Valérie Trierweiler : l’heure du mea-culpa.

Elle est l’une des compagnes de président de la République française les moins appréciées, et ce très peu de temps après son arrivée à l’Elysée.

« J’ai tâtonné au début, mais j’ai découvert qu’il n’y avait pas que des contraintes et qu’il y avait aussi des choses à accomplir. J’ai compris qu’on attendait des choses de moi, j’ai compris que je pouvais être utile et ça me touche énormément de savoir que je peux être utile. » ,a déclaré Valérie Trierweiler alors qu’elle se trouvait en déplacement dans l’Oise en tant qu’ambassadrice de la Fondation Danielle Mitterand.

Elle s’est déjà excusé pour son tweet malheureux de juillet il y a quelques semaines, et se fait particulièrement discrète depuis quelques temps. Pour éviter de nombreuses polémiques, elle a également refusé d’animer une émission sur Direct8 et a choisi de mettre son métier entre parenthèses.

Et aujourd’hui, elle renonce même à ce qu’on lui donne un statut spécial : « Appelez-moi comme vous voulez » , a-t-elle précisé à un journaliste qui lui redemandait s’il fallait l’appeler « première girlfriend de France », ou encore « atout coeur de France » .

Le temps de la discrétion et de la normalité semble être arrivé pour la compagne de François Hollande, qui parviendra peut-être à redorer son blason auprès des Français.


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