Valérie Trierweiler : a-t-elle enfin compris qu’il fallait qu’elle s’efface ?

Cela faisait déjà quelques semaines que l’on n’entendait plus trop parler d’elle, depuis l’annonce de sa volonté d’attaquer en justice les auteurs d’une de ses biographies non-autorisées, La Frondeuse. Aurait-elle digéré ses premiers six mois en tant que first girlfriend ?

L’exercice du pouvoir n’est jamais aisé pour un président de la République, et la place que tient son épouse ou sa compagne n’est pas toujours facile à occuper.

Le couple Hollande/Trierweiler en fait les frais depuis six mois.

Le président Hollande semble avoir encore du mal à trouver ses marques en tant qu’homme fort de l’Etat (une conférence de presse prévue aujourd’hui en fin d’après-midi lui permettra peut-être de s’expliquer et de regagner le coeur des Français), et sa compagne a défrayé la chronique à plusieurs reprises : affaire du tweet, attaques contre Ségolène Royal, comportement jugé hautain…

Difficile de prendre ses marques lorsque l’on représente l’Etat et la classe à la française devant le monde entier ! La responsabilité est lourde, et pour une journaliste de profession, active de nature, ce rôle de représentation n’est pas nécessairement facile à tenir…Mais d’autres ont bien réussi, à commencer par Letizia d’Espagne, journaliste de formation mariée à l’héritier au trône d’Espagne…

Valérie Trierweiler semble donc avoir appris de ses erreurs, et se fait beaucoup plus discrète ces derniers jours.

L’on apprenait toutefois hier qu’elle décidait de mener jusqu’au bout son combat contre les auteurs de La Frondeuse, ses confrères Alix Bouilhaguet et Christophe Jakubyszyn. La first girlfriend a décidé d’attaquer le magazine Point de Vue, dans lequel Christophe Jakubyszyn évoquait le 10 octobre une éventuelle liaison passée avec Patrick Devedjian, ancien ministre UMP.


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