Mathieu Kassovitz : la grande gueule du cinéma français humilie Rachida Dati !

Invitée du plateau d’On N’est Pas Couché samedi dernier, Rachida Dati s’est faite littéralement humiliée par Mathieu Kassovitz. Le réalisateur connu pour être une grande gueule s’en est pris à la maire du VIIe arrondissement lorsque le thème de la délinquance a été abordé.

L’émission « On n’est pas couché » est connue pour être une véritable usine à clash. Samedi dernier, c’est Rachida Dati et Mathieu Kassovitz qui ont eu un vif échange dans le talk show de Laurent Ruquier. Pour une fois, ce ne sont pas Aymeric Caron et Léa Salamé qui donnent du fil à retordre à l’invité politique.

Au moment où l’ancienne garde des sceaux évoque « la délinquance qui explose » en France, l’acteur sort de ses gonds. « La délinquance qui explose ? » répète alors Mathieu Kassoivitz. Cette dernière lui répond :   « Oui, la délinquance explose, c’est une réalité. Notamment sur les violences dites non crapuleuses, sur tout ce qui est cambriolage. » « La délinquance augmente, la délinquance n’explose pas ! Arrêtez de faire peur aux gens. » rétorque l’acteur visiblement agacé. « Madame, si vous étiez un tout petit peu dans la rue… Putain de merde quoi ! ».

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Mathieu Kassovitz continue : « Si vous voyiez la solidarité qu’ont les gens dans la rue, comment les gens fonctionnent, comment le peuple fonctionne. Si vous étiez un tout petit peu proche des gens. Pas à travers vos promenades sous surveillance médiatique… Si vous compreniez un petit peu comment fonctionne un peuple, vous sauriez, un, qu’on a pas besoin de vous et que deux, vous nous trompez, vous nous amenez dans les mauvaises directions. Nous, on est solidaire entre nous ! »

Rachida Dati répond au tac au tac : «Ah bon? Vous, vous êtes solidaires dans votre métier? Vous critiquez tout le monde tout le temps. Vous êtes dans la critique permanente sur tout le monde: sur vos confrères, sur le cinéma, sur les acteurs, sur les producteurs, sur le cinéma français. Aimez-vous déjà les uns les autres chez vous et puis après on peut parler du reste. Donc, arrêtez de dire que je me promène…»

Enervé, Mathieu Kassovitz lui donne le coup de grâce. « Vous êtes un piètre orateur, madame. Vous êtes très mauvaise dans la répartie. Je suis désolé. Pour une politique… ». Et vlan !


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