Equipe de France : une première surprise nommée Zahia!

Selon  LEXPRESS.FR, la jeune femme, par qui l’affaire de proxénétisme sur mineures qui a secoué certains internationaux de l’équipe de France, a éclaté, aurait écrit une lettre au sélectionneur Raymond Domenech pour plaider leur pardon.

La polémique sévit depuis quelques semaines et secoue le monde du football, notamment l’équipe de France. Dans une enquête de proxénétisme sur mineures, Zahia Dehar, une jeune ‘escort girl’ aurait confié à la police qu’elle aurait monnayé ses charmes à quelques jeunes joueurs de l’équipe de France alors qu’elle était mineure.  Largement commentée dans la presse, cette affaire de mœurs peut avoir des incidences sur la sélection ou non des joueurs concernés en vue du mondial.

Mais une fois de plus, Zahia Déhar surprend tout le monde avec cette lettre envoyée au sélectionneur Raymond Domenech où elle affirme qu’elle a toujours caché son âge pour dissuader ses partenaires. Un rebondissement inattendu dans une affaire délicate qui arrive peut-être à point nommé pour certains. LEXPRESS.FR s’est procurée cette lettre :

« Monsieur,

J’apprends par la presse que la publication des déclarations que j’ai faites aux policiers qui m’ont convoquée et interrogée pourraient entraîner la mise à l’écart de certains joueurs de l’équipe de France de football.

J’en suis stupéfaite autant qu’attristée.

Comment aurais-je pu imaginer? Alors que j’ai toujours caché mon âge pour ne pas dissuader mes partenaires, que leur bonne foi pourrait un jour être remise en cause?

J’assume pleinement mon comportement.

Je l’ai dit à la police et je l’ai répété publiquement.

A aucun moment, je n’ai prétendu ou laissé entendre que j’avais pu être la victime de ces personnes même si j’ai dû admettre la réalité des relations que j’ai entretenues avec certaines d’entre elles en raison des transcriptions d’écoutes téléphoniques que possédaient les enquêteurs.

Je n’en veux qu’à ceux dont les indiscrétions ont permis que cette affaire s’étale dans la presse, alors qu’elle devait rester secrète, et qui ont exploité sans autorisation mon image, m’obligeant à sortir de l’anonymat pour faire face aux ragots qui ont été mis en ligne ou diffusés par les journaux.

Je vous demande de respecter ce que les juges, les avocats, appellent la « présomption d’innocence » et de ne tenir aucun compte, à l’heure de votre choix, de ce qui a pu se passer entre certains de nos joueurs et moi.

Veuillez agréer Monsieur l’expression de ma haute considération »


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