Baccalauréat en contrôle continu : Une réforme qui divise…

C’etait l’une des volontés exprimées par Emmanuel Macron : le baccalauréat en contrôles continus. Une réforme qui tend à diviser…

Détails.

Avant toute chose, si cette réforme venait à devenir effective, elle ne le serait pas dès la rentrée 2017. Le but de cette réforme étant que les lycéens aient moins d’épreuves à la fin de l’année, afin d’alléger leurs révisions. Oui, mais voilà ! Pour compenser, Emmanuel Macron aimerait mettre en place un système de contrôles continus. Comme pour le brevet, les élèves seraient évalués par les professeurs tout au long de l’année. Si certains sont enjoués par cette réforme et pensent que ce système multiplierait les chances des élèves en difficultés d’obtenir le précieux sesame, d’autres craignent des inégalités dans les notations entre les établissements étant plus exigeants avec leurs élèves par rapport à d’autres. Par ailleurs, l’anonymat de la majorité des devoirs ne serait pas gardé.

Le baccalauréat, un examen coûteux pour l’Etat

A l’heure actuelle, l’organisation du baccalauréat coûterait environ 1,5 milliard d’euros à l’État. Le gouvernement, au-delà du fait de faciliter les révisions aux élèves, souhaiterait surtout simplifier l’organisation du baccalauréat. En effet, avec plus de 4400 centres d’examen, près de 170 000 correcteurs, le coût total de l’organisation de cet examen de fin de lycée est onéreux pour l’Etat.

 

Et vous, qu’en pensez-vous ? On attend vos réponses en commentaires, sous l’article.


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