancement de la deuxième saison de « The Walking Dead », la chaîne américaine qui diffuse la série a annoncé qu’une troisième saison était en préparation pour l’année prochaine.
Alors que les fans américians de The Walking Dead découvrent les premiers épisodes de la deuxième saison, AMC qui diffuse la série aux Etats-Unis a annoncé qu’une troisième saison était en cours pour 2012. Charlie Collier, le président de la chaîne, a en effet déclaré : « Nous sommes heureux d’annoncer que les « morts » vivront encore, puisque c’est avec fierté que nous reconduisons The Walking Dead pour une troisième saison ».
Cette annonce promet de ravir les plus de 7 millions de fans qui ont suivi le premier épisode de la saison 2, le 16 octobre dernier outre-Atlantique. Les fans français devront, quant à eux, être plus patients. La saison deux ne sera diffusée en France qu’à partir du 20 novembre sur la chaîne Orange Ciné Choc.
Inspirée d’une bande dessinée de Robert Kirkman, la série The Walking Dead raconte les péripéties d’un groupe de vivants qui tentent de survivre dans un monde peuplé de zombies, pour des raisons encore inconnues. Et alors que les rescapés évoluent dans un univers hostile à la recherche d’un refuge, des affinités et des tensions se créent entre eux. Donnant ainsi à la série une certaine dimension humaine.
La sortie du nouvel épisode de Twilight 4 : Révélation arrive à grand pas. Le 16 novembre, vous découvrirez enfin le mariage de Edward Cullen et Bella Swan, leur lune de miel et… le bébé ! Survivra t-elle à cette grossesse ?
A défaut de pouvoir vous rendre à l’avant-première mondiale à Los Angeles le 14 novembres, le Grand Rex a annoncé qu’il y aura une grande avant-première du film Twilight 4 le 15 novembre 2011, la vieille de la sortie officielle du film. Les places sont en vente à partir de 13€ et elles risquent de partir très rapidement… Pour en savoir plus, cliquez ici.
Animation.
USA.
De Steven Spielberg.
Avec (voix) Jamie Bell, Andy Serkis, Daniel Craig, Nick Frost, Simon Pegg, Gad Elmaleh…
Sortie le 26 octobre 2011.
Tintin, un jeune journaliste impétueux et aventureux, achète une maquette de navire, celle de La Licorne. Mais rapidement, on cherche à la lui racheter puis voler. Il décide alors d’enquêter sur l’histoire de cette maquette et du navire qu’elle représente afin de comprendre pourquoi elle attire autant de gens et pourquoi ils sont près à tuer pour elle, ainsi que trouver le trésor qui y est lié.
Mixant Le Secret de la Licorne, Le Crabe aux Pinces d’Or et des passages du Trésor de Rackham Le Rouge, cette aventure de Tintin est, DE LOIN, la première à rendre honneur au personnage créé par Hergé, sur grand écran. Elle est également ce que Spielberg a fait de mieux depuis longtemps.
On y retrouve ainsi la force, l’aventure et l’action des premiers Indiana Jones, tout en respectant l’esprit de la BD culte. Les personnages y sont tels qu’on les imagineraient s’ils évoluaient dans le monde réel (il faut juste un petit temps d’adaptation aux apparences à mi-chemin du réalisme et de celles des albums), sans sacrifier leur personnalités. Quand aux scènes d’actions, elles sont tout simplement bluffantes.
Techniquement, le film est impressionnant, visuellement époustouflant et avec une 3D très efficace. La Performance Capture (Avatar, La Planète des Singes : les Origines…) permet d’éviter le « syndrome de l’œil mort » souvent inhérent à la Motion Capture (Beowulf, Le Noël de Scrooge, Le Pôle Express…)… On constatera d’ailleurs avec tristesse la facilité avec laquelle les gens (OK… Les journalistes) confondent les deux techniques, mais nous y reviendrons !
Le fait est que le terme de « performance » n’est pas galvaudé, puisqu’on distingue distinctement Jamie Bell (Billy Elliot, King Kong) « dans » Tintin, et Andy Serkis (la trilogie du Seigneur des Anneaux, King Kong, La Planète des Singes : Les Origines…) « dans » le capitaine Haddock.
Question casting, celui-ci est justement des plus réussi, et en plus des personnages principaux, on constatera avec plaisir que les Dupont/Dupond sont interprétés, en VO, par l’inénarrable duo comique britannique Nick Frost et Simon Pegg (Shaun of the Dead, Hot Fuzz, Paul…) et que notre Gad Elmaleh national y tient le rôle de Ben Salaad en VO comme en VF.
On espère que les deux films suivants prévus viendront vite et conserveront ces qualités, mais avec Spielberg et Peter Jackson à la barre, il y a peu à craindre !
La vraie question est de savoir si le film attirera suffisamment de monde pour les justifier financièrement (un budget de 200M$ auquel s’ajoute presque autant en pub !). Car si, pour la majeure partie de l’Europe, la « marque » Tintin suffira, pour les USA où le personnage est quasi inconnu, c’est avant tout un film d’aventure animé de Steven Spielberg et Peter Jackson que le public ira voir, et c’est sûrement pour cela que Tintin y sortira pour les fêtes de Noël.
Voilà donc un projet « casse gueule » par excellence qui s’avère être l’une des meilleures surprises de l’année, au point que la question n’est pas de savoir si le film sera nominé aux Oscars, mais bien dans quelle(s) catégorie(s)…
Encore qu’on ne sait jamais, quand on se souvient que, l’an dernier, Tron : l’héritage ne fût même pas nominé aux meilleurs effets spéciaux (ni à la meilleure musique sois dit en passant !!!), alors que Au-delà (avec son tsunami assez quelconque) oui !
Le + PlaneteCampus : Motion Capture et Performance Capture… Si, dans les deux cas, les acteurs jouent avec un costume recouvert de capteurs, dans un lieu rempli de caméras, permettant de retranscrire leur personnage en images de synthèses, dans un environnement réel ou non, la Performance Capture y ajoute, principalement un casque, que porte l’acteur et sur lequel est fixée une caméra filmant son visage. On peut ainsi « récupérer » la performance de celui-ci au plus près, y compris le regard et les expressions faciales, pour le double numérique, évitant ainsi ce qu’on surnomme « le syndrome du regard mort », autrement dit le regard vide et sans vie qui résulte souvent de la « simple » Motion Capture.
JM
Formé de Marianne Houle, François Lessard et Mathieu Collette, Monogrenade voit le jour en 2008, au moment où Jean-Michel Pigeon fait le grand saut et décide de sortir de l’ombre ses compositions et de les porter au bout de ses bras. Auteur compositeur depuis les premiers jours, il ne faut qu’une année et demie aux côtés du groupe Winter Gloves en tant que guitariste pour faire comprendre à Jean-Michel que sa place est ailleurs, au centre de ses propres inspirations musicales.
Composant la totalité des pièces en groupe, Monogrenade présente un EP-La saveur des fruits de 8 chansons en juin 2009,
qui fut fort bien reçu de la critique et du public. Réalisation soignée mais vivante, arrangements variés… Industrie queb, prends note: c’est comme ça qu’on fait de la pop moderne en 2009 campe le Nightlife magazine peu après la découverte du EP. Par la suite, Christophe Collette, le frère de Mathieu, réalise pour le groupe un vidéoclip époustouflant en stop-motion pour la pièce Ce soir. Véritable happening sur le web, le vidéoclip en est à plus de 175 000 vues! Pas mal pour un premier vidéoclip d’un groupe inconnu!
En 2010, le groupe signe un contrat de disque avec Bonsound Records et participe peu de temps après aux Francouvertes pour terminer en 3e place. Jouissant d’une belle visibilité grâce au concours, Monogrenade termine l’année en donnant quelques concerts à travers la province, notamment un concert intime et inspirant aux FrancoFolies de Montréal sous un ciel étoilé, devant une foule attentive et charmée. En novembre 2010, le groupe participe à l’événement M pour Montréal et assure avec un spectacle étonnant. Les délégués français présents n’en reviennent tout simplement pas et plusieurs offres de programmation de spectacles en France déferlent rapidement. Surpris et heureux, le groupe poursuit l’enregistrement de son premier album qui voit le jour le 1er mars 2011 sur étiquette Bonsound Records.
[vimeo]http://vimeo.com/5587639[/vimeo]
Monogrenade sera en concert
22/10 au Divan du Monde, Mama Event @ Paris à partir de 19h
Rien n’est plus beau que le début d’une histoire. Cet instant où tout peut arriver, cette poussée d’adrénaline qu’on ne ressent qu’avant de se jeter à l’eau, de tomber amoureux ou de monter sur scène.
Ce frisson, les Meltones le connaissent mieux que personne. Nearly Colored, leur premier album, est enregistré, mixé, terminé. Dans quelques jours ou quelques semaines, chacun pourra l’écouter. Bien sûr, leur groupe existe maintenant depuis quelques années. Mais pour eux, c’est maintenant que tout commence vraiment.
Les Meltones se rencontrent au collège, à Boulogne-Billancourt. Quatre copains, des instruments, un garage et des parents tolérants : l’équation traditionnelle de chaque groupe qui se lance. Ensemble, Thomas (chant et basse), Etienne (batterie), Pierre et Daniel (guitares) commencent par revisiter l’intégralité de leurs discothèques, où les classiques de leur génération (Radiohead, Coldplay, Oasis ou Supergrass) côtoient les grandes heures des 70s (des Beatles à Led Zeppelin et Hendrix, avec mention spéciale pour Lynyrd Skynyrd). Des racines rock et pop qui teintent, inévitablement, leurs premières compositions (dont Secret Rules, qu’on retrouve aujourd’hui sur l’album). A l’époque où ils passent leur bac, les Meltones ont une set list de dix chansons originales, qu’ils commencent à jouer sur les scènes des clubs parisiens grâce à une amie manager. C’est cette dernière qui, persuadée du potentiel du quatuor, envoie, sans les prévenir, leur démo chez My Major Company. Un premier jet principalement acoustique, mais dont on ressent déjà l’impact des mélodies, et l’attention portée à la structure des morceaux. De quoi séduire les gérants du label communautaire, qui décident de les signer.
Une fois leurs titres postés sur le site de MyMajorCompany, reste à récolter, auprès des internautes, les 70 000 euros nécessaires à l’enregistrement d’un album. Ce sera chose faite en huit mois : 923 producteurs (famille, amis, collègues et inconnus) misent sur le groupe. Prochaine étape : trouver le bon réalisateur pour l’album. Les Meltones établissent une wishlist dans laquelle figure en bonne place Philippe Zdar, membre de Cassius et artisan de la French Touch, dont ils admirent le travail sur le dernier album de Phoenix. D’abord séduit par l’énergie brute et les bonnes intuitions pop du groupe, puis définitivement
convaincu par l’écoute des premières ébauches de Don’t Stop Breathing, Zdar accepte.
En août 2009, les Meltones pénètrent dans le studio de Zdar pour 52 jours d’immersion totale. Objectif premier : ciseler l’architecture des morceaux, souligner un refrain ou élaguer un couplet, afin d’atteindre l’efficacité pop la plus pure. Les Meltones n’ont pas peur de faire des tubes, pourvu qu’ils leur ressemblent. Florent Livet, co-réalisateur de l’album est aussi là pour les aider : avec lui, les chansons gagnent en texture et en nuances. Une basse surpuissante vient booster un couplet, un effet vient réchauffer la voix, des synthés amènent un souffle de douceur. Un travail minutieux, exigeant, où rien, pas même le plus léger coup de cymbale, n’est laissé au hasard. Mais pas question d’obtenir un disque poli à l’extrême. Les Meltones savent qu’il est impossible de s’accrocher à une surface trop lisse, et que c’est dans les aspérités d’un album, dans ses petits défauts et ses jolis dérapages que réside tout son charme.
Le résultat ? Ceux qui ne connaissaient des Meltones que les démos déposées sur Internet, vont être surpris. Nearly Colored est une superbe déflagration rock, sublimée par la finesse de ses mélodies. Les Meltones ont trouvé leur signature : des guitares ardentes, nerveuses, qui s’envolent dans une explosion de lumière (Audrey). Des refrains qui restent longtemps en tête, et font battre le coeur plus vite (Early Colors, Don’t Stop Breathing). Des sensations qui vont de l’euphorie d’un road-trip démarré sur
un coup de tête en Californie, pied au plancher et Phoenix dans les oreilles (Out and Inside), à la fausse nonchalance d’une ballade avec les Kooks dans les rues de Londres (It Will Just Be Fine, Outer Space).
Et si, parfois, l’urgence se teinte de mélancolie, c’est parce que Nearly Colored est un album truffé de points d’interrogations. Le disque de quatre garçons de 20 ans pris dans un entre-deux, une zone étrange où l’on dit adieu à son enfance sans être vraiment certain de vouloir être adulte, où l’on hésite entre nostalgie et impatience. Un sentiment ambivalent, qui trouve sa plus belle expression sur le très floydien I Don’t Live Today, trip crépusculaire et audacieux de sept minutes, dont aucune n’est de trop. En enregistrant Nearly Colored, les Meltones étaient partagés entre l’envie de prolonger une certaine insouciance et le désir, irrépressible, de savoir ce qu’il y avait là, tout de suite, juste après. Pas de panique : pour eux, l’histoire commence bien. Et l’avenir s’annonce radieux.
Meltones sera en concert à la Maroquinerie leMardi 22 novembre à 19h30
Les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus est le nom du best-seller de John Gray, connu pour sa théorie sur les différences qui séparent les deux sexes. A travers cet ouvrage, il souhaitait transmettre ses réflexions de spécialiste en thérapie conjugale et donnait des exemples de la vie de tous les jours pour faire progresser son couple. Ce livre est un véritable guide !
Paul Dewandre est un peu le représentant officiel de John Gray en France. Grâce à cette pièce, il nous livre une approche théâtrale du best-seller. Au programme, une véritable thérapie de couple. Ou comment apprendre à communiquer avec sa moitié lorsqu’on ne parle pas du tout le même langage…
Tout est dans le titre. Mars, dieu de la guerre. Venus, déesse de l’amour. En quoi hommes et femmes sont-ils différents ? Malgré ces différences, comment peut-on arriver à communiquer, à se comprendre ? Un couple ça fonctionne ou dysfonctionne comment et pourquoi ?
Résultat : Échanges de regards, coups de coudes et on se met spontanément à réfléchir à ses rapports avec l’autre pendant et aussi après le spectacle.
Les hommes viennent de Mars et les femmes de Vénus
D’après le best-seller de John Gray
Au théâtre du Gymnase Marie-Bell.
Un spectacle de et par Paul Dewandre
Mise en scene de Thomas le Douarec
Du 7 juillet 2011 au 21 janvier 2012
Fantastique / SF
USA
De Matthijs van Heijningen
Avec Mary Elisabeth Winstead, Joel Edgerton, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Eric Christian Olsen…
Sortie le 12 octobre 2011.
En 1982, dans une station de recherché Norvégienne située en Antarctique, des scientifiques découvrent un vaisseau extra-terrestre enseveli depuis des milliers d’années, ainsi qu’une créature figée dans la glace… Pas pour longtemps!
Cette nouvelle adaptation de la nouvelle de John Campbell, est une préquelle au film du même nom de Carpenter (une séquence du générique de fin fait le lien). Si le film est techniquement très réussi, ce qu’il gagne en spectaculaire, il le perd malheureusement en ambiance et en paranoïa. Et si ce The Thing est un produit plutôt générique, il est des plus efficaces, visuellement superbe et offrant de nombreuses références à la version de Carpenter…
[youtube]http://youtu.be/Sa2EFj4_WMI[/youtube]
Le + Campus : La version de Carpenter était déjà un remake de La Chose d’un Autre Monde (de Christian Nyby, 1951). Elle fût un flop, descendu par la critique, lors de sa sortie en 1982. Elle est maintenant considérée comme un classique.
Action / Fantastique
USA
De Shawn Levy. Avec Hugh Jackman, Dakota Goyo, Evangeline Lilly…
Sortie le 19 octobre 2011.
Dans un futur proche, la Boxe est devenu un sport où d’immenses robots s’affrontent jusqu’à destruction. Charlie, ancien boxeur, est un petit manager de Roboxeurs assez minable et ruiné qui, en plus de devoir de l’argent, se retrouve avec un fils de 11 ans, dont il ignore presque tout, sur les bras.
Grosse production familiale Dreamworks (Spielberg), co-produite par Robert Zemeckis (Retour vers le futur) et inspirée d’une nouvelle de Richard Matheson (Je suis une Légende), Real Steel fonctionne grâce à une mise en scène efficace, de bons acteurs et une histoire qui dose émotions et spectaculaire.
[youtube]http://youtu.be/56gPz05mHTA[/youtube]
Drame
USA
De George Clooney
Avec George Clooney, Ryan Gosling, Philip Seymour Hoffman, Paul Giamatti, Marisa Tomei…
Le 26 octobre 2011.
Si Stephen Meyers est jeune et idéaliste, il n’en est pas moins un, déjà très expérimenté, conseiller de campagne, pour le Gouverneur Morris, candidat à la primaire Démocrates. Mais face aux manipulations et aux coups bas, il va devoir s’endurcir et perdre ses illusions.
Clooney, aussi doué devant que derrière la caméra, réalise un thriller politique de qualité qui, sans révolutionner le genre, permet de jeter un passionnant coup d’œil derrière le rideau des arcannes du pouvoir.
[youtube]http://youtu.be/aDJ2Z_jsGno[/youtube]
Le + Campus : avec Crazy Stupid Love, le mois dernier, et Drive et Les Marches du pouvoir, ce mois-ci, la fin d’année est vraiment sous le signe de Ryan Gosling, et ce avec trois bon films, de surcroît !
Comédie
GB/USA
De Oliver Parker.
Avec Rowan Atkinson, Gillian Anderson, Dominic West, Rosamund Pike…
Sortie le 19 octobre 2011.
Après une mission désastreuse en Afrique, l’agent du MI7 Johnny English est parti se ressourcer au Tibet. Mais quand un ancien agent Américain, avec des infos sur une future tentative d’assassinat sur le premier ministre Chinois, ne veut les donner qu’à English, son Pays (malgré les protestations du nouveau patron de MI7) demande au pire des meilleurs agents de reprendre du service.
Drôle, mais moins que le premier (l’absence de Malokovich se fait sentir), ce second JH se distingue aussi par un ton différent, plus axé sur l’action que le précédent. Et si le passage entre action et comédie n’est pas toujours très fluide, ce JH 2 n’en reste pas moins une sympathique parodie de James Bond qui permet de passer un bon moment.
Le + Campus : Restez jusqu’au bout du générique de fin, pour une scène coupée du film.
Après la mort de sa mère et la tentative de viol de son beau-père, une jeune fille est internée dans un hôpital psychiatrique. Là, pour échapper à son cauchemar, elle se crée un autre Monde issue de son imagination…
Visuellement éblouissant, ce film du réal. de 300, Watchmen, Ga’hoole et du futur Superman, bien plus subtil et complexe qu’il n’y parait, est à redécouvrir d’urgence. De plus l’Edition Ultimate (2 BR & 1 DVD) propose une version longue (+18’) qui accentue encore la profondeur du récit (uniquement sur le Blu-Ray).
Box Combo 2BR + DVD Warner. VOST/VF 5.1 (DTS pour BR). Bonus : Version longue (VOST), courts métrages animé, docs, b. ann., m. of interactif pendant le film…
[youtube]http://youtu.be/iQ0P1Xz1rUg[/youtube]
Drame policier
USA
De Brian de Palma
Avec Al Pacino, Steven Bauer, Michelle Pfeiffer, Mary Elizabeth Mastrantonio…
Film culte, remake du film éponyme de Howard Hawks produit par Howard Hughes en1932, ce Scarface est le film d’une génération, contant la montée en puissance et la chute de deux amis cubains, installés en Floride, et devenus des caïds du crime.
Cette édition Blu-Ray remasterisée, magnifique dans son boitier métal et agrémentée de nombreux bonus inédits est aussi dispo dans un coffret limité contenant le BR, le DVD, la BO, un briquet, une pince à billet, la Green Card de Tony Montana et des photos.
Blu-Ray Universal.VOST DTS, VF Mono. Bonus : nombreux et passionnants docs dont beaucoup inédits, sc. coupées.
Elle est comédienne, chanteuse, humoriste…il était temps que Prisca Demarez nous propose son one-woman show, oui, elle toute seule en scène dans sa robe rouge coquelicot, juste accompagnée de son pianiste, l’excellent Shay Alon, d’une petite table et d’une carafe d’eau, pour qu’on la découvre vraiment, intimement, après l’avoir vue triompher dans les plus belles […]
De Beckett, c’est la pièce préférée du metteur en scène Jacques Osinski qui confie que « c’est celle qu’on n’ose pas aborder sans un certain bagage ». Après Cap au pire ou la dernière bande, Jacques Osinski s’attaque donc à Fin de partie « comme on s’attaque à Hamlet ». Il s’entoure d’une équipe artistique qui elle […]
Jean Anouilh décidément nous surprendra toujours ! Qui s’attendrait à lire ou voir un véritable conte de fées fantaisiste par l’auteur d’Antigone ou de Médée? Car c’est une comédie savoureuse, injustement méconnue, que la troupe des Ballons Rouges a eu la bonne idée de monter, avec l’aide précieuse du metteur en scène David Legras, et de présenter […]
Une évocation d’une partie méconnue de la vie de cette grande dame de la mode suite à sa liaison avec un officier allemand durant la guerre. En 1946, Gabrielle Chanel se réfugie en Suisse pour échapper à de graves ennuis et commence à dicter ses mémoires à son ami l’écrivain Paul Morand. Nostalgique de Paris […]
…ou la très belle histoire d’amour entre un jeune homme et sa batterie ! Le personnage, merveilleusement interprété par le comédien-musicien Pierre Martin-Banos, seul en scène, nous raconte comment sa passion est née, nous révèle ses déboires, ses rêves d’enfant, ses joies, ses déceptions, le tout avec humour et une grande sensibilité. L’auteur Cédric Chapuis […]
C’est soutenu par une magnifique création scénique de l’artiste vidéaste Mat Collishaw que le superbe Requiem de Fauré est proposé à la Seine Musicale pour deux représentations exceptionnelles. Une autre œuvre sacrée, Saint-François d’Assise de Charles Gounod, complètera ce moment musical, visuel et spirituel donné par l’Insula Orchestra, le chœur Accentus, les solistes Amitaï Pati, […]
Trouver le lieu idéal pour un mariage peut sembler être une tâche intimidante, mais en suivant quelques étapes simples, vous pouvez rendre ce processus aussi stressant que possible. Voici comment vous pouvez trouver le lieu de mariage de vos rêves. Définissez votre budget: Avant de commencer à chercher un lieu de mariage, il est important […]
Vous voulez passez un hiver en pleine forme, sans rhumes à répétition, sans maux de gorge ou tout simplement sans coups de fatigue, pensez aux infusions qui soignent, qui boostent, qui aident à digérer ou qui détendent ! C’est simple d’utilisation, peu coûteux, efficace …surtout lorsqu’elles sont associées à des huiles essentielles. C’est justement ce que […]
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Dans la peau d’une grand-mère aimante mais aussi d’une femme libre avec devant elle une nouvelle vie exaltante et aventureuse, la grande Annie Duperey, dans « Mes chers enfants » nous confie ses rêves, son présent, son passé, le tout avec la grâce, l’élégance et la sensibilité qu’on lui connaît. Le texte et la mise […]
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