Attention, inédit !
Une sombre enquête sur l’enlèvement de jeunes filles pousse le professeur Langstone (Laurence Fishburne) à se rendre à Miami, puis a Manhattan. Vous l’aurez compris, l’enquête se conclura à Las Vegas…
Réunissant tous les protagonistes des experts (Laurence Fishburne, David Caruso et Gary Sinise), cette investigation exceptionnelle en trois épisodes peut enfin prendre son temps d’établir un scénario digne d’un long métrage… La série la plus regardée au monde sur le créneau « Crime time » revient en force dans votre petit écran !
En supplément, découvrez les coulisses de cette trilogie avec les dessous du tournage, des entretiens avec l’équipe : des comédiens en passant par les techniciens ainsi que des interviews inédites des producteurs…
Bonus : Départ : Las Vegas – arrivée : Côte est / Mauvaise rencontres / Ours mal léché / Les héros de la côte est.
Actuellement disponible en dvd & blu-ray (VF / VOST)
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xb1vxw_les-experts-trilogie-cross-over-pro_shortfilms[/dailymotion]

Pour la troisième année consécutive, la Fondation Casques Rouges organise le Challenge Humanitech qui propose aux étudiants de s’investir concrètement dans des projets humanitaires .
Cette année, la finale du concours étudiant de l’invention humanitaire se déroulera le 20 mai à la Cantine à Paris. Les candidats présenteront alors leur dossier devant un jury composé de spécialistes reconnus en matière d’humanitaire et de technologie.
Le principe est simple, la Fondation Casques Rouges propose aux étudiants des universités et des grandes écoles d’utiliser leur compétences et leurs expériences pour monter un projet dans les domaines du dévelopment durable, des télécommunications et eu web.
Lors de la deuxième édition du Challenge Humanitech, ce sont les étudiants de l’ESCP Paris (projet Leaf Supply) qui ont remporté le concours. Ils ont conçu un lit de camp en carton, destiné aux besoins urgents des victimes de catastrophes naturelles. Les avantages économiques et écologiques permettront à ce projet d’être produit dans n’importe quelle région du monde
Nouveauté cette année, la Fondation Casques Rouges a décidé de mettre la francophonie à l’honneur en conviant plus de 200 étudiants du monde francophone à se rencontrer et à présenter leurs projets.
La Fondation Casques Rouges a été créée en 2006 par Nicole Guedj, ancien ministre. Obtenir la création de Casques Rouges à l’ONU, frères humanitaires des Casques Bleus demeure son objectif principal.
Par ailleurs, ils auront vocation à organiser et coordonner l’action des équipes de secours déployées, dans l’urgence lors d’une catastrophe naturelle majeure. La Fondation a particulièrement à cœur d’utiliser et surtout de créer de nouvelles technologies au service des victimes, destinées à renforcer l’action des équipes de secours au sein d’une catastrophe naturelle.
Comment participer au Challenge Humanitech :
-Composer une équipe de 4 à 6 étudiants
-Se présenter dans l’une des catégories suivantes : (Développement durable ou télécoms et web)
-Rédiger une présentation synthétique de l’équipe et du projet de moins d’une page
-Envoyer son dossier de candidature complété et la fiche de présentation avant le 31 mars 2011 (dossier à télécharger sur www.challenge-humanitech.com et à renvoyer à info@challenge-humanitech.com)
Piqure de rappel: La Fondation Casques Rouges organise demain, Mecredi 26 janvier une conférence en présence de son président Nicole Guedj: « Un an après… Haiti : la désespoir est-il permis? » à partir de 18h30 à l’ESG. Dernières inscriptions à: contact@casques-rouges.org
Comédie américaine de Miguel Arteta,
avecc Michael Cera, Portia Doubleday, Jean Smart…
Le timide Nick Twisp n’assume ni son physique, ni son nom, ni sa virginité. Lorsqu’il rencontre une ravissante et provocante jeune fille, il est terrorisé. Un seul moyen pour la séduire : laisser s’installer en lui un « double » maléfique qui le poussera à se dépasser et à franchir les barrières morales et légales…
Film sympa ayant plus sa place en dvd que sur grand écran, Be bad laisse venir des blagues de plus ou moins bon goût mais faisant toujours mouche. La présence de Michael Cera dans cette catégorie de rôle qui lui colle à la peau est tout à fait crédible, et les seconds rôles sympas (Ray Liotta, Steve Buscemi, Zach Galifianakis…) ainsi que la touche Juno du film relèvent l’ensemble. Espérons quand même, bientôt, un rôle plus mature pour le talentueux Cera. Une comédie mal-élevée à savourer entre amis un dimanche soir !
Bonus : Making of ; Bandes-annonces ; Contenu DVD-Rom ; Liens Internet
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xe3bh4_be-bad-bande-annonce-hd-vost_shortfilms[/dailymotion]

C’est le talent qui le pousse à 19 ans à s’auto-produire sur scène. Au départ prévu pour une soirée, ce sera finalement une semaine vu le succès.
Très vite remarqué il ne s’arrêtera plus et c’est tant mieux pour nous !
Il nous a fait passer une soirée à pleurer de rire à la Comédie de Paris
Fabienne Prevot : D’abord, est-ce vrai que vous vouliez faire certains métiers juste pour prononcer certaines phrases typiques à ces métiers ?
Ary Abittan : oui, oui c’est vrai
FP : Vous avez déjà fait beaucoup de choses notamment Coco avec Gad Elmaleh. Quel est votre parcours ? Comment êtes vous arrivé à ça ?
AA: en fait j’ai commencé à 18 ans au Club, j’écrivais des sketches et je jouais tous le soirs devant 600 personnes. Superbe école, la plus belle du monde. Quand je suis revenu à Paris j’ai joué dans un restaurant à République, les loges étaient en fait la cuisine et je sentais l’oignon à plein nez.
Après j’ai été chauffeur de taxi à 19 / 20 ans, mais je voulais faire des cours de théâtre. J’avais une demie heure de spectacle écrit, alors ce que je faisais : j’enregistrais mes sketches sur des cassettes, je les faisais écouter à mes passagers en leur faisant croire que c’était rires et chansons Pour voir comment ils réagissaient. Je les mettais à fond parfois certains me disaient « vous pouvez baisser? », des fois ils se marraient, des fois j’attirais leur attention en disant : « il est bon celui là, non ? » Ca m’obligeait à travailler pour les faire écouter à un maximum de personnes pour écouter ça… J’ai fait ça pendant 2 ans, c’ était génial, je me suis bien amusé.
Un jour dans le restaurant est venu Gad Elmaleh, il commençait à être connu, il avait beaucoup aimé le spectacle. On s’est perdus de vue et il devenu ce qu’il est devenu.
Après j’ai joué au théâtre durant 6 mois « Happy Hanouka » mis en scène par Jean Luc Moreau. Le père de Gad était venu me voir au Théâtre Michel et il a dit à son fils : « tu cherches quelqu’un pour le rôle de Max dans Coco, va voir Ary Abittan ». J’étais dans l’avion sur le point de décoller et là, Gad m’a appelé. Il m’a dit: « j’ai besoin de toi pour un rôle dans Coco ». Je me rappelle que l’hôtesse m’avait dit de raccrocher, je lui ai répondu « même pas en rêve » . Et on a tourné la fameuse scène de la Kippacabana que j’ai découvert sur place .
On pleurait de rire, au début on était 20 sur le plateau et à la fin on riait tellement qu’on était plus que 3 : Gad, le chef opérateur et moi . C’était mon premier film et je ne savais pas du tout ce que je tournais. C’est vite parti en déconne
Après je suis parti en tournée pour Coco. Avec Gad, on a ri aux larmes tous les soirs. Je lui faisais mes voix, je déconnais. Un jour il m’a dit « tu sais ce que l’on m’a dit : quand tu ouvres la bouche tu perds de l’argent, alors travaille ». J’ai connu sa sœur et là elle m’a beaucoup aidé à me recadrer. Là on a pris le Palais des Glaces pour deux mois – ce qui énorme – et on est resté un an. Après j’ai fait la première partie de la tournée de Gad.
FP : comment tu expliques ce que tu dégages et que tu parviennes à nous faire rire en continu ? tu déclenches des cascades de rire.
AA : en fait, un spectacle, c’est deux personnes : moi et le public. Moi je ne fais pas du « stand up », mais des personnages dans lesquels le public entre. C’est plus hilarant.
FP : Personne ne t’a reproché de te moquer de la langue arabe à travers le personnage du chanteur égyptien?
AA : non. D’abord, j’adore les langues [il ne parle ni ne comprend l’arabe, le turc et l’italien mais adore leur musicalité] et j’avais envie de faire quelque chose avec.
FP : envie de cinéma ?
AA : je ne pense pas à ça, mais le soir on joue et en journée on peut tourner pour le cinéma. Voilà, la scène pour moi c’est vital
FP : quel est ton public?
AA : ce que je vois c’est qu’il va de 7 à 77 ans. Lorsque j’entends des rires d’enfants je suis heureux
FP : tu joues beaucoup du physique ?
AA : oui, c’est très important pour moi car j’incarne des personnages et je veux qu’ils soient le plus crédibles possible. Surtout qu’ils se rapprochent le plus de ce que je veux, moi.
FP : Que t’inspire ce qui se passe en Tunisie? ( son père est Marocain et et sa mère Tunisienne)
AA : Je suis né à Paris mais avec des origines de ces deux pays. Difficile aujourd’hui d’en parler, j’espère qu’ils vont s’en sortir, ils sont dans une période de transition et j’espère qu’ils deviendront une vraie démocratie. En tous cas ils sont sur la voie
FP : que penses-tu à propos du fait que ce soient des jeunes qui aient porté tout ça ?
AA : Heureusement que ce sont des jeunes car ils ont la force , l’énergie et toutes les révolutions ont été menées par des jeunes.
FP : En mai 1968 aussi, mais ça n’a pas beaucoup servi…
AA : oui, mais ils étaient dans la rue
FP : qu’est ce que tu aimerais faire que tu n’as pas encore fait ?
AA : c’est un réel plaisir de monter sur scène tous les soirs et je m ‘en réjouis chaque jour. J’apprécie doucement comme un petit chocolat .
FP : qu’est-ce qui te fait rire?
AA : ce qui me fait mourir de rire …. les blagues potaches, les conneries que je ne fais pas sur scène.
FP : tu traites bien les femmes dans ton spectacle, tu as un regard assez gentil sur elles ?
AA : j’aime profondément les femmes ; j’ai d’ailleurs trois filles pour lesquelles je fonds, surtout quand elles sont petites.
Pour en savoir plus :
Son blog : ary–abittan.skyrock.com/
Et
Comédie de Paris,
42 rue Fontaine , 75009 Paris
http://www.comediedeparis.com/spectacle.php?id=93
Fabienne Prevot
Fabienne Prevot : pourquoi avoir choisi pour votre spectacle de dérouler votre vie ?
Malik Bentalha : en tant que jeune Français de 21 ans je trouve important d’adopter la position la plus légitime. Parler de politique, je ne sais pas faire mais ce je sais, c’est parler de ce qui me concerne, de mes fondamentaux : l’école, mes origines (Algérien par mon père et Marocain par ma mère)
FP : vous sentez vous concerné par les derniers évènements de Tunisie?
MB : Même si je suis avant tout Français, bien sûr que cela me touche, j’ai encore de la famille là -bas et se sont mes racines. Les conditions de vie y sont difficiles ; il n’y a pas de justice , pas de liberté d’expression un peu comme en Algérie ou au Maroc. Si le seul moyen de prendre la parole c’est ce qui s’est passé alors c’est bien. La jeunesse est consciente, elle est fascinée par l’Occident, dont la France.
Cet exemple de l’Occident fait que les jeunes veulent les mêmes conditions de vie. Lorsque je vais là -bas avec des jeans et des air max eux aussi ils en veulent. Pourquoi ils ne les auraient pas?
FP : ne pensez vous pas que nous avons en France une réelle liberté d’expression ?
MB : elle a existé mais n’existe plus . Par exemple, lorsque je vois que le président intervient pour le licenciement de Stéphane Guillon je me dis: mais il trouve le temps pour ca ? Quand on voit que des politiques demandent son avis à Jamel, on se dit qu’il y a quelque chose se qui ne va pas.
FP: comment avez-vous démarré?
MB : en 2007 j’ai eu mon bac et je décide de suivre le cours Florent, ce qui était à la fois une façon de venir à Paris et de rassurer mes parents. Ensuite j’ai écumé les cafés. Et en 2008 Alex Lutz m’as mis en scène au Point Virgule et là je me suis professionnalisé grâce à lui, notamment par la rigueur dans l’écriture. La même année j’ai enchaîné les scènes ouvertes. En 2009 j’entre au Comedy Club et je fais la 1ère partie du nouveau spectacle de Jamel Debbouze. C’est un exercice difficile mais lorsque je joue devant 100 -120 personnes je suis comme chez moi. J ‘ai aussi eu la chance de rencontrer Gad Elmaleh dans la rue, puis de de faire sa 1ère partie au Palais des Sports
FP : aimeriez-vous jouer au cinéma ?
MB : bien sûr! J’adore toutes les scènes et je veux être comédien avant tout, c’est pour cela que je ne souhaite pas être chroniqueur. On m’a proposé une rubrique et édition spéciale sur Canal+, mais je préfère me concentrer sur mon métier de comédien. Je trouve que c’est quelque chose qui se perd et c’est dommage. J’admire Jean Dujardin et Albert Dupontel qui sont passés directement de la scène au cinéma. J’ai tourné un téléfilm pour France 2 avec François Berléand et un film avec Manu Payet et Géraldine Nakache.
FP : vous parlez beaucoup de votre physique dans le spectacle, vous avez un problème avec ?
MB : Si on fait ce métier c’est que l’on a besoin d’amour, et en plus j’ai souffert de mon physique à l’adolescence alors j’ai appris à en jouer.
FP : Quels sont vos projets ?
MB : depuis une semaine au Casino de Paris en 1ère partie de Jamel Debbouze. Ensuite, dès mars, nous partirons en tournée dans toute la France et au Casino de Paris du 1er au 20 février.
Pour en savoir plus
Le Comedy Club
Salle – Théâtre
42, Boulevard Bonne Nouvelle Paris 75010
Métro : Bonne Nouvelle ,
Tél : 0811940940
Site : www.lecomedyclub.fr/
Fabienne Prevot
Le candidat star de « Qui veut épouser mon fils » refait parlé de lui aujourd’hui après une interview accordée ce matin sur MFM radio.
Décidemment, le bel italien nous étonnera toujours. Non Giuseppe n’est toujours pas devenu « hasbeen », il continue de faire parler de lui et de manipuler les médias.
Au micro de Laurent Argelier, l’italien le plus macho de la décennie a confié qu’il avait été particulièrement déçu par le casting qui lui a été proposé par la production de TF1. « Au bout de 10 minutes, j’ai dit maman mais qu’est ce que ce qu’ils m’ont mis, on se serait cru au bois de Boulogne, sincèrement » concluant avec son fameux « hein » qu’il fourgue à toutes les phrases qu’il prononce.
Pour lui, aucune des candidates n’avait la moindre valeur. « Pourquoi je vais respecter une fille qui pose nue, qui se respecte pas elle-même » assure notre Giuseppe national. C’est vrai que lui a toujours beaucoup respecté la gente féminine. « Tu te tais et tu manges » avait-t-il lancé à une candidate durant l’émission… Classe, très classe Giuseppe !
L’ex prétendant de Karine considère ces dix prétendantes comme « des petites putes » mais attention il reconnaît néanmoins vouloir profiter de leurs corps. « Je vais bien m’amuser moi, je suis un homme » dit-t-il.
Lorsque le fils de Marie-France parle de sa future femme, il est direct ! C’est le moins que l’on puisse dire, elle devra lui laisser faire ce qu’il veut ! « Ca lui convient, elle reste. Ca lui convient pas, elle fait ses valises et elle s’en va » explique-t-il.
Rappelons que Giusseppe sera bientôt Papa, sa compagne Khadiha est enceinte de sept mois. Pour autant, l’étalon italien est apparu au coté de Samira dit « Chamira » par Marie France, sa mère il y a quelques semaines dans les magazines peoples…
« Je suis comme ca, j’aime plaire, j’aime séduire ». Bah dans tout les cas, nous il nous séduit pas du tout!

Les Skinny Machines sont un groupe anglais dont la notoriété ne cesse de croitre. Découvert à Londres lors d’un impressionnant concert à Camden, voici 4 garçons qui n’ont pas fini de faire parler d’eux. Afin d’en apprendre plus sur ce jeune groupe, Jay Marsh le chanteur et Rikki Glover le guitariste des Skinny Machines ont accepté de répondre à mes questions…
Quand et comment est né le groupe Skinny Machines ?
Jay : Le groupe est né en janvier 2010 après avoir recherché un nouveau guitariste. Rikki passa l’audition et fut le meilleur. Par conséquent, notre travail a essentiellement commencé cette année.
Le nom du groupe vient du titre d’une chanson que nous avons écrit. Elle parle de l’être humain, de comment nous interagissons les uns part rapport aux autres, et du fait que le monde est fondamentalement plat et petit* (*skinny).
Quelles sont vos influences musicales ?
Rikki : Nos influences musicales sont un panel de ce que nous écoutons sur le moment, je suppose. Par exemple en ce moment, je m’intéresse beaucoup au groupe Gun. Mais j’écoute aussi des choses comme Radiohead ou Muse…
Jay : Nos goûts sont vraiment variés. Rick adore vraiment le rock, moi aussi d’ailleurs, mais nous nous intéressons également à la musique indépendante, au jazz et même à la musique classique ! En gros, la réponse est que nous écoutons à peu près tout !
Comment écrivez-vous vos chansons ?
R : Vraiment collectivement. Jay avait l’habitude d’écrire beaucoup de chose de lui-même. En tant que groupe, si quelqu’un a une idée, nous la partageons et essayons toutes les possibilités.
J : C’est habituellement comme différentes étapes qui s’inscrivent dans un processus : trouver quelque chose, et ensuite réfléchir en groupe. Après je travaille les verse de la chanson à la guitare en ajoutant une touche de noir. C’est un processus continuellement en évolution. Il n’y a pas qu’une seule et unique trajectoire dans ce que nous faisons !
Quels sont vos projets pour le futur ?
R : Nous avons une nouvelle tournée qui commence au mois de mars 2011 en Suisse, puis une autre au Royaume-Uni en avril. Pour ma part, j’accompagnerai à la guitare certains amis pour quelques morceaux. Après tout ça, nous repartirons surement en studio pour enregistrer quelques titres.
J : Nous avons fait notre 1er album cette année et nous avons vraiment prit beaucoup de plaisir à le faire, c’est pourquoi nous allons évidemment écrire plus de chansons pour en enregistrer un maximum. Finalement, nous souhaitons juste continuer d’aller de l’avant, manger aussi…
R :…et vivre !
Pensez-vous que vous auriez plus de fans si vous étiez signés chez un label ?
J : J’ai fait parti de plusieurs groupes auparavant, même des groupes signés chez un label. Il est vrai qu’aujourd’hui Skinny Machines n’est pas encore signé, mais nous avons un excellent manager, un super agent de tournée, ainsi qu’un avocat. Ca, c’est notre équipe ! Je voudrais dire aussi que le fait de faire parti d’un label ou non ne fait pas une grande différence pour les fans. C’est pourquoi, si nous avons de plus en plus de fans maintenant, c’est parce que nous assurons sur scène !
Quel est « l’esprit » de Skinny Machines, le message que vous souhaitez exprimer ?
J : C’est une question intéressante ! Nous n’avons pas de sorte d’agenda particulier rassemblant l’ensemble de nos paroles, nous ne sommes pas comme Rage Against the Machine. Mais en tant que groupe, nous sommes toutes des personnes qui prônent une pensée libre. C’est assez difficile de répondre car c’est assez nouveau pour nous de construire le message de groupe. En revanche, nous pouvons dire que l’esprit de Skinny Machines est de vivre la musique. Nous voulons s’envoler avec la musique. Notre volonté n’est pas de promouvoir une idée particulière pour le moment, même si nous traitons différents sujets dans nos chansons. En fait, nous retranscrivons ce que nous voyons plutôt que nos croyances, nos pensées ou nos états d’âmes.
R : Dans nos chansons, nous essayons de peindre les situations que nous vivons et les personnes que nous rencontrons.
J : Et j’ajouterai que nous voulons aussi en profiter un maximum et s’amuser !
Parfois vos chansons sont très mélancoliques alors que les paroles et la musique plutôt très énergiques, est-ce une volonté de votre part ?
J : Je comprends ce que tu veux dire. Je suis connu pour être joyeux, mais parfois, ma voix fait que mes paroles deviennent mélancoliques. J’écoute d’ailleurs moi-même beaucoup de musique empreint de mélancolie comme The Smiths, Jeff Buckley, ou The Cure, qui ont tous des voix incroyablement tristes et plaintives. C’est cela que j’admire vraiment. Je pense que nous ne sommes pas vraiment fans des personnes en train de hurler « Come on everybody ! Let’s Party !… » (rires) Non, aucun problème avec eux. C’est juste que ce n’est pas nous. Je suis un mec plutôt sympa mais j’ai également un monde mélancolique en coulisse. A l’inverse, les autres membres de Skinny Machines sont plus comme des bêtes de scène. C’est le mélange parfait pour nous : un chanteur calme et des musiciens fous derrière lui ! (rires) C’est le bon équilibre.
Avez-vous déjà été en France ?
J : Oui, plusieurs fois ! Nous avons déjà joué en Europe, et du coup visité un peu la France. Nous avons traversé toute la côte ouest : La Rochelle, Bordeaux , Montpellier… Je suis aussi venu en vacances pour faire du ski, j’adore la France ! Et j’aimerais énormément jouer en en France, surtout à Paris.
Qu’aimeriez-vous dire au public français ?
J : Je veux leur dire : « Paris ! Bonjour… Je t’aime… » je ne parle pas beaucoup français (rires). Non, plus sérieusement, regardez autour de vous et allez sur notre facebook pour écouter notre musique. Nous adorerions vraiment jouer dans votre magnifique pays, donc si vous voulez nous voir, nous serions heureux de venir 😉

http://www.facebook.com/skinnymachines
http://www.myspace.com/skinnymachines
Le 26 janvier prochain, la Fondation Casques Rouges tentera de se réunir à l’ESG (Ecole supérieur de Gestion) autour de jeunes étudiants afin de dresser un bilan de la situation humanitaire en Haïti, un an après la catastrophe.
Le temps d’un après midi, Nicole Guedj, le président de la Fondation Casques Rouges, essaiera de sensibiliser les étudiants sur l’importance de la cause humanitaire dans le monde.
L’ancien ministre a donc décidé de tenir une conférence « Haïti, la catastrophe de trop ? » en présence notamment de Michel Forst, Secrétaire Général de la CNCDH et Expert indépendant des Nations-Unies en Haïti, Franck Louvier, commandant des opérations de secours en Haïti, François Danel, Directeur Général d’Actions contre la Faim et de Philomé Robert, journaliste haïtien pour France 24. Et comme rien n’est fait au hasard, la Fondation, particulièrement attachée aux technologies de pointe accueillera Dieudonné Saincy, le conseiller du Président de la République d’Haïti par visioconférence.
Nicole Guedj, président de la Fondation Casques Rouges

A partir de 20 heures, les étudiants pourront découvrir le web-documentaire « Goudou-Goudou » : les voix oubliées de la reconstruction, réalisés par Benoit Cassegrain et Giordano Cossu. Il raconte la situation du pays après le séisme qui a frappé l’ile d’Haïti, le 12 janvier 2010 avec une perspective nouvelle. 5 thématiques, présentées par 5 journalistes haïtiens y sont exhibées : Vie dans les camps, débris et reconstruction, santé et choléra, impact des ONG et art engagé.
Nicole Guedj s’était rendue en Haïti suite au tremblement de terre qui a dévasté l’un des pays les plus pauvres de la planète. Elle avait rejoint des équipes sur place afin de faire un état des lieux de la situation des secours et avait également proposé la création de Casques Rouges à l’ONU, frères humanitaires des Casques Bleus au président haïtien, René Préval.
Le Conteneur humanitaire de la Fondation Casques Rouges, Emergesat

La Fondation Casques Rouges est un facilitateur humanitaire crée en 1997 par Nicole Guedj, ancien ministre. Elle utilise de nouvelles technologies au service des victimes de catastrophes naturelles, destinées à renforcer les capacités d’intervention des ONG. Elle a notamment crée Emergesat, conteneur de télécommunications satellitaires qui permet aux équipes de terrain de communiquer entres elles et d’organiser ainsi les opérations de secours. Emegersat a été expérimenté au Tchad dans les camps du Darfour. Une initiative efficace et originale de la part de son président…
Inscription Gratuite à : contact@casques-rouges.org ou via www.facebook.com
A partir de 18 heures :
Ecole de Commerce ESG Mangement School
25 rue St Ambroise
75011 Paris
Métro : Saint Ambroise ; Saint-Maur
Le prince Luc de Polynésie descendant des Tamatoa n’aurait pas le moindre sang royal…
C’est en tout cas ce qu’a affirmé le syndicat polynésien des auteurs et des compositeurs. Ce jeune homme de 21 ans serait un garçon naïf qui ne s’est jamais proclamé prince. Pire encore, il aurait décidé de jouer le jeu simplement parce que c’était la première fois qu’il prenait l’avion. « C’était une belle expérience pour lui…Ils ne connaissait même pas l’histoire… Il a joué la comédie » explique Théo Sulpice, le président du syndicat polynésien.
La société de production de TF1, Coyotte a envoyé un message à Théo Sulpice lui disant qu’elle recherchait un prince polynésien. « Les candidats potentiels étaient bien trop modernes…J’ai donc pensé a lui » confie-t-il. Les familles royales polynésiennes sont particulièrement connues pour êtres très modernes et surtout bien trop âgés. « Cela ne correspondait pas à l’image de TF1 » selon lui.
Rassurons nous, ce polynésien parmis tant d’autres aurait bel et bien du sang royal, mais quelques gouttes si l’on puit dire. Il aurait un lien très éloigné avec la famille royale des Tu cette fois-ci. « Je connais bien sa famille » assure Théo Sulpice.
Sans surprise, le directeur de casting de la production de la chaîne s’est immédiatement défendu en certifiant que le Prince Luc était un prince tahitien. « Nous avons vérifié qu’il était bien descendant d’une famille royale auprès de sa famille et de ses amis » certifie Frédéric Ferry, le directeur de casting de Coyotte production.
Souvenez vous, le prince Luc,« censé » descendre de la famille princière des Tamoutoi en Polynésie, c’est ce jeune homme timide, complètement absorbé par la modernité de la vie parisienne et peu habitué au froid.
Quoi qu’il en soit, cette polémique ne risque pas de trop inquiéter TF1 au vu du peu d’engouement du public pour le programme. Hier le second épisode des « Trois Prince à Paris » venus chercher l’amour dans le plus grand anonymat n’a réuni que 1 926 000 spectateurs soit à peine 12% de part de marché.
Le « prince » Luc de Polynésie

Diffusé mardi soir sur CBS, l’épisode 11 de la saison 8 de NCIS a réalisé un record d’audience historique. La série dérivée NCIS : Los Angeles profite aussi de cette notoriété.
21,93 millions. C’est le nombre impressionnant de téléspectateurs américains qui étaient devant leur télévision mardi soir. Pour regarder l’épisode inédit de la saison 8 de NCIS, évidemment. C’est son plus haut score d’audience depuis son lancement en 2003. La série policière a même enregistré une hausse de 2 millions de curieux : l’épisode 10 diffusé le 14 décembre 2010 sur CBS avait réuni 19,87 millions de téléspectateurs.
NCIS : Enquêtes Spéciales s’impose donc comme LA série à succès. C’est d’autant plus remarquable que la série en est à sa huitième saison. Une longévité assez rare dans l’audiovisuel américain qui arrête les séries à tour de bras (Lost, Heroes, 24 Heures chrono, Ugly Betty…). D’autant plus que, comme le fait justement remarquer Ozap.com, « il ne s’agit pas du premier ou du dernier épisode de la saison, et encore moins du dernier de la série. »
Portée par la réussite de la série originale, le spin-off NCIS : Los Angeles a aussi pulvérisé son record. CBS diffusait un épisode inédit (saison 2 – épisode 12) une heure après celui de NCIS. Les résultats sont là : 18,03 millions de téléspectateurs mardi soir alors que la moyenne d’audience tourne autour de 15 millions ! Ainsi que 1,2 millions de téléspectateurs supplémentaires par rapport au précédent épisode. Belle performance.
La saison 8 actuellement diffusée aux Etats-Unis arrivera en France sur M6 fin août/début septembre 2011.
Si la date de lancement de l’émission reste encore un secret, on connaît d’ores et déjà le nom des candidats.
De nombreuses personnalités ont été contactées par la chaîne à l’image de Cathy Guetta et Arielle Dombasle qui ont instantanément refusé l’invitation. Matt Pokora, Sofia Essaidi, Orlando, Lara Fabian, Clara Morgane, Veronique Jeannot et Adrianna Karembeu seront quant à eux de la partie. Un casting prometteur ou les « hasbeen » sont enfin sur le banc de touche.
La version française de ce show à l’Américaine, présentée par Sandrine Quétier et Vincent Cerutti, sera diffusée en direct sur TF1, chaque semaine, en première partie de soirée
Souvenez vous, Vincent Cerutti, c’est ce jeune homme de 29 ans accessoirement petit ami de Chloe Mortaud, Miss France 2009 qui était aux commandes de l’émission Sosie or not Sosie ? diffusée le samedi 1er janvier sur TF1. Un franc succès suivi par 5 200 000 téléspectateurs.
Le concept est simple, chaque célébrité a un partenaire de danse qui lui est un professionnel. À l’issue de chaque émission, un couple sera éliminé par le jury, présent sur le plateau.
Outre-atlantique, Dancing with the stars cartonne et réunie plus de 20 millions de téléspectateurs chaque semaine. L’émission est actuellement le programme n°1 aux Etats-Unis. Le show en est déjà à sa 12e saison !
Aux États-Unis, le programme est une véritable institution, des stars comme David Hasselhoff (Alerte à Malibu), Nicole Scherzinger (Pussycat Dolls) et même Bristol Palin, qui n’est autre que la fille de Sarah Pallin, ancienne candidate au poste de vice-président des Etats-Unis lors des élections présidentielles américaines de 2008, ont participé à l’émission. On repassera pour le côté conservateur !
Bristol Pallin et son partenaire…

La finale de la 11e saison a été remportée par Jennifer Grey et son partenaire Derek Hough. C’est dans les larmes, avec une émotion immense que « bébé », ne pouvant s’empêcher de penser à son ancien partenaire de Dirty Dancing, Patrick Swayze, est devenue la gagnante de Dancing with the stars. On laisse pas bébé dans un coin…
L’actrice n’a rien perdu de son talent…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=oqaDoJogsRI[/youtube]
La guerre et l’amour , la mort et le rire , l’amor ….
Comment décrire un chanteur dont le charisme l’emporte sur tout et vient renforcer voire décupler sa musique et ses mots déjà très forts ?
Ses mots à lui qui en disent tant : alors on l’écoute
Fabienne Prevot : il est très troublant de voir si désinhibé sur scène et si timide dans la vie ? vraiment timide ?
Dimoné : plus je me suis soigné et j’ai désacralisé beaucoup de choses qui m’impressionnent moins
FP : Auparavant tu étais plus sage , qu’est ce qui t’as fait devenir celui que tu es aujourd’hui ? un déclic ?
D : oui, lors d’une tournée en Mauritanie où j’ai découvert un rapport à la population et au langage fort et si différent du nôtre . Cela m’as débloqué, libéré
FP : est ce que tu viens d’un milieu artistique ?
D : non pas du tout
FP :qu’est ce qui a été ton détonateur ?
D : la contre culture rock 80 l’émergence des artistes comme les Kings, le groupe garage .. mais je ne me sens pas rebelle non juste à l’écoute du monde à travers mes ressentis.Je suis fanatic rock ; mon creuset c’est le rock ; je vénère ceux qui ont mal fini
FP : Quel est ton rapport à l’âge, on sent que ça t’intéresse ? voire t’interpelle
D : c’est pour moi un émerveillement ;vieillir c’est un passage auquel il faut s’adapter
FP : tu te préfères avec ou sans la moustache ( moustache qu’il abhorre fièrement aujourd’hui et qui lui donne un air de Freddy Mercury et oui rien qua ça ?
D : c’est une mutation, je me trouve moins beau qu’avant alors j’habille, je réimplante des poils pour compenser là où ça s’en va , j’ai moins la main sur le temps
J’ai moins peur de ma carcasse, apprivoisée j’en joue
FP : as tu conscience de la force de ta voix ? de ton charisme ?
D : non pas vraiment mais en studio c’est sérieux on bosse, alors je porte la chemise mais sur scène, lieu où l’on se lâche là, c’est torse nu sous un blouson que je suis moi (ce qui le rend très sexy )
FP : quel le plus de la scène, pour toi ?
D : Comme je suis en quête du vivant c’est essentiel et puis je prends des appuis mais que je ne contrôle pas , je convoque les choses ..
FP : ton inspiration tu la trouves où ?
D : toujours les mêmes choses, l’éternelle constatation, l’émotivité, la tristesse face à l’échéance , à la solitude. Ça nécessite de se faire cette vie là en contact avec tous . La mélancolie aussi m’inspire. Je n’aime pas les choses frontales elles me dérangent .
Je suis un sinueux pour donner de la saveur.
Ce n’est pas que des chansons , je les incarne et puis maintenant je me fous de plaire à ma maman.
D : le chaos m’intéresse ; moi je suis très animal , un sentimental pervers
Ma tête prend aussi de la place
J’aime bien être provoc .
Je me sens libre , seul et dernier rempart … il ne nous dira pas contre quoi
J’aime l’amplitude, ça permet d’être la personne que tu crois être au quotidien
FP : qu’est ce que tu aimerais apporter à ton public ?
D : donner des clés , mais il y a dans la scène une forme d’arrogance tu es là à deux mètres du public , tu joues un rôle, tu envoies fort mais quoi comment ? ..
FP : et à tes enfants (une fille de 14 ans et un fils de 17 ans ) ?
D : qu’ils me pardonnent mon égoïsme .. mais il y a plein d’amour entre nous.
FP : « dans la cour » est mon morceau préféré ..
D : oui il ya un côté enfantin, un son boite à musique, un côté qui chemine
FP : c’est ton 3e album quels ont tes projets ?
D :un 4e album en 2011 et puis des concerts
FP : un rêve à réaliser ?
D : trouver une coopérative Inuit de pierre à savon et y participer
FP / ah ah !
D : non non sérieusement
Voilà il me laisse là, avec ses mots toujours si forts et et ses pensées mystérieuses j’ai traversé, quelques minutes, une bulle qui bouscule et qui émeut….
Diaboliquement fou et élégant on ne va pas manquer d’en entendre parler
Pour en savoir plus :
http://www.myspace.com/dimonelesite
et aussi http://www.onlyfrench.fr
Fabienne Prevot
C’est officiel : Robert de Niro, monstre sacré du cinéma, présidera le jury du 64ème Festival de Cannes, qui se tiendra du 11 au 22 mai prochain. C’est la troisième fois en quatre ans que les organisateurs de la prestigieuse manifestation font appel à un américain. « Ayant été par deux fois président de jury dans les années 80, je sais que ce ne sera pas une tâche facile pour mes amis jurés et moi-même, mais je suis honoré et heureux du rôle qui m’est confié », a déclaré l’intéressé, aujourd’hui âge de 67 ans.
Acteur, réalisateur et producteur, Robert de Niro est né à New York en 1943. Après avoir étudié avec Stella Adler puis Lee Strasberg, il est en 1973 révélé par le Mean Street de Martin Scorsese (1973), puis Le Parrain II de Francis Ford Coppola (1974), pour lequel il remporte l’Oscar du meilleur second rôle. Sa prestation en chauffeur de taxi désaxé dans Taxi Driver (1976) – Scorsese, encore une fois – le propulse au rang de star internationale, tandis que son interprétation du boxer Jack LaMotta dans Raging Bull – Scorsese, toujours – lui vaut l’Oscar du meilleur acteur. Entre autres chefs d’œuvre dans lequel il a joué, on compte notamment Voyage au bout de l’enfer de Michael Cimino (1978),, Il était une fois en Amérique de Sergio Leone (1984), Brazil de Terry Gilliam (1985), Les Affranchis de Martin Scorsese (1990) ou encore Heat de Michael Mann (1995).
Depuis la fin du XXème siècle, l’acteur a préféré se tourner vers la comédie, avec notamment Mafia Blues en 1999 et Mon beau-père et moi en 2000. Il est actuellement à l’affiche de Mon beau-père et nous, troisième volet de cette saga familiale où il côtoie Ben Stiller et Dustin Hoffman. En 1993, il pour la première fois derrière la caméra avec la fresque mafieuse Il était une fois le Bronx, qu’il dédie à son père, peintre surréaliste. En 2006, il signe son deuxième film, le polar Raisons d’Etat.
Robert De Niro est le cofondateur du Festival de Tribeca, dévolu au cinéma indépendant. Il sera le troisième Américain en quatre ans à présider le jury du festival, après le réalisateur Tim Burton en 2010 et l’acteur et réalisateur Sean Penn en 2008. En 2009, l’actrice française Isabelle Huppert avait tenu ce rôle.
Révélation de Michael Ausiello. Le journaliste américain a lancé son nouveau site sur les news de la télévision, où il donne une information exclusive sur la saison 8 de NCIS.
« Le producteur Shane Brennan m’a confirmé qu’un épisode diffusé ce printemps [aux Etats-Unis, ndlr] va creuser dans le passé de DiNozzo avant qu’il soit agent du NCIS », indique Michael Ausiello sur son site TVline.com. Rappelons qu’avant de devenir un agent du NCIS, Tony DiNozzo, incarné par Michael Weatherl, était un agent du JAG (la série qui a introduit NCIS). Dans la saison 7 actuellement diffusée sur M6, les fans avaient déjà pu voir le père de Tony interprété par Robert Wagner.
Que les fans se réjouissent, car ce n’est pas tout. « L’épisode nous en dévoilera plus à propos du passé de DiNozzo en tant que policier à Baltimore », selon Ausiello qui cite Shane Brennan. « Et oui, on entendra les premiers mots échangés entre DiNozzo et Gibbs », ajoute-il, avant d’annoncer « c’est une première rencontre mémorable. »
Les fans attendent cet épisode avec impatience. Peut-être que ce sera l’épisode réalisé par Michael Weatherly lui-même, qui sait ?
La saison 8 est actuellement diffusée aux Etats-Unis, elle devrait arriver sur M6 en aout/septembre 2011.
Les 26 000 couverts, c’est une des équipes les plus inventives de l’univers du théâtre de rue.
L’Idéal Club, le Music-hall idéal de cette singulière compagnie d’une vingtaine de comédiens.
C’est sous un joli chapiteau que l’idéal club nous accueille . il fait chaud plein d’enfants sont présents et la scène fermée du symbolique rideau rouge se prolonge au centre du public .
D’emblée on est mis dans l’ambiance : un metteur en scène assis parmi les spectateurs teste devant nous son prochain spectacle et là le miracle commence …ils cherchent à créer le spectacle idéal ouf !! il y a du travail
Sur scène s’alternent de vrais sketchs drôles à mourir et de «fausses répétitions de gags plus ou moins réussis
Comme toujours, toute cette clique nous démontre qu’il faut avant tout être professionnels pour ensuite s’amuser de son art et nous amuser de façon burlesque.
Un orchestre en direct délire à ses heures, ce qui donne notamment avec une chanteuse de jazz ,un moment hilarant
Une autre particularité qui participe à nous faire vivre ce spectacle « de l’intérieur » : la scène est de chaque côté ouverte sur les coulisses ce qui laisse à voir les mouvements de décors, les changements de costumes des artistes…. La vie d’une troupe pendant ce merveilleux cadeau qu’est un spectacle vivant.
Un entracte durant lequel les artiste eux mêmes nous proposent vins chaud et gâteaux et hop on repart dans leur univers si chaleureux et si peu « sérieux » Vite , vite on veux encore et encore RIRE !
Qui refuserait 2H30 de pur bonheur parsemé de rires ? Ou commencer ensoleiller notre quotidien
Allez on oublie tout et on se laisse porter
Courez vite au théâtre le Monfort du 01|12 au 09|01 (du mar. au sam. à 20h30, dim. à 17h, ven. 24 déc. à 17h, relâches les 7, 25, 26 déc. & 1er janv.) | sur l’esplanade du Parc Georges Brassens | tarif B (pas de tarif réduit le 31|12) | durée 2h30 avec entracte | à partir de 13 ans
Le Monfort | Etablissement Culturel de la ville de Paris | 106, rue Brancion, 75015 Paris | 01 56 08 33 88
Fabienne Prevot
Juste avant notre interview je lis sur sa page facebook : « ce qui est bien avec les interviews par téléphone, c’est qu’on peut les faire en robe de chambre »
Oups !! je rêve : dans 5 minutes nous allons faire une itw « par téléphone »
Oh non! c’est moi qui souffrante lui ai proposé ça, après avoir remise à deux reprises nos rendez vous prévus de visu ôoooooo !!!
Comment ? je ne vais pas découvrir ce superbe jeune homme en robe de chambre ? Juste entendre le velours de sa voix répondre à mes questions …
OK
Fabienne Prevot : Benjamin pourquoi l’Homme moderne comme titre de votre album ?
Benjamin Paulin : d’abord pour la musique du mot et puis dans le sens de désuet, post modernité (pour son amour des codes des années 70 )
FP : On retrouve chez vous une forme d’humour noir , de cynisme cela vous ressemble ?
BP : oui je suis un joyeux pessimiste , et je pense vraiment que l’humour est la politesse du désespoir. Je vais puiser cela dans mes tripes
FP : le fait que tes origines soient multiples ( du sang Polonais, Suisse, Italien, et Allemand) te donne quelle sensation?
BP : en fait je me sens de partout et partout un peu chez moi
FP : que l’on dise toujours fils de (Pierre Paulin un immense designer reconnu mondialement) ça t’énerve, t’amuses ou tu comprends ?
BP : j’assume pleinement d’autant plus que je me suis tout seul, sans jamais profiter de cela . J’avais avec mon père des rapports conflictuels même si nous nous sommes retrouvés avant sa mort . j’ai hérité de lui l’amour du beau et un certain regard sur le monde
FP : ton pire souvenir ?
BP : le dernier concert de rap son groupe s’appellait puzzle) où mes acolytes ne sont pas venus et je me suis retrouvé seul sur scène , un peu dur
FP : une bonne surprise ?
BP : ma copine m’as fait découvrir « Belle du seigneur » très beau livre
FP : Ce qui dans ta vie t’as fait le plus avancer ou permis de mieux te connaître ?
BP : la souffrance
FP : ce vers quoi tu tends ?
BP : sortir de plus loin ce que j’ai en moi . Passer du cérébral à l’animal . que mon prochain album , soit plus instinctif que je parvienne a libérer l’animal qui dort au coin du bois ..
FP :musicalement avec qui aimerais tu travailler ?
BP : difficile à dire mais j’adore Léonard Cohen , Antony & the johnsons….
FP :ce que tu ressens de notre époque ?
BP : elle manque de respect, d’écoute
FP : ce que tu regrettes de l’époque Denise Glaser (mythique présentatrice de tv « Discorama » auquel il fait une belle référence dans son clip « Dites le avec des flingues « ) ?
BP : le respect, l‘élégance, plus d’écoute . on était alors dans la valorisation des artistes
FP : Tu es un peu rebelle mais édité chez Universal un vrai paradoxe non ?
BP : en apparence car j’ai envoyé ma maquette à Valérie Zeitoun qui l’ aimé et c’est donc avec elle ‘manageuse chez Universal ) que j’ai signé plus qu’avec le label . Les rapports entre personnes sont très importants dans nos métiers .
FP : et les filles ? quel sont tes rapports avec elles ? rappelons aussi, que Benjamin outre qu’il est beau (si si ) est un vrai dandy d’aujourd’hui dont les filles raffolent ; en plus il est dandy dans toutes ses attitudes alors là carrément craquant
BP : Ma vison du couple a beaucoup évolué. Je me suis d’abord marié très , trop vite . Je suis maintenant moins emballé mais plus du tout dans le mensonge , les tromperies . j’ai aussi appris à gérer ma très, trop grande capacité à l’empathie .
FP : amoureux now ?
BP : oui dans un beau couple
Ok mes illusions ravalées je le quitte et nous nous promettons un RV physique autour d’un verre « friendly »
Je souhaite bonne route à Benjamin : il ira loin……
Pour ne savoir plus allez sur : http://www.myspace.com/benjaminpaulin et http://www.benjaminpaulin.com
Fabienne Prevot
La parole libre qui vrille ..
C’est au Rond Point que Mr Ribes son directeur, en vrai dénicheur de talents reçoit le GMPC
Astien, Mathurin, et Ed Wood sont reliés par un élément qui déterminent l’entrée au club : une moustache .
Comme une pointe d’ironie dans le paysage du slam, un signe de reconnaissance, une provocation comme celle que Duchamp dessinait à la Joconde..
Ils sont à la fois complices et complémentaires.
Astien : Mathurin a apporté la poésie..
Ed Wood : astien a apporté la grandiloquence…
Astien : et tu as apporté la moustache
Ed Wood : l’auto dérision nous a réuni tous les trois, là où les autres étaient plus sérieux, politisé , premier degré nous sommes plus décalés
Ils partagent des références solides telles qua Brassens, Audiard, Prévert mais aussi le courant de l’Oulipo, Renaud, Bobby Lapointe, les Pieds Nickelés.
Mathurin :« ce n’est ni un récital , ni une performance. Nous sommes mis en scène. Nous venons au club avec polo, vête et moustache, pour une parole libre sans artifices, sans décor ni accessoires, pour dans une relation immédiate au public
« Nous sommes les plus grands poètes du monde de l’est Parisien »
Mathurin des « côtes du nord » c’est le décalé sensible
Astien, le « romantique désillusionné »
Ed Wood , le « salace inoffensif »
« On aime opposer les extrémités : associer Baudelaire et les charlots , Duchamp et les sous doués en vacances »
Exemple de délire culticréatif
« je connais un lieu qui
pique au vif l’intellec.
Il faut juste une
moustache pour faire
partie de la fête
On y trouve des
versificateurs de la
démesure.
Des poètes bien plus sexy
que Bruno Masure.
On y exige à l’entrée des
tenues correctes.
Viens écouter claquer la
langue des tris poètes.
Où ça ? Où ça ?
Au Grandiloquent
Moustache Poésie Club »
Le GMPC au théâtre du Rond Point
Du 3 au 24 décembre çà 18H30
Pour plus d’informations allez sur : www.moustachepoesie.com et http://www.myspace.com/legmpc
Fabienne Prevot
Son plus grand tube c’est « le fils d’Hitler »
Ses partenaires imaginaires mais bien là ce sont gnou et ors blancs, pianos, violons et trompettes. Poésie et humour le caractérisent mais aussi un regard acerbe et responsable sur le monde : la planète terre amis aussi ceux quai la peuplent ..
Pour ses 40 ans sur scène pas de bilan, mais le regard toujours tourné vers demain, il lui reste juste à « construire sa maison »
@font-face { font-family: « Verdana »; }@font-face { font-family: « Cambria »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 12pt; font-family: « Times New Roman »; }a:link, span.MsoHyperlink { color: blue; text-decoration: underline; }a:visited, span.MsoHyperlinkFollowed { color: purple; text-decoration: underline; }div.Section1 { page: Section1; }
MJ : je voudrai quand même préciser que c’est grâce à moi que la planète s’est améliorée notamment grâce à mes interventions qui ont permis entre autre : la chute du mur de Berlin, la libération de Nelson Mandela, l’arrivée de la Gauche au pouvoir
F.Prevot : Déjà 40 ans de scène , quelle sensation ?
Marc Jolivet : je ne me suis pas posée la question mais aujourd’hui je peux dire que j’ai réalisé mes rêves, sans trahir les envies de l’enfant qua j’ai été et que je suis resté !
FP : votre plus belle surprise ?
MJ : travailler avec un orchestre symphonique sur scène , car je rêvais d’être chef d’orchestre.
FP : votre engagement à la cause écologique est ancien comment êtes devenu sensible à cela ?
MJ/ en effet c’est dès 1976 chez Michel Drucker que je l’ai déclaré. Comment ne pas comprendre qua cela nous concerne tous au moins pour l’avenir de nos enfants (marc en a 4 de 11 à 18 ans ) : qu’allons nous leur laisser ? d’ailleurs ils ont bien compris car pour eux respecter la planète, c’est naturel. La sur consommation , le numérique à tous prix ils en ont vu les limites
FP : sur ce sujet que pensez de la situation actuelle de nos pays et de la planète ?
MJ : je pense que si nous sommes vraiment au bord du gouffre il faudra instaurer une dictature écologique !
FP : quel avenir ?
MJ : l’Homme est con …..
FP : Avez vous rêvé d’être acteur ?
MJ : non pas particulièrement mais par contre j’ai été réalisateur, producteur, acteur aussi et tout cela m’a comblé
FP : quel rêve vous reste t il à réaliser ?
MJ : construire entièrement une maison
FP : pourquoi vous êtes bricoleur
MJ : pas du tout ?
FP : pourquoi construire sa maison ? pour l’autonomie ou le symbolisme de bâtir ?
MJ : les deux en fait
FP : Concernant votre spectacle st ce qua vous pouvez nous dire deux mots de votre complice Guy Laporte ?
MJ : bien sûr il a le rôle de mon régisseur et il a tout le bordel sur scène à plusieurs reprises Incroyable !!
FP : Vous êtes très impliqué dans l’association « un rire pour la planète » ?
MJ : oui je travaille beaucoup avec les enfants notamment ne mai à travers un festival.
Votre actualité es très riche ?
MJ : oui outre mon spectacle « 40 ans sur scène » , je soir un livre chez Flammarion et un DVD du spectacle
2011 : l’année Jolivet !!!
Du 20 au 31 décembre 2010 à Paris Salle Gaveau
Pour en savoir plus allez sur www.marcjolivet.fr
Fabienne Prevot
Alors qu’on attend tous la sortie de twilight 4, voici pour toutes les fans de robert pattinson un film pour patienter :
« water for elephant » dont voici le synopsis :
Alors qu’il est sur le point de passer son examen final à l’école vétérinaire de Cornell, Jacob Jankowski perd ses parents dans un accident de voiture. A la suite de cette tragédie, il laisse tout tomber et rejoint les Frères Benzini, un cirque ambulant qui tente de survivre à la Grande Dépression…
voici donc en avant première les photos officielles du film …
Bobby Farrell, la voix et figure de proue de Boney M., s’est éteint ce jeudi à Saint-Pétersbourg (Russie) à l’âge de 61 ans. Célèbre pour ses costumes moulants et scintillants, danseur hors-pair, il était le seul représentant masculin du groupe disco originaire des Caraïbes. Boney M. avait connu son heure de gloire dans les années 70, avec des tubes internationaux tels que Daddy Cool, Rivers of Babylon, Ma Baker, ou encore Sunny.
C’est au lendemain d’une représentation qu’il a été «retrouvé mort dans son lit, dans une chambre d’hôtel de Saint-Péterbourg en Russie» a déclaré John Seine, son agent. Il a été découvert par un employé de l’hôtel, selon lequel «aucun signe de mort violente n’a été constaté». Toutefois, selon le parquet de Saint-Pétersbourg «l’enquête se poursuit».
Depuis une dizaine d’années, ce père de deux enfants avait des problèmes de santé, notamment des problèmes cardiaques, respiratoires et gastriques.
Ironie du sort, le chanteur est mort à la même date et dans la même ville que le mystique russe Raspoutine, lequel avait donné son nom à l’une des chansons du groupe (Rasputin).
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=E5gNYVia2rg&feature=related[/youtube]
De M.Night Shyamalan
Avec Noah Ringer, Dev Patel, Nicola Peltz, Jackson Rathbone…
Depuis un siècle, la nation du Feu a pris le pouvoir sur celles de l’Eau et de la Terre et a éradiqué celle de l’Air, afin d’empêcher la réincarnation de l’Avatar, seul être capable de maîtriser les 4 éléments. Alors quand deux adolescents de la nation de l’Eau trouvent un enfant de celle de l’Air, qui pourrait être l’Avatar, la chasse commence.
Quand le réalisateur de 6e Sens a annoncé son intention d’adapter (principalement pour faire plaisir à ses gamins) la série animée Avatar : le dernier maître de l’air, les réactions allèrent de l’enthousiasme à la colère (étant donné la piètre qualité des derniers films de Shyamalan). Le résultat, même s’il est très loin de la qualité de la série, se défend, en particulier grâce aux superbes effets spéciaux d’ILM. De plus, la vidéo permet d’oublier l’immonde « gonflage » 3D de la sortie ciné du film. Par contre, il y peu de chances que les deux autres chapitres (ou « livres », correspondant chacun à une saison de la série) de la trilogie soient adaptés au cinéma vu le score à peine correct du film au box office (131M$ aux US et 318M$ sur le monde, pour un budget de plus de 150M$).
Ni du grand cinéma, ni la catastrophe crainte, juste du pop corn sur péloche !
Le Blu-Ray contient également le film sur DVD.
DVD/DVD Paramount Home Entertainement. VOST/VF 5.1 (VOST DTS pour BR), 16/9. Bonus, uniquement sur le BR : m. of, docs., sc. coupées, bêtisier.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=HSL8sfH177s[/youtube]
De Joe Carnahan
Avec Liam Neeson, Bradley Cooper, Jessica Biel, Sharlto Copley, Quinton « Rampage » Jackson…
Une unité d’élite top secrète de l’armée est accusée à tord de trahison et tente de prouver son innocence.
Le réalisateur de Narc adapte la fameuse série culte des 80’s, et le résultat se défend ! L’action est rondement menée avec juste ce qu’il faut de délire outrancier pour rendre hommage à la série, l’humour fait mouche et le casting est inspiré (Copley, héros de District 9, est parfait en Looping).
C’est loin d’être du grand cinéma, mais qu’est ce que c’est fun !
Et si vous hésitez entre le DVD et le BR, sachez que comme pour le plupart des sorties récentes, le BR contient également le film en version DVD.
DVD/BR FPE, VOST/VF 5.1 (DTS pour le BR), 16/9. Bonus : clip (plus, pour le BR : docs, sc. coupées et une version longue inédite en VOST avec 15’ en plus).
Le plus campus : allez après le générique de fin pour voir une apparition clin d’œil de 2 des héros de la série d’origine… Ou regardez la version longue ! Pendant la scène de ciné à l’hôpital psychiatrique, on voit à l’écran le nom de Reginald Barclay ; c’est le nom du personnage de Dwight Schultz, le Looping d’origine, dans les séries Star Trek.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=dqK-iAKqB8o&feature=player_detailpage[/youtube]
De Nimrod Antal
Avec Adrien Brody, Topher Grace, Alice Braga, Walton Goggins, Laurence Fishburne…
Un groupe hétéroclite de soldats, mercenaires, tueurs, ainsi qu’un médecin, se retrouvent coincés sur une autre planète, qui s’avère la réserve de chasse des Predators.
Produit par Robert Rodriguez, ce 3e Predator permet d’oublier les catastrophiques AVP tout en rendant hommage aux deux précédents. Le casting des plus original (Fishburne, Brody, Grace, Danny Trejo dans le même film, ça se refuse pas !), la mise en scène efficace, l’introduction d’une 2e tribu de Predators… Font de ce film l’une des bonnes surprises du moment.
Si, comme beaucoup malheureusement, vous l’avez raté en salles, découvrez Predators en DVD/BR.
A noter que le Blu-Ray contient également le DVD du film.
DVD/BR FPE, VOST/VF 5.1 (DTS pour le BR), 16/9. Bonus : comics animé (docs, sc. coupées, c. audio… En plus sur le BR).
[youtube]http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=gSbaFi9BWww[/youtube]
De Chris Sanders et Dean DeBlois
Avec (voix VO) Jay Baruchel, Gerard Buttler, Craig Ferguson, America Ferrera…
Sur l’île de Berk, les Vikings qui y vivent ont un gros problème d’infestation… Pas d’insectes, ni de rongeurs, mais de Dragons. Un soir, lors d’une attaque, Harold, le fils maladroit du chef du village, abat une « Furie Nocturne », le plus rare et insaisissable des dragons. Mais, au lieu de l’achever, il le soigne et l’étudie en secret. Une amitié interdite naît bientôt entre les deux ennemis ancestraux.
Loin de la classique formule Dreamworks et ses clin d’œil aux derniers acteurs/chanteurs/tubes/films/pubs à la mode et qui a donnée lieu à des perles, mais aussi à de beaux ratages, Dragons s’intéresse surtout aux personnages, à leurs émotions et à l’histoire (tirée d’une série de livres de Cressida Cowell), sans oublier d’être très drôle et spectaculaire (le film était en 3D en salles). Dragons est le film Dreamworks qui se rapproche le plus de la qualité Pixar… Ce qui n’est pas peu dire.
On frôle le chef d’œuvre.
L’édition Blue-Ray contient également le DVD simple du film.
Dble DVD/BR Paramount-Dreamworks, VOST/VF 5.1 (VOST DTS pour le BR), 16/9. Bonus: court métrage prolongeant le film, c. audio, docs., sc. coupées…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=OTYIAeBkerQ&feature=player_detailpage[/youtube]
De Michael Patrick King
Avec Sarah Jessica Parker, Kim Cattrall, Kristin Davis, Cynthia Nixon, Chris Noth…
Sur l’invitation de Samantha, les 4 copines (Carrie, Charlotte, Miranda et donc Samantha), en plein questionnement sur leurs vies et leur avenir, décident d’aller passer du bon temps à Abu Dhabi. Vous avez dit « choc des cultures » ?
Plus réussi que le premier (opinion de quelqu’un qui ne suivait pas vraiment la série, ce qui peut influencer), qui semblait surtout conclure la série, ce second film a plus des allures de super épisode. Pour les fans, l’humour trash, les clins d’œil et les références aux incontournables de Sex and the City sont là. Et avec un budget de 100M$ (oui, oui, vous avez bien lu !) SATC2 se permet des excès impossibles pour une série TV.
Alors ne boudons pas notre plaisir avec ce film qui va loin, tant dans l’humour, le sexe… Que la géographie !
A noter que l’édition Blu-Ray « Ultimate » (au design signé Christian Lacroix) contient également le DVD du film.
DVD/BR Warner Home Vidéo, VOST/VF 5.1 (VOST DTS sur le BR), 16/9. Bonus : doc. sur le prologue flash-back se déroulant dans les 80’s, les coulisses de la B.O. (plus, sur le BR : c. audio, plusieurs docs…).
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=FaQjy7rx65Y&feature=player_detailpage[/youtube]
La belle Marie Garreau nous revient avec ses soirées au top comme elle sait si bien
nous les concocter…
L’heure a sonné, voilà le temps béni des fêtes !
Le tout au nom du plaisir, de la famille, des amis, du partage…
Pour ce Noël que l’on veut haut en couleurs, scintillant de mille feux, la » Chérie Chéri » a mis le paquet avec son partenaire Schweppes que l’on adore en vous offrant une palette de surprises délicieuses toute au long d’une soirée qui s’annonce éblouissante.
Prenez note, le RDV est fixé au Samedi 18 Décembre pour festoyer ensemble et passez un moment de pure détente, de convivialité, ça ne s’appellerait pas le Bonheur ?
Un menu vous sera proposé au restaurant à partir de 20h.
Régalez vous chers amis, le Cercle vous a concocté un des mets de Roi royal !
Pendant ce temps, le grand crooner Dereck Martin jouera et chantera au piano, je ne vous en dis pas plus…
La soirée se poursuivra à partir de 23h, prenez un verre, bavardez, riez, aimez, gâtez, embrasser qui vous voudrez, danser avec le Père Noël, osez tout au long de la nuit, tout sera permis oui oui oui !
Les plus téméraires et audacieux d’entre vous repartiront avec des cadeaux !
Alors autant en profiter : pour une fois les excès sont autorisés…
Jouez hautbois, résonnez musettes… Bref, faites le plein de bonheur !
Reza obligatoire (mot de passe à l’entrée) :
mariegarreau.events@gmail.com
A Samedi soir !
De James Cameron
Avec Sam Worthington, Zoë Saldana, Stephen Lang, Michelle Rodriguez, Sigourney Weaver…
Pandora, les Na’Vis, Jack Sully, Neytiri, la 3D, l’histoire d’amour, l’action… Je ne vous ferrai pas l’insulte de croire que vous ne savez pas de quoi je parle…
Oui, le film fait penser à Pocahontas/Danse avec les loups/Le Dernier samouraï dans l’espace, mais cela ne change rien à son efficacité, sa réussite, sa beauté ou sa révolution technique !
Le film de tous les records (300M$ de budget, plus de 760M$ de recettes aux US, près de 2,8 milliards de dollar sur le monde…) revient dans une édition collector presque définitive (pas de 3D pour l’instant, ni de commentaire audio) en DVD et BR. Le film y est présenté dans 3 versions : celle, cinéma, d’origine, celle dite « édition spéciale » de sa ressortie avec 8’ en plus et, enfin, une version longue inédite avec 16’ en plus, par rapport à la version cinéma. Ajoutez à cela une tonne de suppléments (dont plus de 45’ de scènes coupées supplémentaires) couvrant l’intégral de la pré production, production et post-production du film, avec un disque complet de suppléments en plus, pour l’édition Blu-Ray !
Bref, voici l’un des indispensables sous le sapin de Noël !
3DVD/3BR FPE, VOST/VF 5.1 (DTS pour le BR), 16/9. Bonus : Sc. coupées, making of (nombreux docs en plus pour l’édition BR)…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=nTtBXpw8db4[/youtube]
Sept ans (déjà !) après la sortie du dernier épisode du Seigneur des anneaux, Cate Blanchett remet le couvert en incarnant une nouvelle fois la reine elfique Galadriel. Le réalisateur Peter Jackson vient en effet d’annoncer qu’il ferait appel à l’actrice australienne dans son adaptation deBilbo le Hobbit, prequel en deux parties de la trilogie de J.R.R. Tolkien.
Ceux qui connaissent bien le roman en d’origine auront peut-être tiqué face à cette nouvelle : en effet, Galadriel n’apparaît pas dans l’œuvre de Tolkien – qui ne contient d’ailleurs aucun personnage féminin. Le cinéaste néo-zélandais a donc décidé de s’éloigner un peu de l’histoire originale, sans doute dans le but de rendre son film plus bankable (ou de passer un peu plus de temps en compagnie de la pas déplaisante Cate).
Le reste du casting comptera notamment Martin Freeman (Shaun Of The Dead, Hot Fuzz, The Office) dans le rôle de Bilbo Baggins, le vénérable Ian McKellen dans les robes de Gandalf, et Andy Serkis la peau visqueuse de Gollum.
Le tournage de Hobbit devrait débuter en février prochain, la sortie des films est prévue pour décembre 2012 et 2013.
La guerre est ouverte entre la blonde et la brune . En effet la celebre actrice Reese Whiterspoon aurait déclaré craquer pour le beau brun Robert Pattinson .
L’actrice américaine a récemment donné la réplique à Robert Pattinson lors du tournage de Water for Elephants. Cette experience lui a permis de constater l’immense charme de notre cher Robert :
« Je ne vais pas mentir, il est très, très bel homme », « Il est gentil et adorable et sa famille est aussi très agréable. Il a une âme très sensible » .
Les présentations à la famille sont donc déjà faites, mais rassurez elle trouve que Robert Pattison font un merveilleux couple, donc pas touche !
En attendant voici quelques images officielles de Twilight 4 :
Les fans de la saga de best-sellers de Stephenie Meyer attendent avec impatience la sortie au cinéma de Twilight 4 Révélation. Pour patienter, l’audiobook est disponible !
Le site internet Audible.com a mis en ligne l’audiobook en anglais de Twilight 4 Breaking Dawn. Vous pourrez ainsi le télécharger et le mettre sur votre MP3. Mais au fait, c’est quoi un audiobook ?
Aussi appelé livre audio, c’est tout simplement la lecture d’un livre faite par un narrateur. Le côté pratique de cette expérience est de pouvoir l’écouter dans les transports ou en faisant une autre activité, comme les tâches ménagères.
Revenons à Twilight. Audible.com a donc publié l’audiobook du quatrième épisode, uniquement en Anglais. Ce qui conviendra donc principalement aux fans extrêmes de la série, le prix de l’audiobook de 20 heures et 30 minutes n’apportant rien de plus que le roman. Les commentaires des utilisateurs du site sont d’ailleurs mitigés.
Audible.com propose aussi les autres chapitres de Twilight en audiolivre.
Un film agréable à regarder mais dont l’enthousiasme des critiques nous fait rêver à mieux. Guillaume Canet joue trop brutalement avec nos émotions.
Une atmosphère encombrée.
Lorsque l’on rentre dans la salle, on s’aperçoit que celle-ci est comble. Ce constat réalisé, il semble tout d’abord rassurant. N’est-ce pas là, en effet, la preuve de l’engouement des critiques et du bon fonctionnement du bouche-à-oreille ? Et puis, si c’est la déception qui prédomine à la clôture du film, au moins ne serons-nous pas seuls à avoir cru au talent de Guillaume Canet.
Un casting riche.
Le film est lancé, les personnages apparaissent. Le casting est joyeux, entrainant, avec François Cluzet dans la peau de Max Cantara un homme d’affaire anxieux et agité, Marion Cotillard nous campe Marie, une jeune femme un peu perdue aux amours compliqués, Benoit Magimel, sous les traits de Vincent Ribaud, joue un père de famille préoccupé par un désir imprévu. Puis sont présents également Jean Dujardin, l’ami accidenté, Gilles Lellouche, dont l’amour est en fuite et d’autres encore qui agrandissent la bande de ces amis partis en vacances malgré l’accident d’un des leurs. Vacances près de Bordeaux, au bord de l’océan, qui se révéleront houleuses et inattendues. L’amour et l’amitié en sortiront transformés.
Une trame classique.
Le film « des amis » demeure un classique des spectacles à succès. Il diffuse et garde s’il est joliment créé une atmosphère fraiche et attrayante. Si l’on repense à des classiques tels que « Quatre mariages et un enterrement » ou la série « Friends », une pensée riante nous vient à l’esprit, prouvant à elle seule la joie de voir et de revoir ces films. Pourtant, ici, Guillaume Canet s’attaquant à ce classique en mettant en scène des amis à l’affection perceptible et aux caractères clairs, clairement définis, complexes, demeure dans l’inconsistance. On peut, d’ores et déjà, regretter le peu de place laissé aux caractères féminins autres que celui de Marion Cotillard. Quant-aux dialogues, nous parvenant tour à tour enjoués, gais, tristes, émus, ils ne peuvent éviter au scénario d’accuser certaines longueurs dues à des scènes superflues. Pourtant 2h30 pour remuer la destinée d’une dizaine de personnages semble à priori assez mince.
L’histoire demeure plaisante mais seulement plaisante.
Le film avance sur l’écran et l’émotion est palpable dans la salle, on rit, on pleure…ensemble. Mais à trop rire ou à trop pleurer on en finit par se demander si les moyens utilisés pour atteindre ce degré d’émotion ne sont pas trop lourds, trop exagérés. En effet, le matraquage est là, l’émotion est présente mais grossière car poussée à son paroxysme. Elle en devient même gênante lors de la scène finale. Les fils que l’on tire sont trop criards et malheureusement cela manque de finesse et de légèreté. Ce film au genre tragico-comique n’est finalement qu’un banal récit de vacances où l’Homme n’est pas valorisé et l’amitié faussée. Une triste fresque au milieu d’une apparente fraicheur.
Une demeure inoubliable aux œuvres d’art incalculables abritant en son cœur l’exposition Rubens, Poussin et les peintres du XVIIème siècle.
Une histoire de cœur et une exposition mémorable.
Sur le Boulevard Haussmann au cœur de Paris, à côté des Champs Elysées, se trouve, pour le touriste ou le parisien curieux de culture, le Musée Jacquemart-André qui expose à nos yeux émerveillés une des plus grande collection privée d’œuvres d’art de Paris. Dissimulée entre les murs de cette somptueuse demeure, la collection recèle des trésors. Construite à la fin du XIXème siècle par Edouard André et son épouse Nelly Jacquemart connue pour ses talents de portraitistes et tout les deux grands collectionneurs et amoureux de Venise, ils n’ont eu de cesse de parer leurs appartements de nouvelles œuvres d’art. Par ailleurs, en ce moment s’y tient l’exposition Rubens, Poussin et les peintres du XVIIème siècle. Une demeure magnifique, une collection magnifique, une exposition magnifique, il faut donc y aller.
Le rez-de-chaussée : entre œuvres d’art et réceptions.
En pénétrant dans le premier salon de la maison, on reste interdit devant la splendeur des peintures ovales de Boucher représentant Vénus et des Chardin se mêlant à des paysages de Canaletto. Mais il n’y pas que cela, les dimensions de la pièce aux couleurs chaudes, le parquet brun, le lustre flamboyant…nous sommes au cœur du rêve et de l’imagination. En passant dans le grand salon aux boiseries dorées, on ne peut que voyager en arrière et imaginer ces pièces un soir de réception. Les canapés, méridiennes, divans, causeuses, fauteuils et même tabourets remplissent le salon, un trouble sonore en parvient. Les hommes sont là dans leurs costumes sombres tranchant avec les robes pastel des femmes aux épaules nues et aux corsages ajustés de jabot ou de dentelles. Les musiciens arrivent, on passe alors dans le salon de musique mitoyen, tapissé de brocart cramoisi où l’on retrouve accroché un petit portrait de Fragonard. Laissons là les invités et les musiciens et passons dans le jardin d’hiver au sol marbré de blanc, à la verrière lumineuse et au splendide escalier à double révolution, aérien, léger et dont l’image semble se propager à l’infini grâce aux miroirs qui l’entourent. Au bout de ce jardin se trouve le fumoir, petite pièce feutrée où les hommes se retrouvaient après le repas pour fumer un cigare devant un feu brulant dans la cheminée, assis dans des fauteuils et canapé au velours bordeaux. Encore une fois, le temps est en suspens.
Le premier étage : un accès à double révolution.
Il est temps alors de monter respectueusement cet escalier, imaginant le froufrou des robes d’époque sur les marches et le bruit des bottines. Arrivé au premier étage, on peut admirer une magnifique fresque de Tiepolo représentant la visite du futur roi Henri III en 1574, tout juste revenu de Pologne au procurateur Frédérigo Contarini. Puis on pénètre doucement dans l’éclatante salle des sculptures, abritant des œuvres italiennes des XVème et XVIème siècles d’artistes prestigieux : Donatello, Luca Della Robbia…
L’exposition actuelle, une richesse entre classique et baroque.
Puis on peut s’engager dans les salles de l’exposition Rubens, Poussin et les peintres du XVIIème siècle. On y arrive déjà rassasié de beauté mais ici on abandonne tout d’abord l’harmonie des œuvres classiques pour découvrir l’ardeur du courant baroque. L’exposition compte une soixantaine de tableaux provenant de collections privés et publiques. Elle présente aux visiteurs, deux mouvements artistiques qui ont vu le jour au XVIIème siècle : Rubens à la tête de la peinture baroque flamande et Poussin qui nous mène au cœur de l’école classique française.
Les œuvres exposées et les artistes croisés.
Au fil des œuvres, on découvre l’importance dans la France du XVIIème siècle de la peinture flamande, on y croise naturellement Rubens, mais également van Thulden, van Dyck, Pourbus et d’autres. La rencontre avec des artistes français tels que Lubin Baugin ou encore les Frères Nain est étonnante et nous prouve l’influence de cette école flamande. L’exposition nous offre un moment inoubliable allié à une découverte des partages artistiques entre la France et la Flandre. Rubens somptueux parmi ses peintres flamands grandement estimés en France laisse petit à petit la place aux peintures idéalisées de Poussin qui feront le chemin inverse jusqu’aux Flandres. Au travers les salons où sont exposées ces peintures, on se perd dans la poésie, le chatoiement, la lumière, la légèreté qui font le quotidien de ces artistes. Le XVIIème siècle, se révèle ici comme un grand et beau moment de partage artistique.
A peine entrée, on est saisi par l’atmosphère chaleureuse et confortable de ce théâtre au cœur de Paris.
L’ambiance chic et vermeil nous donne envie de nous plonger au cœur de la pièce. Le spectacle commence et les acteurs rentrent en scène. Le décor fixé sur un plateau tournant nous dévoile l’intérieur coloré d’une parfumerie aux airs de grande dame parisienne appartenant à Monsieur Maraczek (Pierre Santini sur les planches). Dès le début, le ton est lancé, la chanson, la danse, l’émotion et l’humour forment les indispensables et les inoubliables de Rendez-vous, adapté d’un spectacle musical She Loves Me crée à Broadway dans les années 60. L’histoire qui se déroule en Hongrie, un petit peu avant la Seconde Guerre mondiale est rafraichissante, les réparties sont emplies de finesse, de romantisme et de rire. Les costumes magnifiques et l’ambiance nous font voyager dans le temps et nous découvrons avec plaisir les talents musicaux de Kad Merad (Georg Nowack dans la pièce), employé dans la parfumerie et à la recherche du grand amour. Entouré de vendeuses coquettes dont le caractère quelque fois houleux recèle bien des surprises, Kad Merad épistolier, écrit des lettres à une charmante inconnue, souhaitant bien la rencontrer un jour…affaire à suivre !
Parmi ces coquettes vendeuses, on retrouve la tendre Alyssa Landry incarnant Ilona. Amoureuse malheureuse, elle ne peut se résoudre à abandonner son Casanova (joué par Laurent Lafitte). On retrouve également la belle et brune Magali Bonfils dans la peau de la très romantique mais aussi très émotive Amalia Balash partageant avec Georg Nowack son goût pour les lettres d’amour ! Sur les planches de ce théâtre se croisent aussi pour la joie du spectateur, Paolo Domingo sous les traits d’un jeune et attachant livreur à bicyclette nommé Arpad et Sipos qui n’est autre qu’Andy Cocq, vendeur souriant, épris de son travail au point de ne pas hésiter à user du mensonge. Ce cocktail chantant et généreux, aux personnages colorés et attachants fait le charme de la pièce où le bonheur à jouer est perceptible et bien heureusement communicatif.
La pièce dure trois heures pendant lesquelles s’entrecroisent danses et chansons en duo, en solo ou en groupe. La prestation des artistes est éblouissante et les chansons se révèlent entraînantes, tendres ou douces et quoiqu’il arrive, on respire en rythme. La fin prévisible et que l’on peut discerner avant l’entracte fait ressortir quelques longueurs qui peuvent perdre les spectateurs les moins friands de romantisme exagéré, mais malgré cela, on ressort de ce spectacle ému et un brin rêveur.
A voir !
« On voulait vraiment s’éloigner de l’image traditionnelle de la BD »
Leanne Sacramone, conservatrice d’expositions de la Fondation Cartier depuis 2001, est la conservatrice de l’exposition Moebius Transe-Forme. Elle nous explique pourquoi Jean Giraud fait l’objet de cette exposition jusqu’au 13 mars 2011.
Planète Campus : Comment s’est déroulée la prise de contacts avec Jean Giraud ?
Leanne Sacramone : Tout a commencé en 1999. Nous avions sollicité Jean Giraud pour présenter deux de ses carnets dans une exposition sur la science-fiction. Nous avons ensuite gardé de très bonnes relations avec lui. Cela fait dix ans que nous voulions lui consacrer une exposition, je pense que c’était le bon moment.
D’où vient le choix du thème de la métamorphose ?
On ne voulait pas présenter une exposition rétrospective classique, et Jean Giraud a eu cette idée. La transformation est un thème qui parcourt tout son travail. Avoir une collaboration aussi étroite, presque familiale, avec Moebius est l’un des grands prestiges que nous avons eu, car nous avons eu accès à la richesse de ses archives. Au départ, nous voulions organiser une exposition plutôt technologique, mais nous avons finalement opté pour une présentation sobre des œuvres. Avec quand même des défis techniques comme le film en 3D ou l’œuvre sonore.
Justement, pourquoi avoir choisi d’intégrer deux films [un en 3D coréalisé par Moebius et un documentaire] ?
Jean Giraud a travaillé sur plusieurs films, mais son grand rêve était d’en réaliser un. Moebius Prod, la société qu’il tient avec sa femme, nous a informés de ce projet. On s’est dit que ça serait formidable de le monter dans l’exposition ! Et nous avons participé à la réalisation du documentaire, qui n’est pas qu’un simple documentaire pédagogique. En fait, on avait vraiment envie de s’éloigner de l’image traditionnelle de la bande-dessinée.
Pourquoi avoir choisi de présenter un dessinateur, ce qui peut ne pas être considéré comme de l’art contemporain ?
A la Fondation, notre vocation c’est de nous ouvrir à d’autres formes de créations. Nous avons présenté des cinéastes, des musiciens, des graffitis… Nous voulons faire des choses inattendues, et aller là où les autres ne veulent pas forcément aller.
Fondation Cartier
Vous en rêviez, planetecampus l’a fait, vous le savez nous sommes toujours les premiers à vous divulguer les infos sur la saga Twilight :
Je vous l’accorde on ne voit pas grand chose du film mais nous ne suivons de prêt toute l’histoire,
Voici donc la première image du film posté sur le twiter du producteur :

Synopsis : L’arrivée de l’enfant de Bella et Edward représente une menace aussi bien pour le clan des loup-garous que pour les vampires.
Casting : Kristen Stewart, Robert Pattinson, Taylor Lautner, Dakota Fanning…
Réalisateur : Bill Condon (“Dreamgirls”)
Date de sortie : 16 novembre 2011
En Français ABBA : plus que jamais ABBA
Mogador nous a habitué à nous faire découvrir des musicaux puisque c’est déjà dans ce très beau théâtre que nous ont été révélés : Le roi lion, Zorro,et Cabaret.
Cette fois ci c’est ABBA qui mène la danse et avec quelle vitalité !!
Mama mia sur scène ce sont d’abord parmi les meilleurs du moment – danseurs, chanteurs, comédiens, metteur en scène, chorégraphe, qui unissent leurs compétences pour nous offrent le nec plus ultra.
Au départ on est un peu réticent: « ABBA en Français ? mais nous, on connait les textes par cœur en anglais, et comment traduire Dancing Queen ? »
On nous explique cela a déjà été traduit en 10 langues , vu dans 40 pays par 42 millions de spectateurs.
Et puis ainsi adapté on saisira mieux les finesses de l’histoire et ses rebondissements …wouais
A moitié convaincu on arrive à Mogador où l’excitation est palpable dès l’entrée, pour nous rendre compte que nous aussi on est tout excités à l’idée de voir ce mythe qu’est AABA, mis en scène dans notre langue ..
22 chansons qui nous racontent l’histoire de Donna , femme libre , ex hippie, célibataire par choix (au début on le croit) qui gère une auberge dans un superbe île Grecque de sa fille et du passé qui lui revient de plein fouet.
Sa fille, Sophie, décide de profiter de son mariage pour tenter de connaître son père . En lisant , par curiosité le journal intime de sa mère, elle découvre que potentiellement ils sont 3 : elle décide les inviter pour ce grand jour à l’insu de sa mère .
Il est hors de question pour elle de pas être menée à l’autel par ce père si mystérieux …et là tout se mêle : passé, présent futur, un mariage , non, plus de mariage, deux mariages …… le gagnant c’est l’amour et c’est tout ce qui compte !!!
Etonnement la salle est composée toutes les générations .Mais les plus jeunes connaissent ils Abba ?
Le rideau se lève et la magie opère :
Un décor lumineux et modulable : on est vite projeté en Grèce , à la terrasse d’un café ou d’ans l’intimité d’une chambre ensoleillée
Une chorégraphie moderne, joyeuse , inventive qui colle à l’histoire
Des chanteurs, comédiens, danseurs époustouflants à la passion communicative : ils s’amusent et nous aussi .
Chansons et tableaux s’enchaînent magnifiquement, de l’humour , de la tendresse, des réflexions sur la vie à tous ces stades de maturité …. Impossible de ne pas s’identifier mais à la plus caricaturale des amies de Donna.
Et puis quel plaisir de revivre ces années de liberté (68) où tout semblait possible.
Le professionnalisme de tous saute aux yeux quant aux performances vocales des chanteurs et à l’énergie qu’ils nous envoient : chapeau bas !
C’est drôle, vivant et si bien fait que l’on n’as pas envie que ça s’arrête
En rappel tout la troupe nous offre un titre en Anglais : ouf on l’as eu !! mais finalement en Français c’est parfait.
A quand une histoire autour de « Waterloo » sur scène ?non plutôt « Fernando » …
Au théâtre Mogador
A partir du 28 octobre 2010
Informations et réservations
www.mama-mia.fr et 0 820 88 87 86
Fabienne Prevot
De Todd Phillips. Avec Robert Downey Jr., Zach Galifianakis, Michelle Monaghan, Juliette Lewis, Jamie Foxx…
En salles depuis le 10 novembre.
Peter, un architecte stressé qui doit se rendre d’urgence à L.A. pour la naissance de son premier enfant, a détesté Ethan, apprenti acteur gaffeur, dès qu’il l’a rencontré à l’aéroport. Alors quand l’une des gaffes d’Ethan les font, tous deux, se faire éjecter de l’avion qu’ils devaient prendre et mettre sur la liste noire de l’aviation civile, cela n’arrange pas l’humeur de Peter. Ils vont pourtant devoir faire le chemin, ensemble, en voiture… Et sans s’entretuer !
L’équipe (réalisateur/scénariste et un des acteurs) de Very Bad Trip accueille le héros de Iron Man pour une comédie délirante à souhait, menée à 100 à l’heure, et qui n’est pas sans rappeler Un Ticket Pour Deux (John Hughes, 1987). Le film reprend certains éléments de VBT, comme le perso de Galifianakis, assez similaire dans les deux films, ou le côté « urgence » de l’histoire (un mariage dans VBT, une naissance ici). Une alchimie entre Downey Jr. et Galifianakis évidente, et des personnages secondaires réussis complètent le tableau.
Alors en ses temps de météo maussade et d’ambiance morose, musclez-vous les zygomatiques avec Date Limite… En attendant Very Bad Trip 2, en tournage en Thaïlande.
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Le + Campus : C’est le réalisateur du film, Todd Phillips, qui interprète Barry, le copain shooté de Heidi (Juliette Lewis).
Du 11 au 18 décembre aura lieu la deuxième édition de ce festival qui réunit le meilleur du cinéma européen dans la fameuse station de ski 4 étoiles…
Le président du jury sera Thomas Vinterberg et il sera entouré entre autres de Connie Nielsen, Philippe Djian ou Jonathan Zaccaï. Le pays à l’honneur cette année sera le Danemark, et des tarifs spéciaux sont prévus pour permettre à un maximum de personnes de partager ce grand moment.
La semaine tout compris (hébergement, forfait de ski, pass cinéma) est à partir de 199€ par personne.
Plus d’infos sur www.lesarcs-filmfest.com.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xffgch_bande-annonce-du-festival-de-cinema-europeen-des-arcs-2010_shortfilms#from=embed[/dailymotion]

Séparée en mars dernier du réalisateur Sam Mendes après des années de mariage, Kate Winslet semblait avoir retrouvé le sourire au bras du mannequin Louis Dowler. Quatre mois de relation plus tard, l’actrice anglaise a décidé de passer à autre chose en lâchant son boyfriend pour mieux aller retrouver… Adolf Hitler ?!
En effet, le producteur allemand Michael Simon de Normier, qui souhaite adapter au cinéma la vie d’Eva Braun (photographe et épouse du Führer) a récemment affirmé que Kate Winslet serait parfaite dans ce rôle. Ce n’est guère une surprise, puisque l’actrice avait déjà endossé le rôle d’Hanna Schmitz, gardienne d’un camp de concentration, dans le film The Reader produit par Nomier.
Son tristement célèbre mari serait interprété par Christopher Waltz, prix du meilleur acteur au festival de Cannes 2009 pour son rôle de colonel nazi dans l’Inglorious Basterds de Tarantino. Le filme sortirait au plus tôt en 2013.
On peut trouver les enquêtes militaires de NCIS répétitives et sans innovation par rapport aux autres séries du genre. Il n’en reste pas moins que la série cartonne aux Etats-Unis et dans le monde entier, multipliant les records d’audience. Quelles sont les raisons qui peuvent expliquer ce phénomène ?
Les personnages
Tous les personnages principaux de NCIS sont charismatiques, à commencer par le « patron » Gibbs (Mark Harmon) à la fois autoritaire et souple quand il le faut. Il est plus que respecté par toute l’équipe. Puis vient le boute-en-train italien Tony DiNozzo (Michael Weatherly), adepte de l’humour potache et indéniable cinéphile. Sa séduisante coéquipière Ziva (Cote de Pablo), une juive spécialiste des sports de combat, doit supporter ses nombreux sous-entendus. Le dernier de l’équipe c’est McGee (Sean Murray), l’informaticien romancier longtemps surnommé « le Bleu » par les membres précédents. Sans oublier le médecin légiste Donald « Ducky » Mallard (David McCallum) et Abby (Pauley Perrette), la scientifique gothique déjantée. Ce cocktail explosif permet à chaque spectateur de s’identifier à au mois un des personnages.
Une série familiale
Malgré des enquêtes sur des meurtres, viols et autres, tous les épisodes de la série sont ponctués de notes d’humour spontanées, que Michael Weatherly qualifie « d’accidentelles ». N’empêche que ce procédé allège l’atmosphère souvent tendue des enquêtes.
S’ajoutent à ceci les liens quasi-familiaux qu’entretiennent Gibbs et son équipe. Regardez un épisode et vous aurez l’impression de voir un père (Gibbs) qui essaye de calmer ses quatre turbulents enfants. Cette relation est la plus marquée avec Abby, qui pourrait être la fille du patron. Enguérand Sabot, l’auteur du guide NCIS restricted area, explique que « les liens entre les personnages sont très forts, […] presque filiaux ». Enfin, la très bonne entente des acteurs qui sont « solidaires et soudés », dixit Mark Harmon. L’interprète de Gibbs a d’ailleurs indiqué qu’ils se retrouvaient tous les mardis pour visionner ensemble la série. Tous ces éléments font que la série est agréable à regarder et idéale pour passer un bon moment en famille.
Le scénario
Les épisodes sont basés sur le même schéma : un corps d’un marine est découvert ; l’équipe de Gibbs s’occupe de l’enquête ; puis viennent les recherches d’indices, les interrogatoires, les rebondissements et enfin, les aveux du meurtrier. Autrement dit, NCIS n’invente rien de nouveau dans le genre des séries policières. Mais la série est agréable, simple mais distractive. Les enquêtes sont fines, et le rebondissement final est toujours inattendu.
Et ce n’est pas qu’une série d’action. Parallèlement à l’enquête on suit toujours la vie personnelle des personnages, avec leur famille ou leurs histoires d’amour. D’ailleurs, la grande question (toujours sans réponse) que se posent tous les fans est : Tony le beau-gosse sortira-t-il enfin avec la sulfureuse Ziva ?
L’univers et le tournage
Bien que la série se focalise sur les crimes dans la marine américaine, la majeure partie des scènes se passe dans des bureaux. Ce qui montre les relations entre collègues de bureau plutôt que des relations entre enquêteurs. « La vie de bureau, ça parle aux téléspectateurs », analyse Pierre Serisier, l’auteur du blog Le Monde des séries.
Quant au tournage, Michael Weatherly explique que les « mouvements de caméras sont imprévisibles. On ne se conforme pas aux règles établies, ce qui nous rend plus intéressants. »
Les avis peuvent évidement être totalement contraire. M6 diffuse actuellement la saison 7, les agents du NCIS vous donnent rendez-vous tous les vendredis soirs.
Pour clôturer la saison 2010, le parc de la Villette propose un cirque captivant et fête ses retrouvailles avec la compagnie Archaos… 20 ans après leur première rencontre !
In Vitro 09 <http://www.villette.com/fr/parc-villette-agenda/spectacles-tous/ARCHAOS-ENC-FUNARTE.htm>
ARCHAOS & L’ENC / FUNARTE (École nationale de cirque de Rio de Janeiro)
Cirque
Du 24 novembre au 26 décembre 2010 à l’Espace Chapiteaux du Parc de la Villette
Info sur www.villette.com <http://www.villette.com/> – 01 40 03 75 75
Fruit d’une collaboration internationale entre la compagnie Archaos et des artistes brésiliens et européens diplômés d’écoles supérieures des arts du cirque, In Vitro 09 s’attache à réinterroger la question du clonage et de ses dangers.
Réécrit à partir de la pièce In Vitro 99 créée il y a dix ans déjà, ce spectacle met en scène des êtres hybrides mi-hommes mi-animaux, capables de sentiment et d’intelligence, véritables « bêtes de cirque » en lutte contre les projets tyranniques d’un savant fou.
Cette nouvelle version mêlant mât chinois, danse, jonglage, acrobatie et corde molle nous dévoilera une composition musicale franco-brésilienne originale et une structure scénique surprenante !
Un cirque au rythme effréné pour réveiller aussi bien notre sensibilité que notre sens critique…
Conseillé à partir de 6 ans
Durée du spectacle : 60 mn
Pour faire simple on résume souvent Andromaque au schéma suivant : Oreste aime Hermione qui aime Pyrrhus qui aime Andromaque qui est fidèle à son époux défunt, Hector. « C’est donc un quintette, où l’amour se trompe toujours d’interlocuteur » écrit joliment Muriel Mayette, administratrice de la Comédie Française et qui signe la mise en scène. Tout cela est un peu léger pour approcher l’un des chefs-d’œuvre de Racine, mais l’objet de cet article n’est pas d’ergoter sur les tenants et les aboutissants de la pièce. Aussi vous en épargnerais-je une analyse fouillée que je serais d’ailleurs incapable de faire. Ceci étant dit, venons-en aux faits.
Il faut aller voir Andromaque au Français.
D’abord, et c’est déjà suffisant, pour réviser ses classiques. Et puis pour apprécier (ou non) une mise en scène assez fidèle semble-t-il à l’idée qu’on se fait du classicisme. Le mot est de Gilles Costaz, entendu au Masque et la plume.
Le décor ? Deux fois quatre colonnes face à nous, trois marches et une porte à cour et jardin. Quoi de plus classique en effet ? Peut être mais c’est tout à fait appréciable de voir qu’il n’y a pas toujours besoin de machines impossibles et de feux d’artifices dans tous les sens pour doper un peu une tragédie. Alors en réduisant le décor à sa plus pure fonction utilitaire, que reste il ? Le Verbe. Et chez Racine, vous admettrez que c’est relativement très très très important, le Verbe. Et le spectateur de s’y atteler d’autant plus facilement qu’aucune fantaisie ne vient troubler la liturgie. Dans ce sens, le décor, par sa sobriété, est une réussite.
Les acteurs aussi subissent ce phénomène de dépouillement. Vêtus de très beaux costumes en lambeaux, leur démarche et leurs gestes sont ralentis. Ils ne se touchent quasiment pas, se regardent rarement. Dans ces conditions on peut comprendre que les critiques furent très vite assez partagées. Et le grand gagnant de ce parti pris, c’est le texte à qui est rendu la première place. Comme si le texte (presque) seul suffisait. Deux corps, deux voix, une histoire.
Notons la remarquable prestation de Léonie Simaga (dans le rôle d’Hermione) avec Eric Ruf (Pyrrhus). Moins convaincante, Cécile Brune compose une Andromaque sans trop de couleurs. L’utilisation de la musique surprend mais ce n’est pas désagréable, on peut cependant estimer qu’elle revient trop régulièrement.
Quelqu’un parlait de spectres à propos des personnages. L’image est assez juste je crois. Rien de shakespearien là dedans bien sûr, mais c’est très étonnant de voir errer lentement, autour des colonnes, ces personnages torturés à la recherche d’un compromis qui limiterait le bain de sang. Malheureusement cette errance, alourdie par le rythme de la pièce, rend certaines scènes un peu longuettes.
Andromaque
Salle Richelieu en alternance du 16 octobre 2010 au 14 février 2011. Représentations Salle Richelieu, matinée à 14h, soirées à 20h30. Prix des places de 5 € à 37 €. Renseignements et location : tous les jours de 11h à 18h aux guichets du théâtre et par téléphone au 01 44 58 15 03, sur le site internet www.comedie-francaise.fr.
Démarrage phénoménal pour la première partie d’Harry Potter et les reliques de la mort, mais pas aussi bien que Twilight.
Harry Potter et Twilight : séries mondialement connues et adulées, deux best-sellers, un duel de géants. Harry Potter 7 est sorti la semaine dernière au cinéma. Le film a réalisé le meilleur premier jour de l’histoire cinématographique en Angleterre, avec 9.4 millions de dollars de recettes et un million d’entrées. De quoi donner le tournis. Très bon démarrage aussi aux Etats-Unis, le septième volet des aventures du célèbre sorcier a réalisé 61,5 millions de dollars le jour de sa sortie. Tout simplement énorme.
Pour l’instant, HP 7 a récolté la modique somme de 125 millions de dollars depuis le début de son exploitation, c’est-à-dire trois jours. C’est tout de même 22 millions de moins que le deuxième volet de Twilight sur la même période. Avantage donc à la série sur les vampires de Stephenie Meyer.
Harry Potter se place ainsi à la sixième position des meilleurs démarrages aux Etats-Unis, dans l’ordre : The Dark Knight (avec 158 millions de dollars), Spider-man 3 (151 millions), Twilight Chapitre 2 : New Moon (145 millions), Pirates des Caraïbes 2 (135 millions) et Iron man 2 (128 millions).
Du pur de l’essence de théâtre, tout simplement
Il nous faut être transportés des siècles en arrière pour découvrir un théâtre novateur ; aussi étrange qu’inattendu
C’est au grand siècle , sous le règne de Louis XIV que l ‘art baroque atteint son apogée.
Au théâtre il repose sur 3 axes indissociables : langage, gestuelle, et énergie corporelle
En effet cette série de spectacles respecte les conditions de la représentation théâtrale du 17 e siècle , bien différentes des nôtres
En effet un public bruyant, un éclairage seulement par des bougies disposées sur l’avant scène obligent les acteurs , à jouer face au public en permanence.
Ainsi c’est vers nous que sont envoyés frontalement , textes , émotions, voix et énergies.
Les acteurs ne se touchent quasiment pas et ne se regardent pas !!
Ainsi scénographie le jeu des rapports est porté par ce triangle, pour nous inédit.
Les gestes codifés donnent aux acteurs une puissance corporelle proche de celle des mimes .Ainsi épurés les gestes sont plus intenses.
Leurs prononciations nous rappellent certains accents du Québec ou de nos régions.Ainsi prononcés les mots créent une musique qui nous relie à nos racines.
Les femmes savantes, les contes de Perrault, les folies Françaises de la Fontaine nous sont ici offerts dans leur plus pure expression pour un moment de vie intense qui nous vas droit au cœur
Du 18 novembre au 18 décembre 2010
Au théâtre de l’épée de bois
Route du champ de manœuvre
75012 Paris
réservation au : 01 48 08 39 74
www.epeedebois.com
Fabienne Prevot
Lord of the dance, la prestigieuse troupe de danse celtique dirigée par Michael Flatley, revient en France avec un nouveau spectacle époustouflant, « Feet of Flames« .
Depuis leurs débuts en 1996, ce sont plus de 50 millions de spectateurs (dont près d’un million en France) qui ont applaudi Lord of the dance à travers le monde.
Venue tout droit d’Irlande, cette troupe fantastique de danse celtique (dont l’âge moyen est de 22 ans seulement!) a débté sa fantastique carrière lors du concours de l’eurovision à Dublin en 1995. Ce soir-là, Michael Flatley fit découvrir a monde entier la virtuosité et l’originalité de la danse celtique. L’idée de départ a été d’utiliser des pas de claquettes ancestraux pour construire un spectacle moderne, mais respectueux de la tradition…
Quelques mois plus tard, le phénomène était lancé.
Avec une mise en scène soignée, des effets spéciaux solides et des lumières hallucinantes, nous assistons à une fusion de la modernité et de l’authenticité.
Un vrai show, en tournée dans toute la France, qui vous donnera envie de vous lever, de danser, de sauter et de crier… en même temps !

Dates de tournée :
NOVEMBRE 2010
Ven. 26 20h45 Paris / Palais des Congrès
Sam. 27 15h00 Paris / Palais des Congrès
Sam. 27 20h45 Paris / Palais des Congrès
Dim. 28 14h00 Paris / Palais des Congrès
Dim. 28 18h00 Paris / Palais des Congrès
Mar. 30 20h15 Amiens / Zénith
DÉCEMBRE 2010
Mer. 1 20h15 Dijon / Zénith
Jeu. 2 20h15 Clermont-Ferrand / Zénith
Ven. 3 20h15 Toulouse / Zénith
Sam. 4 20h15 Pau / Zénith
Dim. 5 15h00 Biarritz/ Gare du Midi
Dim. 5 18h30 Biarritz/ Gare du Midi
Mar. 7 20h15 Montbeliard / Axone
Mer 8 20h15 Strasbourg / Zénith
Jeu. 9 20h15 Chambéry / Le Phare
Ven. 10 20h30 Genève / Arena
Sam. 11 20h15 Marseille / Le Dôme
Dim. 12 15h00 Toulon / Zénith Omega
Mar. 14 20h15 Tours / Le Vinci
Mer. 15 20h15 Tours / Le Vinci
Jeu. 16 20h15 Rennes/ Le Liberté
Ven. 17 18h00 Nantes / Cité des Congrès
Ven. 17 21h00 Nantes / Cité des Congrès
Sam. 18 20h15 Brest / Penfelt
Quarante ans après la séparation des Fab four et presque huit années après le lancement de l’iTunes Store, le catalogue des Beatles fait enfin son apparition sur la boutique en ligne d’Apple. Pour arriver à ce résultat, le chemin aura été « long et tortueux », selon les termes de Steve Jobs, PDG de la marque à la pomme.
Apple Corps, la légendaire maison de disque fondée par le groupe de Liverpool, a en effet longtemps été en conflit avec son homonyme américain. Le fruit de la discorde était bien entendu l’utilisation d’un même logo par les deux sociétés, après la violation par Apple Computer d’un accord signé en 1981 stipulant qu’il se tiendrait en dehors de l’industrie musicale. Le conflit s’était finalement réglé devant les tribunaux en 2007, mais encore fallait-il qu’Apple Corps surmonte sa réticence à diffuser le catalogue des Beatles sur internet, ce qui aura tout de même pris trois ans.
Du côté de l’Apple américain et des maisons de disque, l’heure est bien entendu à la fête. Roger Faxon, président d’EMI (qui a collaboré avec Apple corps à la remasterisation des Beatles) parle ainsi d’une « une grande avancée dans l’évolution de la musique numérique ». « Grâce aux Beatles et à EMI, nous réalisons maintenant un rêve que nous avions depuis le lancement d’iTunes, il y a dix ans » a pour sa part commenté Steve Jobs.
Chez les ex-Beatles, l’enthousiasme est également palpable : « C’est fantastique de voir que les chansons que nous avions sorties sur vinyle vont recevoir le même amour dans le monde numérique qu’elles avaient reçu la première fois », a par exemple déclaré Paul McCartney. La veuve de John Lennon, Yoko Ono, a quant à elle souligné : « Dans l’esprit joyeux de ‘Give Peace a chance’ (‘donnez une chance à la paix’), je trouve que c’est très bien de faire cela l’année des 70 ans de John». « Au moins, si vous les voulez, maintenant vous pouvez les avoir [sur iTunes] (…) ‘Peace and Love’ (‘paix, amour’) » a renchéri le batteur Ringo Starr.
Les 13 albums des Beatles sont dorénavant disponibles sur l’iTunes Store au prix unitaire de 12,99 dollars, à l’exception du double « White album », vendu pour sa part 19,99 dollars.
Les fans de longue date peuvent donc se réjouir : après avoir payé pour les albums vinyles, payé une nouvelle fois pour les versions CD, re-payé pour l’édition remasterisée, ils peuvent à présent sortir le porte-monnaie pour acquérir au prix fort les mp3 d’une musique enregistrée il y a plus de 50 ans.
PORTRAIT. Ce que Gaëlle Redon apprécie particulièrement dans le théâtre, c’est de pouvoir faire de nouvelles rencontres. Cette femme multi-facettes a même trouvé un domaine professionnel conforme à sa recherche de liens sociaux.
« Je fais du théâtre pour être en contact avec les gens ». Tout est dit, voici ce qui motive Gaëlle Redon. Malgré une vie plutôt chargée, cette femme de 35 ans, qui ne les fait pas, semble épanouie et rayonnante. Car elle fait ce qu’elle aime : monter sur les planches.
Gaëlle a toujours voulu être comédienne. « Aujourd’hui, tout le monde veut être une star. Moi, comme toutes les filles à l’époque, je voulais chanter et jouer la comédie ». Ce sera la deuxième option. Elle arrête donc la gym à l’adolescence pour s’inscrire dans une petite école de théâtre, et ensuite intégrer le Conservatoire de Perpignan. Elle passe ainsi de pièces modestes à d’autres plus « professionnelles ». Parallèlement, la jeune actrice décroche un doctorat de sociologie, dont la thèse portera sur l’organisation des troupes de théâtre. C’est tout un art d’allier métier et passion.
C’était d’ailleurs assez difficile de gérer les deux. Heureusement que Gaëlle est persévérante. « Quand je me suis engagée sérieusement dans quelque chose ça a toujours marché », annonce-t-elle fièrement. Mais elle ne se considère pas assez passionnée pour supporter l’incertitude du milieu théâtral, c’est la raison pour laquelle elle a un métier de sociologue en plus. « Si j’avais voulu arrêter mes études et faire ma vie dans le théâtre, je pense que j’aurais eu de grosses déceptions ». Elle n’en a aucune depuis qu’elle a intégré la troupe amateur des Enfants Terribles, fondée par des anciens du Conservatoire de Perpignan.
La comédienne a été à l’affiche d’une dizaine de pièces, dont la plus récente est Mignon, mignonne, allons voir si la chose… Elle garde une préférence pour le milieu amateur qui lui a apporté une ouverture d’esprit, une plus grande liberté d’expression, de nouvelles relations et un esprit d’équipe. Exactement ce qu’elle cherchait.
Jeune mère de famille auteur de plusieurs ouvrages sur le théâtre, elle aimerait désormais prendre plus de temps pour son enfant. Pas facile quand on est une femme dynamique qui enseigne la sociologie, la communication orale (comme la confiance en soi) et le théâtre dans une grande école de commerce. « Etre prof, c’est un peu comme être sur scène. Dans les deux cas on joue un rôle et les spectateurs nous fustigent dès qu’on fait une erreur ! »
En savoir plus.
Il y aurait bien des scènes plus qu’érotiques dans Twilight 4 Révélation. Kristen Stewart se retrouverait quasiment dans le plus simple appareil…
Selon le magazine E ! News, « le script dit que Kristen sera pratiquement nue ». L’actrice qui joue le rôle de Bella dans la saga vampiresque aurait donc bien des rapports plus poussés avec le vampire Edward (Robert Pattinson).
Le réalisateur de Twilight 4 Breaking Dawn, Bill Condon, avait déclaré être motivé pour tourner les ébats du couple. Mais ne vous réjouissez pas trop vite, son grand problème va être d’insérer ces scènes de sexe dans un film qui devra rester tout public. Ne vous attendez donc pas à des séquences dignes d’un film de Marc Dorcel.
Petit rappel, Bella et Edward se marient dans cette quatrième adaptation au cinéma des romans de Stephenie Meyer. E ! News annonce que la robe de mariée de Bella serait « affreuse ». Le site ajoute que « ce n’est pas la faute du designer. C’est juste que la personne qui a eu le dernier mot […] a décidé d’une robe terriblement classique et laide ». Raison de plus pour qu’Edward la lui enlève, vous ne trouvez pas ?
La nouvelle comédie d’Ivan Reitman baptisée No strings attached réunira Natalie Portman et Ashton Kutcher. Les deux amis deviennent amants, et plus si affinités…
Tout commence avec une relation sexuelle entre amis. Ils deviennent des « sex friends », et tout va bien. Ils vivent une relation torride mais qui se limite au plan physique. Et quand les sentiments se glissent dans le couple d’amis, cela va compliquer leur histoire…
A première vue, le scénario n’est pas très original. Il est d’ailleurs très inspiré de Friends with benefits, avec Justin Timberlake et Mila Kunis, qui devrait sortir en 2011. Mais la première bande-annonce montre que les acteurs ont pris plaisir à jouer les scènes plutôt cocasses. Une comédie romantique qui sera certainement agréable à regarder.
Le film devrait sortir en France le 6 avril 2011.
Ce vendredi Tf1 a fait encore plus fort on ne croyait pas cela possible, portrait de 4 mères hystériques .
Marie France la mère de Guiseppe, je ne pensais que ce genre de femme existait encore, elle fait à elle seule reculer la condition féminine, si bien qu’au premier rendez vous avec les prétendantes elle les emmènent chez un chirurgien plastique .Le pire dans tout ça c’est qu’ elle a enfanté d’ un homme des cavernes, pour qui les femmes ne sont que des boniches qui doivent avoir une plastique parfaite, mais surtout se taire. Quel illettré incapable d’ aligner une phrase . La semaine prochaine vous verrez les prétendantes aller dans le château de la famille Adams, lieu de résidence des Pierre à feu .
Corinne, la pire de toutes ,pour elle toutes les filles sont des sous femmes, incapable d’ arriver a la hauteur de son fils,HEHO, IL EST STRIP TEASEUR , madame redescendez sur terre voyons. Pour cette mère seul le physique compte .
Elle se pense être au dessus de toutes ces filles ( c’est pas très difficile), la découverte des lettres qui ne révélaient absolument rien, fait l effet d’ une bombe atomique ! Qu’est ce qui ne vas pas chez elle ? Elle est vraiment amoureuse de son fils et veut le garder rien que pour elle .
Odile, la mère de Benjamin, si son fils n’était pas homo elle l’aurait obligé . Elle se fout complètement de ce que veut son fils, elle choisit la vie de son fils. Une mère complètement détraquée, qui au premier rendez vous trouve un prétexte pour embrasser tous les prétendants de son fils . Elle est possessive, égoïste et manipulatrice …
Le chef d’œuvre reste quand même la mère d’Alexandre,une mère possessive dans toute sa splendeur, elle l’écrase tellement qu’il n’a pas une once de personnalité. Dés la première soirée elle s’incruste avec lui en boite, « Alexandre sors ta chemise, « mets pas les coudes sur la table » . il a 27 ANS ! Alexandre va t’en vite …
La semaine prochaine promet d’être riche en émotion ….
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xffuyb_qui-veut-epouser-mon-fils-y-interview-d-elsa-fayer_news[/dailymotion]
Ary Abittan, connu pour ses seconds rôles comiques au cinéma et après son succès au petit Palais des Glaces, parcours la France puis reviendra sur la capitale à La Comédie de Paris dès le 13 Janvier.
Il présente son deuxième et hilarant spectacle, « A la folie ».
Ne croyez pas l’affiche, il ne s’agit pas de folie amoureuse mais bien de folie furieuse : celle de personnages tous plus allumés les uns que les autres…
Avec un réel talent comique, Ary nous transporte dans son univers, voguant à travers les pays, les cultures, les langues et bien sur les névroses ! Un feu d’artifices de rires, de tendresse et de passion partagés. Un pur moment de bonheur !
Rencontre avec Ary Abittan
Raconte-nous ton parcours…
A 16 ans, j’étais animateur dans un club. J’écrivais des sketchs en journée et le soir je les jouais devant public. C’était en quelques sortes mes premiers pas… Plus tard, j’ai été chauffeur de taxi, d’ailleurs l’un des plus jeunes de France – j’avais entre 19 et 21 ans – mais cela me prenais trop de temps pour mes cours de théâtre ! J’ai donc arrêté pour me consacrer à ma passion. J’ai rapidement eu quelques dates au Trévise et au Splendide par exemple, grâce à Eddie Marouani grand impresario de l’époque. Par la suite j’ai peaufiné mes textes, tourné en province, fais du théâtre… Puis, plus récemment, joué quelques rôles au cinéma. Ce spectacle est mon projet personnel le plus abouti.
Le stand-up est très en vogue et j’ai été agréablement surpris de te voir incarner des personnages dans de vrais sketchs… Pourquoi avoir préféré ce type d’humour ?
Je crois que c’est ce que je sais faire. J’ai du mal à balancer des vannes au public… En fait, j’ai tenté de renouer avec la tradition du one-man show. C’est ce que j’avais vraiment envie de vivre : incarner des personnages, pour que le public entre dans mon monde. On peut toujours mettre des vannes dans les sketchs, mais ils sont habités et ça leur donne une force, une dimension supplémentaire.
D’où viennent tous les personnages que tu interprètes ?
Ils viennent de tout autour de moi. Josiane vient de Sarcelles, le drogué d’en bas de chez moi, le mec jaloux c’est un peu nous tous, l’hypocondriaque c’est moi – je suis quelqu’un de très angoissé – etc…
Il y a de réelles idées de mises en scène dans ton spectacle !
Judith Elmaleh, qui a signé la mise en scène, a effectivement beaucoup travaillé. On a écrit pendant longtemps ce spectacle et, alors qu’on écrivait, on faisait la mise en scène simultanément : elle me demandait de le jouer tout de suite ! Judith a quand même mis en scène Gad Elmaleh, alors honnêtement, lorsqu’elle me dit qu’elle n’aime pas trop une idée, je l’écoute ! Elle a également ajouté des touches très poétiques, qui viennent de l’univers du mime par exemple.
Tu apprécies particulièrement les langues étrangères…
Je suis passionné par les langues. C’est plutôt la torsion des langues qui m’intéresse. Il faut savoir qu’il n’y a pas un mot de turque, d’espagnol, d’allemand ou d’arabe dans mon spectacle ! Grâce au câble, je peux regarder le journal télé en arabe : je n’y comprends rien mais ça m’éclate de rire ! Ce qui m’intéresse c’est de reproduire l’accent, l’intonation de la lange, sans même en dire un mot… Et ça marche vraiment, cela fait rire les gens ! Le rire te sort de toutes les situations. Plus jeune je n’avais pas la force de mon côté, alors j’ai dû me sortir de problèmes fous uniquement grâce au rire.
Dates du one man show d’Ary Abittan A la folie :
Samedi 6 Novembre : Nice
Du Mardi 9 au Samedi 13 Novembre : Toulouse
Dimanche 21 Novembre : Lyon
Dimanche 27 Novembre : Avignon
Samedi 4 Décembre : Festival de Montreux
Mardi 7 Décembre : Perpignan
Samedi 11 Décembre : Lille
Mardi 14 Décembre : Strasbourg
A partir du 13 Janvier : la Comédie de Paris.

Jusqu’à présent, seuls quelques acteurs s’étaient exprimés sur le scénario de Twilight 4 Breaking Dawn, mais sans en dévoiler les détails. On connait désormais le synopsis, alors que le tournage vient à peine de commencer. Que les fans de la série se rassurent, il est très fidèle au roman original de Stephenie Meyer.
Attention, si vous n’avez pas lu le livre et que vous attendez le film, ne lisez pas ce qui suit !
L’évènement le plus attendu par les inconditionnels de la saga est très probablement le mariage entre Robert Pattinson et Kristen Stewart. Oups, pardon : entre Edward et Bella. Après la cérémonie, ils se rendent à Rio de Janeiro pour passer une lune de miel…. Torride. Une question se pose désormais : les scènes de sexe seront-elles présentes dans le film ?
Ce qui devait arriver, arriva : Bella est enceinte. Son accouchement se passe dans la douleur, et Bella l’humaine est au bord de la mort. Seule solution pour la sauver : la transformer en vampirette. Edward s’acquitte bien volontiers de cette mission pour sauver sa bien-aimée.
Mais l’arrivée de Renesmée, leur fille mi-vampire, mi-humaine, déclenche une véritable guerre au sein des vampires eux-mêmes, et avec les loups-garous. Le but : anéantir l’enfant.
Suspens, amour, romantisme, passion, action seront au rendez-vous pour la quatrième adaptation au cinéma. Twilight 4 : Révélation Première partie sortira dans les salles obscures le 16 novembre 2011.
Le 106, la plus grande scène des musiques actuelles du nord-ouest de la France
ouvre le 26 novembre à Rouen !
Un nouveau lieu dans un nouveau quartier : Le 106 s’inscrit dans le projet global de réaménagement des quais de Seine. Hangar portuaire réhabilité en lieu de culture, il marque la transformation de 90 hectares de la rive gauche à l’Ouest de Rouen. Au coeur de l’agglomération, et au centre de l’éco-quartier Flaubert, le 106 sera un point d’attraction du futur paysage urbain.
Le 106, une scène de musiques actuelles moderne et conviviale :
Cette S.M.A.C est composée d’une salle principale, d’un club, d’un café, d’une studio de radio, de 5 studios de répétition, d’un studio de maquettage et d’un studio de création d’image numérique. Médiateur actif, le 106 sera une zone de rencontres, de brassage des influences, il contribuera aussi à l’émergence de la scène locale.
Depuis son origine, à l’aube des années 50, le hangar 106 est consacré à l’import-export. Le nouveau projet reprend à son compte ce principe d’échanges avec le monde. Véritable zone de transit entre les centres de la création contemporaine, le 106 aura pour mission d’attirer à Rouen ceux qui font la musique d’aujourd’hui.
>>> Découvrez la salle, son histoire passée et à venir :
« Le 106 mode d’emploi » :http://www.filedropper.com/106modedemploipresse
Du premier concert d’adolescents curieux à la soirée indie pointue, le 106 se fera une joie d’embarquer de nouveaux spectateurs et de nourrir les plus exigeants.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=A9y0xu6ofpc [/youtube]
D’ores et déjà au programme : Wax Tailor & The Mayfly Symphony Orchestra (création) complet, Buck 65, Tindersticks, The Two, Rodriguo Y Gabriela, Lilly Wood & The Prick, The Strange Boys, Bob Log III, Pony Pony Run Run, !!! (Chk Chk Chk), Adam Kesher, Cocoon, Horace Andy & The Homegrown Band, BB Brunes, A Place To Bury Strangers, Marvin, Tahiti 80 (création), The Bewitched Hands, Lucy Lucy!, Hindi Zahra, Babet, Xavier Rudd, Katerine, Curry & Coco, Born Ruffians, No Records, Kanka, Mama Rosin, OXP, Gordon Melon, Jessie Evans, Success, Small Black, The Bionicologists, Orchester… et le Persistence Tour (Sick Of It All, D.R.I., Blood For Blood, Unearth, Evergreen Terrace, Casey Jones, Cruel Hand).
Plus d’infos : www.le106.com

Le jury du Prix Médicis a choisi aujourd’hui de décerner la prestigieuse récompense littéraire à Maylis de Kerangal pour son ouvrage « Naissance d’un pont » (Verticales). La décision a été prise à l’unanimité dès le premier tour.
Née en 1967, la Bretonne publie son premier roman, « Je marche sous un ciel de traîne » en 2000. Elle enchaîne ensuite avec « La vie voyageuse en 2003, puis avec le très remarqué recueil « Ni leurs ni couronnes », dont l’une des nouvelles a été adaptée au cinéma sous forme de court métrage (Eaux troubles, de Charlotte Erlih). Son précédent roman « Corniche Kennedy », paru en 2008, avait déjà été sélectionné pas de nombreux prix littéraires (Médicis, Fémina…).
Dans « Naissance d’un pont », l’auteure raconte la construction d’un pont suspendu dans la ville imaginaire de Coca, en Californie, coincée entre rêve et économie mondialisée. Pour ce faire, elle suit les destins croisés d’une dizaine d’hommes et de femmes venus parfois de très de loin pour travailler sur cet énorme chantier.
Jamais auparavant il n’y avait eu autant de saison pour une télé réalité, on sait pourquoi .
Nous sommes à la saison 10 de Koh Lanta, comment cela peut il encore fonctionner ? Saison après saison on voit des gens en bonne santé heureux devenir tristes agressifs et surtout affamés. C’est surtout toujours la même chose, les mêmes épreuves, tenir debout sur un poteau pendant des heures en plein soleil, manger des yeux de scarabés et j’en passe … Les candidats sont de moins en moins intéressants,le casting devient de plus en plus décevant, on devine à tous les coups qui va gagner, ils ont pourtant tout essayer, le koh lanta des sportifs à la retraite , les hommes contre les femmes, les vieux contre les jeunes …
Le résultat est bien là Koh Lanta doit s’arrêter.
Notre solution pour vous TF1, serait le retour d’un Moundir qui veut tout casser : « tient ta femme » « pourquoi être aussi corrompu » « j’ai horreur de perdre ça me donne des otites », ou d’un Tony, le marseillais zozoteur . Il faut également renouveler ses épreuves qui sont toujours les mêmes depuis 10 ANS ! Pourquoi pas un Koh Lanta au pays des glaces, ça suffit le soleil pour Denis Brogniart .
Bref il faut que ça change ou que ça évolue, la star académie l’avait bien compris …
Il faut que ça bouge !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=el8JFi-ymT0&feature=related[/youtube]
Comme vous le savez peut-être, Les réalisateurs Steven Spielberg et Peter Jackson travaillent sur l’adaptation au cinéma de Tintin. Deux images ont été dévoilées aujourd’hui.
Le tournage des Aventures de Tintin : le secret de la licorne est terminé depuis un an, le film est actuellement en montage. Il devrait sortir dans les salles obscures dans un an. Le magasine Empire a dévoilé ce mardi deux première images du film qui promet bien des surprises.
Les réalisateurs ont annoncé dans une interview qu’ils voulaient rester fidèles à l’œuvre d’Hergé, notamment au niveau de l’esthétique des dessins. C’est pour cela qu’ils ont opté pour la « performance capture », la technique qui reconstitue numériquement le visage d’un acteur avec toutes ses expressions. Le producteur Peter Jackson explique que ce système permet de « donner vie au monde d’Hergé, garder les visages stylisés, garder le style artistique d’Hergé tout en le rendant photo-réaliste. »
A noter que Jackson a déjà utilisé cette méthode dans Le Seigneur des Anneaux, pour des personnages comme Gollum. Andy Serkis, l’acteur de Gollum, interprétera d’ailleurs le rôle du capitaine Haddock. Pour Tintin ce sera Jamie Bell, découvert avec le rôle de Billy Elliot dans le film éponyme. Rackham Le Rouge sera incarné par Daniel Craig (le nouveau James Bond), et on pourra retrouver Gad Elmaleh dans le rôle d’Omar Ben Salaad.
Steven Spielberg ne compte pas s’arrêter là, et veut adapter Les 7 boules de cristal et Le Temple du soleil. Il pense aussi à d’autres aventures : « J’adore les aventures qui se déroulent en Europe Orientale comme Le Sceptre d’Ottokar ou L’Affaire Tournesol. […] Les deux « Lunes » sont aussi formidables et ils seraient parfaits pour le 3ème et le 4ème film… si nous parvenons jusque là. Mais pour l’instant on veut garder les pieds sur terre ». Reste à voir si le premier volet sera un succès ou non.
Vous avez surement du voir la bande annonce sur TF1 ou peut être même regardé par curiosité comme moi.
Avez vous déjà vu une émission aussi dégradante pour les femmes? Les femmes sont elles tellement désespérées pour que la production de TF1 ait réussit à rassembler 10 femmes par Tanguy ( lui au moins est intelligent ), ?
Qui voudrait d’un homme qui vit encore avec sa mère à 30 ans mais surtout qui la traite comme une femme de ménage.
Voici le casting :
Giuseppe et sa mère en plastique marie france, c ‘est l’homme de cro magnon dans toute sa splendeur, on ne sait même pas ce qu’il fait dans la vie, surement rien. C’est un vrai répulsif pour toutes les femmes qui se respectent. C’ est un spécimen, le premier pierre à feu italien . Dés la première soirée il a insulté une des femmes, ça promet pour le reste .
Benjamin, lui recherche un homme capable de supporter sa mère envahissante, je vous rassure ce n’est pas la pire de toutes les mères . Il semble préférer les bad boys alors que sa mère recherche un garçon de bonne famille …
Florent, le « bogoss » body builder d’origine marseillaise il est stripteaseur à ses heures perdues .Pour moi et pour tout le reste de la France, sa mère est clairement amoureuse de son fils, personne n’est assez belle pour lui .
Alexandre, le conducteur de bus ultra timide mais touchant, vit une vraie relation avec son ordinateur. Il est écrasé par le caractère de sa mère, elle lui dit quoi dire quoi faire et comment s’habiller(elle pourrait bien s’en passer) . Il n’a jamais connu une fille, sa première expérience sera donc en direct sur tf1 .
Alban , le dj parisien qui aime les filles vulgaires, mais uniquement celles qui peuvent déplaire à sa mère . Encore une mère amoureuse de son fils, qui est à son service 24H/24. On ne sait pas trop ce qu’il recherche dans l’émission mais certainement pas une fille avec qui faire sa vie .
Tf1 est tombé bien bas avec cette émission rabaissante pour les femmes, affaire à suivre .
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=KGh2qhR_Ua4[/youtube]
Aujourd’hui, Hiro Mashima est un auteur de manga internationalement reconnu. Avec un style graphique proche de celui d’Eiichiro Oda, auteur de One Piece, il conquit un public toujours plus nombreux. Après le succès de Fairy Tail, nous avons le plaisir de découvrir deux nouvelles séries : Monster Soul, destiné à un public un peu plus jeune et Monster Hunter Orage dont l’histoire est fortement inspirée d’un jeu vidéo. C’est à l’occasion de la Japan Expo 2010 que nous avons pu rencontrer ce jeune maître de l’heroic-fantasy.
C’est la deuxième fois que vous venez en France, est-ce que certains sites français vous ont inspiré pour vos mangas ?
– Tout à fait. Le Mont Saint Michel par exemple, pour son aspect médiéval, mais plus particulièrement Notre Dame de Paris qui m’a clairement servi de modèle pour dessiner la cathédrale de la ville Magnolia dans Fairy Tail.
Comment êtes vous devenu un mangaka confirmé, avez-vous commencé par être un assistant ?
– Non, en fait je suis un autodidacte. Aujourd’hui, je travaille en équipe avec plusieurs assistants car nous devons rendre chaque semaine 20pages pour un magazine hebdomadaire. J’essaie d’encourager mes assistants car je souhaite vraiment qu’un jour ils puissent voler de leurs propres ailes. De ce fait, j’espère que mon expérience les aide.
Quelles sont vos œuvres fétiches, celles qui vous ont donné envie de faire ce métier ?
– Akira Toriyama bien sûr ! C’est sans doute mon plus grand modèle. Dragon Ball est ce que je lisais quand j’étais jeune. La dualité des personnages, la dimension des pouvoirs spéciaux, savoir qui sera le vainqueur… Autant de notions qui m’ont fortement inspiré pour mes mangas.
Quel est le personnage que vous préférez et qui vous ressemble le plus ?
– Natsu de Fairy Tail car il me fait penser à moi lorsque j’étais adolescent : plutôt rebel !
Le dessin animé Fairy Tail vient d’être lancé, comment vous êtes-vous impliqué dans ce projet ?
– J’ai participé à la relecture des dialogues, ainsi qu’à la sélection des acteurs qui ont prêté leur voix aux personnages. J’ai également travaillé un peu la partie graphique, mais pas du tout sur la partie production.
Si Fairy Tail devenait un vrai film, savez-vous déjà quels acteurs pourraient jouer les personnages ?
– Je n’y ai jamais réfléchi mais comme j’adore Jackie Chan, j’aimerais beaucoup le voir dans le rôle de Happy (Rire !! Happy est un chat qui vole)
Fairy Tail / Monster Soul / Monster Hunter Orage
Disponible aux éditions Pika
Après le Best-Seller et le Cinéma, enfin l’adaptation théâtrale plus que réussit !
Pour la petite histoire, si vous ne la connaissez pas déjà : Joanna Kramer, aspirant à une autre vie que celle de Desperate Housewives décide de tout plaquer abandonnant son mari, Ted et son fils de 6 ans, Billy.
Ted se voit alors dans l’obligation de concilier sa vie professionnelle de publicitaire et sa vie de papa et d’homme au foyer. Au fil des mois, le petit garçon et son père construisent une réelle relation père/fils, jusqu’au jour où Joanna décide de revenir et réclame la garde de son fils, mais Ted ne l’entend pas ainsi et décide de se battre et d’aller en justice pour garder son fils.
Gwendoline Hamon (Joanna Kramer) et Frédéric Diefenthal (Ted Kramer sans surprise nous transporte avec brio dans cette comédie dramatique qui traite de sujets plus que jamais d’actualité comme le rapport entre hommes et femmes, le mariage, le divorce ou encore la place de la femme au sein du couple.
De plus, la mise en scène est exceptionnelle grâce à un jeu de décor intelligent : 7 lettres qui forment le mot KRAMER se déplace avec le jeu des acteurs et se transforme en chaise, canapé ou encore en cuisine. Une façon de rythmer la pièce et de faire entrer les spectateurs dans l’intimité des personnages.
KRAMER CONTRE KRAMER est une pièce tirée d’un Best-Seller des années 70 mais plus que jamais d’actualité en traitant de sujet délicat car lié à la famille et à son éclatement .
Avec des acteurs convaincants et une mise en scène créative, le public est touché, passant du rire aux larmes, et récompense les acteurs par des applaudissements sans fin.
Jusqu’au 30 novembre 2010 au théâtre des bouffes parisiens
Les mardi, mercredi et jeudi à 20h30, les vendredi et samedi à 20h45, le dimanche à 15h.
Location : 01 42 96 92 42 ou sur le site du théâtre.
Tarifs : de 10 € à 48 €
Bouffes Parisiens
4 Rue Monsigny
75002 Paris
Métro Pyramides (ligne 7 et 14) ou Bourse (ligne 3)
http://bouffesparisiens.com
Fabienne Prevot
« Un chef d’orchestre part toutes les nuits à la conquête de son fantasme : retrouver son amour d’enfance. Avec l’aide de ses trois comparses, il nous entraîne dans un voyage drolatique et musical où la magie côtoie l’humour. Décalé et surfant sur tout le spectre de la musique du monde, les déSAXés nous offrent une plongée burlesque et poétique d’un monde où l’amitié domine. »
Quatre musiciens qui s’en donnent à cœur joie pour notre plus grand plaisir ! Cela fait plus de 15 ans qu’ils sortent le sax de son axe. Les déSAXés ne sont pas seulement une illustration de la métaphore qui les détermine, mais le point de jonction d’un véritable syncrétisme musical. Ils sont nés de la confrontation de différents univers dont ils étaient porteurs et sont parvenus aujourd’hui à cette concorde musicale qui fait leur marque de fabrique. Après plusieurs créations à Paris (Th. Dejazet, Mouffetard, 20è Théâtre) ils réinvestissent le Temple où ils vont écrire à 8 mains une partition luxuriante où la comédie disputera à la musique le premier rôle. Première partie de Dany Boon à l’Olympia, ils ont sillonné les continents et ont reçu autant de distinctions que d’applaudissements chaleureux. De dithyrambes en succès, les déSAXés gravent dans le marbre intemporel de la musique leurs noms harmonisés.
Tour à tour drolatiques, iconoclastes et virtuoses, les rutilances musicales du quartette revisitent le monde nocturne d’un « fou » génial qui de sa baguette égrène ses enthousiasmes. »
COPIE-COLLE de http://www.idees-beaumont.org/Spectacle-d-humour-musical-Sax
et http://www.artistikrezo.com/actualites/Theatre/les-desaxes-au-theatre-le-temple.html
Au Théâtre Le Temple
18 rue du Faubourg du Temple F-75011 Paris
Réservation tel 01.40.26.04.14
Du jeudi 14 octobre au dimanche 02 janvier 2011 – Du jeudi au samedi à 19h et le dimanche à 16h.
[vimeo]http://vimeo.com/15123620[/vimeo]
Vous aviez aimé la série des Scary Movie ? Vous êtes fans de Twilight (ou pas, ça marche aussi)? L’association des deux s’appelle « Mords-moi sans hésitation », et vous attend au cinéma fin novembre !
En attendant le prochain épisode Twilight Chapitre 4 : Révélation, voici de quoi se mettre sous la dent (une canine, évidemment). Deux réalisateurs, Jason Friedberg et Aaron Seltzer, ont eu l’idée de parodier l’histoire d’amour entre Bella et Edward avec des gags sortis tout droit de Scary Movie. La bande-annonce promet de bons moments de rires.
Au programme de Vampires Suck : une fille amoureuse d’un vampire, un repas de famille qui manque de se terminer en drame sanglant, les « Vampires » Black Eyed Peas, et en guests : Alice (du Pays des Merveilles) et Lady Gaga ! Le tout ponctué de situations improbables. Le coktail parfait. Même le titre est une parodie de Twilight: Hésitation.
Sortie au cinéma le 24 novembre 2010.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=0YlXXfYoOIw&feature=player_embedded[/youtube]
Pour une fois que c’est l’inverse qui se produit ! Les réalisateurs de « Plus belle la vie » pourront en effet se targuer d’avoir inspiré les Télés américaines !
Les fans de la série « Plus belle la vie » s’en réjouiront, bien qu’il s’agisse d’une facétie qui a pour visée de parodier la série française diffusée par France 3. La version états-unienne s’appelle « Les Jeunes à Paris » (un comble pour la série marseillaise…). Elle est diffusée dans l’émission humoristique « Saturday Night Live », sur la chaîne de télé américaine NBC.
Ce sketch a été interprété en français par des comédiens de New York, en particulier par la jeune actrice Emma Stone.
Une vidéo qui commence par « France 3, la télé super cool », délectez-vous !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Dr-BW-VFLqY[/youtube]
Pagnol et Raimu (un de ses acteurs fétiches) nous emmènent dans le sud de la France, le temps d’une promenade au soleil. Après une partie de boules, on parle cinéma. On prend le pastis.
Galabru et son accent inimitable, Caubère, moins sudiste et un peu mélancolique ; ces deux très grands acteurs nous racontent une histoire d’hommes, faite de jalousies, de franches engueulades, de fous rires. La Camaraderie quoi. Il n’a y pas vraiment de décors, pas de costumes, pas de musique, pas d’artifices. Seulement ces deux amis et leurs voix. Tout est à entendre.
C’est un spectacle simple et donc de qualité. Galabru est drolatique avec ses mimiques incroyables ne sur-jouant jamais. Caubère, beaucoup plus en retenu, parfaitement juste également.
On ne peut s’empêcher de voir le grand Galabru sur le plateau mais on s’y résout très vite, on veut croire que Raimu est là. Et cela fonctionne. Alors on se laisse porter par ce dialogue, la correspondance de Pagnol et de son ami Raimu, adaptée à la scène par Pierre Tré-Hardy.
Les interventions de Jean-Pierre Bernard, le narrateur (qui signe aussi la mise en scène), sont discrètes, réparties intelligemment. Il est le fil rouge de l’histoire. On n’est tout de même surpris de sa présence quand meurt Raimu et que Pagnol reste seul debout au milieu du plateau, quand le dialogue s’achève définitivement. On cesse alors de rire et on applaudi les deux acteurs. Ils ont gagné, nous avons beaucoup ri.
« Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants » Pagnol.
Jules & Marcel
Du 21 septembre 2010 au 31 décembre 2010
Du mardi au samedi 19h, matinée dimanche 17h
Tarifs :
. 45€ / 35€ / 25€ (hors frais de location)
. 36€ / 28€ / 20€ Promotion spéciale Halloween sur les représentations du 22 octobre au 14 novembre 2010
Théâtre Marigny
Carré Marigny 75008 Paris
01 53 96 70 30
01 53 96 70 31
Métro
Champs-Elysées Clémenceau
Bus 28. 32. 42. 73. 80. 93
Parking, entrée avenue Matignon, sortie côté théâtre
Paul Seil
Voilà qui est officiel : James Cameron, le réalisateur d’Avatar, qui a aussi connu un succès mondial avec le film Titanic, a décidé de surfer sur la vague du succès en signant pour Avatar 2 et Avatar 3 !
Sorti en décembre 2009, le film Avatar, le plus cher de l’histoire du cinéma (comme Titanic en son temps) avait aussi fait les plus grandes recettes de l’histoire du cinéma (derechef comme Titanic) en récoltant au box-office mondial pas moins de 2,77 milliards de dollars. Et celui qui est rentré dans l’histoire du cinéma, c’est bien le réalisateur canadien James Cameron, qui a officiellement acté et signé pour les opus 2 et 3 de la trilogie.
James Cameron commencera à travailler sur leur scénario dès l’année prochaine, alors qu’il oeuvre aujourd’hui à la réalisation de son prochain film Battle Angel, dont la sortie est prévue pour 2013.
La sortie de Avatar 2 a quant à elle été programmée au mois de décembre 2014, et Avatar 3 sortira un an plus tard, en décembre 2015 et en 3D, bien sûr !
En attendant, vous pouvez toujours visionner la fausse bande-annonce d’Avatar 2 qui avait circulé il y a quelques mois sur le net.
Même si elle n’est pas véridique, cette bande-annonce est très drôle et a le mérite d’être assez réaliste et bien réalisée. Bravo à ses auteurs !

Crédit Photo : Splash News
Campus Mag lui a enfin mis le grappin dessus ! Il s’agit d’un artiste français de renom, qui sévit depuis plus de 10 ans dans les régions françaises – sans oublier la Navarre. Il cause les plus grands torts aux braves gens en déchaînant sa bonne humeur partout où il passe. Il fallait que quelqu’un s’en charge, c’est chose faite : Campus l’a séquestré un après-midi d’automne pour qu’il avoue ses fautes, confesse ses pêchés, et nous dévoile le secret de la joyeuse espièglerie qui l’anime et le soustrait aux affres du temps qui passe…
Date : Mercredi 20 octobre 2010.
Localisation de la garde à vue : Siège parisien de la Warner Music Group (groupe d’édition de disques qui a produit les 3 derniers albums d’Aldebert).
Suspect : Guillaume Aldebert, dit Aldebert.
Son âge : Le secret professionnel et le souci de discrétion nous interdisent de dévoiler son âge. Sachez seulement qu’il est né en 1973.
Occupation dans la vie : Il fredonne de joyeuses petites mélodies sur des scènes nationales et internationales. Et accessoirement il sort des albums, pour que les gens puissent (aussi) l’écouter de chez eux.
Son dernier crime : La sortie le 11 octobre de son dernier album, le septième en dix années de carrière, judicieusement nommé « J’ai dix ans ». Un disque à mettre dans toutes les mains, mais qui risque de propager des ondes d’allégresse incontrôlées dans la population civile.
Brigadier Campus : Le 11 octobre 2010, vous venez de sortir un nouvel album, intitulé “J’ai dix ans”. Comment vous en défendez-vous ?
Guillaume Aldebert : Ce n’est pas vraiment de ma faute, je le jure.
J’ai voulu faire un album anniversaire, comme une sorte de best-of, pour fêter mes dix ans de carrière. J’ai commencé à écrire des chansons en 1999 puis j’ai tourné dans les premiers caf’conc’ [cafés-concerts] en 2000. L’idée n’était pas de faire un « bilan » car cela évoque une fin et un regard en arrière, alors que je voulais me projeter dans l’avenir.
Mon équipe et moi avons alors pris des anciens titres, et nous les avons remodelés avec d’autres arrangements ; puis nous avons enregistré de nouvelles chansons. Ça a donné lieu à cet album « patchwork » avec des chapitres qui correspondent à des envies différentes.
BC : Cet album serait davantage un tremplin pour les 10 prochaines années ?
GA : Je fais un métier particulier dans lequel on ne peut pas se projeter à long terme. Je vois à peu près ce que je ferai dans un an parce que j’ai déjà quelques projets entamés, mais d’ici deux, trois ans, je n’en sais rien.
C’est dur de garder la tête hors de l’eau quand on fait ce métier. De plus, c’est la crise du disque et tout a changé : la façon de consommer la musique, les gens achètent moins de disques… Et les artistes sont de plus en plus nombreux : aujourd’hui, il y a presque plus de musiciens que de public !
BC : Comment a évolué votre carrière ? Êtes-vous passé par plusieurs styles ? GA : Je m’en rends compte par le public que ça fédère. J’ai commencé dans un petit café en donnant des concerts pour quatorze personnes… La première salle, au bout de deux ans, fut le Sentier des Halles à Paris, avec 32 entrées payantes. Et aujourd’hui, on fête cet anniversaire au Zénith !
BC : Vous jouez désormais devant plusieurs milliers de personnes ; pourtant, vous n’êtes pas très connu du grand public…
GA : C’est un peu particulier car médiatiquement je ne suis pas très visible. Je suis ce que l’on appelle un « artiste de scène ». J’ai une activité de concert très conséquente, au rythme d’une centaine de concerts par an ; c’est le cas de beaucoup de groupes français, comme Thomas Fersen, Clarika ou les Têtes Raides par exemple. Nous tournons beaucoup, mais pourtant nous ne passons jamais à la radio et finalement les gens nous connaissent assez peu.
BC : Quelles surprises réservez-vous à ceux qui viendront vous voir en concert le 20 novembre au Zénith de Paris ?
GA : La tournée « J’ai dix ans » est particulière car nous avons fait appel au metteur en scène du Cirque Plume qui s’appelle Bernard Kudlak. Le Cirque Plume est un cirque moderne qui est très poétique, onirique. C’est un univers qui est très proche du mien car je fais souvent référence à l’enfance et au rêve ; à l’humour aussi, qui est un outil qui compte beaucoup dans mon écriture.
Nous avons donc travaillé ensemble sur ce concert qui est finalement devenu un spectacle avec des circassiens, des acrobates, des comédiens… Il y aura plusieurs autres invités, que je laisse au public la surprise de découvrir !
BC : Dans votre album « J’ai dix ans », vous abordez plusieurs styles de musique différents, de la traditionnelle chanson française au jazz manouche, en passant par le dub, l’électro et même le rap. Cette pluralité reflète-elle votre goût pour l’éclectisme, ou la volonté de fédérer un plus large public ?
GA : Le fait que ça soit un album « anniversaire » a été l’occasion de proposer des choses très différentes, et surtout de s’amuser. Les basse-bat[binôme bassiste et batteur] travaillent ensemble depuis longtemps, et écoutent beaucoup de musiques électro et de la funk. Je leur ai confié deux titres, qu’ils ont complètement bouleversés et dont ils ont proposé des versions originales. Ça change complètement la lecture des chansons, que je vois plutôt comme un « bonus » dans l’album.
BC : Avez-vous déjà des idées pour le prochain disque, ou bien d’autres projets en construction ?
GA : J’ai commencé deux albums en même temps : Enfantillages 2, qui sortira dans deux ou trois ans, et un disque plus « adulte » qui sortira l’année prochaine. Certaines chansons prendront appui sur des sujets sérieux, comme le titre « mon homonyme » que je vais partager avec Simon Mimoun -le chanteur de Debout sur le Zinc- et qui traite de l’homophobie.
BC : Un conseil pour les jeunes musiciens qui veulent se lancer professionnellement dans la musique ?
GA : Toutes les voies sont bonnes, mais un seul mot d’ordre : il faut y aller !
Malheureusement, en dépit des preuves accablantes qui plaidaient à charge contre lui, Campus Mag s’est vu dans l’obligation de relâcher Guillaume Aldebert, sous la pression de sa mère et convaincu par son sourire innocent… Qu’importe ! Réjouissez-vous, ce sera l’occasion d’aller le voir en concert le 20 novembre au Zénith de Paris !
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=G-4LcE_2eBs[/youtube]
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=FkjeeJC7VTk&feature=related[/youtube]
M6 a décidément senti le bon coup avec NCIS : enquêtes spéciales. La série d’investigations américaine a toujours réalisé de bonnes audiences, même cette année avec la rude concurrence
Le succès de NCIS commence dès la première saison. Avec une moyenne de 3,8 millions de téléspectateurs, puis 4,1 millions pour la seconde saison, la série s’impose doucement chez les ménages français. Dès la saison suivante, c’est l’explosion. Les enquêteurs de la Navy séduisent 2 millions de téléspectateurs en plus pendant la diffusion de la saison 3. Avec une pointe à presque 7 millions pour le dernier épisode, le premier record d’audience de NCIS.
M6 écrase alors tous ses concurrents du vendredi soir. La saison 2 de Prison Break d’abord, battue par les rediffusions d’anciens épisodes de NCIS. Puis c’est au tour de la Star Academy de se faire largement dépasser par la saison 4 de la Naval Criminal Investigative Service. C’est sûrement ce qui a précipité la fin de la Star Ac’. La série a même réalisé de meilleures audiences qu’un match de l’équipe de France de football, réalisant le meilleur résultat de M6 de l’année 2007 ! Même les rediffusions de trois épisodes à « thème » organisées durant l’été 2008 par M6 attireront les inconditionnels de la série.
Cette année, TF1 a sorti l’artillerie lourde pour lutter contre le bourreau des programmes. Tous les vendredis soirs, c’est un combat de géants entre Koh-Lanta à ma droite et N.C.I.S. saison 7 à ma gauche. M6 arrive toujours en seconde position des audiences derrière le jeu de TF1, avec environ un million de téléspectateurs en moins. Il faut tout de même souligner la belle performance face à un programme phare de TF1.
En deuxième partie de soirée, les rediffusions de NCIS permettent toujours de réaliser de bons scores d’audience. Malgré la concurrence de Numb3rs (nouvelle saison) ou Secret Story. D’ailleurs, à ce propos, NCIS a écrasé la demi-finale de la téléréalité de TF1.
La prochaine adaptation au cinéma de la saga Twilight sera plus chaude que les précédentes. Le couple phare de la série devrait enfin passer à l’acte…
Twilight Chapitre 4 : Révélation Première partie ne sortira que dans un an, mais on sait déjà que le scénario sera différent des trois premiers épisodes. Les deux amoureux Bella et Edward (incarnés respectivement par Kristen Stewart et Robert Pattinson) passeraient enfin aux « choses sérieuses » dans leur relation.
« Les scènes de sexe sont inexistantes dans le livre, il y a un peu plus de sexe dans le film et plus de dialogues relatifs au sexe. Le script est vraiment bon », a déclaré une source qui aurait vu le scénario de Twilight 4. Elle ajoute que « le scénario aura un caractère plus sexuel pour tous les personnages. Pas seulement pour Edward et Bella ». De quoi ravir les fans de la série.
Et de quoi également ravir Robert Pattinson lui-même, qui aurait fait une crise de jalousie à sa prétendue partenaire Kristen Stewart. L’objet du débat : les scènes de sexe de l’actrice dans le film On the Road. A noter que les deux acteurs n’ont jamais confirmé leur relation ou alors entretiennent le doute…
Bill Condon, le réalisateur du quatrième film est d’ailleurs très motivé pour tourner des scènes de sexe, et les studios de production estiment que c’est ce que les fans recherchent. Il y a donc de grandes chances de voir les deux tourtereaux en plein(s) ébat(s) amoureux.
Fans de vampires, vous avez rendez-vous dans les salles obscures le 16 novembre 2011 puis le 14 novembre 2012 pour les deux parties de Twilight 4.
Un jour dans son enfance, le petit Rolihlahla n’a pas pu se reposer sur un banc dans un parc du centre de Johannesburg, car il était noir. Rolihlahla a donc décidé de rester debout toute sa vie, et de lever le poing au lieu de courber l’échine.
Il n’aura de cesse de combattre l’injustice qui ronge son pays, l’Afrique du Sud, et qui divise ses frères en trois catégories : les blancs, les noirs (diplomatiquement –hypocritement- appelés les « non-blancs »), et les coloured (métisses). Il se lèvera pour rétablir l’égalité des droits, mais ne se lèvera pas seul. Car il entraînera dans son sillage toute la communauté noire d’Afrique du Sud, et comptera sur l’appui des défenseurs des droits de l’homme et d’autres pays africains solidaires de sa cause. Pour s’être engagé dans la lutte contre l’apartheid, le petit Rolihlahla vieillira en prison, où il passera 27 ans. Parce que son prénom était imprononçable par les blancs, les religieuses le renommèrent Nelson, comme l’amiral éponyme, prénom par lequel tout le monde connaît désormais le président Mandela.
Ce roman historique, très abordable même pour le jeune public, est aussi poignant que captivant. Raconté à la première personne, le livre nous plonge dans l’atmosphère du Johannesburg de 1941 à 1994, où l’on suit les péripéties de notre héros qui lutte contre l’injustice. Le lecteur s’identifie rapidement au petit Rolihlahla. On se surprend parfois à ressentir avec émotion la même rancœur et la même fougue qui ont dû animer le jeune xhosa révolté aux prises avec la dure réalité de son pays au temps de l’apartheid.
A lire d’une traite, comme on écoute un appel à la révolte. Car que l’on ne s’y trompe pas : si l’apartheid est derrière nous, les inégalités perdurent et le combat doit continuer pour beaucoup de jeunes africains qui marchent sur les traces de Nelson Mandela.
Fiche technique
Titre : « Nelson Mandela : Non à l’apartheid »
Auteur : Véronique Tadjo
Date de parution : septembre 2010
Edition : Actes Sud, 96 pages
Collection : Ceux qui ont dit non.
Prix : 7,80€

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xc7k7p_nelson-mandela-au-nom-de-la-liberte_news[/dailymotion]
Lorsque l’on voit Sami sur scène on est effaré par son énergie mais lorsque nous l’avons rencontré pour cette interview nous découvrons face à nous un jeune homme timide et réservé au grand sourire ravageur .
Il arrive de radio France où il tient un billet d’humeur décalé deux fois par semaine :une rubrique sur France inter dans l’émission « Comme on nous parle » de Pascale Clarck à 9H10.
FP : alors cette chronique ? elle consiste en quoi exactement ?
SM : c’est un billet d’humeur sur le sujet de mon choix, aujourd’hui c’était les fils à papa. J’apprends beaucoup car c’est pour moi un exercice tout nouveau, mais j’ai le trac.
FP : avant d’entrer sur scène aussi ?
SM : non, pas du tout.
FP : pouvez vous nous expliquer votre nom ?
SM : en fait c’est une métaphore. Bouderbala veut dire haillons, aristocrasseux . C’est une figure du peuple qui donne son point de vue.
FP : vu votre succès vous n’avez pas la grosse tête ?
SM : non d’abord parce que sur scène ça se voit, et puis j’ai pas inventé un vaccin non plus !
FP : vos débuts c’est plutôt le sport, les études ?
SM : en fait je n’ai jamais eu de ligne de conduite j’ai suivi mon cœur, à droite, à gauche. J’ai fait du sport très tôt et j’ai toujours voulu étudier à l’étranger. C’est grâce à un organisme qui s’appelle MICEFA que j’ai pu partir le aux états unis . Cela vous permet de profiter d’un cursus valeur 30 000 dollars USA, en payant seulement les droits d’inscription en France soit 300 € pour un an et avec les opportunités que cela entraine. En fait j’ai eu un parcours bizarre le basket au niveau pro, puis enseignant le français aux USA, puis la scène… Mon cursus en langues appliquées à Paris 8 faisait que je parlais Anglais, Italien et Espagnol. Dès 16 ans pour le basket j’allais régulièrement jouer aux USA. C’est vrai tout ça, ça facilite.
FP : d’après vous qu’est ce que permet le rire ?
SM : le rire c’est une possibilité, pour ceux qui ont la parole de prendre les choses moins au sérieux Aux USA j’ai vu des professeurs, des hommes politiques avoir de l’humour et un certain charisme. Je me suis rendu compte qu’au vestiaire après les matches de basket, je faisais rire. Je me suis dis « tiens il y a un truc à faire dans l’humour ».
FP : est ce que être Français, percer aux USA, voyager souvent entre les deux ça vous a fait vous interroger sur votre identité ou vous sentir tiraillé ?
SM : la question identitaire je l’ai vite occultée. On perd du temps et on ne se concentre pas sur le concret ou sur les choses qui nous font avancer. C’est des fausses questions, s’identifier c’est juste se mettre des barrières. On est ce qu’on raconte (je suis relou là non ? je me suis autosaoûlé).
FP : Vous avez participé et crée des collectifs pour assez vite arriver au stand up ?
SM : oui d’abord les comic street show puis le Jamel comedy club puis je retourne aux USA pour écrire jouer à NY ensuite je reviens jouer mon spectacle en France. Le stand up me va bien, car avec cette forme de spectacle tu engages ta propre parole ; en collectif tu ne peux pas proposer ta propre vision car la parole est à untel ou untel ; le temps sur scène, le salaire, plein de choses ne me correspondaient pas en collectif.
FP : Qui te fait rire ?
SM : plein de gens car je suis très très bon public. Des gens comme Desproges, Coluche, Dupontel.
FP : le plus difficile pour toi dans le stand up ?
SM : être en adéquation avec ce qu’on dit. Ouah ! je suis à la limite du Van Damme non ? En fait le stand up même si on l’appelait pas comme ça, existe depuis très longtemps. C’est une personne qui parle seule, en son nom face au public comme Bedos, Coluche, Devos, Fernand Raynaud. C’est l’opportunisme médiatique qui l’a fait mousser. Tu n’es pas dans un personnage qui cache la parole tu es une personne qui parle au public, qui se sent pris en considération.
FP : Bouffon pour toi c’est quoi ?
SM : c’est celui qui met le doigt, de temps en temps, sur un truc…
FP : y-a-t il des choses que tu n’as pas encore faites et que tu aimerais faire ?
SM : c’est très cliché mais partir aux States et se retrouver à jouer au basket dans une équipe connue c’est con, mais c’est déjà génial ça prouve que tout est faisable, possible, mais il faut se donner les moyens que ça arrive. Il faut bosser, charbonner. On a tous des opportunités , il faut juste être prêt à ce moment là ! Aux usa on te dit « you can make it , you can do it ». Faut y aller, se motiver moi je trace et après on verra où ça te mène. Il faut pas attendre les gens .
FP : qu’est ce qui t’as touché aux USA ?
SM : les gens que j’ai rencontrés car c’était dans la période où il y avait un antagonisme entre les usa et la France à propos de la guerre en Irak. On disait que les français étaient mal vus. Pas du tout. Les américains m’ont ouvert leur cœur ; et puis j’ai eu là bas plein de choses que je n’ai pas eues ici.
FP : Que penses tu de la France actuelle ? Que dirais-tu aux jeunes ?
SM : le souci c’est qu’il faut d’abord s’écouter soi, d’abord acquérir une expérience. Voir ailleurs pour comparer et choisir le meilleur système qui soit.
FP : les humoristes ont maintenant des vies avant d’arriver à la scène, ils ont fait des études. Le statut a un peu changé, non ?
SM : oui, avant le comique était très galvaudé. Il était assimilé au benêt. Le statut a changé : ils ont maintenant des parcours atypiques, une expérience de la vie, ils ne sont plus risibles : ils font rire. On peut avoir une pensée derrière le rire. Le rire c’est un trait de l’esprit.
FP : dans ton spectacle je te trouve plus soft avec le filles c’est normal ?
SM: LES femmes ça n’existe pas : il y a DES femmes. C’est un concept qu’on veut nous imposer, comme dire les juifs, les arabes, les homos. C’est trop réducteur ! Sur scène je parle uniquement de mes expériences avec les femmes mais gentiment, sinon après vous allez me tomber dessus et m’en faire baver, vous êtes vicieuses !!
FP : on te retrouve pour 3 soirées exceptionnelles à la Cigale les 18 , 19 et 20 octobre prochain et puis ?
SM : ensuite je serai au gymnase puis sûrement au Trévise, après je retourne à New York pour faire mon spectacle en anglais et j’écris tout le temps. Là je traduis mon spectacle en Italien et bientôt en Serbocroate ; non, je délire : le mec qui s ‘arrête jamais !!!
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=–w61znOcVM[/youtube]
Lorsque l’on dit « imitateur » on pense aux Guignols de Canal + ou à des performances sur scène . Mais lorsque l’on veut parler de Michaël Grégorio c’est bien plus que cela et le mot seul devient trop étroit .
Découvert dans graine de star à 16 ans cet artiste est impressionnant.
D’abord parce qu’il a choisi de n’imiter que des chanteurs, ce qui ajoute au jeu de la voix une difficulté supplémentaire .
En plus il ne choisit quasiment que des chanteurs(euses) aux voix que l’on croyait jusqu’alors inimitables : Céline Dion (dont il a fait la première partie !), Ray Charles, Pavarroti , La Callas et non des moindres. Il ose et la magie fonctionne : c’est un artiste hors normes ! Et parfois il le fait face à eux , comme en duo avec Joe Cooker et avec Jean Félix Lalanne car il sait aussi amener sa voix à devenir une guitare acoustique : génial !! Mais il s’amuse aussi de Lara Fabian, Julien Doré, Mika, chanteurs plus proches de sa génération.
Il nous suffit de fermer les yeux pour être troublés, au jeu du qui est qui ….
Entre jeu d’acteur et puissance de chanteur, il est époustouflant. Laurent Ruquier ne s’y est pas trompé en devenant son producteur.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=s5ZMQoWEPvs&feature=related[/youtube]
Ennemi du pédantisme, l’auteur de Tartuffe règle ses comptes avec les petit(e)s érudit(e)s de salons dont certain(e)s ont pignon sur rue en cette seconde moitié du XVII° siècle. C’est le cas de Monsieur Cotin, aumônier du roi de son état, qui deviendra Trissotin dans l’avant dernière pièce de Molière, Les Femmes savantes. En reprenant un schéma actanciel traditionnel (un mariage rendu impossible par une mère tyrannique et un prétendant intéressé), Molière imagine une comédie en vers et en cinq actes moins farcesque et plus didactique que Les Précieuses ridicules.
La pièce s’ouvre avec des propos sur le mariage échangés entre les filles de Chrysale et Philaminte, Henriette et Armande. La première défend le mariage quand la seconde s’y oppose, le taxant de vulgaire dessein. C’est que Mademoiselle Armande, comme sa mère et sa tante Bélise, ne jurent que par le beau langage, le grec, la philosophie Et trait[e]nt de mépris les sens et la matière. C’est la raison pour laquelle on veut marier Henriette à Trissotin (trois fois sot), un jeune littérateur arrogant à la prose médiocre. En témoignent ces vers de son cru, laissés à la libre interprétation de chacun : Ne dis plus qu’il est amarante / Dis plutôt qu’il est de ma rente. Henriette, pourtant moins instruite que les autres, en vomit son quatre heures.
L’opposé de Trissotin c’est Clitandre, vers qui vont les vœux d’Henriette. Un jeune homme raisonnable et galant qui tempère le radicalisme de Philaminte renvoyant froidement la servante Martine sous prétexte qu’elle employa un mot Qu’en termes décisifs condamne Vaugelas. Chrysale et son frère Ariste font figures de pendant au club des savantes et entendent bien renvoyer les femmes à leurs cuisines. Cependant Chrysale, soumis à se femme, n’ose contredire la matrone. C’est à la fin de la pièce, grâce à l’intervention spontanée de Martine (La poule ne doit point chanter devant le coq) et au truchement d’Ariste ; qu’il s’impose tant bien que mal comme chef de famille.
Finalement la pièce de Molière n’est ni en faveur des hommes, ni des femmes. C’est un pamphlet plaisant contre les travers de l’humanité qui nous montre par là comme il ne faut point vivre. Et pour le théâtre classique la règle des règles n’est-elle pas d’Instruire et de Plaire ?
Bruno Bayen signe une mise en scène originale bien que parfois peut être un peu pataude, quand la farce prend le dessus sur le sujet de la pièce. Thierry Hancisse, sauf quand il oublie son texte ( !), est très drôle. Le texte justement est dit avec rigueur et il est très agréable d’entendre les vers dans leur intégralité. Il faut noter les prestations tout à fait justes de Bruno Raffaelli (dans le rôle d’Ariste) et de Pierre-Louis Calixte, en pathétique Trissotin à la perruque blonde. Enfin, Clotilde de Bayser nous offre une Philaminte snobe très moderne. Seule Boutaïna El-Fekkak (Armande) est à mon sens peu convaincante.
Il faut saluer la très belle scène entre Henriette et Trissotin (scène 1 acte V), à cheval entre comédie et tragédie et qui renvoie bien à la complexité de la pièce.
Le décor sans prétentions de Michel Millecamps fait ingénieusement allusion à une salle de classe avec ses bureaux et ses livres multicolores. Mais je n’explique pas la présence d’une chaise sur le proscenium qui tout le long d’une scène gène considérablement les spectateurs des premiers rangs, est ce un pari scénographique ?
Les Femmes savantes au Théâtre du Vieux-Colombier,
21 rue du Vieux-Colombier, Paris VI° Metro Saint-Sulpice
Du 23 septembre 2010 au 07 novembre 2010
Du mercredi au samedi à 20h, 16h les dimanches et 19h les mardis
Réservation sur le site de la Comédie-Française
http://www.comedie-francaise.fr/spectacle-comedie-francaise.php?spid=227&id=516
Paul Seil
On peut résumer La Rafle en un mot : émotions. Impossible de rester impassible devant cette première vraie adaptation au cinéma d’un sombre évènement.
Nous sommes en juillet 1942 à Paris. Nous suivons la situation des juifs de France, récemment surnommés « les Indésirables », avec appréhension et angoisse. Jusqu’au 16 juillet, où 13.000 juifs sont arrêtés par les forces de l’ordre, direction le Vélodrome d’Hiver.
La réalisatrice Roselyne Bosch a disposé de beaucoup de moyens, et ça se voit. Enormément de figurants dans des costumes d’époque accompagnent certaines stars du cinéma. Jean Reno incarnant un médecin juif ou Mélanie Laurent (qui a également joué dans Inglourious Basterds) en infirmière. Le spectateur prend plaisir à voir évoluer Gad Elmaleh dans un registre dramatique, bien loin des comédies comme Chouchou.
Bien que La Rafle ne nous apprenne rien de plus sur l’évènement, son but éducatif est tout de même atteint. Il relate fidèlement l’histoire, grâce à un travail de documentation très bien réalisé. Cependant, il tombe trop facilement dans certains clichés (la boulangère antisémite) et dans le spectaculaire. On retiendra principalement la scène qui surplombe un Vel d’Hiv’ surpeuplé.
Indignation, dégout, honte ; voilà ce que l’on ressent en visionnant La Rafle. Mais vous ne pleurerez peut-être pas, malgré l’omniprésence d’enfants qui rappellent celui de La Vie Est Belle. Etes-vous pour autant un nazi sans compassion ? (en référence aux récents propos de Roselyne Bosch). Non, certaines personnes ne trouveront pas ce film assez émouvant. Et c’est leur droit.
Sorti en DVD.
Il ne se passe rien sur Paris, nous sommes un mardi…
Mais vous n’êtes pas encore au courant ?!
C’est la dernière des « Chérie Chéri » mensuelle où la bonne humeur réapparaît, les complexes disparaissent et les rires éclatent et résonnent aux sons du concert live du groupe Libellule suivit du set très pointu et convivial de Joakim qui vous retiendra toute la nuit.
Même NRJ 12 sera présent pour danser avec vous jusqu’à plus soif…
Dîner à partir de 20h (réservation dès aujourd’hui),
concert à 23h30
et la soirée qui promet une ambiance très sympathique. L’entrée est gratuite comme à ses habitudes. Un mot de passe vous sera donné lors de votre réservation.
RDV Mardi 19 Octobre au Chacha pour faire la fête tout simplement !
Vidéo disponible ici : http://vod.webdiffuse.com/lugamedia/cheriecheri/Clip_let_19_oct_h264.zip
Mais que sont donc les soirées « chérie chéri » ?
En trois mots : Des lieux – une mixité – un état d’esprit
Voilà maintenant plus d’un an que les soirées « Chérie Chéri » sillonnent la capitale à la recherche de clubs qui les inspirent. C’est ainsi qu’une fois par mois, ces soirées itinérantes investissent des lieux inédits aux décors raffinés et travaillés. On y trouve tous les ingrédients susceptibles de rendre votre soirée aussi exquise qu’ inoubliable…
De la chaleur du cadre à l’effervescence qui règne sur le dancefloor, chaque édition s’avère unique.
Du simple verre afterwork en passant par un dîner unique concocté avec soin par le chef jusqu’aux derniers pas de danse pratiqués sur la piste jusqu’à l’aube, toutes les envies sont bonnes pour venir se blottir au cœur de l’action d’un événement inimitable. Le live, propre à la découverte des nouveaux talents du moment, sert de trait d’union entre le dîner et le reste de la nuit festive qui se poursuit jusqu’au petit matin.
Hype, trendy, internationaux clubbeurs du monde entier et parisiens se retrouvent et se confondent dans un moment de convivialité et de fête qui s’impose naturellement.
RP : Marie Garreau
Après un long parcours à travers plusieurs grandes structures événementielles comme Reservoir Prod, les Bains Douche, le restaurant l’Avenue, la Suite (j’en passe et des meilleurs), elle propose ses services de RP qui allient ses relations et ses expériences qu’elle a constitué par un travail très rigoureux.
Spécialisée dans l’organisation événementielle de type cocktails, diner, concert, soirée, et même demandes de mariage, elle travaille avec une équipe de prestataires animation (nouvelles technologie, perfomeurs, show, danseurs…), de technique et logistique (son – lumière) et bien sûr avec vj, photographe, video et artistes.
Ecoute attentive, rigueur et soin du détail, confiance et bonne humeur sont les ingrédients de cette jeune femme plein de talent !
Contact & résa : mariegarreau.events@gmail.com

Du jeudi 7 au dimanche 10 octobre 2010 a eu lieu la deuxième édition du Paris Burlesque Festival, dans la salle mythique de la Bellevilloise, redécorée -ou peu s’en faut- en chapiteau de cirque pour l’occasion. Ce festival est pour le moins atypique. Les spectacles qui y sont présentés sont complètement décalés, déjantés, voire dérangeants, et frôlent parfois le grotesque -au bon sens du terme- sans pour autant tomber dans la complaisance vulgaire ou le graveleux facile.
Ce festival s’éloigne des conventions habituelles des spectacles français ; il bouscule les normes, fait tomber des barrières, rompt avec l’asepsie qui parsème notre société et de laquelle on s’acquitte docilement, assoupis de notre plein gré dans les vapeurs d’éther délétères que distilles nos pudipondes valeurs modernes. Bref : le festival choque, fait frémir de l’intérieur, nous provoque, nous émeut, et ça fait du bien !
Dans un esprit très « 19ème », tout en s’inspirant du burlesque postérieur né dans l’amérique des années folles, le festival eût tout aussi bien pu se nommer « Freak Circus » tant est prégnant l’esprit des monstres de cirque tournés en ridicule pour amuser les foules ; c’est dire l’atmosphère qui baigne ce projet, et qui enveloppe les spectateurs dans une gangue de démence contrôlée.
A festival exceptionnel, article exceptionnel. Aussi, j’ai choisi de vous retranscrire mes impressions en alexandrins, le mode d’expression le plus fidèle que j’ai trouvé à ma disposition, exception faite des photos ci-dessous qui, j’espère, traduiront tant que faire se peut l’atmosphère qui régnait à la Belleviloise en ce fameux vendredi 8 octobre, de 22h à 6h du matin. En alexandrins, disais-je donc ; libre à vous de mettre ensuite mes vers en chanson si le coeur vous en dit et d’entamer une gigue ou une farandole devant votre écran, un plumeau à la main et le feu aux fesses (ou l’inverse), voire de danser la java en bas-résilles sur les toits de Paris : on vous l’a dit, à l’occasion du Paris Burlesque Festival rien n’est ridicule, et tout est possible !
Démonstration :
A l’heure doucereuse où les enfants se couchent,
les chats se lèvent et les chauve-souris accouchent,
– c’est-à-dire à peu près une heure ténébreuse –
j’allai gaiement, le pas leste et la mine heureuse,
en direction de mon destin (toujours tout droit),
dans le sens de l’humour (après le feu à gauche),
quartier Ménilmontant dans un très bel endroit ;
vingt-et-un, rue Boyer : une adresse qui accroche !
La Belle-villoise, qui porte bien son nom,
ravira ma soirée, sous ses jolis jupons.
Que n’imaginais-je, à cette « Nuit Interlope »,
côtoyer des seins nus et trompes de Falloppe.
Hé ! La surprise, en effet, ne fut pas des moindres,
quand je découvris céans ce qu’il en était,
de cette soirée ou les hommes se font gais,
où les femmes se font rares ou bien se font oindre.
Bref, un show pigalesque très carnavalesque,
où le cabaret traîne dans le caniveau
et où le monstre maquillé nous semble beau,
sacré, dans la plus grande tradition burlesque.
– Cliquer à deux reprises sur l’image pour l’agrandir –
Pour plus de photos, visitez mon blog perso : madafoto !
Comédie musicale romantique américaine réalisée par Baz Luhrmann,
avec Nicole Kidman, Ewan McGregor, John Leguizamo…
L’histoire d’un jeune et prude poète anglais du 19iem siècle propulsé à Paris, au cœur de la débauche, des froufrous, et des danses excentriques : le Moulin Rouge.
Réalisé en 2001 par Baz Luhrmann (également réalisateur d’Australia et de Romeo + Juliette), ce film un peu fou qui obtint 2 Oscar et 3 Golden globe revient dans une belle édition blu-ray. Plans qui se succèdent à une vitesse phénoménale, intrigue qui met l’Amour au centre de la scène, reprises de chansons contemporaines… Le film plonge le spectateur dans un tourbillon de couleurs, de musique et de chants. On apprécie ou non, mais le travail artistique est indéniable.
Pour les fans, 3h30 de bonus inédits supervisés par le réalisateur sont proposés ici en haute définition.
Bonus : DVD du même film ; Commentaires audio de Baz Luhrmann, Catherine Martin, Donald M. McAlpine, Craig Pearce; Un mot de Baz Luhrmann ; Une aventure créative ; La maison de Iona ; Making of ; Archives inédites ; Les stars ; La conception ; La chorégraphie ; La musique ; La salle de montage ; Documents Internet « Toulouse Tonight » ; Marketing.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x869vy_moulin-rouge[/dailymotion]

Comédie française réaliséz par Julien Rambaldi
avec Marc Lavoine, Pierre-François Martin-Laval, Léa Drucker…
A priori c’était une bonne idée : aller en week-end chez ses meilleurs amis, qui ont une immense maison et en qui on a une confiance absolue… Une bonne idée, à priori.
Pendant le voyage pour aller les voir, le téléphone de Mathilde et Jean-Claude sonne : ce sont leurs « meilleurs » amis qui les appellent sans s’en rendre compte, et ce qu’ils disent sur eux risque de transformer ce week-end idyllique en une session de règlement de compte mémorable… !
Bien écrit et au rythme soutenu, cette comédie française pointe du doigt les relations hypocrites qui sont malheureusement devenues monnaies courantes entre amis. Se dit-on vraiment tout ? Pourquoi voulons-nous apparaître différemment de ce que nous sommes ? Ce sont le genre de réflexions abordées avec humour dans ce film bien sympathique, inspiré sans doute de l’adage de Blaise Pascal : « Si tous les hommes savaient ce que disent les uns les autres, il n’y aurait pas quatre amis dans le monde »… Drôle et touchant.
Disponible en dvd & blu-ray.
Bonus : Making of ; Bêtisier ; Projets d’affiches ; Teasers et bandes-annonces officiels et inédits.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xdat4b_les-meilleurs-amis-du-monde-bande-a_shortfilms[/dailymotion]
On en sait désormais un peu plus sur le scénario du prochain film de la saga Twilight, Twilight Chapitre 4 : Révélation 1ere partie. Deux acteurs de la série ont commencé à « dévoiler » certains éléments de l’histoire de la quatrième adaptation. Mais ils en disent trop, ou pas assez…
« Je viens juste de lire les scénarios de Breaking Dawn. Je dois dire…. ENORME ! Très excité ». C’est ce qu’on pouvait lire sur le Twitter de Peter Fascinelli, l’acteur qui incarne Carlisle Cullen dans la saga Twilight. Forcément, cela doit donner l’eau à la bouche à tous les fans de la série. Malheureusement pour eux, ils devront attendre le 16 novembre 2011, date de la sortie du film, pour en savoir plus.
Mais une autre actrice s’est exprimée à ce sujet : Nikki Reed, qui joue le rôle de Rosalie Hale. Devant les caméras de MTV, elle a indiqué que les acteurs venaient de recevoir le scénario, et que celui-ci ne s’éloignera pas du roman original de Stephenie Meyer. « Ils ont vraiment réussi à capturer l’essence même du livre et de l’histoire. Ils y sont très fidèles. Et je crois que les studios – tout comme les acteurs et la scénariste – ont tous réalisé que c’est ce qui en faisait le succès de la saga. Le support original est, bien évidemment, à la source de ce succès. Nous serions donc quelque peu stupides de nous en éloigner…Je dois dire que dans Breaking Dawn, Jacob et Rosalie sont très… ils ont des échanges vraiment uniques. C’est assez amusant ». Les fans assidus de Twilight doivent certainement voir de quoi elle parle. Pour les autres, réponse en 2011.
Le tournage du quatrième volet devrait commencer dans les prochaines semaines. En attendant, vous avez largement le temps de relire toute la saga et de revoir tous les films !
Comédie américaine réalisée par Shawn Levy,
avec Steve Carell, Tina Fey, Mark Wahlberg…
Phil et Claire vivent ensemble depuis plusieurs années… La passion a cédé la place à la raison et la monotonie s’installe peu à peu. Lorsqu’un couple d’amis leur annonce leur divorce, c’est le déclic : il faut absolument sortir de la routine ! Phil improvise donc un dîner en ville dans un restaurant luxueux, mais sans réservation. Devant la placeuse, ils se font passer pour un autre couple afin d’obtenir une table. Erreur fatale : deux gangsters qui les confondent les menaceront de mort s’ils n’obtiennent pas une certaine clé USB… C’est parti pour une nuit de folie en plein New York !
Divertissement rafraîchissant, Crazy night met en scène un couple déjà marié, ce qui est assez rare dans l’univers cinématographique de la comédie US, et source de situations burlesques plutôt inédites. Quelques seconds rôles sont également rehaussés grâce aux présences brillantes de Mark Wahlberg, Ray Liotta, Mark Ruffalo, et même de notre chouchou James Franco. Le film n’atteint pas des sommets d’humour (hormis quand même une ou deux scènes hilarantes) mais se laisse déguster le sourire aux lèvres, et c’est déjà pas mal !
Disponible en dvd & blu-ray
Bonus blu-ray : Documentaire sur le tournage ; Bêtisier ; Scènes coupées ; Scènes allongées
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xcchk1_crazy-night-bande-annonce-trailer-h_shortfilms[/dailymotion]
De John McTiernan, Renny Harlin & Len Wiseman
avec Bruce Willis, Alan Rickman, Jeremy Irons, Samuel L. Jackson, Justin Long…
Vous l’attendiez, le voici !
L’inspecteur John McLane est à l’honneur dans le coffret qui vous fera plaisir…
Est-il besoin de rappeler qui est l’un des personnages d’action les plus admirés de tous les temps ?
Il est ‘de retour’ dans cette édition qui ravira les fans et les autres… Qui n’a jamais vu un film de cette fabuleuse quadrilogie ? Que ce soit pour sauver un immeuble, des avions, New York ou simplement les Etats-Unis, le flic le plus désinvolte et alcoolique de tous les temps, qui prend un malin plaisir à recevoir les coups le sourire aux lèvres, celui qui a la vanne facile et le don pour énerver au plus haut point ses ennemis, nous revient aussi en haute définition. C’est du lourd.
Les bonus ont été bien travaillés, comme l’interview « vérité » sur Die Hard 4. Bref un coffret pas trop cher (19,99 euros les 4 dvd), à (s’)offrir maintenant ou attendre les fêtes de fin d’années. Mais ça risque d’être long…
En résumé, une bonne partie de plaisir et peut être aussi une préparation à la rumeur qui grandit : un prochain Die Hard 5… !
Concernant l’édition blu-ray (à 39,99 euros), les images et le son sont impeccables, les bonus ont été spécialement réfléchis avec par exemple une analyse des effets spéciaux de Die Hard 2 & 3, un bêtisier ou même une fin alternative d’Une journée en enfer ! Petit bémol malgré tout : on regrette la disparition des commentaires audio Bruce Willis et Len Wiseman sur Die Hard 4, présents dans la version dvd.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x1yff3_die-hard-4-retour-en-enfer-ba[/dailymotion]
Bonus coffret 4 dvd
Piège de cristal
• Commentaires audio du réalisateur John McTiernan et du décorateur Jackson DeGovia • Commentaires audio du producteur des effets spéciaux Richard Edlund (sur certaines scènes) • Commentaires des membres de l’équipe du tournage • Lecture avec scène additionnelle
58 minutes pour vivre
• Commentaires audio du réalisateur Renny Harlin
Une journée en enfer
• Commentaires audio avec intervention du réalisateur John McTiernan, du scénariste Jonathan Hensleigh et de Tom Sherak
Die hard 4 – retour en enfer
• Commentaire audio Bruce Willis et Len Wiseman • Scènes inédites et intégrales • Bêtisier • Die Hard par Guyz Nite • Dans les coulisses avec Guyz Nite
Bonus coffret 4 blu-ray
Piège de cristal
• Commentaires audio du réalisateur et de l’équipe technique • Bulletin d’informations • Diapos interactives • Bandes-annonces
58 minutes pour vivre
• Commentaires audio du réalisateur • Scènes coupées • Interview du réalisateur Renny Harlin • Portrait du terroriste • Documentaire sur le tournage • Reportages • Analyse des effets spéciaux • Comparaison plan par plan • Bandes-annonces
Une journée en enfer
• Commentaires audio du réalisateur, du scénariste et de responsables de la Fox • Making-of (60’) • Making-of des effets spéciaux • Fin alternative (6’) • Entretien avec Bruce Willis • Rencontre avec les « Bad Guys » du film • Story-boards • Bande-annonces cinéma • Bêtisier «d’Une journée en Enfer »
Die hard 4 – retour en enfer
• Making-of • Tout savoir sur Die Hard • Reportage de la chaîne Fox Movie • Die Hard par Guyz Nite • Dans les coulisses avec Guyz Nite • Bande-annonce

© PIEGE DE CRISTAL: © 1988 TWENTIETH CENTURY FOX FILM CORPORATION. ALL RIGHTS RESERVED. 58 MINUTES POUR VIVRE: © 1990 TWENTIETH CENTURY FOX FILM CORPORATION. ALL RIGHTS RESERVED. UNE JOURNEE EN ENFER: © BUENE VISTA PICTURES DISTRIBUTION, INC © 1995 CINERGI PRODUCTION N.V INC. TWENTIETH CENTURY FOX FILM CORPORATION. ALL RIGHTS RESERVED. DIE HARD 4: RETOUR EN ENFER: © 2007 TWENTIETH CENTURY FOX FILM CORPORATION AND DUNE ENTERTAINMENT LLC. ALL RIGHTS RESERVE
En bon Italien Davide chante l’amouuuuur ou plutôt des amours impossibles, surprenantes et parfois scandaleuses comme une façon de mettre en perspective notre époque un peu folle.
L’amour c’est aussi celui d’un pays, d’une époque , d’une situation : un sentiment universel et multi forme. Aucune tristesse, aucune acrimonie aucune nostalgie chez ce Napolitain .
Il a juste envie de renouer avec les année 70 et tout ce qu’elles véhiculent encore d’insouciance de douceur et de douce indolence ..
C’est décidé il vivra de sa musique …
La liste d es artiste qui lui ont fiat confiance est trop longue pour la passer en revue mais on la résumera à quelques noms : Murray Head , Elodie Frégé,Sylvie Vartan, Tian aréna, Emmanuel Moire et surtout un chiffre : les chansons qu’il a signées sont reproduites sur 7 millions de CD vendus en France et à travers le monde.
So album comprends 12 tires dont 2 duos . l’un avec Julien Doré « Via da te » et le second avec une femme , icône éternelle de la beauté et de la féminité : Claudia Cardinale sur « Dolce Vita »
Le premier extrait de cet l’abum est « Ti amo » mais ce n’est pas une reprise de Umberto Tozzi, juste une déclaration qu’il n’est pas nécessaire d’être iltalien pour comprendre .
A découvrir sur :
www.myspace.com/davideesposito et
www.facebook.com/davideesositioofficiel
Pour rêver, pour assurer une soirée exotico-romantique, rendez-vous en Inde !
Bharati ! Ce spectacle bollywoodien enchantera tous ceux qui croient encore à l’amour et à ses tribulations surréalistes !
De nouveaux décors, de nouveaux costumes, de nouvelles chorégraphies et de nouvelles chansons : à ne pas manquer sous aucun prétexte pour bien commencer l’hiver ! Une vraie histoire, de très belles chorégraphies portées par des danseurs du plus haut niveau.
On retrouve dans ce spectacle le déroulement d’une histoire d’amour classique en Inde : ils s’aiment, mais découvrent vite que leur famille a arrangé un mariage. Tout devient impossible : alors qu’ils sont tristes et se déchirent, une heureuse intervention du hasard débouchera sur un happy end.
Voir le site officiel du spectacle.
A partir du 2 novembre au Palais des congrès et en tournée dans toute la France.
Locations sur : Fnac, Carrefour, Géant, VIParis ou 0892 050 050, et avosbillets.com.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=85ejr3eq3og[/youtube]
Le lundi 4 octobre a eu lieu une soirée de soutien au Cirque Tzigane Romanès menacé alors qu’il représentait, il y a peu , la France à l’exposition universelle de Shanghaï !
LES TZIGANES TOMBENT DU CIEL !
Du cirque tzigane pour les petits et les grands, magique, triste, gai, surréaliste et bien vivant, qui nous laisse les yeux plein d’étoiles et le cœur rêveur….
La famille Romanès vous attend nombreux au Chapiteau Romanés – Paris 17e. Le spectacle – programmé à partir du 6 novembre 2010 – pourra exister en France si vous le soutenez !
Par ailleurs, vous pouvez apporter votre soutien en signant la pétition en ligne : www.petitions24.net/cirqueromanes
Informations pratiques :
Participation libre : selon la générosité de chacun.
Chapiteau Cirque Romanès, au niveau de 42-44 Boulevard de Reims, Paris 17ème (à l’angle de la rue de Courcelles). Métro : Porte de Champerret
Tel : 01 40 09 24 20 / 06 88 09 22 67 / 06 99 19 49 59
Site Internet : www.cirqueromanes.com
Myspace : www.myspace.com/cirqueromanes
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Jx2gyt50gUg[/youtube]
La romancière à succès Stephenie Meyer prévoit de sortir un nouvel ouvrage consacré à Twilight au cours de l’année prochaine. Que les fans attendent avant de tourner de l’oeil : il ne s’agira pas d’un nouveau roman, mais d’un guide illustré portant sur l’univers de la série et les personnages qui le peuplent.
Selon l’éditeur, le livre devrait toutefois comprendre un certain nombre de contenus inédits qui raviront les amateurs du best-seller vampirique : « des éléments sur le profil des personnages, une conversation avec Stephenie Meyer, des informations quant à la généalogie des personnages, des cartes » et autres « références passionnantes ».
L’ouvrage devrait sortir le 12 avril prochain, et se vendra sans doute par camions entiers à toutes les adolescentes prises de poussées hormonales chaque fois qu’elles entre-aperçoivent Robert Pattinson.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=pXxEhOY7Qho[/youtube]
Une fan de Twilight typique exprime son contentement.
Les nuits d\’une demoiselleColette Renard est décédée hier (mercredi 6 octobre), à l’âge de 86 ans. Chanteuse, comédienne, actrice, elle incarnait le personnage de Rachel dans la série marseillaise à succès « Plus Belle La Vie« .
Frédéric Mitterrand, l’actuel ministre de la culture, lui a rendu hier un hommage en la saluant comme « l’une des interprètes les plus originales, les plus audacieuses, parfois les plus impertinentes» de la chanson française. Elle avait enregistré plus de 52 albums et de très nombreux 45 tours, versée dans la chanson française, dite « à texte », puis dans la chanson grivoise.
En tant que comédienne, on se souvient d’elle notamment pour son rôle d’«Irma la Douce» sur scène, qu’elle interprétait divinement.
Dans la série télévisée, elle interprétait Rachel, une grand-mère juive ayant survécu aux camps de concentration. Elle resta dans « Plus belle la vie » de 2004 à 2009, après quoi elle quitta la série, car elle considérait son personnage redondant, qu’elle « connaissait par cœur ».
Colette Renard avait été décoré comme Chevalier de la légion d’Honneur, Officier des Arts et des Lettres, et récompensée par le Grand Prix de l’Académie Charles Cros.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x7hyzp_plus-belle-la-vie-colette-renard-et_news[/dailymotion]
– Voir les dernières actus de la série « Plus Belle La Vie » en ligne et en direct ! –
Depuis le dérapage homophobe de l’un de ses membre, Sexion d’Assaut fait face à un torrent de protestations diverses et, plus gênant, à l’annulation de nombreux concerts par des municipalités frileuses.
Après avoir présenté des excuses maladroites et rencontré les fondateurs de l’association gay « Ensemble pour l’égalité », le groupe de rap a décidé de passer aux choses sérieuses pour tenter de redorer son blason.
Ainsi le groupe qui, il y a un peu plus d’une semaine, considérait que l’homosexualité était une « déviance qui n’est pas tolérable », se pose aujourd’hui en croisé de l’antihomophobie. Au programme, la promesse de ne plus interpréter de titres homophobes sur scène, des places de concert offertes aux associations LGTB (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres), ou encore la distribution de tracts « prônant des valeurs citoyennes de lutte contre l’homophobie et les discriminations en général ». Cerise sur le gâteau, Sexion d’Assaut s’engage à « travailler sur un titre spécifique, ou un événement artistique, clarifiant cette position, pour les mois qui viennent ».
Ce brusque revirement traduit bien entendu l’expression d’un regret sincère, et ne constitue en aucun cas une opération de cynisme communicationnel.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=UVTVpGv9wNk[/youtube]
Sexion d’Assaut tente de se justifier.
Comédie d’action française de Djamel Bensalah,
avec Hélène de Fougerolles, Roschdy Zem, Atmen Kelif, Loránt Deutsch, Julien Courbey, Josiane Balasko, Maurice Barthélémy, Gérard Jugnot, Pascal Elbe, Omar Sy…
Quatre petites frappes de Seine saint Denis se voient confier une mission par leur « parrain ». Ce qui s’annonçait comme une simple affaire se révèle épique : nos malfrats devront faire équipe avec une riche héritière dans le fameux Raid, où plusieurs équipes de professionnels surentrainés s’affrontent dans un parcours en pleine nature. Quiproquos, situations incroyables, action et humour sont au rendez-vous dans cette comédie qui n’a pas trop vieillie.
La toute fraîche édition blu-ray est assez bien soignée, avec une belle image et un son optimisé afin de rendre les scènes d’action encore plus crédibles. Les fabuleux paysages traversés par le Raid y sont également à l’honneur.
Concernant le film, pour ceux qui ne l’auraient pas vu, c’est effectivement une très bonne surprise avec un casting détonnant (relire plus haut). Le jeune réalisateur Djamel Bensalah s’en est plutôt bien sorti dans un genre encore trop rare dans le cinéma français : la comédie d’action. A déguster entre amis.
Disponible en blu-ray.
Bonus : Commentaire audio de Djamel Bensalah – Commentaire audio de Julien Courbey,Lorànt Deutsch, Atmen Kelif et Roschdy Zem – Sur la route du raid – L’aventure du raid – Parole de raiders – Commentaires par les acteurs de leur scène préférée – Documentaire sur les effets spéciaux – Scènes coupées commentées par Djamel Bensalah et Farid Kermici – Extraits du storyboard commentés par Djamel Bensalah – Extraits du storyboard commentés par Bruno de Dieuleveult et Farid – Film Annonce.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x8ra2z_le-raid-bande-annonce-fr_shortfilms[/dailymotion]

Le tango , beaucoup plus qu’une simple musique…
Pendant six semaines, Paris et plusieurs villes en Ile-de-France vivent au rythme du Tango avec environ 70 événements dans une vingtaine de salles : concerts, bals, cours de danse et de chant, cycles audiovisuels, expositions,débats et lecture, ateliers d’écriture Tango, soirées cabaret, ballades et préparation de «voyages tangueros» en Argentine et en Uruguay …
Par sa durée et par son concept, «Paris-Banlieues-Tango» est un festival unique en son genre, en France et en Europe. En effet, PBT n’est pas seulement un projet strictement «musical», il est également attentif aux phénomènes historiques et culturels liés à cette musique et aux liens privilégiés qui existent entre la France — en particulier Paris — et le Tango, illustrés cette année encore par le partenariat avec Le Tambour Royal, lieu magique, témoignage de l’ancien Belleville qui n’a cessé à l’instar du tango d’évoluer entre tradition et modernité et qui regorgeait jusque dans les années 1930 de salles de concerts et de bals tango.Un festival pluriculturel, international, ouvert à tous les publics.
Du 7 octobre au 27 novembre 2010
Pour plus d’informations : www.festival-paris-banlieues-tango.fr
Les séries américaines font les beaux jours des chaines françaises, ce n’est pas un scoop. Les trois chaines principales que sont Canal+, M6 et TF1 multiplient les découvertes, qui sont bien souvent des énormes succès. Planète Campus vous propose un gros plan sur ces séries qui marchent, et vous pourrez retrouver toutes les semaines des chroniques sur quelques-unes d’entre-elles.
Comment ne pas parler de l’une des séries (si ce n’est LA série) qui cartonnent le plus en France, à savoir Dr House. Le célèbre docteur ultra sarcastique (pour notre plus grand bonheur) enchaine les saisons et les succès : entre sept et neuf millions de téléspectateurs sont devant TF1 à chaque épisode de House. Et on attend impatiemment la sixième saison, qui devrait arriver au printemps 2011. Eh oui, malheureusement, la France est très en retard, surtout que la saison 7 est diffusée par la FOX depuis le 20 septembre.
Autre mastodonte de l’audimat, c’est la série policière NCIS : enquêtes spéciales qui fait le bonheur de M6 tous les vendredis à 20h40. Pour les retardataires : dépêchez-vous car la diffusion de la septième saison a déjà commencé depuis début fin-aout ! Tous les agents sont au rendez-vous dans cette nouvelle saison pour vous faire vivre des enquêtes toujours plus compliquées et dangereuses. La saison 8 est attendue en France pour la fin de l’été 2011, toujours sur M6.
TF1 a également décroché le jackpot avec Mentalist, la révélation de l’année dernière et la série du moment. Vous ferez la connaissance d’un mentaliste (personne qui maitrise l’art de vous manipuler) plutôt beau gosse, qui met ses compétences au service de la police. La saison 2 est diffusée en France depuis septembre 2010, alors foncez découvrir cette série qui mêle humour et enquêtes ! Rendez-vous tous les mercredis à 20h40 sur TF1.
Ce sont les femmes au foyer américaines les plus connues dans le monde, je parle bien sûr des Desperate Housewives. La série américaine n’en finit plus de vous peindre les relations compliquées entre voisin(e)s dans le quartier de Wisteria Lane. Si vous avez raté la diffusion de la saison 6 sur Canal+ au printemps dernier, vous pourrez vous rattraper grâce à M6. La chaine (re)diffuse cette sixième saison depuis le 14 septembre 2010 tous les mardis à 20h40.
Impossible de ne pas avoir entendu parler de Bones, la série anthropologue basée sur l’étude des os humains pour résoudre des enquêtes. C’est une série plutôt agréable à regarder. M6 diffuse actuellement la cinquième saison de l’experte anthropologue Temperance Brennan, surnommée « Bones » (ce qui signifie « ossements »). Découvrez-la tous les jeudis à partir de 20h40 sur M6.
Il s’appelle Jack Bauer, c’est un agent fédéral américain, et il lutte contre le terrorisme en 24 heures chrono. Cette série est très célèbre grâce à son format : chaque épisode correspond à une heure en temps réel, et comme il y a 24 épisodes dans chaque saison, ils forment au final une journée de 24 heures. La saison 8 est actuellement diffusée tous les jeudis sur Canal+ à 20h40.
Drame français de Pascal Elbé,
avec Roschdy Zem, Pascal Elbé, Ronit Elkabetz…
Premier film choc de Pascal Elbe, Tête de turc raconte la vie d’un jeune homme de banlieue -victime de ses fréquentations- qui est accueilli en héros alors qu’il est également coupable. C’est aussi l’histoire d’un médecin qui lutte pour la justice sociale, et de son frère flic qui tente désespérément de laver son passé. Les destins se croiseront pour le meilleur et pour le pire.
Caméra nerveuse, film à fleur de peau, les grands acteurs réunis autour de ce projet portent un message de tolérance ancré dans la réalité sociale. Malgré une baisse de rythme au milieu du film, on en ressort concerné. Le passage en blu-ray a été bien travaillé, tant au niveau des couleurs que du son… Dommage qu’aucun bonus ne soit proposé.
Disponible en dvd & blu-ray.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xc9w1g_tete-de-turc-bande-annonce_shortfilms[/dailymotion]

Fans de la série Twilight, vous avez peut-être vu le sondage lancé par Stephenie Meyer, l’auteur de la saga, qui demandait aux internautes de voter pour définir le nom des deux derniers films.
Comme pour Harry Potter, le dernier tome de la série dont le titre original est Breaking Dawn (aube naissante), sera adapté au cinéma en deux parties. Les fans étaient appelés à voter pour leur deux titres préférés pour les deux dernières adaptations. Il y avait, au choix, Obsession, Décision, Révélation, Passion, et Union.
Et les grands gagnants sont…. Twilight Chapitre 4 : Révélation 1ère partie et Twilight Chapitre 5 : Révélation 2ème partie. On aurait pu faire plus original, tout de même. Mais au moins, les lecteurs sauront comment appeler deux films tirés du quatrième volume de Stephenie Meyer. Ils suivront les trois précédents épisodes : Twilight Chapitre 1 : Fascination, Chapitre 2 : Tentation et Chapitre 3 : Hésitation.
Le quatrième film sortira le 16 novembre 2011 (le tournage devrait commencer prochainement), tandis que le cinquième sortira le 14 novembre 2012. On devrait voir apparaître les premières images de la partie 1 au début de l’année 2011.
A noter que le DVD de Twilight Chapitre 3 : Hésitation est prévu pour le 3 décembre 2010, ça vous donne déjà une idée de cadeau à mettre sous le sapin.
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C’est la question que nous pouvons nous poser, car l’auteur de la célèbre saga a laissé entendre qu’elle pourrait écrire de nouvelles aventures de son célèbre sorcier.
Cela doit être difficile pour un écrivain de se séparer de ses personnages quand on passé 17 ans à écrire leurs aventures. C’est – peut-être – le cas de J. K. Rowling, la célébrissime auteur de l’apprenti sorcier.
Invitée hier soir sur ABC sur le plateau d’Oprah Winfrey, elle a déclaré qu’elle pourrait se remettre à l’écriture d’Harry Potter : « Il ne faut jamais dire jamais ! Je pourrais très bien écrire un huitième, un neuvième ou un dixième volume » de quoi ravir les 400 millions de lecteurs de la saga. « J’ai cependant le sentiment que cette aventure est terminée, mais on ne sait jamais ! » a-t-elle nuancé.
Joanne Rowling a commencé la rédaction de la saga en 1990 et l’a achevée en 2007. Elle a d’ailleurs confié que l’écriture du dernier volume, Les Reliques de la Mort, avait été très éprouvante : « La fin, ça a été terrible. Comme un déchirement. Même si je savais que ça allait arriver – nous savons tous que les gens que nous aimons sont mortels – vous ne pouvez pas vous préparer pour ça. J’ai été dans un état de choc. »
Et ce n’est certainement pas l’argent qui pourrait la pousser à renouer avec l’écriture d’Harry, Rowling est déjà multimillionnaire (voire même milliardaire !) grâce à l’énorme succès de tous les volumes de la série, les produits dérivés et les films. D’ailleurs, la première partie du septième film, Les Reliques de la Mort, sortira sur les écrans le 24 novembre. La seconde partie est attendue pour le 13 juillet 2011.
Tous à vos baguettes !
En ce moment a lieu la 15ieme édtion du Festival du cinéma allemand à Paris.
A L’Arlequin se sont donnés rendez-vous avant-premières, courts métrages et nuit du cinéma allemand, du 29 Septembre au 05 Octobre.
Dimanche 3 Octobre a eu lieu la projection du très beau film Berlin, 1936 qui raconte l’histoire méconnue de Gretel Bergmann. Cette jeune athlète juive a été rapatriée par les nazis afin qu’elle… représente l’Allemagne aux Jeux Olympiques de Berlin ! Les Etats-Unis menaçaient en effet de boycotter les J.O. si aucun athlète de confession juive ne figurait dans l’équipe allemande…
Berlin 1936 n’est pas encore vendu à la distribution en France, espérons que cette projection y ait changé quelque chose… (Et oui, ça sert aussi à cela les festivals de films!)
En cloture, Sous toi la ville (présenté au festival de Cannes 2010 dans la catégorie Un certain regard, ainsi qu’au festival du film de Munich 2010), qui propose la vision d’une société affairiste rattrapée par ses propres agissements…
Programmation complète : http://www.festivalcineallemand.com/editions/spip.php?rubrique2
Au cinéma l’Arlequin
76 rue de Rennes – 75005
Metro : Sant Sulpice
Prix des places : 6 euros
Groupe, scolaire : 5 euros
Plus d’infos : http://www.festivalcineallemand.com

Canal+ lance ce soir à 20h50 sa nouvelle série française sur les maisons closes. Réaliste et parfois dérangeante, elle peint avec brio le quotidien des prostituées forcées de se vendre aux clients.
Bienvenue au Paradis, un bordel haut de gamme à Paris. Nous sommes au XIXe siècle. La première scène montre une femme brune s’accrochant aux barreaux de son lit pendant qu’un homme la chevauche. Le réalisateur, Mabrouk El Mechri, explique que « commencer la série par une scène de sexe, c’est provocant. Mais cela montre avant tout en quoi consistait ce métier où tout était tarifé. »
Cette série de huit épisodes de cinquante minutes chacun, interdite au moins de 12 ans, vous présentera les destins de six pensionnaires du Paradis qui ne rêvent que d’en sortir. De nombreux sujets y sont abordés : l’hygiène, la police, les violences sur les prostituées, et l’argent qui relie toutes les filles (elles doivent payer leur dette à la gérante de l’établissement en vendant leur corps).
Fermées en 1946 par Marthe Richard, la réouverture des maisons de joie fait toujours débat 60 ans plus tard. Et ce débat pourrait être relancé suite au lancement de Maison Close. D’ailleurs, Chantal Brunel (députée UMP), proposait au printemps dernier de rouvrir les lupanars. Les français semblent être pours, mais ce n’est pas du tout le cas des associations. « Le vrai sujet, ce sont des femmes qui tentent d’exister dans un monde régi par les hommes » a déclaré Mabrouk El Mechri.
Les maisons closes suscitent donc toujours autant les fantasmes et les désirs.
Drame américain réalisé par Tom Ford,
avec Colin Firth, Julianne Moore, Nicholas Hoult…
George, prof à l’université Britannique, tente de surmonter la douloureuse épreuve de la perte d’un être aimé. Après 19 ans de vie commune, son compagnon est mort tragiquement dans un accident de voiture. George se lève ce matin avec une seule idée en tête : en finir… Mais sa meilleure amie et un jeune étudiant tenteront de changer sa vision décolorée de la vie. Ils ne le savent pas, mais ils ont jusqu’au soir pour réussir.
Nous vivons cette journée avec George, en passant par ses doutes, ses joies et ses peurs.
Premier film du très prometteur Tom Ford (couturier de métier) et adapté du livre Un Homme au singulier de Christopher Isherwood, Single man touche à plusieurs sujets hypersensibles (la mort, l’homosexualité, la différence, le deuil…), mais traités avec beaucoup de pudeur, de finesse et de justesse.
Le film a été très travaillé tant au niveau des couleurs, du jeu d’acteur (étonnant Colin Firth enfin dans un vrai grand rôle), de la musique, du montage et, évidemment, des costumes… Et ça se voit. Pas étonnant : si le tournage n’a duré que 21 jours, le montage, lui, a pris près de 6 mois.
Explosion de couleurs et de sentiments, Single man se vit comme une véritable expérience cinématographique.
Coupe Volpi de l’interprétation masculine a la Mostra de Venise en 2009
« Queer Lion », remis par un jury parallèle au meilleur film traitant de l’homosexualité.
Nomination à l’Oscar du meilleur acteur pour Colin Firth
Bonus blu-ray : Interview de Tom Ford, Colin Firth et Julianne Moore, « A Single Man : la rencontre », Bande-annonce.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xbphqz_a-single-man-bande-annonce-trailer_shortfilms[/dailymotion]

Rassurez-vous quand même, il n’a pas tout ravagé (quoique…). Qu’est-ce-à dire, vous exclamez-vous en paraphrasant Nougaro, les loups sont de nouveau entrés dans Paris ? Des loups, non. Mais un loup, oui. Et quel loup !
Il répond au doux nom de Paco el lobo (« Paco le loup », pour les non-hispanophones), il est armé d’une guitare flamenca, de talons sonores et d’une voix tonitruante. A lui seul, c’est un orchestre. A lui seul, il vous prend les tripes. A lui seul, il vous émeut.
Il s’est produit hier soir (jeudi 30 septembre) au Studio de l’ermitage, dans un set enflammé de plus de deux heures mémorables. Campus Mag’ y était pour vous (sous la forme de ma modeste personne), et vous retransmet ses émotions à chaud. Le Flamenco, tout d’abord, n’est pas à la portée de n’importe qui. C’est un style qui demande une incroyable souplesse dans les doigts ; c’est un style qui nécessite une voix profonde et un cœur tout aussi profond ; c’est un style qui nécessite una alma gitana ; et c’est un style qui nécessite d’avoir du style, tout simplement.
Bref, ça ne s’invente pas, c’est touchant, c’est troublant, et c’est pour ça qu’on aime.
Paco a réussi à remuer mes racines andalouses, et nous a transmis son énergie en prenant appui sur les mélodies des grands classiques du répertoire flamenco, comme de compositions plus personnelles. Il se définit lui-même comme le dépositaire des cultures nomades, des Roms (écouter le titre Pobre Mariana) aux Améridiens (Chief Red Cloud). Pour la chanson Carcel, il transpose des récits de prisonniers qu’il a recueillis dans des centres de détention. Entre les nomades, pionniers de la liberté, et les détenus, privés de leur liberté de mouvement, il s’érige comme un apôtre en perpétuel mouvement. Son chant s’est tu hier soir, mais sa voix résonne encore à mes oreilles comme un dernier chant de cygne, un chant d’espoir.
Ses sites :
http://www.pacoellobo.com/index.html
http://www.myspace.com/pacoellobo
A écouter :
Son dernier album : Mi Camino Flamenco
Ecouter Maestro Chano
Ecouter Lyli – Jaleo
Ecouter Pobre Mariana
Acheter l’album
Plus d’infos sur le studio de l’ermitage :
8, rue de l’Ermitage, Paris XX
Métro : Jourdain/Ménilmontant – Bus : 26 et 96
Tel : 01 44 62 02 86 – Fax : 01 44 62 09 85 – email : studioermitage@free.fr
site web : http://www.studio-ermitage.com
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xdjwvb_paco-el-lobo_music[/dailymotion]
Les photos du concert :
Des producteurs toujours au top de l’air du temps, un metteur en scène de cinéma multi primé pour la Môme avec Marion Cotillard, des décors éblouissant , des costumes jamais vu et bien sûr des chanteurs de très haut niveau: tout est réuni pour une ouvre mêlant musiques originales de Mozart et compositions crées pour le spectacle .
La troupe prépare son grand RETOUR à Paris en s’installant au Palais des Sports, à partir du 9 novembre après une tournée triomphale à travers toute la France, la Suisse et la Belgique (800 000 spectateurs ont déjà vu le spectacle)
La vie de Mozart, comme son œuvre sont du pur rock’nroll :
Dove Atia : « La vie de Mozart est aussi géniale que son œuvre »
Albert Cohen : « Mozart était une rock star avant l’heure »
Nouveau Single: « C’est bientôt la fin »
Nouvelle version du spectacle
Plus d’infos sur www.mozartloperaock.fr
Fabienne Prevot[vimeo]http://vimeo.com/15372745[/vimeo]
Vous pensiez passer tranquillement la nuit du 2 au 3 octobre bien au chaud dans votre plumard, couché sur vos deux oreilles, la bave au coin de la bouche, en marmonnant des borborygmes inintelligibles dans votre sommeil jusqu’au petit matin ? En premier lieu, permettez-moi de vous dire que vous êtes assez bizarre… En second lieu, si idyllique que vous parût ce petit programme, sachez que cette nuit-là se passera tout différemment. En effet, le 2 octobre prochain ce sera la Nuit Blanche 2010 ! Et qui dit Nuit Blanche… dit nuit blanche !
Autant vous dire que la nuit parisienne rayonnera de mille feux, comme elle n’a jamais autant brillé ! Ok, j’en fais peut-être un peu trop, mais ce sera véritablement une occasion à ne pas manquer.
J’en vois certains qui haussent un sourcil d’un air interrogateur. Tout d’abord, je vous félicite, car lever un seul sourcil ce n’est pas facile du tout. J’ai essayé une fois, je suis resté bloqué, et j’ai depuis mon sourcil droit qui vient narguer mon oreille droite. Raison pour laquelle vous ne voyez pas de photo en cliquant sur mon nom (en haut à gauche). Bref.
Je dois ensuite expliquer à mes lecteurs qui ne sont pas tous versés dans l’actualité culturelle parisienne ce qu’est la Nuit Blanche. Car oui, cette manifestation aura essentiellement lieu à la capitale…
Voici donc quelques éclaircissements sous la forme de Questions/Réponses :
_La Nuit Blanche, kézako ?
La Nuit Blanche, qui se tient une fois par an à Paris pendant la nuit du 1er Samedi d’octobre, c’est une myriade de manifestations culturelles qui a lieu dans des musées, galeries, centres culturels, et même dans la rue ! Vous aurez droit cette année à une quarantaine d’expositions de peinture, photos, sculptures, de projections vidéos, d’installations, de performances et autres déambulations burlesques dans toute la ville ! A ces manifestations « officielles », viennent s’ajouter des dizaines d’autres « projets associés » mis en place et proposés par des institutions, associations, artistes indépendants, collectifs, etc.
_La particularité de la Nuit Blanche 2010 ?
C’est la 9° édition des Nuits Blanches, qui ont lieu depuis 2002. Martin Bethenod, figure de l’art contemporain, ancien Commissaire général de la FIAC et à présent directeur du Palazzo Grassi et de la Punta della Dogana à Venise, est le directeur artistique de la Nuit Blanche 2010.
_Combien ça coûte ?
C’est gratuit, bien sûr ! Voilà pourquoi c’est un bon plan à ne rater sous aucun prétexte !
_La Nuit Blanche, c’est vraiment toute la nuit ?
Et oui ! La question méritait d’être posée, mais les organisateurs sont décidément vachement malins et donnent des noms très descriptifs à leurs manifestations. La Nuit Blanche 2010 se déroulera donc de 19h le samedi 2 octobre, jusqu’à 7h le dimanche 3 octobre. Que le Redbull coule à flot !
A noter : la performance de l’EnsAD Station Fantôme à la Station Saint-Martin (ligne de métro 9 entre République et Strasbourg Saint-Denis) se prolongera, elle, les lundi 4 et mardi 5 octobre en soirée.
_Quels sont les zones concernées ?
La Nuit Blanche s’organise cette année sur 3 « territoires » :
– L’Ouest parisien, autour du pôle Alma – Trocadéro et des grandes institutions culturelles.
– Le Centre de Paris, autour des Îles Saint-Louis et de la Cité, des quais et du Marais.
– L’Est parisien, autour du quartier de Belleville.
Dans chaque quartier, les lieux sont suffisamment proches les uns des autres (150 mètres) pour déambuler à pied.
_Comment avoir le programme complet et détaillé ?
Une seule adresse pour consulter en ligne et en interactif toute la programmation, zone par zone : http://www.nuitblanche.paris.fr/.
Vous pouvez aussi accéder au programme complet dans un fichier PDF de 100 pages (forcément moins pratique) en cliquant ici.
_Comment rentrer chez soi en pleine nuit ?
Rien de plus simple, les organisateurs et la RATP ont pensé à ceux qui n’envisagent pas de passer la nuit dehors. Les modifications pour la nuit du 2 au 3 octobre sont les suivantes :
– Pour l’ensemble des lignes de métro : la fermeture est retardée d’une heure.
– Puis de 2h à 5h30 :
+ la ligne 14 est ouverte en totalité
+ la ligne 9 est ouverte de Trocadéro à Oberkampf
+ le réseau de bus Noctilien est renforcé.
Pour plus de détails, reportez-vous à la rubrique « transport » du site nuitblanche.paris.fr.
_En province, vraiment rien ?
Mais si ! Quelques villes ont suivi l’initiative et proposent elles aussi une nuit de folie ! Metz, Brison-Saint-Innocent, Charleville-Mézières, La Motte Servolex sont en autres de la partie. Pour retrouver le programme de la Nuit Blanche en province, c’est ici. La Nuit Blanche s’est aussi implantée dans une vingtaine de pays en Europe et dans le Monde ; le programme est par-là !
_La Nuit Blanche correspond-elle à la Pleine Lune ?
Non, pas du tout. Mais c’est vrai que ça aurait été sympa. Pour votre gouverne, jetez un coup d’œil sur la carte du ciel actuel…
_Un bonus de fin ?
Bien sûr ! Car l’équipe de Planète Campus a l’habitude de vous gâter ! Voilà donc spécialement pour vous une application gratuite pour iPhone qui vous permet d’avoir sous la main toutes les infos et la programmation de cette Nuit Blanche 2010 ! Évidemment, l’avantage du programme sur papier, c’est qu’on n’est pas perdu en cas de panne de batterie !
Ma verve littéraire s’essoufflant quelque peu en fin d’article, je préfère paraphraser le site d’iTunes en guise de conclusion : « Préparez votre itinéraire et laissez vous guider tout au long de la nuit ». Je n’aurais pas mieux dit !

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xe458x_la-nuit-blanche-2010-de-martin-beth_news[/dailymotion]
Film d’épouvante français de Franck Richard,
avec Yolande Moreau, Emilie Dequenne, Benjamin Biolay, Philippe Nahon…
Une jeune fille se retrouve piégée dans une auberge. Son destin : finir en pâture pour la Meute…
Petit film de genre français rehaussé par un beau casting mais qui met quand même un peu trop longtemps à démarrer.
L’occasion de rencontrer Benjamin Biolay, célèbre auteur-compositeur français enchaînant les récompenses, et qui continue avec ce film son expérience cinématographique… Expérience qui lui a déjà valu une nomination aux César.
Comment es-tu arrivé sur le projet ?
J’ai toujours adoré les films d’horreur et j’en ai parlé une fois lors d’une interview. Les producteurs du film, qui avaient bien aimé ma façon de jouer dans Stella, ont entendu cela et m’ont donc contacté. A ma lecture du scénario, Yolande Moreau était déjà dans le projet, donc je pouvais visualiser certaines séquences…
Se retrouver face à des poids lourds du cinéma français, cela a du être impressionnant…
Ca commence à m’arriver souvent et j’essaie de ne pas perdre mes moyens, mais c’est clair que c’est toujours impressionnant. Voir Yolande Moreau c’est déjà géant, mais alors Philippe Nahon, pour ceux qui aiment bien les films de genre, c’est mythique !
Justement n’avais-tu pas d’appréhension avant de tourner pour un film d’épouvante ?
J’avais juste envie de me ‘faire un kiffe’ et de faire un film d’horreur ! (Rires…)
Cela ne s’inscrit pas trop dans un projet à long terme. Dans le film je suis simplement un mec qui est en conflit avec sa mère. Ce n’est pas lui qui est à l’origine de l’horreur… Même s’il admet l’atrocité de la situation, il ne l’aime pas plus que ça. On a beaucoup travaillé avec Yolande sur les regards que se portent la mère et le fils en rébellion.
Il n’y a pas de couleur rouge dans le film (à part le sang), cela a du plonger le tournage dans une ambiance particulière…
Le tournage était tellement difficile qu’en théorie tout le monde aurait du s’entretuer ! (Rires…) Mais cela fut une super ambiance jusqu’au bout. Il y a même eu un cheval qui a failli me tuer avec Yolande, pour après se jeter dans un lac. Il faut quand même saluer le directeur de production qui est parti le sauver avec un quatre-quatre par moins dix…
Ca a été épuisant mais tout le monde a été solidaire. A la fin on a cramé le décor et on a fait une fête sur les ruines !
Cinéma, musique… Ton cœur balance ?
Je ne conçois pas l’un sans l’autre…
L’important c’est d’être zen avant d’aborder un projet et ensuite de le faire à fond !
La meute, aujourd’hui en salles.
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/xeqb3u_la-meute-bande-annonce_shortfilms[/dailymotion]

Dans une galaxie lointaine, très lointaine…. Désormais en 3D ! La société de production Lucasfilm a annoncé que la mythique saga sera convertie en 3 dimensions.
Le premier film transformé sera « La menace fantôme » sorti initialement en 1999. Les fans devront attendre 2012 pour voir la nouvelle version de ce premier épisode.
Quant aux cinq autres volets de La Guerre des Etoiles, il faudra attendre les années suivantes. Comme tous ces films n’ont pas été tournés avec des caméras 3D, le processus de conversion est long. Le porte-parole de Lucasfilm a expliqué que la société « [veut s’assurer] que chacun des films reçoive l’attention dont il a besoin. Nous ne sommes donc pas en mesure de parler des autres épisodes ». Fans des Jedis, clones ou Dark Vador, prenez votre mal en patience. Que la Force soit avec vous!
La conversion en 3D oblige de recréer l’impression de profondeur par ordinateur. Cela nécessite de scanner chaque image, puis de la modifier pour créer deux images. Et c’est en projetant ces deux images sur un écran que le relief est donné.
Plus d’explications sur la conversion en 3D avec ce petit programme diffusé sur Arte en 2008 :
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Série dramatique américaine produite par Sarah Lum et Leonard Torgan
Créée par Rodrigo Garcia
Avec Gabriel Byrne, Diane Wiest, Mchelle Forbes, Mia Wasikowska, Blair Underwood…
De nouveaux patients viennent consulter le Dr. Paul Weston qui a déménagé sur New York afin de laisser derrière lui ses anciens soucis. Mais on ne fuit pas un passé comme ça…
Patients difficiles et vie sentimentale complexe amèneront notre psy préféré à également aller consulter. Ce voyeurisme peut se révéler intéressant : nous comprenons alors que nul n’est parfait et qu’il n’y a pas de honte à demander l’aide d’autrui.
On se régale devant cette série intelligente, où les mots sont roi. L’analyse des différents patients tous différents ne peut que nous faire réfléchir sur notre propre condition. L’attention du thérapeute, sa façon de retourner habilement les questions et sa motivation à soigner font de cette série un incoutournable, qui valu à Gabriel Byrne le Golden Globe 2009 du Meilleur acteur dans une série télé dramatique.
Adaptée d’un concept israélien, la série de HBO s’exporte àprésent en Europe. Actuellement, sa succursale HBO Europe Centrale produit une adaptation en Roumanie. Un épisode pilote français a même été tourné par Diane Kurys, il ne reste plus qu’à le vendre à une chaîne française…
Alors c’est vrai que le coffret est un peu cher (environ 40 euros), mais pour ceux qui s’intéressent à la psychanalyse de près ou de loin, En analyse est une petite pépite. Et bonne nouvelle, la troisième saison arrive très vite !
Disponible en dvd.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=mnOzT9a37UQ&feature=youtube_gdata[/youtube]
