Paris Match : un « journal de merde » pour la première dame.
Aïe ! Valérie Trierweiler sort les crocs. Et, comble du comble, c’est contre le média qui l’emploie qu’elle pousse un cri de colère !
« Je viens de découvrir ton journal de merde (…), qui fait de la merde (…) et ses photos de merde » : voilà ce qu’a pu entendre sur son répondeur Olivier Royant, le directeur de la rédaction de ParisMatch, selon les journalistes du Canard Enchainé. La phrase est signée Valérie Trierweiler, courroucée suite à la parution dans l’hebdomadaire de clichés la montrant en ballade avec le président Hollande.
Un reportage qui n’a pas du tout amusé la première compagne de France, par ailleurs journaliste. La publication du dossier intitulé poétiquement « Parenthèse amoureuse » aurait dû, estime-t-elle, se faire avec son accord.
Les tensions entre Valérie Trierweiler et ses collègues de ParisMatch seraient de plus en plus importantes…et difficiles à supporter. Certains journalistes seraient « terrorisés » par la compagne du président, rapporte d’ailleurs un chef du groupe Lagardère.
Un incident qui relance le débat en cours depuis l’arrivée à l’Elysée de la journaliste Valérie : peut-elle toujours continuer à exercer son métier sans qu’il y ait mélange des genres, ou conflits d’intérêts ?
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