BTS Contrôle industriel et régulation automatique

Le BTS Contrôle Industriel et Régulation Automatique forme des spécialistes  qui évoluent dans les industries du pétrole, du nucléaire, du traitement des eaux, de l’électronique, de l’automobile, de la sidérurgie et de l’agroalimentaire. Détails.

BTS Contrôle industriel et régulation automatique  : Pour quel bac?

Le BTS Contrôle industriel et régulation automatique  recrute des bacheliers des options suivantes : Bac STI2D : 44% ; Bac STL : 38% ; Bac S : 9% ; Bac pro : 9%. L’admission s’opère après étude du dossier de candidature et entretien.

BTS Contrôle industriel et régulation automatique : Quelle formation?

Les horaires hebdomadaires de formation sont de 32h en première année et de 33h en deuxième année, l’enseignement facultatif est d’une heure. Les matières enseignées sont les suivantes : Français ; anglais ; mathématiques ; chimie et physique ; physique appliquée  ; automatismes et logique ; régulation ; mesures industrielles et technologie d’appareillage.

Notons que le stage prend une place très importante dans la formation. Il est de 12 à 16 semaines, se déroule en fin de première année e.t fait l’objet d’un rapport de stage.

BTS Contrôle industriel et régulation automatique : Quels débouchés?

Spécialiste des procédés et des systèmes automatisés mis en œuvre dans l’industrie, le titulaire du BTS Contrôle industriel et régulation automatique exerce essentiellement dans les bureaux d’études, l’installation, la mise en service et la maintenance.  A l’issue de la formation, il doit être capable de participer à l’organisation et à l’animation d’une équipe et au dialogue avec les spécialistes. Il lui incombe aussi de proposer des solutions techniques et de  participer à l’installation et à la mise en service des systèmes.

BTS Contrôle industriel et régulation automatique : Quel avenir?

Si le titulaire du BTS Contrôle industriel et régulation automatique   veut poursuivre ses études, il aura le choix entre des formations post-BTS :  en gestion des systèmes énergétiques ou encore un cycle universitaire par équivalence en licence. Les meilleurs étudiants pourront même  intégrer une école d’ingénieurs via les admissions parallèles.

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